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| Sujet: Matsuda Ryô - Terminé Mer 24 Déc - 17:00 | |
| ~ Présentation ~ Nom : Matsuda Prénom : Ryô Age : 17 ans Sexe : Masculin Description Physique :
Taille : Environ 1m75 Poids : Environ 85 kg
Jeune, beau & dans la force de l'âge, Ryô n'est cependant pas le garçon qui fera flamber tous les cœurs. Oh, bien sûr, ce n'est pas non plus le plus affreux de tous les ninjas, ses traits sont juste... normalement formés. Son visage tiré et parfaitement lisse, dépourvu de cernes et des rides de soucis, transcrit une joie de vivre et une détermination butée et certainement inébranlable. D'un teint pâle et légèrement pêche, ses courbes du visage sont très peu marquées, laissant ainsi une impression "enfantine", puisque déjà, sa tignasse n'est même pas bien coiffée.
L'adolescence, ah, qu'est-ce que c'était lorsque vous vous teignez les cheveux en bleu... Ryô,en tout cas, lui n'y a pas échappé. Afin de mieux assortir ses "tifs", dit-il, avec ses vêtement, il aura coloré en bleu ses fameux cheveux avec une large frange relevée en hérisson sur le devant. Vous l'aurez compris, coupe sport et tout le tralala qui va avec. Quoi de plus normal pour un ninja, me direz vous...
Vous l'aurez également facilement conclut, son habillement est composé de bleu, et de blanc, symbolisme de fidélité, de loyauté, de tolérance, d'équilibre personnel et enfin... Blanc symbolisme de Vertu & de pureté. Mais... Bleu rappellant l'eau, Blanc, souvenance du vent.Ainsi, il arbore un T-Shirt à l'aspect neuf, blanc très net avec une veste de coton à épaulettes en forme de Jean, pous éviter l'usure par son sac ou son épée, puisqu'il les porte en bandouillère d'une manière ou d'une autre de toute façon.Pour le bas, il porte la plupart du temps un large bermuda jusqu'aux genoux gris foncé et bleu à grandes poches pour y glisser ses équipement de base du ninja. Ses sandales sont hautes et lui remontent jusqu'aux mollets, sont également en matière jeans et suffisamment étanches & souples d'intérieur pour laisser passer l'eau du côté des talons ainsi que des orteils.
Dans son dos, son arme de prédilection, une des sept épées légendaire de Kiri, passée de père en fils depuis 50 ans déjà et protégées par la famille Matsuda, bien sûr. L'arme porte le nom de "Seiken".
Description Morale : Détermination et manque de sérieux feront de tout être un cocktail détonnant d'impulsivité. Il est en effet impossible à Ryô d'être quelqu'un de calme, de passif et, pire encore, de se laisser écraser en n'ayant pas le dernier mot. C'est dans sa nature, bien sûr, nature à l'opposé de son frère qui n'a jamais été que pour lui le piètre reflet du Mal incarné.
Bref, il a la joie de vivre, des buts dans la vie et sert son village avec loyauté, sans jamais réellement protester, tant que cela lui permettra de se rapprocher de son nindô. Il n'a qu'une seule morale ; La sienne. Pas question d'éthique ou de regrets, moins encore de scrupules. Seule compte pour lui l'Amitié de ses proches, l'Amour, c'est d'ailleurs trop dire pour ce coeur froid, refermé et bien trop occupé à autre chose pour penser à batiffoller de partout.
Néanmoins, à part l'être de fort caractère, sommeille en lui l'innée sympathie héritée de son géniteur. Toujours prêt à faire des bétises, il reste pourtant rancunier quant c'est à son tour de manger la farce dans la figure, mais il en lui faut jamais longtemps pour pardonner, esentiellement quand la blague est bonne mais bénine(Et tellement stupide qu'il aurait fait mieux).
Incarnation de la prétention, il sait cependant reconnaître ses erreurs et mettre de côté son égo orgeuilleux. Il croit en lui, et c'est justement cet accès d'assurance, certes fragile, qui l'amènera à être si lunatique concernant ses décisions.
Loin d'être le plus beau, il se classe parmi les plus doués intelligemment : Il fait preuve d'une capacité étonnante d'analyse et de choix, de conclusions.Son impulsivité n'en n'est que de très loin le moteur, la seule raison qui le pousse à cet extrême réflexion, c'est la frime et l'idée de pouvoir frimer par son seul talent,considère-t-il.On le choisira d'ailleurs pour élaborer des stratégies sous pression, en contre-balance à sa manière réputée bourrine d'attaquer.
