Forum © Staff-NSI Design © NSI Studio Contenu et Idées © Staff-NSI & Ses Membres ! Nous vous remercions pour votre fidélité.
|
|
| Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! | |
| | Auteur | Message |
---|
Hidan Membre de l'Akatsuki
Age : 35 Niveau : 0 Nombre de messages : 241 Localisation : Près de JASHIN-SAMA ! Date d'inscription : 05/09/2009
~RPG~ Pv :: (0/0) Pc :: (0/0) Exp :: (0/0)
| Sujet: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Dim 6 Sep - 9:28 | |
| ㄨ Je suis allongée sur le dos, mes bras remontés derrière ma tête, servant de support temporaire pour me permettre de contempler un ciel azure. Du haut d’une colline, au beau milieu d’un putain de trou perdu, mon visage, aux yeux incolores enfin si, un foutu gris bien moche, était rivé vers le haut, observant plus précisément un mince filament de fumé. Nichée entre mes lèvres dont un côté serrait mes dents formant un rictus mesquin, se trouvait une cigarette à demi consumée. Ma jambe gauche était redressée vers le haut d’un angle de 90 degré, me donnant une posture assez relaxe et détendue. Je prends soudain une profonde respiration…
- Et merde, je fou quoi au juste? Me dis-je avant de me rassasier d’une seconde bouffé de fumé.
ㄨ Faut pas dire que ma vie fut des plus palpitantes. Je m’emmerdais à toujours me faire passer pour la conne sans but ni motif ni intérêt autre que vouloir tabasser son patriarche, enfin non, cet espèce de crétin religieux de père. Et là, j’me rends compte que la revanche et bien c’est pour les nuls ou le type de monde qu’on classe de « emo ». Il m’a bien enculé ce plouc et bien c’est fait, mais si jamais il se plante devant moi, c’est mon poing qui l’enculera! Mais hors de question que je cours après comme un animal traquant sa proie. Il n’en mérite simplement pas l’effort.
- TCHÉH! Me voilà au point de départ, me trouver une foutue raison d’être…
- Génial… T’es vachement bien placée Lucy. Rétorquai-je à nouveau avec sarcasme, enchainant mes dires avec un profond soupire aigue, démontrant parfaitement mon ennui mortel à passer mes journées à manger, casser la gueule des salopes qui se prennent pour des vrai mecs, et dormir dans les bars comme une pute? Sauf que la pute ein elle vous casse les couilles une fois que vous êtes tombé dans son piège aux allusions charnelles.
ㄨ À l’aide de ma main droite, je me gratte légèrement l’arrière du crane d’où mes cheveux étaient rattachés en couette et tenu par un élastique d’un rouge qui se rapprochait plus de celle du sang. D’ordinaire, je n’avais pas l’habitude de penser autant et de m’inquiéter sur ce que j’allais advenir. M’inquiéter? Ralalah, Lucy t’abaisse pas à ce point! Ok, rectification : Il faut que j’trouve un moyen de me divertir et vite! Je me relève sur-le-champ, mon facial fronçant les sourcils, me donnant ainsi un air des plus déterminé mais avec un brin méphistophélique visible, pour les petites cervelles, ça veut dire je ressemble à une sorte de tueur en série.
- Que faire que faire… retourné dans cet ancien trou de bled de village des sourds? Je marquai une brève pause, mon index tâtant le bas de mon menton en mode de réflexion.
- Nannnnnh! Une petite marche de santé fait pas de tord, et c’est bon pour les fesses! Enchaînai-je avec enthousiaste en me tapant le cul d’une main alors que l’autre alla retirer ma cigarette consumée en entier. D’un geste bref, je l’a jette sur le sol en l’écrasant de mon pied. Ça serai fâcheux déclencher un incendie à une période aussi sèche de l’année nanh? Comme si ça m’est égal!
ㄨ Je marche et marche et marche et marche... je fais quoi encore? Je marche! Rien de captivant, rien d'intéressant. Qu'une multitude d'arbre, de buisson et quelques fissure au sol ici et là, mais toujours rien qui puisse me sortir de cette putain de journée couronnée d'un ennui fatidique et exaspérant. Je n’avais aucune arme sauf ma grande gueule qui puis être, et d’un sens, ça ne m’aurait pas déplus qu’un espèce de taré vint me kidnapper ou bien… un professeur de l’académie pour me disputer d’avoir, encore une fois, manqué un cours? Hum ça serait marrant… J’étais pas du genre à leur lécher les pieds, je m’en contre fichai des notes mais, à l’encontre, j’adorai leur donner du trouble. Il n’y à rien de plus marrant que de mettre en rogne un idiot qui commence à gueuler comme un porc tentant d’échapper à l’abattoir.
ㄨ Tout à coup, je m’arrêtai. Enfin, un truc, à ma droite, titilla ma curiosité : une grotte. Meh, une tanière d’ours peut-être? Un putain d’ours énorme en tout cas, obèse qui sait! Le trou devait faire plus d’une dizaine de mètre sur toute sa circonférence. J’hésite, observant l’entré du sinistre lieu avec pas plus de vitalité qu’il faut. Néanmoins, j’arque un sourcil arrogant en constatant un bout de tissu noir qui gisait sur le sol, terni de poussière et de fragment de roches cassées.
- Hum? C’est quoi ce truc?
ㄨ D’une cadence nonchalante, je décide de m’engager à l’intérieur comme si rien n’était. Je fus accueillit par non des ours mais par une vision noir onyx, m’empêchant de discerner quoique ce soit. Bref c’était vide, mais la grotte semblait profonde. Un soupire s’échappe hors de ma bouche alors que je décide une dernière tentative avant de me rediriger vers la sortie.
- Hoé-hoé-hoé! Ya quelqu’un ici? Oui? Non? Oui mais pas complètement là mentalement? Criai-je d'une voix râlante.
- Tsssh…
ㄨ Aucune réponse, je fis un demi-tour sur moi-même, marchant vers la sortie…
Dernière édition par Lucy le Jeu 1 Oct - 10:29, édité 6 fois | |
| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
Age : 29 Niveau : 12 Nombre de messages : 1179 Localisation : Quelque part sur le dos d'un aigle d'argile géant. Date d'inscription : 25/01/2009
~RPG~ Pv :: (400/400) Pc :: (360/360) Exp :: (98/270)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Dim 6 Sep - 13:08 | |
| #'. Faute d’endroit où allez, Deidara avait décidé de retourner au repaire. Il avait pensé que l’air frais du voyage, le paysage délicat d’une journée ensoleillé l’aurait détendu, apaisé. Il n’en était rien : sa colère le dévorait toujours avec cette même passion. Un regard aurait suffit à vous glacez le sang. Ces pupilles bleus, d’habitude si hautaine ne brulait que dans une rage terrifiante. Sa mâchoire serré laisser une marque sur son visage pâle. Shin. Ce connard de Datenshi. Une belle enflure, qui lui avait raflé son combat sous son nez. Une ordure qui s’était permit de tout détruire en un jutsu. Lui aussi il aurait put faire tout sauter avec une de ces créations. Oui, c’était facile. Mais quel était l’intérêt ? Le blondinet pensait qu’il allait exister entre eux un accord froid, mais professionnel. Mais l’inconscient lui avait déclaré la guerre, et il allait amèrement le regretter. Si s’avait été si simple, la colère de Deidara se serait atténuée, remplacez par le sentiment amer de la vengeance. Mais ce qui le rendait fou furieux, c’était qu’il se savait inférieur au Datenshi. Il n’ignorait pas que s’il engageait un combat contre Shin, il perdrait lamentablement. Et son rival ne le laisserait certainement pas en vie. Oui, ce qu’il le mettait hors de lui, c’était de devoir attendre, repoussé cette heure fatidique, ou il tuerait son ennemi. Si sa colère lui avait laissé un éclair de lucidité, il aurait compris que sa haine était égale à celle qu’il éprouvait pour les Uchiha.
#'. Il était arrivé au repaire, et avait décidé de repartir immédiatement en mission. Quittes à être survolter, autant servir à quelque chose. Mais il constata que Ketten n’était toujours pas rentré de mission. Il laissa échapper une salve d’insulte bien pesé envers son coéquipier, et repartit d’un pas lourd vers la sortie. Il fallait qu’il se passe quelque chose sous la main, un truc à exploser…Sinon, c’était lui qui allait se faire consumer par sa rage. Alors qu’il grimpait les escaliers de pierres, dans la pénombre la plus complète, il entendit une voix féminine. Enfin, on aurait put en douter vu l’élégance qu’il y avait dans ces tonalités rocailleuses.
