~Histoire de famille~

Que se passa t'il, alors que le monde virait vers la guerre incessante, loin du monde que les Zenbu essayait de former à la simple force de leur jutsu. Il y avait dans un coin de ce monde, une jeune fillette du nom de Seika, son histoire mérite d'être raconter.

"L'enfant aux yeux rouge" d'aussi loin qu'elle put s'en souvenir, Seika a toujours eu le souvenir qu'on l'est appelé ainsi, "le mouvement perpétuelle de malédiction" fut celui qu'elle porta avec le plus de mal. Alors que le monde l'ignorait ou la craignait elle apprenait à vivre, mais comment avait elle vue le jour, ou était ces parents. Petite fille, son premier souvenir est celui des cadavres fraichement abattues par quelques ninjas trop désordonnés pour tuer proprement. Elle se souvient de ces petits bras poussant sur le corps sans vie d'une femme, cela lui semble si loin, appartenant presque à une autre vie que la sienne. L'odeur du sang ne l'a jamais quitté et quoi qu'on en dise, l'attachement à sa seul mère nourricière bien qu'on en garde que des traces fugace, est celle qu'on garde pour toujours en sois. Et alors que la jeune fillette à peine âgée d'une dizaine d'année se mouvait doucement vers le couchant, elle passait en mémoire ce qui avait formé sa vie, trame poussiéreuse au trou multiple. Ses magnifiques cheveux noir étaient collés par un sang séché, ses bras montraient de nombreuses traces de lutte et d'une violence rare. Le petit brin de fille se figea, ses grands yeux fixaient le couchant, de petites larmes perlaient le long de ses joues, le besoin de dormir étreignait son corps. Les jambes flagellèrent puis se dérobèrent sous la fillette qui tomba lourdement sur le sol.
Un début de vie tonitruant. Une vie qu'elle n'a pas choisie, peut être pas. Ce qu'elle sait, c'est que cela c'était toujours passé ainsi. Comment raconter une vie que l'on ne peut même pas nous-même se remémorer. Vous voulez connaitre l'histoire de Seika, alors penchons nous sur cette magnifique petite fille, le corps meurtrie et sans doute mort d'une quelconque fatigue sur une route fréquentée, le monde la connait pour la "porteuse de malheur" alors ils n'essayeront pas de la toucher. Et pour connaitre la vérité bien souvent il faut entrer dans les personnes, connaitre leurs secrets, il faut se fier à leurs rêves, alors à quoi rêve notre jeune fille allongée dans la poussière d'un chemin qui se couvrait des ombres d'une nuit naissante.
Allons y par flashes successifs alors que la conscience s'effaçait les rêves emprunt de douleur vagabondèrent rapidement derrière les paupières de la jeune fille. Le souvenir oppressant alors qu'un homme lui apprenait avec une joie mal contenue qu'on venait de découvrir quelques choses de fantastiques. Le flash suivant ce stabilisa et la scène prend vie doucement, l'homme la tient par la main et lui montre un inconnu au centre d'une place, il rameute du monde et essaye d'attirer les regards vers lui, mais Seika n'aime pas cet homme, il fait de drôle de choses avec ses mains formant de drôle d'animaux il parvint à soulever l'eau contenue dans une jarre non loin de la faisant danser en deux petits dragons d'eau moqueurs. Elle leva la tête, mais le visage de l'homme était voilé par un masque d'ombre ou seul deux trous lumineux formant les yeux apparaissaient. Regardait elle la première personne qui avait réussis à dompter le chakra dans ce monde, tout semblait si parfait, le soleil brillait dans un ciel d'un bleu limpide, le vent gratifiait la foule d'une douceur aimante. Le souvenir se figea disparaissant de petites volutes de fumées blanchâtre pour la laisser dans un couloir, une bassine d'eau chaude dans les mains alors que son père hurlait son nom, ou pouvait elle bien courir ainsi, une porte glissa devant elle et une ombre se faufila dans le couloir, son père portait cette odeur qui s'insinuait partout, celle qui tintait le monde ninja depuis des siècles. Il la fit entrer avec violence dans la chambre, récupérant la bassine pour la placer au centre de la chambre; ou était passé les meubles et le lit ? pourquoi sa mère regardait sans bouger dehors ? elle n'était plus que l'ombre que de ce qu'elle était, un nouveau flash et les bras de sa mère l'entouraient alors que dans un lit chaud, son père venait caresser ça joue, l'amour dans les yeux. De retour dans la pièce, les questions la fustigea, que se passait il ? Comment tout cela pouvait être devenue ainsi ? Le rêve se bloqua, n'avançant plus que par accoue, elle voyait son corps quitter le sol pour venir frapper le sol à l'endroit ou se trouvait la bassine, l'eau chaude la fit pleurer et son père posa ses mains sur un cercle tracé à la peinture rouge, comment avait elle put être aussi pure. Le flash disparut, il ne restait rien quand elle rouvrit les yeux, seul le feu régnait autour d'elle. Une odeur de chaire carbonisé et le village brulait, mais aucun bruit ne se faisaient entendre, le village avait disparu. Elle se leva, cherchant du regard une figure ou quelconque visage aimant, mais elle ne vit que la fumée. Une douleur fulgurante quelques parts dans son crane la força à tomber au sol, les mains étreignant son crane avec force. Les images se mirent à danser devant elle ; elle revoyait son père poser les mains sur un cercle, elle voyait le corps de sa mère tomber sur le sol, la peinture qui avait servi à écrire toutes ces choses sur le sol et les murs de la petite chambre n'était en fait que le sang de sa mère. Une lumière aveuglante, quelques cris au loin puis la noirceur.