Histoire : Et comme on dit, qualité vaut mieux que quantité...
Chapitre 1 : Loin d'être l'Utopie rêvée, on s'en contente...Dans le village retiré de Kiri, village de brutes et de renégats camouflés, on n'y trouve ni paix, ni bonheur, ... Juste, la terreur. De courageux ninjas sont désignés pour protéger leur chef, tandis que d'autres finissent recalés et destinés à se morfondre dans le plus proche carton de déménagement de la ruelle la moins dangereuse. La pauvreté des lieux tout récente encore se doit à la soudaine disparition du Nouveau Mizukage. Le peuple tremble, craint et s'inquiète. On n'a pas retrouvé son corps, et le nouveau remplacant pompe les réserves trop vite, beaucoup trop vite...
"Voilà où je vis", rédige Ryô, la main tremblante, sur un journal de bord, appelera-t-il plus tard, alors que son jumeau aura fait main basse dessus.Il termine par ces quelques lignes avant de laisser les songes l'embarquer dans un univers sans doute meilleurs :
"Oh, bien sûr, ce n'est pas ce dont j'aurai rêvé, enfant, ce n'est pas non plus ce que je préfère, mais je fais avec la situation et m'en accomode. Cependant, je redoute quelque chose. J'ai l'impression qu'un complot se trame et,en tant que Masuada, je me doit d'en informer au plus tôt le village, quitte à paraitre l'imbécile du coin."
La nuit fut longue, bruyante et inhabituelle.Ses songes qu'il aurait espéré plus gai étaient teintés d'un rouge ambré, de lames tranchantes et de meurtres à la pelle. Les assassins couraient les rues et massacraient enfants, femmes et retraités. Les ninjas protecteurs du village, cependant, n'y faisaient strictement rien, restaient assis, en groupe, à admirer le spectacle, dans leur espèce d'habitacle de théâtre. Le pire encore était que Ryô fasse partie d'entre eux, alors que son jumeau lui, faisait le sale boulot. C'est dans un sursaut, en sueur et en haletant qu'il se réveilla pour ne plus se rendormir jusqu'à l'aube du jour prochain.
Chapitre 2 : L'aube du nouveau jour ; Pressentiment accompli !Cris, pleurs et hurlements excessifs perturbèrent la somnolence désordonnée de notre héros.Il s'étira avec peine de son lit défait, anormalement d'ailleurs, il trouva celui de son frère déjà propre et ... il n'y avait plus aucun drap dessus ! C'était loin d'être dans les habitudes de son frangin d'être aussi propre, si bien qu'il failli exploser de rire avec ses théories faramineuses d'un jour particulièrement spécial. Pourtant, ...
Lorsqu'il surgit, rire large au visage, dans la salle à manger de leur vaste demeure, le noble Père était accablé sur la grande table tandis que la mère était préoccupée dans sa cuisson, trop surement pour oublier, puisqu'elle rata 3 Pan cakes d'affilée. Il resta surpris et puis s'écria que son frère avait fait son lit, comme jamais d'ailleurs, ... Il n'eut pour réponse que la nouvelle concernant le jumeau : Disparu, envolé... Pire encore, il avait emporté avec lui Seiken, la noble épée dont la famille avait la charge, puisqu'elle avait devoir et honneur de protection du Mizukage.
Enragé, Ryô retourna dans la chambre et fouilla dans son meuble. Pas de trace non plus de son journal. Il avait du l'emporter pour ne pas oublier qui était Ryô, bien sûr, puisqu'il avait toujours convoité de connaître les secrets de celui-ci.Pourquoi, l'avenir nous le dira.
Il retourna la demeure entière, malgré les avertissement de déception du paternel, afin d'y retrouva la lame. C'est après une heure de fouille bordélique qu'il n'y trouva rien, rien de plus que l'on le lui avait prédit : Absence, tristesse, déception... haine et rage ? Si tôt pensé, si tot déclenché, Mizukage ! La suite de son pressentiment avait été la chute du Mizukage. Lorsqu'il sortit dans la rue, des ninjas de hauts rangs se dirigeaient déjà vers la tour principale, tandis que des villageois criaient au complot, à l'assassinat, au meurte, à l'assassin... A la venue du précédent chef, déserteur, disparu... D'autres mots que pour dire Yekaïs Soyokaze.
Au lieu de suivre le mouvement, Ryô prit le chemin de la porte... Avec un peu de chance, il y serait encore.