Hoé-hoé-hoé! Ya quelqu’un ici? Oui? Non? Oui mais pas complètement là mentalement?
#'. Il poussa lentement la porte qui menait vers l’extérieur, ne faisant aucun bruit. Il était derrière l’intruse, à plusieurs mètres d’elle. On ne voyait, dans la pénombre, d’une crinière rouge, et des vêtements provoquant. Sa démarche était masculine, mais ses formes ne permettaient pas de douter sur son statut de femme. Sans dire un mot, Deidara la suivit, jusqu’à ce que les rayons du soleil dissipent la pénombre de la grotte. Là, il prit les devants. En un instant, il se retrouva devant elle. Elle se retrouva plaquée contre la roche, ses pieds à quelques centimètres du sol. Le blondinet la tenait fermement par la gorge, son visage fermé, mais ses yeux brulants de ses nouvelles intentions. Il ne dit mot, laissant la parole à sa victime, suffoquant entre ses doigts serrés.
- Spoiler:
J'ai plus de vitesse que toi.
| |
| | | Hidan Membre de l'Akatsuki
Age : 35 Niveau : 0 Nombre de messages : 241 Localisation : Près de JASHIN-SAMA ! Date d'inscription : 05/09/2009
~RPG~ Pv :: (0/0) Pc :: (0/0) Exp :: (0/0)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Dim 6 Sep - 19:50 | |
| ㄨ Ralalaaaaah… et de retour avec mon billet de voyage vers la platitude et désagrément excessif. Il ne me restait qu’une chose à faire, retourner vers le pays des sourds si erh… je sais encore comment m’y rendre. La question qui tue, suis-je perdue? LA VACHE! J’crois bien que oui. Et tout ce que j’ai trouvé de mieux à faire était de glander sans motif et entrer dans une grotte parsemée d’une drôle d’odeur d’œuf pourrit. J’hume deux fois l’air environnante, n’étant plus qu’à quelques pieds de la sortie. Subitement je m’arrête, enfin non, je fus arrêté! À peine réussi-je à garder ne serai-ce qu’un œil entre ouvert pour réaliser ce qui venait de se passer. Une « chose » venait tout juste de me plaquer contre une paroi remplie de stalactite et de stalagmite, sans oublier la mousse aqueuse qui me caressait à présent la joue gauche. Quelle merde… Les dents fermement serré à l’instant même, j’ouvre lentement mon second œil qui avait resté aveuglé pendant l’assaut. Mes pieds ne touchait pas le sol, quel dommage, néanmoins mon agresseur était visible par l’unique source de lueur en provenance de l’entrée de ce fichu trou. - Woaah… elle est forte celle-là! Lui dis-je avec moquerie et ironie. ㄨ Je n’étais pas du tout impressionné, et mon facial démarquait clairement ce trait d’attitude lassé que j’avais l’habitude d’émettre en de telle situation. Hors, faut pas dire que, j’avais cogné à la bonne porte pour me délasser de cet ennui mortel, ou bien carrément me le faire botter à plein, mon cul. Je me sentais envahit d’une certaine curiosité mais aussi d’amusement. Je plisse un œil, plongeant mon regard de clochard dans celui qui tenait l’étreinte à ma gorge. Elle avait l’air de quoi cette salope? Attend un peu… c’est quoi ça? S’tun gars ou une fille?! Mon visage se décontracta subitement sous cette étrange impression d’incertitude concernant le sexe de ce, ce ou cette taré… tarée? - Chaleureux accueil, t’es qui toi? Demandai-je nonchalamment en lui adressant un sourire en coin. Hum...Ou plutôt… tes quoi toi? ㄨ Je l’observe sous ce rideau de noirceur nous entourant. Il ou elle portait une robe, une étrange robe noir avec des… des putains de nuages rouges?!?! Je reste surprise puis, prit une tournure plus songeuse. Quoi que le professeur de l’académie a dit encore concernant ce genre de costume moche? Meh, riens ne me venait à l’esprit, surement dû par un cours manqué. Ralalaaaah Lucy, faudrait que t’apprenne à t’impliquer dans la vie… Hum, NANH! Continuons notre petite analyse vers sa tronche. - Woalala, belle perruque madame… m’exclamai-je en constatant une tignasse de cheveux blond des plus imposante! Tellement que son toupet lui cachait un œil, le gauche. Son droit, par contre, était visible et me fixait comme si il ou elle avait envi de me faire la peau. Quelqu’un était pas de bonne humeur à ce que j’vois, ou quelqu’un était simplement dans son cycle menstruelle. ㄨ Je vacille l’iris de mes yeux vers le sommet de sa tête. Là, il y avait… encore des cheveux! Et attaché en fontaine, que c’est pas mignon? Je me retiens de ne pas me cramper en deux et en rire jusqu’aux larmes. La résistance laissa visible un sourire étiré de l’extrémité à l’autre de mon visage. À cet effet, je sentis l’étreinte se resserrer davantage. Oulala, à bout de nerf et c’est vrai la Barbie! - Hoé! Tu me poses par terre? Rétorquai-je, visiblement irrité. Voyant qu’il ne s’exécutait pas, j’enchaîne d’une voix râlante et méprit d’une certaine arrogance. - Écoute... si ce trou de merde est ton chez toi et que j’te dérange, c’est OK, je comprends le message, je sors et j’te fou la sainte paix! Dis-je à nouveau avec un sourire forcé, tentant d'être sympatique. ㄨ J’attends… j’attends… aucune réplique, réaction. Bah, temps de voir s’il s’agit d’une femme ou non. Sur cette idée, étant tout juste à une bonne hauteur, j’élance mon genou gauche vers le haut, visant les parties génitales de mon agresseur.
- Spoiler:
Esquive Deidei ! Esquive x) !
Dernière édition par Lucy le Ven 9 Oct - 14:48, édité 6 fois | |
| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
Age : 29 Niveau : 12 Nombre de messages : 1179 Localisation : Quelque part sur le dos d'un aigle d'argile géant. Date d'inscription : 25/01/2009
~RPG~ Pv :: (400/400) Pc :: (360/360) Exp :: (98/270)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Lun 7 Sep - 19:24 | |
| #'. La jeune fille conservait son aspect négliger et décontracter qui prouvait qu’elle était : soit suicidaire ou terriblement téméraire ; ou bien qu’elle ne connaissait pas l’endroit qu’elle venait de foulés avec affront et vulgarité.
Woaah… elle est forte celle-là! Chaleureux accueil, t’es qui toi? Ou plutôt… tes quoi toi? Woalala, belle perruque madame…Hoé! Tu me poses par terre? Écoute... si ce trou de merde est ton chez toi et que j’te dérange, c’est OK, je comprends le message, je sors et j’te fou la sainte paix!
#'. Deidara ne pouvait dire quelque chose devant tant de prétention. On aurait dit lui, mais en fille, et beaucoup moins puissant. Il avait appris à ignorer toute les insultes, car chaque personne qui s’était permis de l’injuriait mourrait de sa main. Il raffermit son étreinte, et ne put retenir un sourire malsain qui étendit sa bouche dans un rictus mauvais. Oh non, la petite prétentieuse n’allait pas s’en tirer comme sa. Comme pour en rajouter, la jeune femme leva vivement son genou, visant les parties génitales de son adversaire. L’artiste eut le bon réflexe de faire un écart pour protéger sa masculinité, ne relâchant pourtant pas sa pression sur le cou de l’intruse. Il la tira vers l’avant, et l’envoyer valser sur plusieurs mètres.
« Si seulement c’était aussi simple, catin… Je peux te le dire maintenant que je suis sur de ta mort, mais tu te trouves sur un dangereux territoire. T’as t’ont appris quelque chose du monde ninja, en plus de se foutre dans la merde toute seule ? Akatsuki, l’organisation secrète qui fait peur aux plus grands ninjas du monde. »
#'. Il s’approcha d’elle, lentement, profitant de l’excitation du crime qui grimpait dans ses veines. Un tremblement nerveux le parcourait, rendant son sourire plus malsain, son œil brillant avec plus de démence encore. Oui, cela faisait bien longtemps que le jeune homme n’avait pas eut cette soif de sang. Il en ressentait toute l’adrénaline qui précédait ses assassinats. La lame de son katana glissa de sa manche, son extrémité s’arrêtant à quelques centimètres du sol, car son manche avait été retenu par la poigne ferme de Deidara. Il poussa un soupir, comme s’il était désolé pour elle.