Seika se sentie porter, elle ouvrit les yeux se débattant pour descendre de l'épaule de l'homme qui la transportait comme une vulgaire buche. L'homme surprit la posa, s'excusant de nombreuse fois. Il allait mourir, c'était qu'un vulgaire Nukenin, elle se releva frappant ces vêtements, le mal de tête arrivait doucement, avec lui les réponses et la douleur, elle devait le retarder. Elle déchira un morceau de son habit et cacha ces deux yeux, s'asseyant, le noir avait quelques choses de rassurant, si ce monde pouvait disparaitre. Elle ne devait pas se concentrer sur la douleur sinon elle pourrait voir. Elle fit signe à l'homme de se mettre à son niveau.
"Vous êtes un Nukenin de Suna, Akio est votre nom et vous avez vendu des informations compromettantes à des déserteurs qui ont fait périr bon nombre des tiens" dit la jeune fille, sa main se massait la tête, elle ne pourrait pas faire face, il allait lui falloir un moment pour comprendre ce que voulait ces images qui remontaient vers elle.

"Je vous dirais comment vous en sortir si vous m'emmenez dans votre planque" demandât elle, remontant ses yeux bander vers son interlocuteur qui ne savait plus quoi dire alors qu'une fillette racontait sa vie avec une telle facilitée. Il l'a prit par la main puis sur ses épaules, il n'avait pas besoin de dire quoi que ce soit elle connaissait déjà ces questions et elle y répondit le plus simplement du monde et tout deux furent bien vite dans une cabane perdue au milieu des arbres. L'homme la fit descendre attendant la suite des évènements. La fillette s'installa sur les quelques marches qui séparaient la terre de l'entrée et croisa les bras devant elle.
"Les anbu de Suna vous cherche au nord de cet endroit, si vous vous dirigez vers le sud ils ne vous trouveront pas avant une année, avant la fin de cette année, changer votre position pour le nord et vous gagnerez encore deux ans" la jeune fille s'arrêta, visiblement dire cela lui coutait une force qu'elle n'avait pas, mais malgré tout elle continua, "sachez que votre vie ne durera que trois ans au grand maximum je ne vois pas de bon issus pour vous"
Le ninja secoua la tête, donnant un Kunai à la gamine, il décida de la prendre au sérieux et disparut dans les arbres, s'il savait que ça serait elle qui le tuerait serait il parti ainsi ?

