~La parole entraîne, l'exemple enseigne.~

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Les nuages sombres obscurcissant le ciel avait de nouveau céder face au soleil, qui même épuiser par ce combat contre les forces du mal éclaira le monde ninja de son éclat doré des plus resplendissant. Les oiseaux virevoltaient de nouveau dans un ciel bleu azur n’ayant rien perdu de sa beauté naturelle. Quelques nuages de fumée blanchâtre, trahissait la fin absolue de la tempête, même si ceux-ci étaient percer de toute part par les rayons du soleil qui dégageaient une chaleur déjà abondante sur le monde ninja. C’est dans un pays quelque peu reculé de ce monde qu’un regroupement pour le moins inattendues de personne s’étaient rassemblé. Dernièrement arrivée la jeune femme, se fit pratiquement agresser vers un homme auquel elle jeta un regard noir suffisant a vous glacez le sang. Mais déjà, le jeune garçon souriant lui adressa un regard joyeux qu’elle ne put que remercier par un bref sourire, s’adressant à elle d’une voix à peine audible il informa celle-ci qu’il était son sensei. Une chose qu’elle appréhenda quelque peu, malgré tous cela un soupir de soulagement brisa le silence lourd et pesant qui régner dans cette partis du monde, le pays de la foudre. Avant même qu’un des hommes vêtus d’un accoutrement pour le moins étrange ne prennent parole, la jeune prénommé Naruto Uzumaki prit la parole, cette fois a voix haute, une voix portante qu’aucun des ninja présent n’aurait pus oublié. Ainsi le nouveau sensei déclara haut et fort leur départ, présentant un manteau à la jeune femme qui ne cessa de fixer son nouveau supérieur celle-ci porta sans problème le manteau à présent quasi-inutile puisque aucune goutte d’eau ne percer le ciel. C’est ensemble qu’ils s’en allèrent, tournant le dos aux inconnus, ne sachant pas vraiment où ils allaient Aya se contenta de suivre son professeur, qui lui semblait parfaitement conscient de la direction a suivre. Ils marchèrent ainsi, pendant que les minutes s’écouler doucement, bercer par la douce mélodie mélancolique des oiseaux. Le paysage était à présent des plus lénifiant, tellement que la jeune femme trouve ces paupières lourdes tous en ne ressentant plus aucune douleur du a son interminable marche.

Ainsi ils arrivèrent tous deux, sur les hauteurs des montagnes. Admirative face a ce paysage encore inconnu, la jeune ninja s’empressa de s’approcher du bord, les cheveux à présent secs dans le vent. Enfin, elle se souvint de la présence de son acolyte, trouvant à présent inutile et lourd ce silence elle le brisa, de sa voix douce et féminine :

« Aya…Sawako Aya »

C’était tout…son simple nom ce qui était tous aussi inutile que le silence qui s’installa de nouveau. Etaant désigner d’insociable la jeune femme ne fit pas d’éffort pour en connaître plus sur son sensei, et se contenta d’observer en toute sa surface les cieux qui se trémoussaient au-dessus de leurs têtes.

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Après avoir fait la rencontre de l'équipe de l'akatsuki, Naruto prit la route avec sa nouvelle élève, Sawako Aya. Elle était arrivé en plein milieux de la conversation entre Naruto et l'Akatsuki. Pendant quelques minutes, Naruto se demanda se qu'il serait arrivé si elle ne serait pas arrivé. Certes, ils venaient de prendre les devants sur l'Akatsuki en partant les premiers. Suite à cela, la pluie cessa, et le soleil réapparut après la dissipation des nuages noirs qui parcouré le Pays de la Foudre. Naruto regarda le paysage qui naissait sous le soleil, c'était magnifique. Sa lui rappelait Konoha dans le passé, puis il regarda sa nouvelle élève, elle le suivait sans parler, comme si elle avait peur. Peut être avait-elle eu peur par rapport à la rencontre qu'elle avait du rejoindre et de la façon dont le blondinet de l'Akatsuki lui avait parlé. Naruto lui sourit puis regarda devant lui, il put apercevoir qu'ils arrivèrent bientôt au pied de la montagne, le ciel était toujours aussi dégagé, mais au niveau de la montagne, c'était autre chose, il aperçut aussi des oiseaux qui volaient au-dessus de nos deux ninjas, ces oiseaux chantaient, s'amusaient, ceci fit sourire Naruto, cela faisait longtemps qu'il n'avait plus entendu le cri des oiseaux. Ils escaladèrent la montagne de la Foudre, son élève la suivait toujours, sans rien dire, puis ils s'arrêtèrent sur les hauteurs de la montagnes, la jeune fille s'approcha du bord pour admirer le paysage, Naruto lui s'assaya puis la regarda, sa lui faisait plaisir de voir qu'elle avait complètement changer, qu'elle était heureuse, puis il remarqua qu'elle se retourna vers lui, et s'approcha. On n'entendait que la brise du vent, il n'y avait aucun autre son. Elle la parole, pour juste dire comment elle s'appelait.