« Désolé, mais je me dois de t’achever avant que tu ne colportes trop d’informations… »[/color] | |
| | | Hidan Membre de l'Akatsuki
Age : 35 Niveau : 0 Nombre de messages : 241 Localisation : Près de JASHIN-SAMA ! Date d'inscription : 05/09/2009
~RPG~ Pv :: (0/0) Pc :: (0/0) Exp :: (0/0)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Lun 7 Sep - 21:49 | |
| ㄨ Comme mon petit doigt me l’eut dicté, mon agresseur était pas de la vulgaire supercherie. Loin de là même. Suivant sa réaction du coin de l’œil face à mon coup de genou, je dénote une certaine agilité de sa part mais néanmoins, un truc m’échappe : L’énergie et la finesse qu’il eut en esquivant cet assaut. Qu’il y a-t-il de mal à pas vouloir se faire cogner hé? Bien, seul les mecs on ce genre de réflex si spontané. Pas besoin d’être un géni pour s’en rendre compte. Avec toutes mes expériences dans les bars, j’avais assisté à un incalculable nombre de disputes entre deux tarés de chiens ayant une olive dans leur p’tite tête à la place d’un cerveau. Présentement, on peut dire que j’me suis enjôlé dans une belle querelle hé? Et, pour mettre la cerise sur le gâteau, l’autre individu à perruque-de-Barbie avait tout un avantage d’être mieux entrainé que moi. Avec raison, cinq ans se sont écroulé depuis la dernière fois ou j’ai mit la main sur un kunai, et c’était pour m'effleurer la rets du cul qui me piquait à l’époque. ㄨ Tout à coup, l’étreinte se relâcha! Enfin, on peut dire ça comme ça! La salope me tira brusquement vers l’avant, ce qui fit dont de me faire rouler au sol à plusieurs tour sur moi-même. Le mur adjacent de la grotte fut mon point d’arrêt. Tête en bas, le cul en l’air, j’observe Barbie qui entreprend une démarche lente vers mon emplacement. Aïe-aïe- aïe! Relaxe ma belle! Heeeeh… ㄨ Super Lucy, ta mit en rogne madame et la c’est un séjour en enfer qui t’attend. Bah, c’est pas trop mal, l’enfer est l’opposé du paradis et j’aurai peut-être la chance de butter un dieu ou deux avec une fourche en feu et rendre les connards de croyants encore plus déraillés qu’ils ne le sont déjà! Je soupire, étant toujours dans une posture des plus débiles. Je m’en contrefichai aussi. La fierté et l’honneur? Fuck cette fierté! Une ordure parmi des centaines de milliers de… j’peux pas compter jusqu’à là! Ce monde est de la merde, cette Barbie est de la merde, ce trou est de la merde et comme ça se trouve, je vais mourir dans d’la merde! Le soit disant exécuteur était plus qu’à quelque mètre de moi. Pourquoi je dis exécuteur au masculin, bah, ce type avait une voix de gars. … … ATTEND UN PEU! Q-QUOI!?!?!? Mes yeux, grands ouvert, s’exorbitèrent suite à ses dires au sujet d’un « dangereux territoire ». Mon œil! Avoir un mec travesti méprit du symptôme menstruel en permanence et présent dans le même pays que toi, ouai j’y crois très bien, être en danger! - Akatsu-koi? Hum? Répliquai-je en arquant un sourcil. - Meh, connais pas et ça m’intéresse pas.ㄨ Je marquai une pause, observant un second détail de ce plouc. Ses ongles étaient maculés de verni noir. What the fuck?!?! De ce que j’peux comprendre l’aka-patente est une organisation de métro-sexuelle qui terrorise les enfants? Hé bien, c’est vachement plus marrant qu’un cours de théorie tout ça. Un sourire prolongé un peu bête s’étira sur mes lèvres lorsqu’il cita avec confiance ses intentions de m’achever comme ça, le derrière en l’air avec son truc long et pointu visible hors d’une de ses manches. Une katana hé? Néanmoins, un autre détail me frappa en plein visage, et ouai, tout un personnage ce type! Quoi encore? Et bien, regarder le! Un vrai maniaque juste à en voir son regard! C’est comme si j’me voyais devant un miroir entrain de jouir à l’idée de tuer quelqu’un. Sauf que là, il jouit à l’idée de me tuer. Une personne normale serait tétanisée de peur. Moi, à l’encontre, j’étais tout simplement incapable de ressentir ou même d’éprouver l’envi de fuir comme un lâche. S’il fallait que je le confondre même sachant mes chances à zéro de m’en sortir et ben, qu’il s’amène! S’il croit que j’vais simplement lui brailler dans la figure il rêve pauvre fou! - Désolé? D-é-s-o-l-é? J’en veux pas de ta pitié! Rétorquai-je en me remettant sur les pieds d’un bond vers l’avant. Néanmoins, mon regard passa d’arrogance au sérieux. Ma voix changea aussi en conséquence, plutôt parsemée d’un calme serein mais rude par tournure à l’encontre de mes râlements habituels. - HHeh… information, comme si ça m’est égal... Ça sert à quoi de vivre sans l’excitation et l’adrénaline que procurent des situations comme celle-ci? Hum?- Si on ne peut pas vivre dans le danger et dans l'action... fuck notre vie. C'est pas moi qui va rester enfermée dans une belle p’tite bulle prospère de mon derrière...- Traite-moi de folle si ça te chante, mais j'tiens à te dire que ya pas juste toi que ça excite tout ça.ㄨ Je m’arrêtai un moment pour regarder le sol, puis vers la sortie. Une brise d'air entra subitement à l'intérieur de la grotte pour se perdre dans ma chevelure couleur cramoisi. Mes deux mèches serpentant chaque côté de mon visage valsèrent doucement mais l'effet éphémère de la brise ne dura qu'un instant. Quel dommage… - Tch… Tu parles d'une journée merdique...ㄨ J’enchaîne mes paroles en sortant une cigarette hors d’un petit étui dans ma poche droite. Avec finesse, je la dépose entre mes lèvres puis l’alluma à l’aide d’un briquet que je conserve en permanence sur moi partout où je vais. Rangeant l’objet métallique dans mon soutient gorge, j’inhale une bouffé. Une sensation paradisiaque et relaxante réussit à me calmer de toute cette histoire. Mon dos s’adosse contre le mur de pièrre alors que ma main droite retira ma cigarette à quelque centimètre de mon visage. Je laisse échapper un nuage de vapeur hors de mes lèvres à demi fermées. Toujours aussi détendue, je pose mon regard en plein vers celui du mec en face de moi. - Dit Hum… L’aka-patente-chose, vous avez ça de la marijuana, speed, cocaïne… ou juste des cigares ça serait cool aussi… hé?- Sinon, ça te dis de prendre un verre au bar le plus proche? T'a l'air vachement tendu.ㄨ J'attend, patiemment la réponse du mec vis-à-vis ma petite invitation, remettant la cigarette dans ma bouche.
- Spoiler:
Édité: J'ai ajouté un surplus de texte
Dernière édition par Lucy le Ven 9 Oct - 14:49, édité 3 fois | |
| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
Age : 29 Niveau : 12 Nombre de messages : 1179 Localisation : Quelque part sur le dos d'un aigle d'argile géant. Date d'inscription : 25/01/2009
~RPG~ Pv :: (400/400) Pc :: (360/360) Exp :: (98/270)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Mer 9 Sep - 20:38 | |
| #'. La jeune femme passait de visage en visage. Si quelques secondes plus tôt elle faisait la fière, la maligne et la rebelle, elle devenait sérieuse, et disait « le comprendre » sur son plaisir apparent à la tuer. Elle essayait sans doute de se rendre intéressante, de se sauver par quelques paroles. Mais Deidara avait trop soif de sang, et ses efforts lui passèrent au dessus de la tête comme un coup de vent. Il avançait d’un pas résolu vers l’intruse, qui avait sortit une cigarette après lui avoir proposé de boire un verre au bar le plus proche.