Pour apprendre les choses, elle dut suivre les souvenirs, elle fit en sorte d'avoir une source au centre de la maison, l'eau allait faciliter son apprentissage, mais de quelle manières elle ne pouvait le savoir. Une fois que tout fut prêt, Seika s'installa au centre de l'eau qui coulait dans la pièce, croisant les jambes les bras sur les genoux l'eau glacée filait sur son corps. Les images arrivèrent encore plus net que d'habitude, elle avait posé son bandeau et ouvrait de grand yeux rouge. Elle revit son père, sa mère et la scène qui fut le début de sa longue vie. Son père posa les mains sur ce cercle, lui qui ne connaissait rien en ce nouveau art qui émergeait dans le monde. Il y eut une réaction en chaine, il avait tuer la mère de Seika pour cela et le mélange avec les écritures induit la disparition de toutes choses vivantes dans un large périmètre. Seika recouvert d'eau reçus cette décharge d'énergie et surtout une bonne partie de tous les liens qui unissent les humains, le mélangeant à son propre chakra qui s'éveillait doucement un lien bien plus fort se lia avec elle : la vie elle même.
L'éther, ce flux qui relit toutes formes de vie entre elle, de l'humain aux animaux, de la bactérie à la plante, toutes ces choses apportent leur pierre à l'édifice de la vie et du temps. Le mouvement perpétuelle de ces vies forme le temps et celui qui lit l'éther s'approprie le temps et sous toutes ces formes. Un pouvoir incroyable que Seika se serait bien passé, car bien que puissante, son corps avait hérité de cette malédiction, celle de ne pouvoir mourir, si son corps venait à cesser d'exister elle renaitrait telle le phœnix à l'âge où elle a été chargée de se pouvoir, à l'âge de huit ans. Assise dans l'eau fraiche, son pouvoir avait acquis une acuité des plus surprenante, elle pouvait voir la vie et les évènements qui se passaient sur ce monde depuis qu'elle avait été frappée par se pouvoir. Était elle condamnée à voir la vie des gens, leur tristesse et leur espoir sans pouvoir en posséder une seule à elle. Le temps absorba sa vie, elle resta assise dans l'eau coulant un moment, elle vivait à travers l'éther et quand elle ouvrit les yeux pour observer la cabane que l'homme lui avait laissé, son corps avait maigrie, la nature avait pris possession de ce lieu, plusieurs mois c'étaient écoulés et perdu dans le temps qu'elle prenait plaisir à observer elle n'avait pas prit garde au temps qui passait. Elle essaya de ce mouvoir, le corps aurait du périr, mais visiblement, l'éther l'avait conservé et nourris, elle avait vu des guerres ninja et des noms passaient dans son esprit comme si on lui lisait les pages du bottin avec rapidité.

Quand elle réussie à sortir de la cabane, la foret était elle qu'elle l'avait vu grandir, un détail manquait cela dit. À de nombreuse reprise elle avait vu ces autres vies et un parapluie d'un rouge profond, elle chercha un moment, s'enfonçant toujours de plus en plus dans les tréfonds d'une foret encore peu connu pour ce monde-là. Il se trouvait près d'un court d'eau, planté au centre d'un ilot entouré de liquide porteur de vie, claire et limpide, la nature l'avait quelques peu recouvert, mais le parapluie ouvert était simple à reconnaitre. Seika le prit, le faisant valser dans ses mains pour le fermer et le mettre sur son épaule, ce parapluie était l'unique objet qui ne semblait pas posséder ni début ni de fin, des yeux était visible à sa surface et sa solidité était à toute épreuve. Comment dans ces observations, il semblait vibrer dans ses mains et ce fut surement son premier ami.