--> Aya ... Sawako Aya

Elle ne disa rien d'autre, elle ne demande même pas qui était le groupe de ninja qui étaient devant eux il y a quelques temps. Naruto lui sourit puis se leva, il s'approcha d'elle. Arrivée à une bonne distance, il se présenta.

-->> Enchanté, je me nomme Uzumaki Naruto. Je tiens à te dire que je ne te considèrerais jamais comme mon élève.

Tout en disant cela, il regarda le ciel, il était bleu clair, le temps avait totalement changé après la rencontre de l'Akatsuki, puis il rajouta quelque chose.

--> Mais je te considère comme ma coéquipière, allait installons nous ici, il va bientôt faire nuit.

Il dit cela tout en lui souriant et en la regardant, c'était de nouveau l'ancien Naruto de Konoha, souriant, écoutant les autres, et qui ferait tout pour les protéger. Il se retourna et installa une petite tente pour dire qu'ils passent la nuit sans trop de problème.

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Le ciel si extravagant changea subitement, laissant entrevoir un bout d'obscurité. Le soleil tantôt à son zénith se retrouva remplacer par une lune stellaire resplendissante, et ces petits nuages de fumée blanchâtre congédier par des étoiles lumineuses. Très vite, la jeune femme reconnut quelques constellations, les plus banales. Malgré la pénombre qui régnait sur le monde ninja, un éblouissement soudain acheva la contemplation accordé a ce ciel de nuit. A peine put-elle comprendre qu'une lampe à la clarté blanche fluorescente c'était placer dans sa direction, la jeune femme fut étonné de constater qu'une tente des plus traditionnel avait été installé. Ainsi une autre journée s'achevait, c'est ainsi qu'Aya se reconnus être achever, épuiser, vider de toute énergie. A bout, elle ne put atteindre la tente que déjà elle se laissa asseoir contre l'écorce dur de l'arbre qui accepta son poids sans mécontentement. La shinobi ne put réfléchir aux paroles pourtant intrigantes de son sensei que déjà, les paupières lourdes, elle plongea dans un monde bien différent de celui de la réalité. Celui des rêves.

Un beau jour, sous un soleil d'été, dans l'interminable matinée de l'enfance de la jeune Aya, un homme se présenta devant le portail de la maison de la famille Sawako. Le vieillard, qui ne semblait pas avoir de nom, comme les autres homme, avait vraiment piètre allure avec son pantalon aux genou rapiécés, ses chaussures dépareillées qui bâillaient lamentablement, sa tunique de laine à manches longues nouée autour de sa taille à l'aide d'une corde, et surtout son capuchon constellé de taches de boisson et de relief de nourriture, qui faisait un drôle d'effet dans cette partis du monde où l'on ne portait guère ce genre d'accoutrement, mais qui plaisait particulièrement à Aya, avec ces bavolets sur le dos, les épaules et la poitrine. Seul son manteau paraissait relativement neuf. Les cheveux blancs du vieux conteur étaient coupés presque à ras, tout comme sa barbe. Il avait des yeux rieurs, d'un bleu profond, qui reflétait une éternelle jeunesse et une malice abyssale, dans un visage aux traits durs, pour ainsi dire anguleux, qui ne trahissait rien de ses origines. Il n'avait pas l'air de Konoha ou de Kiri, ni d'Oto ou encore de Taka. On aurait dit qu'il était issu d'une race humaine depuis longtemps disparue. Le conteur revenait de temps à autre au village caché du vent, où il était toujours le bienvenu. C'était en vérité un vagabond, un déraciné qui vivait sa vie en racontant des histoires. Lesquelles histoires n'étaient pas toujours nouvelles, bien sûr, mais il y avait comme de la magie dans la façon très particulière dont il les racontait. Il évoquait le roulement du tonnerre ou le souffle du zéphyr. Il arrivait à prendre la voix d'une dizaine de personnages simultanément, et il imitait si bien le chant des oiseaux que ceux-ci venait écouter ce qu'il disait. Quand il se mettait a hurler comme un loup, tous ceux qui l'écoutaient sentaient leurs poils ce hérisser sur leur nuque, et il leur mettait au coeur une froidure qui n'aurait pas reniée les rigueurs de l'hiver sunien. Par sa bouche, on entendait mugir le vent et crépiter la pluie, et même, chose plus miraculeuse encore, tomber les flocons de neige. Les meilleurs histoires, évidemment, le vieil homme les gardait pour après le dîner, cet ainsi qu'il fut cordialement invité a dîner dans le petit cabanon de la famille Sawako. Chaque regard était braqué sur lui, le repas qui lui était présenter était digne d'un roi, il s'en régala comme personne. Lorsque le mets fut enfin terminé, il se leva subitement et entraîna son auditoire dans un monde magique, le père d'Aya s'empressa alors de demander une histoire sur les dieux, souriant le vieil homme surnommé « vieux loup solitaire », fit vibré le son de sa voix.