« Si ça t’excite la mort, alors je vais te l’infliger à petit feu, ainsi tu sentiras toute l’adrénaline s’introduire dans tes veines en même temps que le poison de la mort… »
#'. Sous ses mots prononcés avec un sadisme aiguisé, il enfourna ses mains dans ses sacoches. Ses mains s’ouvrirent, ses bouches recueillant l’argile avec appétit, enfournant la terre mole dans leur orifice dans un concert silencieux. Les deux paumes, une fois rassasié, se collèrent l’une contre l’autre, pour que les deux bouches échangent leur diner. L’argile, malaxé à son chakra luisait d’une étrange lueur. D’un geste ample, le blondinet écarta ses deux mains, plaçant ses bras à quelques centimètres de son corps immobile. De ses bouches, jaillirent quatre oiseaux. Tous étaient différent, sculpté avec délicatesse et un talent non-négligeable. Le premier était un corbeau, qui s’autorisa un cri acerbe destiné à sa victime avant de fondre sur elle. Le second était une colombe, traversant l’air avec élégance et flegme. Le troisième se trouvait être un perroquet, volant d’une drôle allure, comme déséquilibrer par son imposant bec. Le dernier était un moineau, boulot et charmant dans ses battements d’ailes précipités pour suivre la cadence. Dans les combats, le jeune artiste laissait ses créations tel quel, mais cette fois, il voulait voir son adversaire mourir de son plus bel art. Aussi c’était-il permit le luxe de laisser un zeste de couleur dans son argile. Les oiseaux évoluaient donc dans un tourbillon de couleurs éclatantes, changeant souvent de position sans jamais se percuter. Ce spectacle magique dut s’interrompre, car ils approchaient de leur cible. Deidara faillit rater l’explosion, absorbé par sa soif de sang et son adoration pour son art. Il se ressaisit au dernier moment, et plaqua ses deux paumes l’une contre l’autre. Il prononça un « kai » discret et recouvert par le bruit d’une détonation. Un nuage de fumée blanc couvrit sa victime, un instant. C’était d’ailleurs le seul défaut de ses créations : la fumée que dégageaient les explosions l’empêchait de voir le visage emplit de douleur de ses victimes. L’odeur de la poudre, désagréable pour certains, mais certainement un des purs bonheurs pour l’artiste, monta dans l’air, en même temps que celle du sang. Le jeune homme ne put retenir un éclat de rire étrangler par sa délectation, et sa (légère) démence.
- Spoiler:
Tori no nendo:
Description : L’utilisateur va former au creux de sa main de multiples répliques d’oiseaux miniatures qu’il va par la suite lancer sur l’adversaire ~Effets~ : 30 pv ~Chakra~ : 15 pc pour chaque oeuvre d'argile constitué (Maximum = Résistance) x4
| |
| | | Hidan Membre de l'Akatsuki
Age : 35 Niveau : 0 Nombre de messages : 241 Localisation : Près de JASHIN-SAMA ! Date d'inscription : 05/09/2009
~RPG~ Pv :: (0/0) Pc :: (0/0) Exp :: (0/0)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Jeu 10 Sep - 5:38 | |
| ㄨ En guise de réponse, monsieur Barbie, enfin plutôt monsieur Ken, me fit tout un discours à la con sur comment il allait me faire ci, me faire ça, me faire sentir la douleur de telle et telle manière… La mort, comme un poison ein? Injecte-toi d’la morphine à plein les intraveineuses avant de d’employer le mot « poison », au moins là il sera employé correctement. Un anti douleur, quelle horreur. - Bah, je suppose que c’est un « non » hum? Demandai-je bêtement alors que ce plouc avait entamé un drôle de mouvement à la place de me répondre correctement. L'espèce de fucker... ㄨ En silence, je le regarde plonger ses mains dans ce que l’on aurait dit deux sacoches, une attachée de chaque côté de sa taille. L’indifférence, alors là ce mot, je le connaissais très bien et l’appliquait souvent niveau attitude lorsque ça implique des idiots qui tente de m’amadouer. Hors, cette fois, c’était la curiosité qui prit le devant. Que faisait-il? Allait-il me lancer des shurikens? Des kunais? Non, sinon il l’aurait déjà fait et de plus il prend un certain temps à fouiller ses putains de sacoches! Toujours adossée contre le dos, ma jambe droite légèrement repliée vers l’intérieur, je croise les bras, mordillant le bout de ma cigarette avec impatience. Soudain, il rapprocha ses mains, collant leur paume ensemble comme un guignol de prêtre qui prie envers sa merde de divinité. Il les détacha finalement après un autre x nombre de seconde qui paru interminable. ㄨ Un cri étrange retenti aussitôt en écho à l’intérieur de la grotte. Je cligne les paupières à maintes reprises devant quatre merdes qui volaient d’une vitesse fulgurante dans ma direction. Des oiseaux? A-attend un peu… Ce mec me lançait des putains d’oiseaux?!?! C’est quoi la- KABOOM!QWAH?!?! ㄨ C'est pas juste d'la belle apparence ces foutus trucs!Je restai un instant stupéfaite et à la fois estomaquée par la stupeur de l'explosion. Le corbeau, qui semblait si innofensif, venait tout juste de détoner à moins d’un pied de mon visage. Les deux yeux grands ouverts, le facial décontracté de plus belle, je plaque ma main contre mon front puis gratta la surface de mon crane. C’était proche… un peu plus et j’aurai souffert d’un terrible mal de tête, si elle aurait restée intacte bien entendu. Il veut me faire peur ce plouc ou c’est qu’il à mal calculé la distance? De plus, c’est quoi cette foutue technique? Ça ressemble en aucun cas à un des éléments connus. - WEW… passé proche… Dis-je en échappant à un soupire soulagé. - Crrwaaack! L’art est une explosion! Crrwaaack! S’écria une voix étrange à ma gauche. - HUH?!?! Mais que…?!?!? ㄨ Sur le coup, je ressenti une pesanteur soudaine sur mon épaule. L’oiseau, celui qui ressemblait à un perroquet s’était nonchalamment perché sur moi et me fixait avec ses deux yeux d’un bleu écarlate. - Crrwaaack! Tu vas exploser ma belle! Crrwaaack! ㄨ À peine eu-je le temps de remarquer le putain perroquet que les deux autres se joignirent sur le perchoir… j’étais le satané perchoir de merde! Un sur mon épaule, un autre sur mon pied et le dernier sur mon genou incliné. J’observe un instant le mec avec ses airs de sadique sortit tout droit d’un film d’horreur. Laisse-moi deviner, là c’est le moment de paniquer non? …
SALOPERIE DE MERDE!!!!!!!!!!!!!!!!!! BOOM-BOOM- ET REBOOM! ㄨ Les montagnes… c’est jolie. Je fou quoi? À oui, je suis sur une colline, je crois… non? C’est haut, je vole? À tient, des nuages, je dois voler. Je vois les montagnes, ces vallées que je rêve de visiter un de ces jours mais à pied, merde que c’est pas commode! Je ne sens plus rien, c’est étrange… je tombe, je chute de haut, de très haut. Puis, plus rien, ce paysage montagnard se dissipa devant un rideau noir, un rideau vide. C’est là que j’ouvre les yeux, ma vision est embrouillée. Je suis couchée sur le sol et gisant dans une marre de sang créé par les endroits atteint de l’explosion, à présent d’imposantes brûlures corporelles. Un mince filament de fumé apparu dans l’air, vers ma droite. Je tourne la tête à cet effet et constate, avec apaisement ma cigarette encore allumée. Un œil ouvert, l’autre fermé, je m’empare maladroitement d'la seule chose que je désirai au moment présent. Avec finesse, je remets ma cigarette entre mes lèvres et en fait l’inhalation complète. - Ouaip… quelle journée merdique. ㄨ Je laisse échapper un dernier nuage de fumée avant de tomber dans les pommes.