Seika décida de vivre loin de ce qu'elle verrait mourir et ferma la porte de la cabane sur son avenir. Le temps passa, elle dut se courber au affres du temps mais aussi de mère nature qui affolait sur elle le calendrier de ces démons. Le temps passa doucement, elle était perdu entre les passions pour ce qu'elle observait dans le monde qu'elle c'était formé. Tout disparaissait au contacte acide de sa capacité.

........quelques temps plus tard..........

La journée s'annonçait parfaite, les oiseaux gazouillaient non loin de là. Le soleil continuait sa course effréné dans un ciel azure. Seika au centre de sa source personnelle restait de marbre, les jambes croisées et les bras au repos sur ses genoux. Elle ne savait pas combien de temps c'était écoulé depuis qu'elle avait fermé les yeux pour la dernière fois, mais au vu des plantes toujours moins accueillantes c'était une nouvelle série de mois qu'elle avait perdu à observer le monde à travers les âmes des plantes, des hommes et des roches. Elle avait tout de même une préférence pour la vie des ninja, leurs guerres incessantes et leurs grands projets, l'occupait le plus claire de son temps. Elle se leva, ses membres craquant sous la force qu'elle devait y mettre. Son corps n'avait pas gagné en musculature, bien qu'elle essayait toujours de s'entraîner un minimum au moins pour chasser, son physique refusait de gagner ne serait ce qu'un gramme de muscle. Un bruit se fit entendre, le jeune femme fit quelques mouvements d'assouplissements, l'heure était arrivée. Elle mit sa veste salie par le temps sur ses épaules puis poussa la porte grinçante de la cabane.

"J'ai besoin de ton aide" lui dit on, Seika fit quelques pas pour sortir devant sa demeure et se tourna vers l'homme qui c'était posé sur le toit de fortune.
"Je t'avais dit que quoi que tu fasses et quoi que je dise tu allais mourir" fit elle remarquer au ninja qui l'avait secourut il y avait maintenant trois ans. Elle s'écarta encore un peu plus de la cabane sa main dans son dos prenant le Kunai qu'il lui avait donné avant de partir. L'homme disparut du toit pour se trouver derrière elle, il l'attrapa fermement, mais elle se faufila rapidement et gratifia l'homme d'un coup mêlé d'une feinte que seul lui aurait dû connaitre.

"Comment as-tu pu ?" questionna l'homme, il regarda la jeune fille tomber lourdement un peu plus loin devant lui. Elle se redressa, une main passant dans ses cheveux gras.

"J'ai appris beaucoup de choses sur ma capacité" dit elle montrant le kunai à l'homme, "Et toi tu y es pour beaucoup"
Le ninja fit une grimace et tira un ninjato de derrière sont dos, le faisant tourner rapidement il se mit en garde, "Tu ne feras rien" dit il, une lueur meurtrière au fond de son regard.

Le combat commença avec une force qu'elle avait rarement vue ou sentie, son corps pliait sous la force des l'impact et le ninja avait pour lui une vitesse et une dextérité qu'un Hermite à la petite semelle ne pouvait imiter. En le touchant, elle avait appris à grimper sur les arbres, à marcher sur l'eau, tout cela lui fut bien inutile et tant bien que de mal, elle parvint à survivre.

De la cabane jusqu'au point de la foret, elle avait perdu tout ces repères, mais elle s'en moquait. L'homme était toujours déterminé à la tuer et il mêlait intelligemment ninjutsu et taijutsu. Les deux se jaugeaient, elle n'en pouvait plus, mais elle souffrait bien plus de son manque d'entrainement que d'un manque de chakra. Les deux se jetèrent l'un sur l'autre, elle ferma les yeux et les rouvrit "Ichi Byou" dit elle, elle n'avait pas l'habitude de se servir de sa capacité en dehors de l'eau, mais elle n'avait qu'à se concentrer sur son combat. Le temps se brisa, une partie d'elle se trouvait sur l'éther, elle voyait ce qui allait se passer. Elle tourna rapidement sur elle-même évitant le gros des dégâts passant outre la défense du ninja. Le kunai se planta dans l'artère fémoral et la jeune fille se décala pour s'écrouler plus loin. Le ninja fit quelques pas avant de tomber à son tour, la perte excessive de sang avait été son coup de grâce.
La voilà au point de départ, blessé, son pouvoir lui échappant, lui montrant des brides d'un passé qui n'était peut-être pas le siens. Elle se voit marchant sans aucune idée de là où elle allait, tenant son torse et son ventre meurtrit.