« Écoutez, dit-il, de sa voix riche et qui portait, le récit des temps anciens où les Dieux créèrent le monde et les mers et les terres aride, puis il lancèrent les étoiles dans le dais nocturne et ils placèrent le soleil et sa femme, la lune, dans les cieux pour donner la lumière au monde. Alors les Dieux firent que la terre donne le jour aux animaux, et que les poissons éclosent nombreux dans la mer, et que les oiseaux fleurissent dans le ciel. »

L'histoire n'était pas nouvelle pour Aya, évidemment, tout le monde la connaissait dans cette partie du monde. Mais si elle lui était familière, elle ne l'avait jamais entendu raconter de cette façon. Son imagination s'envolait, il croyait voir les Dieux eux-même arpenter le monde en ces temps vagues et brumeux des premier age de la terre, et un frissons le secouer chaque fois, qu'elle entendait le nom interdit d'Akito. Elle écoutait de toute ses oreilles le conteur décrire comme chacun des Dieux avait élu un peuple. Aya jeta un oeil à la foule, tout le monde était suspendu à ses lèvres. L'histoire se termina sous les yeux ébahit et admiratif des autres, qui s'empressèrent de l'applaudir après un moment de silence. Lorsque les crépitement du feu dans la cheminée se dissipèrent, le vieux loup solitaire rejoignit Aya qui s'en allait déjà dormir, sous l'ordre de son père. Il énuméra les nombreuses qualité que possédait ses vagabonds, plus connu sous le nom de nukenin en ces temps ninja.

Un éclat doré transperça soudain la plus infime partit de ces pensée, déjà éveiller, la jeune femme put constater la faim qui crispa son ventre qui criait famine. Ce rêve avait parut si réelle...était-ce un souvenir perdu? Elle n'y repensait déjà plus. D'une mine renfrogné elle se leva, ayant passer la nuit dehors mais n'ayant pas pour autant souffert du froid la jeune femme constata que les premières lueurs de l'aube avait déjà pris possession du ciel qui s'avérait être une fois de plus de toute beauté. C'est ainsi qu'elle constata que son cher co-équipier et son supérieur était déjà debout, totalement éveiller, et comme toujours souriant d'un sourire écarlate.

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Naruto installa la tente rapidement, pour dire que lui et sa nouvelle co-équipière dorment dans de bonne conditions. Après quelques instant d'attente, Naruto remarqua que sa jeune élève c'était endormit dehors, sur un rocher. Il rentra dans la tente pour y saisir une converture et la mit sur Aya, puis il effectua quelques signes et créa quatres clones pour surveiller les alentours, pour éviter que sa co-équipière ne se face attaquer, pusi il alla dormir. Naruto commença à mal dormir après plus de deux heures de sommeil. Son sommeil commença à s'agiter. Il refit les rèves qu'il faisait à Oto concernant son bijuus, Kyuubi. Pendant son sommeil, il vit la détruction de Konoha il y a 16 ans, quand Kyuubi attaque Konoha, il y vit son père et sa mère. Puis il se vit enfant, et son père se sacrifier pour sauver le village en scellant Kyuubi en Naruto. Puis Naruto se retrouva devant la cage de Kyuubi, se demandant se qu'il faisait la, il remarqua le chakra de kyuubi essayer de sortir de la cage, et a le forcer à retirer le sceau qui l'enfermé en lui. Mais Naruto se débatta au fur et à mesure, mais la puissance de Kyuubi était très supérieur à la sienne, mais tout à coup, il eu un flash, et Naruto se réveilla, il venait de recevoir sur son visage les rayons soleil. Le soleil venait donc de se lever, Naruto sortit dehors, voir si son élève était toujours la, et effectivement, elle y était, puis ces clones arrivèrent. Naruto en déduit qu'il n'y avait pas eu de dangers, n'y d'attaque du groupe de l'Akatsuki. Il alla se placer pas très loin de son élève, attendant son réveil, il prépara le petit déjeuner. Après plus de une demi-heure, Aya se leva, regardant autour d'elle puis se fixa sur le levé du soleil, Naruto la regarda avec le sourire, puis se leva avec le repas.

--> Magnifique journée n'est-ce pas? Tien, voici le petit déjeuné, j'espère que tu as faim.

Naruto s'assaya près d'elle, puis commença à manger. il regarda le lac qui coulait sur l'autre montagne qui longeait celle-ci, le soleil éclairait tout l'horizont, un très beau début de journée avec un sublime levé de soleil, que demander de mieux? Puis après avoir fini son repas, Naruto se leva et partit ranger la tente dans son sac à dos. Après cela, il retrouva Aya.

--> Très bien, fini de manger, après nous prendrons la direction du nord, en passant par se petit canal qui longe la montagne, d'après mes souvenirs, derrière ces montagnes se trouve la frontière du Pays des Vagues. C'est la que nous nous installerons et ou nous pourrions mieux faire connaissance, et ainsi commencer ton apprentissage.

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Le soleil était déjà a son apogée, le silence qui régnait chaque matinée dans l'esprit d'Aya fut troubler par la voix masculine du jeune homme, qui souriant déclara joyeux que la journée était des plus épanouissante. Malgré le paysage des plus lénifiant, totalement éveillé, la jeune femme ne ressentit plus aucune fatigue. Le froid de la nuit n'avait pas agis, troublé par la couverture qui lui avait été prêté par son sensei la jeune femme fut admirative par la bonne humeur du jeune homme. Malgré l'heur des plus matinales une odeur des plus agréable se dissipa dans l'air pur, rappelant ainsi la faim crispant le ventre de la shinobi. Adosser à l'arbre qui avait acceptés sans rechigner tous son poids pour une nuit, elle fut très vite rejointe par Naruto, qui toujours souriant, lui servit un déjeuner pour le moins succulent...lui, il paraissait si heureux. Pour Aya les gens souriant sans raison valable était des insouciant, pourtant lui était prudent, la preuve il avait penser a tout pour cette fraîche nuit. Était-il si heureux de sa vie? La jeune femme revoyait dans son regard celui de sa mère, qui Malgré la maladie gardait toujours un sourire sincère et chaleureux. C'était le seul souvenir de sa mère...ce sourire, qui avait disparu le jour de sa naissance, Aya n'était qu'autre qu'un assassin, déjà a sa naissance elle vola la vie de sa mère et le bonheur de son père. Il était vrais que les choses ne pouvait changer, mais elle le savait, si sa vie était à refaire...elle serait tuer dès la premier seconde de son existence. Soupirant ce souvenir qui hantait a présent son esprit fut une nouvelle fois troublé par la voix masculine et joyeuse du jeune homme, qui observant le paysage et s'attardant sur une montagne, tous cela tout en rangeant la tente qui lui avait promptement servis de chambre l'espace d'une nuit. Longeant le canal de son doigt il acheva son petit récit, ainsi leur but était le pays des vagues. Avec un demi-sourire la jeune shinobi apprit leur direction, ainsi elle se rendait dans un endroit encore inconnue, pour le bonheur de sa curiosité. Malgré la parole qui n'était pas son point fort elle fit un effort, et répondit sur un ton naturelle a Naruto...

« Oui, c'est une merveilleuse journée qui s'annonce, j'espère qu'elle ne sera pas gâcher par une tempête comme hier. »

Où encore, répondant à sa dernière parole son ton changea, un bout d'enthousiasme se fit percevoir, chose très rare chez la jeune femme:

« Très bien, je n'aie jamais visiter le pays des vagues et j'ai hâte de commencer mon entraînement! »

Essayant en vain de sourire, ils décidèrent tous deux de se mettre en route, longeant leur montagne, ils atteignirent très vite la deuxième montagne tout aussi miraculeusement belle. C'était derrière celle-ci que le soleil amplifié tout son éclat doré, ne voulant pas paraître soumise ou inférieur la jeune femme fit un effort, qu'elle-même ne se sentait pas capable, lançant pour une fois dans sa vie une conversation...

« En faite, je suis désolé de ne pas vous avoir répondus hier, mais je suis contente de ce que vous avez dit, j'espère tout de même ne pas être un fardeau pour vous. »

Certes c'était court et traditionnel...mais un simple effort de ce genre était beaucoup pour Aya qui pourtant était qualifié de froide et insociable...Déjà un point noir se profiler au loin, était-il le point de destination, où un simple arbre parmi tant d'autre?

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Merci de valider le se TOPIC, Suite dans le Pays de la Vague

Remise de l'xp :

Aya => Très bien,un vocabulaire riche et varié,une mise en page agréable et une écriture fluide et compréhensible.Que demander de plus ?

+7 d'xp pour Aya Smile

Naruto => Des fautes un peu plus fréquentes que chez ton élève,mais dans l'ensemble c'est bien aussi ^^ Donc je te valide avec +6 d'xp =)

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