- Spoiler:
J'ai reçu trois projectiles, ça fait... 90 dégâts x)
Dernière édition par Lucy le Ven 9 Oct - 14:50, édité 5 fois | |
| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
Age : 29 Niveau : 12 Nombre de messages : 1179 Localisation : Quelque part sur le dos d'un aigle d'argile géant. Date d'inscription : 25/01/2009
~RPG~ Pv :: (400/400) Pc :: (360/360) Exp :: (98/270)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Jeu 10 Sep - 21:00 | |
| #'. Boum, boum, et reboum ! Les détonations s’enchainaient, dans des halos de nuages blancs, et des éclats de terre et de sang. Et, à quelques mètres, Deidara, gorge déployer, qui observait le carnage d’un œil fou. Il ne s’arrêta que lorsque la fumée se dissipa, laissant le corps blessés de l’intruse. L’artiste avait le souffle court, alors qu’il n’avait fait aucun effort physique. Un étrange vide se faisait dans son esprit, qui indiquait que sa soif de sang était à présent étanchée. Son visage, crispé par sa folie sembla peu à peu se détendre. Il était épuisé, et il s’assit, glissant contre le mur de pierre, en face de son adversaire vaincu. Lorsqu’il eut reprit son souffle, il regarda la jeune femme. Elle était inanimée, et sa cigarette pendait entre ses lèvres entrouvertes. Le jeune homme sortit lui-même une clope, pour l’aider à récupérer. Après quelques inspirations lentes, il retrouvait peu à peu ses esprits. Tout devenait plus clair, une fois l’orage passé, limpide. Il repensa à la tchatche de son adversaire, son affront et sa prétention qui lui faisait penser à lui-même. Cette aplomb qui ne la faisait pas reculer, ni s’avouer vaincu, alors qu’elle se savait perdante. C’était peut-être de la folie, mais c’était ce genre d’attitude qui était essentielle chez un bon ninja.
#'. Puis, il pensa à Shin. Même à travers le nuage gris et voluptueux que dégageait sa cigarette, on put voir son visage se tendre. Il songea également à la longue absence de Ketten, et à l’inexistence des autres membres. Il posa l’arrière de sa tête contre le mur de pierre et ferma les yeux, poussant un soupir. Jamais il ne se serait permit de se relâcher ainsi devant quelqu’un, sans avoir la certitude de sa mort. D’ailleurs, la fille était-elle claquée ? Il se redressa, lentement, tapotant sa clope pour ôter le mégot qui la faisait courber sous son poids. Silencieusement, elle s’approcha du corps de la victime, et posa deux doigts sur son poignet. Il sentit une pulsation, légère et non-régulière, mais présente tout de même. Il se recula alors, pour se remettre à sa place initiale, assis contre les parois de la grotte. La jeune fille était coriace. Il la jaugea d’un drôle de regard, indéchiffrable, mais qui pourtant, recelais d’expressions, si on savait le lire. On aurait put y voir une idée qui germait, une lueur de défi, d’une vengeance certes faible, mais suffisante pour renflouer son égo, et enfin, une solution à son problème. Une étincelle, une étoile, qui vient le faire sourire. Pas ce sourire d’un détraquer qui tue, non son sourire habituelle, fier, prétentieux, grande gueule. Il l’ouvrit donc, pour dire à mi-voix :
« Si elle s’en sors, je la fais rentrer dans l’Aka… »
#'. Car, bien sur, si la jeune fille rentrait dans la lune rouge, il pourrait peut-être rester en duo avec elle. Ainsi, il aurait la garantit de ne pas avoir Shin sur le dos. Car dans l’hypothèse que Ketten ne reviendrait pas, il allait devoir se colporter un nouvel équipier. Et quittes à choisir, il préférait que ce soit un ninja plus faible, et qui est la langue bien pendu. Bien sur, c’était un projet fou, insensé. Il se ferait sans doute tuer par Sheena, ou plutôt shin, car c’était plutôt lui qui tenait les rênes de la Lune rouge ces derniers temps. Mais ce projet l’amusait, l’excitait. Alors, il observait la jeune fille, jouant à pile ou face dans sa tête…
- Spoiler:
sous l'autorisation de shin
| |
| | | Hidan Membre de l'Akatsuki
Age : 35 Niveau : 0 Nombre de messages : 241 Localisation : Près de JASHIN-SAMA ! Date d'inscription : 05/09/2009
~RPG~ Pv :: (0/0) Pc :: (0/0) Exp :: (0/0)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Ven 11 Sep - 3:04 | |
| ¤¤¤ FlashBack ¤¤¤
ㄨ Il fait noir, je suis plongée dans l’ombre. Ce rideau d’obscurité m’envoute, m’enlace telle une couverture de velours. Je suis seule, assise dans le coin d’une pièce, ma chambre. Mes jambes sont recroquevillées sur elles-mêmes, ma tête est basse. Je suis pas réellement là, ça ne fait aucun sens. Je rêve? Pourtant, l’image semble si réelle. Un passé nostalgique qui refais surface. Mais pourquoi? Pourquoi maintenant? Je lève la tête, puis me redresse et finalement, me remet sur pieds. Devant moi est disposé un miroir géant, reflétant ma silhouette sous trois aspects différents. Je me souviens… Toutes ces nombreuses nuits de solitude à contempler ce reflet fané, ce reflet de jeunesse, d’adolescence et la dernière… cette dernière toujours aussi floue, insondable. L’image de mon futur, ai-je un futur? Pourquoi est-elle aussi embrouillée? Je me vois hier, aujourd’hui mais pourquoi pas demain? Suis-je incapable de me concevoir une identité, un motif, un but, une raison d’être? Les autres enfants eux, rêves, imaginent, conçoivent une image d’eux d’après leur intérêt et peuvent facilement voir leur portrait futur d’après le chemin qu’ils décident de poursuivre. ㄨ Un chemin, le mien n’a fait que tourner en rond sans jamais donner de résultat. Soudain, la porte de ma chambre s’ouvrit brusquement. J’étais incapable de ressentir la peur d’autrefois, néanmoins, elle s’affichait sur mon visage ruisselant de larmes. Pleurer, pleurer et encore pleurer… à chaque fois que cet enculé de père entrait dans mon petit univers renfermé. Je savais, à l’époque, qu’il ne désirait qu’une chose et revoir cette scène eut pour effet d’agrémenter davantage mon âme de cette haine, la haine envers une personne et qui, avec le temps s’étala envers le monde entier. Cette période de vie obscurcie par le sang et la déception. Mais ça, c’est une tout autre histoire. Viol après viol, soir après soir, à ne plus finir. Je voulais tant qu’il arrête, tant avoir la force de l’arrêter moi-même, tant le détruire en lui arrachant ses tripes et l’étouffer avec le cordon de son intestin! Les images changent et défilent à l’intérieur de mon subconscient. Je me vois dénudés un instant, puis encore devant ce miroir, je le vois se casser en mille morceaux, puis moi qui fracasse une bouteille de bière sur la tête du connard qui se prétendait être mon père. ㄨ Tout à coup, le décor changea. Je chute à nouveau, la tête en bas, le vent me fouette le visage tout le long de ma descente. Je vois les montagnes. Non, l’océan. Qu’une interminable étendue d’eau prête à m’accueillir dans la profondeur de ses abysses. Je ferme les yeux, mes bras dépliés à la verticale comme un oiseau. Si le tout aurait été réel, je l’aurai bien sentit dans mes veines, cette sensation. La liberté, être libre, sans limite ni justice. J’ouvre subitement les yeux, réalisant un détail frappant. N’est-ce pas ça, le chemin? Cette porte de sortie que je cherche désespérément depuis ma sombre enfance, ce calvaire infernal. Serai-ce ma quête? Ma raison d’être? Poursuivre une route vers la liberté? À peine eu-je le temps d’y réfléchir davantage, que l’eau et mon corps firent contact. Je sombre, un bras tendu vers le haut. La lueur de la surface s’éloigne… elle s’éloigne… l’eau entre dans mon corps, je… je suffoque et j’arrive à sentir ce fluide qui s’infiltre dans mes poumons. Quoi? ¤¤¤¤¤¤
ㄨ À mon réveil, je crache un amas de sang qui s’était accumulé dans ma gorge. J’étais vivante? Ça en à tout l’air. Je n’avais pas bougé, mais ma cigarette tomba au sol après mon toussotement. Ce mec avec ses pétards ne m’avait pas achevé… encore. Qu’attendait-il? Mon réveil pour le faire? Ça m’étonnerai pas. Comme chaque bon tueur, il est normal de vouloir se délecter du dernier souffle de nos victimes. C’était la cerise sur le Sunday, l’ultime moment où s’échappent nos quatre vérités. Hors, je ne sentais pas sa présence près de moi. Ma tête, qui était terriblement lourde sans savoir pourquoi, bascule à ma droite. Ma vision était encore embrouillée et tout ce que je pouvais discerner était un point blond sur un mur grisâtre. Là, il était là. Mais que faisait-il? Je serre les poings, rassemblant ce qui me restait comme énergie pour me redresser sur les fesses. Deux mains plaqués sur le sol, je m’appuis sur celui-ci pour me remettre sur mes pieds. Immobile, mon regard avait un semblant de drogué. Sans doute par faiblesse. Putain de corps de merde, je jure que, si j’men sort de toute cette merde, que oui j’vais m’entrainer à encaisser ces bordel de coups. ㄨ Avec maladresse, je m’avance vers le blondinet, ou enfin la tache jaune qui s’éclairci au fur et à mesure que je m’approche de lui. Ma cadence était minable, ma jambe droite, recouverte de sang, n’était pas apte à soutenir mon poids, me faisant boiter à chaque pas. Néanmoins, j’avançais, reculer comme un lâche n’a jamais été une option pour moi, le futur est droit devant et pas derrière, n’importe quel con sait ça. À moins d’un mètre de mon ennemie, je m’abaissai doucement, pliant les jambes malgré l’agonie de celle de droite. Si tu crois que je la sens pas cette foutue douleur t’es sur le bord de la traque. Je laissai simplement rien transparaitre, par orgueil mais aussi par simple discipline. Et puis, c’est pas comme si toutes les blessures sont insupportables, certaines même peuvent être agréables. ㄨ Yeux pour yeux, regard pour regard, je reste là, immobile et face-à-face avec ce type pendant quelque seconde avant de m’emparer subitement de sa cigarette que je niche entre mes lèvres. Sans desserrer mes dents je lui marmonne, un sourire en coin : - T’a... toujours pas répondu... à mon invitation... morveux… Tch…
- Hum... Vraiment pas mauvais ta clope... c’est fait maison comme tes moineaux?