Chapitre 3 : Confrontation & Conclusions
Le temps virait à l'orage, à la pluie, mais la ré-intronisation du Mizukage disparu eut lieu, tandis que la course acharnée de Ryô gagnait en vitesse. Un pas,puis l'autre, un pied, puis l'autre, une flaque, puis l'autre. Les portes du Pays n'étaient déjà plus qu'un lointain souvenir. Aucun ANBU ne suivait Ryô, les portiers n'avaient même pas du remarquer son échappée, tout comme celle de son frère d'ailleurs.
Le long pont de Kiri observait une horizon silencieuse, vide. Une seule tâche perturbait cette paix. Une tache animée, au loin, qui tirait quelque chose e lourd. Uen tâche à la longue veste descendante jusqu'aux sandales.
"Raiken ! Raiken !"
Ces mots sonnèrent comme une électrocution puissante. La tpache s'arrêta et fit mine de se retourner avant de reprendre sa course. Ryô poursuivit la tâche et,lorsqu'il fut suffisamment proche de celle-ci - Il décelait à présent avec certitude l'ombre de son opposé -, l'air se trancha soudainement par la lourde épée et Ryô esquissa un mouvement de parure. Raiken ricanna avant de laisser tomber Seiken, l'épée, qui semblait propre d'ailleurs.
"Où pars-tu... Pourquoi..."
Il n'eut pas de réponse dans l'immédiat alors, il saisit le bras de l'homme et le retourna. Il découvrit un visage noir, noir de traitrise, d'envie, de cupidité. La surprise le retourna, alors qu'une gilfle bien placée le faisait valser à la renverse, sur le plat de la légendaire épée.
"Intéréssant, ce journal intime..."
Raiken jeta à la figure de son frère le bouquin à la figure de son frère et allait s'en aller, sans remords, sans raison, liberté et indépendance pour seuls mots à la bouche.
"Journal de bord !"
L'épée fut projetée vers le déserteurs et rata, volontairement, sans doute, sa cible.Celui-ci rit et puis, pornonca quelques mots avant de laisser Ryô sombrer dans l'ombre de ses récents cauchemards. Il restait là, au milieu du pont, Seiken et son journal à son côté.
"Genjutsu... Tout ceci n'est qu'une illusion,n'est-ce pas ?"
Chapitre 4 : Un retour dans l'incertitude...
Un rayon de soleil perça les nuages et illumina le corps tordu de Ryô. La pluie l'avait épuisé et délavé. Ses vêtements trempés séchaient avec peine sous les faibles lueurs nouvelles tandis que le garçon restait dans le flou de sa soirée précédente. Pourquoi,comment et où ? Impossible de se souvenir pourquoi il était là, ni d'ailleurs l'entièreté des 3 jours derniers.
Seiken et son Journal de bord gisaient à son côté, alors que l'amnésie partielle semblait vouloir gagner davantage encore de terrain.Comme si ça ne suffisait pas.La marche permit la lutte contre l'effet et bientôt, il recouvrait des souvenirs de l'avant-veille. Loin encore le village n'était pas à son horizon. Il peina toute la journée à le rejoindre, parce que déjà, son mal de tête l'empêchait de marcher plsu d'un quart d'heure sans devoir se reposer un peu l'esprit, mais qu'en plus, il se devait de se remémorer le jour précédent, dont il semblait avoir tout oublié.
Le village le reçu avec attention et espoir. Allait-il enfin livrer quelques informations ? Rien. Si bien qu'on le prit pour le coupable du meurtre du Mizukage, mais les preuves ne l'accusaient pas, alors, il rentra chez lui, voyant sa mère et son père pleins d'espoir. Il se fit transmettre aussitôt l'épée, père désormais certain d'avoir choisit à qui d'entre eux deux la léguer. La peine l'avait sans doute quitté, en partie, mais Ryô ne se souvint même ps l'avoir vu sur le pont, ni d'ailleurs comment il était vêtu,... Juste, ce regard qui le hantait à présent constamment. Regard qu'il n'oublierait pas, jamais...
Désormais, sa vie se résulte à l'apprentissage intensif de nouvelles techniques, dans l'espoir qu'un jour, il parviendrait à retrouver son frangin, lui demander des explications sans doute... Et puis, bien sûr, il serait fin prêt à le tuer s'il venait à y être forcé.
Dernière édition par Matsuda Ryô le Mer 24 Déc - 18:08, édité 8 fois |
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