Tous l'évitaient, quand elle sombra, elle se trouvait aux portes d'un village, l'avenir est quelques choses qui est tout le temps en mouvement et le temps aimait s'amuser de ceux qui pouvaient le dévoiler.

~A suivre pour le moment 172 lignes~

Ce village devant lequel Seika était tombé n'était pas véritablement un village, il disposait d'une force hors du commun et protéger par un clan, il parvenait à survivre et à faire peur aux villages alentour. L'homme qui la trouva, la fit entrer dans les murs de la cité, il fit fie de toutes remarque désobligeante sur la venu d'une parfaite étrangère, mais c'est lui qui faisait la pluie et le beau temps ici. Il déposa la jeune fille dans une chambre puis s'en alla, fermant la porte derrière lui.
Le peuple était en émois, ils ne comprenaient pas pourquoi l'homme qui avait sauvé leur village se prenait d'affection pour une petite chose abandonné, un chose qui avait une telle réputation surtout. Jikken les avaient calmé rapidement d'un mouvement répétitif des mains, il avait commencé par sur une note qui lui ressemblait pas, demandant plus de calme pour la jeune fille mais cela ne les calma en rien. Vociférant des insultes et criant une haine qui ne faisait que s'amplifiait quand elle touchait une autre vague de réclamation coléreuse. Jikken joignis les mains faisant disparaitre quelques personnes il descendit de quelques pas vers eux, un regard coléreux alors que certain commençait déjà à pleurer leur perte.
"Vous vous êtes mal habituer, je devrais peut être partir et aller dans un autre village" dit il alors qu'il se tournait vers le reste de la troupe un sourire débordant de dents. Les visages pâlirent, visiblement plus personnes ne souhaitait faire la moindre remontrance à Jikken. Il fit un mouvement rapide de la main et libéra les gens qui avait disparut. Il entra dans la maison, le silence avait gagné toutes la petite cité mais si il perdait Jikken, il perdait le peu de renommer ainsi que la force qui les protégeaient.

Seika reprit conscience dans un lit d'une blancheur parfaite, elle ne savait pas ou elle se trouvait, une panique s'insinua en elle mais elle fut bien vite rattraper par la voix calme de Jikken au fond de la pièce, l'ombre l'entourait comme une cape protégeant l'anonymat de l'homme.
"La fille au regard rouge" dit Jikken les bras croisé devant lui le sourire large qui dévoilait quelques dents blanches malgré la noirceur ambiante, "Que peu tu m'apprendre sur mon avenir" lui demandât il. Seika se faufila dans un coins essayant de s'enfuir mais un puissant sceau la retenait dans le chambre.
"Je t'ai posé une question t'aurait on coupé la langue en plus ?" dit Jikken en se levant, il avança doucement les mains dans les dos.
"Vous n'allez pas mourir mais surement bien plus souffrir que le commun des mortelle" dit la jeune femme alors que sa main trempait dans un vase.
Jikken eut une grimace puis soupira, la réponse ne lui plaisait pas vraiment, ne pas mourir était intéréssant mais souffrir pendant toutes l'éternité n'était pas vraiment dans ces projets immédiats.

"J'ai à faire je reviendrais" lui dit il alors qu'il claquait la porte faisant disparaitre la pièce dans un Kekkai. Cette force devait être contenue, bien entendu il n'ouvrit jamais la pièce mais qui c'est peut être qu'un jour.

~ Fini environs 211 lignes~

Validation:

+ 45 XP

Un peu court tout ça xD

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