Dernière édition par Lucy le Mar 29 Sep - 21:05, édité 2 fois | |
| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
Age : 29 Niveau : 12 Nombre de messages : 1179 Localisation : Quelque part sur le dos d'un aigle d'argile géant. Date d'inscription : 25/01/2009
~RPG~ Pv :: (400/400) Pc :: (360/360) Exp :: (98/270)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Sam 12 Sep - 19:52 | |
| #'. La jeune femme semblait avoir pas mal de bonne réserve, et malgré ses blessures qui coulaient toujours à flots, menassent de la laisser vidé de tout sang, elle ouvrit les yeux. Ses prunelles étaient voilées d’une nappe qui indiquait qu’elle revenait de loin, malgré le fait que son temps d’inconscience avait été très bref. Deidara ne dit mot, regardant l’inconnue cracher une gerbe de sang, et se redresser lentement. Elle avait du courage, de se mettre debout, alors que ses 3 blessures pissaient le sang. Elle avança pourtant vers lui d’un pas malhabile, mais le regard farouche et résolu. Elle s’accroupit à sa hauteur, planta ses pupilles dans les siennes, et lui arracha sa cigarette de la bouche. Deidara fronça les sourcils, redressant le menton pour la jauger d’un air agacé.
- T’a... toujours pas répondu... à mon invitation... morveux… Tch…
#'. Dit-elle en insufflant une bouffée de sa cigarette. Son invitation…l’artiste mit quelques secondes à se rappeler de l’intituler de cette invitation. Ces souvenirs du combat lui semblaient flou, sa fureur brouillant sa mémoire. Mais une phrase lui revint : une stupide invitation à allez boire un verre, alors que son adversaire était à un instant critique. Il la jaugea froidement, et cracha au sol, l’air toujours aussi mauvais.
« Si tu crois que j’ai que ça à faire, boire un coup avec une fille aussi faible que toi… »
#'. Sur-ce, il se redressa, dans un froissement de son kimono. En plus des imprimés rouges, le tissu sombre étaient tâchés du sang de la jeune fille. Il épousseta sa tunique, prenant plaisir à tenir le silence pesant le plus longtemps possible, imaginant tout ce qui pouvait passer par la tête de sa victime. Il réajusta son bandeau frontal, le symbole d’Iwa barré en son milieu, sur son front, et brisa enfin le silence. Sa voix, froide et mesuré, résonna avec austérité sur les parois de la grotte, donnant plus d’ampleur à son ton.
« Si tu n’étais pas aussi ignare, tu comprendrais l’importance de ce que je vais te dire. L’Akatsuki est une organisation de plus grandes criminelles du monde. Je t’en expliquerais d’avantage là-dessus, et plus tard. Tu te demandes pourquoi je te parle de cela, j’imagine…nous avons besoin de membre, et ta hargne au combat pourrait nous être utile. En fait, c’est surtout parce que je cherche un nouveau partenaire de mission. Je n’ai pas le droit de te proposer ça, mais si tu ne te fais pas tuer par le chef de la lune rouge, tu seras intégré. Ici nous sommes au QG de l’Akatsuki, si tu t’enfuis, ou raconte ça à quiconque, je m’occuperais personnellement à te réduire en charpie. »
#'. Il reprit son souffle, et plongea ses yeux bleus dans ceux de la femme, son regard perçant semblant transpercer son interlocuteur. Il ferma les yeux, et poussa un soupir, avant de reprendre.
« Ça me fait chier, mais je ne pense pas que je trouverais mieux, alors je dois t’apprendre quelques rudiments des ninjas. Parce que pour le moment, t’es vraiment une faiblarde, qui ne m’arrive même pas la cheville. Tu as le droit de m’insulter, mais je te préviens que je te rendrais coups pour coups. »
#'. Il eut un petit sourire narquois, au coin des lèvres. Si la jeune femme acceptait, ce serait la première fois qu’il effectuerait ces missions avec un Kohai. Cela pourrait être amusant, même si elle n’allait surement pas être aussi docile qu’il ne l’aurait voulu. Il leva les yeux au ciel, puis retourna son attention sur son interlocuteur.
