Présentation d'Asami Takahashi [Terminé]

~Présentation~

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Nom & Prénom :
Asami Takahashi

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Age :
18-19 ans.

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Sexe :
Féminin

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Description Physique :
Asami est une personne de taille moyenne, mince et en forme. Même si ont ne les voient pas, ses muscles sont pourtant là. Elle tient à se garder en forme – après tout, elle n’est pas une Akimichi. Asami porte la plupart du temps une robe blanche s’arrêtant en haut (environs 10 cm) des genoux et ayant des marques noires en formes de rectangles au niveaux des hanches. Elle porte un pantalon en tissu élastique-lui aussi blanc- s’arrêtant aux genoux. La robe d’Asami ayant les manches courtes, elle enroule des bandages blancs (encore xD) et les enlève quand elle à trop chaud. L’autre tissu de couleur foncée est dans ses cheveux : elle attache ses longs cheveux blonds avec un long tissu noir. Ses cheveux sont blonds très pâles, bonds/blancs. Elle ne les coupe jamais, ce qui a pour résultat que ses cheveux sont complètement sauvages et lui arrive à la taille. Son bandeau de ninja est Pour elle, son étrange accoutrement à une signification : Personne n’est jamais aussi blanc qu’ont ne le crois. Asami est assez banale, avec ses vêtements presque entièrement blancs, ses cheveux pâles, mais il émane d’elle un puissant charisme et sa joie de vivre est si présente que son physique s’en voit amélioré.

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Signe particulier :
1. Adore rire
2. Vas d’abord essayez de résonner son ennemi avant de le combattre.
3. Est presque toujours joyeuse.

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Description Morale : Asami est une personne à la fois simple et compliquée. Quand on commence à la connaître, on se rend compte qu’en réalité… on ne la connaît pas.
Sa personnalité rappelle celle de Naruto : elle est enjouée, énervée et folle sur les bords.
Elle restera calme dans les cas les plus risquer, mais préféreras rester enjouée pour se donner du courage. Elle est ce qu’on pourrait appeler effrontée : elle n’hésiteras pas à dire les quatre vérités à quelqu’un qui le mérite. Elle n’est pas méchante, seulement, elle dit tout haut ce que les gens pensent tout bas. Parfois, elle peu avoir un foutu caractère et sacrer, mais elle reste un personne qui met sa vie en jeu pour changer l’âme des gens en quelque chose de plus positif.
Elle souhaite devenir forte pour pouvoir dire à tout le monde ce qu’elle pense, sans avoir peur de mourir.

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Aime: Vivre, les fleurs, les cerisiers en fleurs, la forêt, le silence, la musique, les gens heureux et la lumière.

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N’aime pas:
Le noir, les gens tristes, les gens méchants sans raison et les morts.

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Histoire :

Mon histoire est banale. Aucun truc du genre : Mon-méchant-grand-frère-tue-mon-clan-grr-grr-je-veux-me-venger-alors-je-laisse-tout-tomber, ou de : le-démon-le-plus-fort-de-toute-sa-bande-est-enfermer-en-moi-alors-j’ai-passer-mon-enfance-seul.
Rien de cela.
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Je suis née dans un village civil au nord de Suna. Peut être que c’est pour ça que mes cheveux sont aussi clairs, a cause du soleil… Enfin. Mes parents, Aya et Shin Takahashi ont eu deux enfants : moi, Asami Takahashi et Amaya Takahashi, ma sœur de 21 ans. Mes parents et ma sœur travaille dans un restaurent, « la fleur de sable ». Moi, je ne sais pas, je n’ai jamais voulu travailler là bas. Je ne sais pas ce qui m’a poussée à devenir ninja. Parfois, on a des intuitions. Je ne sais vraiment pas… peut être que c’est l’histoire de Gaara, le Kazekage de Suna, qui m’a profondément marquée.
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Je me souviens bien de la vielle bonne femme qui est venu rendre visite à mon village.
Elle criait : Shukaku ! Shukaku est Kazekage ! Il est Kazekage !
Ses mots contenaient une telle haine… Cette vielle femme m’a tout de suite déplu.
J’ai demandé à mes parents l’histoire de ce « Shukaku ». Shukaku était le démon du sable… Comment pouvait-il devenir Kazekage?
Ma mère me raconta l’histoire de Gaara, le jinchuuriki. Son enfance désespérément seule, son frère et sa sœur, bref, l’histoire de Gaara.
Quand ma gentille mère finit le récit de Gaara, je ressenti en moi une telle haine pour la vielle dame que je me précipitais dehors pour lui parler.
J’étais jeune, mais je savais choisir qui je n’aimais pas et qui j’aimais. La dame était encore en train d’insulter Gaara. Je bouillonnais intérieurement : Comment pouvait on être aussi méchant, ne pas comprendre Gaara, sa tristesse, son besoin urgent de réconfort ?
J’ai été vulgaire, cette journée là. Mais je ne regrette rien de ce que j’ai accomplis.
-Mais, la vielle pie, peux-tu comprendre seulement ce que ressent Gaara? Le peux-tu ? A-t-il choisi de vivre une enfance différente des autres ? Voulait-il vivre seul ? Vivre dans la haine des autres ? Tu n’es qu’une insensible ! , criait-je en rajoutant une série d’insulte. Mais je n’avais pas fini de lui dire ses quatre vérités, à la mégère.
-Mais m*rde, il s’appelle GAARA, pas Shukaku ! Shukaku c’est une chose, Gaara en est une autre ! Gaara n’est pas responsable de ce qui lui arrive ! Arrêtez de le traiter comme une chose, comme un déchet, comme une erreur ! IL N’EST PAS RESPONSABLE !! , crachais-je à l’assemblée qui s’était peu à peu formée. Ils me regardaient comme si j’avais perdu la tête.
-Arrêtez de critiquer les choses différentes ! Arrêtez de juger la surface des choses ! Si vous ne lui aviez pas témoignez cette haine stupide, inutile et méchante, il n’aurait pas tuer tout ces gens ! Si il était comme ça, c’est entièrement de votre faute…, criais-je.
Je ne sais pas vraiment comment j’ai peu dire de tel choses, sans me faire interrompre.
Je sentis ma mère me prendre le bras en m’amener à la maison. Je me laissais emporter, puisque les gens commençaient à s’agiter, leurs yeux étaient en colère : pas facile de se prendre ses quatre vérités dans la tronche sans réagir.
Le lendemain, je décidais de devenir ninja. Peut être pour pouvoir dire tout ce que je pense sans avoir peur de me faire trucider, couper, mordre, tuer, torturer, manger, découper, bref, pouvoir dire ce que je pense sans avoir peur d’avoir des représentailles. Ma mère tira une tête de trois kilomètres quand je lui dis que je voulais devenir ninja, c’était drôle. Mon père fahi avoir une crise cardiaque et ma sœur s’évanoui. Après que ma mère ai refermé sa bouche, que mon père se calme et que ma sœur se réveille, ils me demandèrent si j’avais perdu la tête ou que je l’avait encore.
-Je l’ai encore!, dis-je en souriant. Mes parents me regardaient comme si j’avais trois têtes, et ma sœur avait les yeux gros comme des soucoupes. Mes parents commencèrent à me sortir des tas de conneries du genre : tu vas te faire tuer, trucider, mordre et tout le tralala, ma mère rajoutait que j’allais mourir dans d’atroces souffrances si je devenais ninja, bref, ils essayaient de me déconseiller de devenir ninja. Ma sœur me regardait avec de gros yeux, du genre : c’est quoi l’idée de dire des conneries pareil ?Mes parents continuaient à sortir toute sorte de conneries pour me convaincre d’oublier cette idée. Après avoir sorti tout un charabia de parole, mes parents se turent enfin, à court d’arguments. Je leur expliquais mes raisons, et ils finirent par accepter. Je me souviens de ma mère qui se jetait en courant sur les oignons quand elle sentait qu’elle allait se mettre à pleurer : elle ne tenait pas à montrer sa tristesse. « ‘faut pas que je lui montre que je suis faible et sensible… elle vas devenir ninja… » grommelait-elle, plongée dans ses oignons. Peut après, je quittais mon paisible village et rejoignait Suna pour apprendre l’art ninja.

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Invité…

αѕ-тυ reғlecнι
à ce qυe тυ ғαιѕ de тα vιe?
cαr тυ poυrrαιѕ мoυrιr ѕeυl eт ѕαɴѕ αмιѕ.
qυe cнoιѕι тυ? reѕтerαѕ-тυ dαɴѕ lα ɴυιт
oυ αrrêтerαѕ-тυ тeѕ coɴɴerιeѕ?
cнoιѕι,
cαr leѕ ɢeɴѕ de l'oмвre ɴe мerιтeɴт pαѕ lα ѕυrvιe.