« Alors, qu’en dis-tu ? »
| |
| | | Hidan Membre de l'Akatsuki
Age : 35 Niveau : 0 Nombre de messages : 241 Localisation : Près de JASHIN-SAMA ! Date d'inscription : 05/09/2009
~RPG~ Pv :: (0/0) Pc :: (0/0) Exp :: (0/0)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Dim 13 Sep - 6:48 | |
| ㄨ En voyant le blond de l’aka-truc-chose se redresser, j’en fis de même quoique mon mouvement, grandement affecté par mes brûlures, fut pas aussi fluide que ce dernier. « Faible »… « Faible »… « Faible »… ce mot, oui ce mot. Il retentissait encore dans mon subconscient tel un écho montagnard, un battement de tambour au beau milieu d’une grotte à plus de dix kilomètres de profondeur. Je prends bien des verres avec une bande de minable loin de pouvoir créer des pétards avec leur main, qu’est-ce que ça prouve, que je suis minable aussi? Ce type, est-il atteint d’une prétention si aigue à le rendre un parfait imbécile? Les classes sociales, c’est qu’une merde parmi tant d’autre, néanmoins frustrante dans tous ces angles. Comme ça, monsieur se croit au top et son égo l’empêche de s’abaisser au point de fréquenter mon statut, presque civil depuis ces années de délaissement dans l’art du ninja. Je n’étais pas affligée ni déçue par le refus de mon invitation. En guise de réaction, l’indifférence s’émana hors de tout mon faciès suivit d’un haussement d’épaules lâche qui… AIE!!! AIE mais AIE, qui fait mal, et putain qu’elle fait mal… AIE!! Mal, mal et ENCORE MAL MERDE!!! Mes dents se serrèrent brusquement mais, comme mes lèvres étaient refermées l’une contre l’autre, ma douleur passa subtilement comme le silence suite aux paroles de monsieur-je-suis-tellement-classe-avec-mon-derrière-de-platine. ㄨ Sur le coup, j’étais certaine d’une chose : cette Barbie n’a pas eut assez de coup de pied sur l’image de fierté refoulée sur son égo. Il ne peut pas comprendre… personne… non personne n’ayant pas tout perdu : son honneur, sa dignité, l’espoir et sa raison d’être ne peut comprendre le concept de l’anarchie et cette haine envers tout ce qui touche la justice et cet enculé d’hiérarchie social. J’y repense, mais je préfère agir. Le silence, ce silence agaçant après la réponse finale de ce plouc m’avait littéralement plongé dans une réflexion concernant tout ceci. L’écartement d’Oto, l’absence de participation des cours, la sensation agréable procurée sur le sommet d’une colline, la découverte de cette grotte, l’assaut d’un criminel qui ne m’acheva même pas, et pourquoi? De plus, ces visions, ces rêves… ma quête. Je reviens à mes sens et aux éléments m’entourant, dont le gars qui avait reprit parole. Patiemment, sans même l’interrompre une fois dans son deuxième discours, je l’écoutais. Il en avait long à dire et citait le tout en étant d’une très grande « importance ». J’assimilais le contenu de son blah-blah à l’intérieur de mon coco jusqu’à ce qu’un détail remarquable défigura mon visage entier, marqué d’un profond sourire confiant mais moqueur indiquant qu’une chose : Tu vas te faire casser ma belle. …!!! Tch… Tu refuses de boire un verre parce que je suis faible hé? Alors pourquoi, toujours selon ton affirmation sur ma faiblesse, que l’Aka-mes-fesses voudrait une ignare et faiblarde dans leur organisation de criminels puissants qui, si je me fis sur toi, ont une finesse de parole tellement débile qu’ils se feraient corrigés par la gueule d’un enfant? Hum? ㄨ Encore la cerise sur le Sunday, ce mec parlait de se jumeler en duo avec une faiblarde, et faire des missions avec cette dite faiblarde, moi nhé? Nuh-Hum, et il REFUSAIT un putain de verre d’alcool pour détendre ces hormones de mâle-à-la-travesti-menstruelle! Connard, ce qu’ils sont bidon ces aka-trou-de-cul people! J’étais pourtant amusée, si-si amusée… c’est étrange, jamais ce frisson, cette envi qui m'effleure les veines. Qu’était-ce? Cette sensation ne fit qu’élargir un rictus ouvert, démontrant mes canines puis s’arrêtant à la limite que pouvaient s’étirer mes lèvres. L’idée n’allait pas à contrecœur de mes principes. Devenir criminel, et s’en bon maudire de la justice était pour moi un chemin juste à prendre. Néanmoins, pouvais-je réellement être certaine de cueillir le fruit de liberté tant recherché avec eux? Détruire… détruire pour reconstruire. Je devais savoir… tch, c’est pas comme si j’ai grand choix, tu te magnes avec eux Lucy ou ce mec t’explose la figure. Ha-HA-ah… euh? Ma main, c’est jolie. *Lucy… détruit... soit libre…**Qui es-tu?...* ㄨ Qu’est-ce au centre? À oui, c’est rouge, c’est humide, c’est chaud… chaud. Ça goûte le métal, le métal… coupe… trancher… extraire… je t’observe petite main qui est mienne… Oh? Tu saignes, petite main? Ne t’arrête pas…Visage, lève toi et regarde ton futur, sempai? Regarde-le de tes iris sans luisance, qu’un amas de gris sombre et démunie de vie, agrémentée de… * Folie… Lucy...*
* La folie? Qui es-tu voix?*
* Je suis toi, Lucy…* * Moi... ce n’est que moi…* ㄨ Je le sens… l’extasie, je renais de cet enfer… finalement. Je ferme les yeux puis les rouvrit, ils étaient normaux. Avant de confirmer ma réponse au blondinet, j’étais en proie d'une question, le reste viendra, mais cette question, c’était mon eau, mon souffle de vie. Visage sérieux, suite à cette étrange transe qui ne me fit que frissonner davantage, je lui demandai, d’un ton neutre : - Ça m’intéresse votre truc de criminel. Mais, avant de sauter dans la salade, j’aimerai juste m’assurer d’un détail. Pourrai-je faire valoir ma vision anarchiste et être libre dans cette organisation? Respectant bien sur tout le blah-blah habituel des règles majeures.ㄨ J’étire un sourire, ayant parfaitement reprit mes couleurs normales et mon air taquin. - De plus, j’crois bien que je vais pas être la seule à apprendre. Ta langue à besoin de quelque exercice sur la réplique. Ta beau être fort, si tu te fais casser, t’a l’air d’un débile. Ta déjà un certain style plutôt classe, il faut le reconnaitre. Par contre, c’est fâcheux qu’il soit ternit par si peu de finesse verbale. ㄨ Je fis un clin d’œil discret suite à ma remarque. - Tu peux m'appeler Lucy...
Dernière édition par Lucy le Mar 29 Sep - 21:06, édité 2 fois | |
| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
Age : 29 Niveau : 12 Nombre de messages : 1179 Localisation : Quelque part sur le dos d'un aigle d'argile géant. Date d'inscription : 25/01/2009
~RPG~ Pv :: (400/400) Pc :: (360/360) Exp :: (98/270)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Dim 13 Sep - 13:52 | |
| #'. Apparemment, la jeune fille aussi avait un fort égo. Le fait qu’elle a été traitée de faible sembla l’affecter. Deidara remarqua sa mâchoire se serrer, mais n’en fit pas de commentaire. Elle répondit, finalement, avec un sourire qui indiquait que la suite allait être mauvaise :
Tch… Tu refuses de boire un verre parce que je suis faible hé? Alors pourquoi, toujours selon ton affirmation sur ma faiblesse, que l’Aka-mes-fesses voudrait une ignare et faiblarde dans leur organisation de criminels puissants qui, si je me fis sur toi, ont une finesse de parole tellement débile qu’ils se feraient corrigés par la gueule d’un enfant? Hum?
#'. Deidara fronça les sourcils. Cette teigne le poussait à lui dire les vrais raisons de cette soudaine proposition. C’était terriblement gênant à dire, surtout pour lui, qui avait cet égo tellement rembourré. Il ouvrit la bouche, puis la refermait. Ce fut les yeux fixé sur un point dans le sol, qu’il lâcha, du bout des lèvres.
« Je sens en toi un potentiel qui mérite d’être exploiter. Je sens également une rage et une haine qui pourrait être intéressante. » #'. Il releva la tête, retrouvant son aplomb, et continua, dans un sourire grinçant. « Et j’accepterais de boire un coup avec toi seulement lorsque tu auras enfin atteint un niveau aussi respectable que ta vulgarité. Parce que si tu arrives à faire fermer la gueule d’un gosse avec ta répartie à deux balles, il me suffit d’un regard pour que sa bouche soit close. Tu verras, toi aussi un jour, tu obtiendras un aura suffisamment imposant pour économiser ta salive ! »
#'. Il éclata de rire moqueur, fier comme un coq.
- Ça m’intéresse votre truc de criminel. Mais, avant de sauter dans la salade, j’aimerai juste m’assurer d’un détail. Pourrai-je faire valoir ma vision anarchiste et être libre dans cette organisation? Respectant bien sur tout le blah-blah habituel des règles majeures. De plus, j’crois bien que je vais pas être la seule à apprendre. Ta langue à besoin de quelque exercice sur la réplique. Ta beau être fort, si tu te fais casser, t’a l’air d’un débile. Ta déjà un certain style plutôt classe, il faut le reconnaitre. Par contre, c’est fâcheux qu’il soit ternit par si peu de finesse verbale. « La liberté ? Je ne marche qu’avec ça. C’est pour sa d’ailleurs, que je te propose de rentré dans l’Akatsuki, en contrant les ordres. Si tu atteins un niveau respectable, j’aurais besoin de toi pour renverser ce connard de prétentieux qui donne les ordres ici. »
#'. Son visage s’était fermé un instant lorsqu’il évoqua Shin. Il poussa un soupir, et retourna son attention vers les dernières paroles de son interlocutrice. Il tira ses trois langues, et rétorqua :
« Si tu crois que tu va m’apprendre quelque chose en matière de répartie…Ce n’est pas en sortant des insultes à tout va que tu obtiendras une quelconque finesse… »
#'. Il lui tourna le dos, ricanant intérieurement. Si sa nouvelle recrue fonctionnait un peu comme lui, il savait qu’ils allaient s’entendre comme chien et chat. Il savait que la jeune fille allait bientôt le détester. Mais la haine n’était-il pas le meilleur moyen d’évoluer ? Sa prétention la pousserait à se surpasser pour enfin réussir à le rouster sévèrement. Comme lui, qui rêvait de mettre une déculotté à son coéquipier Ketten. Il se demanda un instant s’il avait fait le bon choix. Le Zenbu allait peut-être revenir. Allait-il progresser autant avec Lucy qu’il l’aurait fait avec Ketten ? Rien n’était moins sur, mais il avait pourtant éprouvé cette étrange pressentiment à l’égard de l’inconnue. Oui, elle avait un important potentiel qu’il se devait d’exploiter. Elle possédait le même air farouche, les mêmes envies de liberté. S’il avait visé juste, elle aussi détesterait le Datenshi. A deux, ils auraient le pouvoir de faire un coup d’état. Un sourire de démence étira son visage, que sa coéquipière ne pouvait voir. Il imagina la tête de Shin rouler au sol, trancher par la lame de son Katana…Il inspira lentement, pour ôter à ses yeux, la lueur de folie meurtrière. Oui, il avait fait le bon choix. Sa coéquipière se présenta sous le nom de Lucy. Il la regarda par-dessus son épaule, porta son index à son crane blond, et se présenta à son tour. Il avait atteint le fond de la grotte à présent, là où une porte se dessinait. Seuls les habitués pouvaient en déceler la forme, dans l’obscurité. Et seuls les membres pouvaient y pénétrer, car des gardes étaient postés nuit et jour dans les coins d’ombres. Le blondinet poussa la lourde porte, adressa un signe aux sbires pour qu’il ne saute pas à la gorge de Lucy, et se retourna vers elle.
« Tu me suis ? »
| |
| | | Hidan Membre de l'Akatsuki
Age : 35 Niveau : 0 Nombre de messages : 241 Localisation : Près de JASHIN-SAMA ! Date d'inscription : 05/09/2009
~RPG~ Pv :: (0/0) Pc :: (0/0) Exp :: (0/0)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Lun 14 Sep - 3:51 | |
| ㄨ Potentiel? Il voyait en moi un potentiel? Je ne cachai point la stupeur du moment dès qu’il fournit, en baissant bêtement la tête, une réponse à tant de métaphore entre la racaille et l’élite. Moi, avoir du potentiel? C’est nouveau celle-là! C’est une blague? À bien y penser, peut-être qu’il y a du vrai dans ce qu’il dit. Peut-être étais-je simplement trop idiote pour m’en rendre compte de ce soit disant potentiel m’habitant ou, tout simplement, que je m’en contre foutais royalement de le développer. Une lueur illuminée d’un espoir futur brilla dans mes yeux grisés par le malice. Inconsciemment, ce mec venait de m’imposer un défit : que ma force soit aussi respectable que ma langue hé? Pourquoi perdre mon temps et tenter d’amadouer ce type? La réponse : l’orgueil. Il est facile de demander à quiconque morveux de prendre un verre et beaucoup on une tendance facile à accepter mais pas ce blondinet. Ça peut paraitre extrêmement con, mais ce défi, autant plus débile qu’il ne l’est déjà, semble me motiver. ㄨ Je souris suite à son rire moqueur. Je le sentais. Si et si, oh que oui, je vais bien m’entendre avec ce plouc à tête de Barbie. Hors, j’étais plutôt contente à l’idée de pouvoir non seulement jouir d’une liberté sans limite dans cette organisation mais tout ça en de bonne compagnie. Soudain, le blondinet, qui se présenta sous le nom de… de quoi déjà? Dei-hum… Deideida? Deidaré? Ah! Deida-rrrrrah, s’arrêta un moment devant une porte plongée dans l’ombre du sinistre lieu. Vachement curieux comme nom et, d’après son bandeau frontal, il était originaire d’Iwa, la métropole de la roche. Une tête dure ein? À se demander si j’étais pas native de ce pays et non de celui des sourds. ㄨ Alors que ce dernier ouvrit ladite porte incrustée dans le mur rocailleux, je m’avançai à mon tour, n’attendant pas son signal. À peine avait-il eut le temps de se retourner que je n’étais plus qu’à quelques pieds de lui. Je cligne les paupières, hausse un sourcil et penche ma tête vers la gauche. Pourquoi avait-il une grosse touffe de cheveux voilant son œil gauche? C’est pas un peu tannant voir qu’à demi tout le temps? Déjà mon putain de toupet m’énervais de plus belle quand il était trop long… avoir qu’une partie de cette tignasse-de-Deida-rrrrah me rendrait dingue! Soudain, il entra dans l’ombre de la pièce pour un bon bout de temps… j’attends, j’attends… et j’attends à l’entrée, sans prendre la peine de le suivre davantage. Je tape du pied, mes mains contre mes hanches, démontrant mon impatience. Un des gardes posa aussitôt son regard farouche et agressif dans ma direction. Je répondis aussitôt à cet attaque par un grincement des dents suivit d’une grimace, la langue bien pendue et mon doigt tirant le dessous de ma paupière droite. Enculé… ㄨ Sans trop attendre, je m'engage à l'intérieur de la porte d'une cadence masculine et imposante malgré la douleur des blessures. Et oui ça faisait encore mal! L'escalier de pierre, illuminé par des maigres torches sur les parois, n'aidaient pas à éterniser ce mal grandissant à chaque pas. ㄨ Tout à coup, un truc, moyennement léger, fut projeté sur ma tête, me couvrant presque tout entier d’un tissu sombre. J’enlève, d’un coup de main cette chose qui m’empêchait de voir et réalisa, amèrement, qu’il s’agissait d’un manteau : Le stupide manteau avec des zolies nuageuh rougeuh! Euh…
EURK! Faut vraiment que j'porte cette atrocité?!?! ㄨ Nul besoin de me répondre. Je voyais déjà dans le faciès du blondinet m’ayant tendu l’horrible manteau la logique de la chose : soit tu le portes Lucy, soit je te butte. Porter ou se faire butter… porter ou butter… porter… butter… Lentement, je tente le coup et me vêtis de l’horrible vêtement. Tête en bas, je m’observe un moment une fois le tout zippé jusqu’au collet. MERDE!!! J’ai l’air d’une putain d’obèse dans ce truc! Le manteau, bien trop large couvrait tout et tout, mon beau postérieur et ma poitrine titanesque, ma fierté pour ce qu’il en restait! Horreur des horreurs! Laissez-moi deviner, la version féminine existe pas pour cette organisation? Ça va bientôt changer… ㄨ À bout de nerf, je m’approche du blondinet et, sans gêne je fouille dans son manteau jusqu’à ce que je trouve le fichu manche de sa katana qu’il eut dédaigné lors de mon petit accueil. Je m’empare subitement de l’arme puis descendu plus loin dans la noirceur du tunnel jusqu'à disparaître. Quelque bruit de tissu se faisant déchiqueter retentit peu de temps après. Quelques minutes plus tard, je revint vers ce plouc, vêtue d’un décolleté similaire à mon précédent mais avec les zolies nuageuh rougeuh comme ornement. Je tiens dans ma main droite les restes du manteau débile et un sourire de « j’ai gagné » se trace sur mes lèvres… Jusqu’à ce que j’aperçois une petite fiole de liquide noir tenue entre l’index et le pouce verni du blondinet. Ce dernier sourirait, un sourire moqueur en agitant la fiole qui ressemblait à du… La katana s’échappa aussitôt de l’étreinte de ma main gauche pour s’affoler sur le sol. - NON-MAIS-TU-TE-FOUS-DE-MA-GUEULE!!! Criai-je, tétanisée et terrifiée devant la petite bouteille de verni d’ongles de merde!!!!!!!!! - APPROCHE PAS AVEC CE TRUC DIABOLIQUE!!!
- Spoiler:
Avec permission de Deidei
Dernière édition par Lucy le Ven 9 Oct - 14:51, édité 4 fois | |
| | | Nora Siruis Shodaime Tsukage
Age : 37 Niveau : 21 Nombre de messages : 994 Date d'inscription : 31/08/2009
~RPG~ Pv :: (720/720) Pc :: (700/700) Exp :: (11/450)
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! Mar 15 Sep - 13:19 | |
| [Validation]
Très jolie Rp xD amusant parfois
Deidara : 17EXP Lucy : 19EXP
Bonne continuation ! | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! | |
| |
| | | | Quand Lucy a rien à faire elle s’énerve en calvaire! | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |