Le Maître et la Servante

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Cela faisait maintenant quatre heures que Seika marchait aux côtés de son maître, Ketten Zenbu. Elle portait son seul Furisode, fabriqué à partir des plus précieux tissus du pays des Rizières. Elle l'aimait car ses couleurs rouges orangées et ses motifs floraux jaunes rappelaient l'été, une journée ensoleillée, un bonheur sans nuages... Les longues manches du kimono tombaient jusqu'au milieu de ses mollets et se laissaient doucement porter par une légère brise. Accompagnant sa marche, des pétales de fleurs de cerisiers voltigeaient autour d'elle, comme pour lui souhaiter la bienvenue. Le soleil se reflétait sur sa peau de porcelaine tandis que des éclats de lumière pétillaient dans ses grands yeux noirs. Voir Seika se déplacer gracieusement sur ce tapis rose était un émerveillement pour quiconque croisait sa route.

La jeune femme était si fière que le ninja l'ai acceptée comme servante qu'elle voulait embrasser la terre entière ! Qui plus est, il semblait qu'au-delà du protocole, une véritable amitié s'installait entre les deux personnes. Ou peut-être était-ce autre chose, mais Seika était encore trop jeune et inexpérimentée pour comprendre les multiples facettes des émotions qui constituaient l'âme humaine. Elle était comme une perle de nacre, blanche et immaculée, recouverte d'un voile tendre qui adoucit les aspérités de la personnalité. Elle était le garant d'un bonheur et d'un bien-être que seuls les plus exaltés pouvaient imaginer. Rien sur cette terre ne pouvait assombrir l'éclat de cette beauté. Car elle ne rayonnait pas seulement par son physique, mais bien par tout son être. Il était clair qu'elle était un des biens les plus précieux de l'humanité, car elle en montrait seulement le meilleur côté. C'était peut-être pour ça que Ketten la gardait auprès de lui tout en craignant de l'approcher, de peur de la ternir...

A présent, le Maître et la Servante arrivaient en vu d'un petit village au bord d'une rivière. D'humbles paysans travaillaient dans les champs aux alentours tandis que les enfants courraient entre les arbres qui bordaient la route. Les gens n'hésitaient pas à adresser un sourire au couple, ou à le saluer de la main. Il semblait que cet endroit était une enclave où le malheur n'avait pas sa place. Tout n'était que rire, joie et satisfaction. Il était étrange pour Ketten de tomber dans pareil endroit, préservé de tout mal et ressemblant si bien à Seika, alors qu'il était lui-même assailli de doutes sur le fondement de son propre être. Malgré cela, la jeune servante faisait toujours preuve d'insouciance et regardait, avec un grand sourire, le petit monde qui se révélait devant elle...

Un temps des plus superbe, Ketten d'un pas tranquille observait le monde qui l'entourait avec un certain calme. Mais toute son attention se reportait sur la jeune à ses coté, une pierre précieuse brute qui distillait une gaieté qui ne faisait que rendre la journée encore plus délicieuse. A l'inverse Ketten lui affichait une sourire angélique comme si la nature même de sa vie c'était envolé pour ne laisser qu'un homme à l'habit excentrique et plutôt maussade. Le manteau de l'akatsuki attirait les regard et une certaine forme de crainte mais pas aujourd'hui hui, la jeune femme à ses coté dissimulait toutes les ombres jeté par Ketten. A la vue du village le ninja se raidit, trop d'enfant et de personne heureuse pour un monde qui ne l'était pas mais il continua d'avancer de manière imperturbable. Les enfants s'amusait à se courir après jeux enfantin de celui qui pourchasse l'autre pour le mettre dans son équipe. Un gamin survolté échoua contre Ketten qui le retint pour pas qu'il tombe.
"Fait attention tu pourrait te blessé" dit il reposant l'enfant sur ses pieds un aire des plus serein sur le visage. Il le gratifia d'un bref clin d'oeil puis lui montra ou était aller ces camarades de jeux. Le gamin se mit a rire puis remercia avant de courir dans des rire qui fit tressaillir le ninja.

Le village n'avait rien de grand, même les prétentions des marchands étaient d'une petitesse à toutes épreuve. Alors que les hommes sur le bord des eaux travaillait dans un silence de mort cadencé par les rire des plus jeunes, le couple si attachant, passèrent les portes du village.
"Seika croit tu que ce village soit aussi radieux et gentil que tu les ?" demanda Ketten alors qu'il ne ralentissait pas, le regard droit devant lui souriant de temps en temps au personne qui inclinait la tête pour le saluer. Visiblement se village était hors du temps. Personne ne courant sur les toits ou de jutsu apprit à la va vite mais il ne fallait pas oublier que le monde dans lequel ils évoluaient était cruelle. Il cherchait une faille dans la tranquillité ambiante, même les démunis avait quitté les rues tout semblait aller pour le mieux et la réponse de la jeune femme serait un "oui" sûrement franc et plein d'espoir. Une réponse qui n'allait pas vraiment avec la vie qu'elle avait choisie d'avoir, il fallait tout de même qu'il se l'avoue, il avait besoin de cette lueur dans sa vie et la jeune femme jouait son rôle à merveille. Le monde des shinobi était froid et cruelle surtout que Seika se trouvait sans village ou elle aurait put lier des amitié forte et avoir des personne sur qui se reposer. Au lieu de sa elle faisait équipe avec un membre d'une tristement célèbre organisation de terroriste. L'action et l'horreur serait sûrement au rendez vous. La seul crainte de Ketten était de perdre l'éclat de la jeune femme pour les ténèbres qui régnais par intermittence dans son coeur.

"Les personnes ont toujours une partie qu'ils aiment à dissimuler et prenne plaisir ne montrer que dans les moment ou nous sommes les plus démunis" dit il alors qu'il c'était arrêter à l'un de ces petits petit marchant de rue. Le ninja restait bloquer devant les objets tous plus futile les un que les autres passant ses mains dessus puis il lança une pomme a sa jeune amie et paya le marchant. "Ce village ne fait pas exception c'est juste plus dure de voir la partie ténébreuse" conclut il reprenant la marche.
Il ne voulait pas lui faire peur mais la mettre en garde

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Seika ne put s'empêcher de laisser filtrer un mince sourire des ses délicates lèvres. Ketten se relâchait, comme fragilisé par une force invisible et irrévocablement béatifiante. La jeune servante se disait que peut-être un jour, sait-on jamais, il vivrait le temps passant comme un plaisir, et non comme un fardeau ou un combat. Peut-être qu'il regarderait l'humanité comme une source de bonheur, et non comme un puits regroupant la déchéance et la décrépitude. Alors seulement, il pourrait s'assoir et reposer son âme, appréciant les bienfaits qu'apporte la vision d'un coucher de soleil, ou de la rosée du matin.

"Seika, crois-tu que ce village soit aussi radieux et gentil que tu l'es ?"

Les mots de son maître vinrent droit au cœur de la jeune femme. Elle regarda Ketten de ses yeux chaleureux et brillant d'un éclat heureux. Lui préférait continuer son chemin comme si de rien n'était, mais en réalité, elle savait qu'il venait de confirmer ses pensées. Même s'il y avait toujours cette part d'ombre qu'aucune lumière n'arrivait à faire disparaître, il semblait que le ninja acceptait que Seika entre dans son monde, et le change.

"Je pense que ce village est le miroir d'une partie de votre âme que vous avez décidé d'oublier, d'enfermer dans les tréfonds de votre être... Mais qui vous rattrape malgré vous, et vous fait le plus grand bien !"

Ketten continua son chemin sans rien dire, comme s'il méditait sur les dires de sa servante. Mais elle avait posé le doute en lui, c'était le plus important. A présent, elle se disait qu'une petite flamme brillait probablement en lui, et que jamais, non plus jamais, elle ne s'éteindrait. Cependant, le maître choisit de s'arrêter devant un marchand de rue pour lui répondre d'une voix grave.

"Les personnes ont toujours une partie qu'ils aiment à dissimuler et qu'ils prennent plaisir à ne montrer que dans les moment où nous sommes les plus démunis. Ce village ne fait pas exception c'est juste plus dur de voir la partie ténébreuse..."

Seika avait du mal à comprendre les paroles de son maître. Non pas que ce soit faux, mais elle-même était si innocente, pleine de joie... si vraie en réalité, qu'elle ne pouvait pas imaginer que le monde entier subisse un tel désarroi. Alors elle ne sut pas quoi répondre et plutôt que de dire quelque chose d'inadapté, elle préféra se taire, laissant juste échapper quelques mots des plus sincères.

"Moi... je l'aime beaucoup... ce village..."

En effet, elle l'aimait ce village, et c'était visible. Ses yeux s'illuminaient alors qu'elle scrutait chaque recoin du paysage, elle affichait un sourire radieux quand elle en parlait, et ses jambes ne cessaient de l'entrainer à droite à gauche, afin d'être sûr de ne rien louper. Il était clair qu'il put paraitre étrange qu'un telle personne vive aux côtés d'un criminel, mais pourtant, il ne pouvait pas y avoir de meilleurs places pour elle en ce monde...

Le petit groupe parcouru le village de part en part sortant la paisible communauté, Ketten n'avait pas put voir ces ombres qui tapit le coeur de chaque homme on pouvait donc dire que Seika avait raison a ce moment. Le ninja s'arrêta regardant le village, puis le ciel. "tu n'a peut être pas tord mais parfois il faut savoir écouter son coeur" il s'arrêta un moment son regard scruta les environs puis il y un sourire discret "mais nous sommes des ninja et faut savoir aussi fermer son âme à toutes considération du genre sentimentale une vie ne vaut pas plus que la notre ou rien comparé à une idéologie que l'on défend" il se tue indiquant un point lointain à la jeune femme. Il lui indiqua un poing qui avançait malgré le vent fort qui balançait les arbres dans une danse saccadé. Si l'ont faisait bien attention on distinguait les trais d'une personne qui courait, à l'allure on pouvait conclure sans peine à une femme. "Parfois Seika il faut savoir rendre la justice avec la brutalité du monde" finit il par dire se remettant à avancé d'un pas rapide vers la jeune femme qui leur criait de l'aider. Derrière, des hommes lui couraient après.

"Et que va tu faire ?" il s'arrêta une nouvelle fois tendant son bras vers le drame qui allait se produire sous peu. La jeune femme à la chevelure noir tomba lourdement criant à plein poumon. Cinq hommes s'approchèrent rigolant comme des hyène affamé. Le vent balaya le petit couple de ninja leur apportant les menaces et insultes qu'ils proféraient à l'égard de la jeune femme. Ketten avait reconnut facilement deux hommes qu'il avait calmer alors qu'il n'était que déserteur, et la violence utilisé ne les avaient pas dissuader de pourrir la vie de leur prochain."Seika je te les laisse" dit il avec un haussement d'épaule puis il mit la main sur l'épaule de la jeune fille et la regarda dans les yeux "Ou préfère tu qu'on continue notre chemin sans s'en soucier peut être ?" il savait que la jeune femme allait foncer sûrement tête baissé. Il était simple d'imaginer le résultat, bien que la jeune Kunoichi manquait d'expérience en combat elle ne ferait qu'une bouché de ces cinq abrutie. Le vent redoubla d'effort Ketten se mit à l'ombre invitant la jeune à vite prendre sa décision.

Le soleil finissait sa course et les premiers rayons semblait se faire absorbé par l'horizon. Les arbres prit dans la danse du vent perdait leur éclat verdâtre, la lune était apparut gagnante du combat qui clôturerait la journée, et dans quelques heures ces rayons argenté remplacerait ceux du soleil. La température tomberait d'un coups et la nuit réveillerait ou stimulerait certain bas instinct des hommes. La scène qui se jouait un plus loin d'eux n'était qu'un exemple parmi tant d'autre, quelques hommes prit dans la nuit éternelle de leur penchant criminelle.

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Seika regarda la femme se faire poursuivre par des malandrins. Ils n'allaient pas tarder à la rattraper et la violenter. Les paysans aux alentours n'osaient pas bouger, de peur de causer la furie des brigands, mais Seika ne pouvait pas laisser passer cela. Alors elle prit en s'excusant le tabouret du marchand à côté et fonça vers le groupe. En courant, elle était heureuse de penser que Ketten l'avait envoyer sauver la veuve et l'orphelin, il avait un grand cœur après tout ! A moins que ce soit encore un de ses tests... se dit-elle en grognant. Mais comme cela avait l'air amusant !

La femme en détresse pleurait à s'en dessécher le corps. Alors qu'elle n'était qu'à une dizaine de mètres de la Servante, elle trébucha soudain sur une pierre et tomba lourdement par terre. Seika profita de ce moment pour bondir en avant, passant au dessus de la victime, et explosa le tabouret du marchand sur la tête du malfrat le plus en avant, l'envoyant ainsi voltiger trois mètres en arrière. Puis, gracieusement, elle se réceptionna sur le sol et se dressa de toute sa hauteur en affichant un grand sourire.

"Messieurs les pervers, excusez-moi du dérangement," fit-elle en s'inclinant "mais je vous prierai de mettre fin à vos élans sexuels ou je serai obligée de vous corriger prestement !"

"Aaaarg la salope ! Elle m'a éclaté le nez ! J'vais prendre un malin plaisir à te dresser sale chienne !"

"Alors je vous prierai de bien vouloir me pardonner pour ce que je vais faire !"

Alors que Seika accomplissait les signes permettant de créer un clone de boue, tous pouvaient voir qu'elle prenait plutôt ça à la légère, comme si ce n'était qu'un jeu. Dès que le double apparut, elle s'enfonça sous terre, comme aspirée par le sol. Ne sachant vraiment pas quoi penser de tout cela, le brigand au nez cassé se jeta sur le bunshin et fut accueilli par un violent coup de poing, renforcé par la puissance du Doton, le mettant cette fois-ci bel et bien chaos. Au même moment, les quatre hommes encore valides purent entendre :

"Doton ! Shinjuu Zanshu no Jutsu !"

Aussitôt, un des brigands s'enfonça dans le sol, ne laissant apparaître que sa tête. Il venait d'être victime d'une décapitation fatale. A présent, il n'en restait plus que trois encore debout, qui hésitait à attaquer, tellement la perte de leurs amis avaient été rapide. Seika se redressa et prit place à côté de son clone. Puis elle s'exclama en souriant et en montrant la direction opposée au village :

"Je vous laisse encore le choix de partir messieurs les pervers !"

Jugeant que la fermière ne valait pas une bagarre, ils prirent prestement la fuite, emportant leurs camarades avec eux. Seika se détourna de leur attention, et se pencha sur la jeune femme en détresse pour l'aider à se rétablir. Elle était heureuse d'avoir accompli une bonne action aujourd'hui et espérait que Ketten comprennent qu'il n'était pas nécessaire de tuer à chaque combat.

(je sais c'est court, mais tu sais que je suis en classe et là j'ai été saoulée par ce qu'il s'est passé sur la tchat box... désolé...)

Ketten avait gardé un oeil sur la scène alors que Seika c'était mit à courir pour sauver la jeune femme, il se blottie dans les ombres pour contourner le groupe et se mettre derrière eux, les ombre des feuillages et de la journée mourante le dissimulait à merveille. Ketten le regard amusé ne fut pas surprit de la correction offerte par la jeune femme a deux hommes. Mélange d'une brutalité l'attente et d'une certaine finesse. Mais elle fit ce qu'il redoutait, elle les laissa partir, observant la fuite des malfrats elle tressaillit quand elle reconnus l'ombre au nuage rouge qui barra le chemin au fuyard. "Bonsoir" fit il, un grand sourire sur les lèvres. les hommes c'étaient arrêté, reconnaissant le personnage qui se dissimulait sous le manteau. "Toujours à faire vos méfaits" conclut il, une lame prit dans les scintillement doré de la fin de journée fit se mettre en garde les hommes apeuré. "Je suis beaucoup moins compatissant que cette jeune fille" dit il, une main montrant Seika qui c'était rapproché. Deux de ces manants prirent la fuite laissant le dernier seul en face de son bourreau. Ketten baissa la tête et soupira "Que de force" dit il avant de lancer un Kunai qui érafla le visage du courageux puis dans une série de signes Ketten dit une chose qui échappa à tous mais démultiplia le Kunai en deux pour venir se planter dans le dos des deux malheureux.

"Pour eux c'est fini pour toi sa commence" conclut il, se mettant en garde, le ninjato affublé de lueur étrange dansant sur la lame. Le brigand se jeta sur le ninja une mains devant pour se saisir du ninjato mais dans un mouvement fluide empreint de la rougeur des nuages de l'aka le bras du malheureux disparut se retrouvant la lame sous la gorge il regarda Seika qui c'était de nouveau approché prit entre deux sentiment antagoniste, l'envie de sauver une vie et le voeux d'écouter Ketten. "Seika" commença le ninja regardant le malheureux qui c'était arrêter de crier sur un malheureux bras perdu. "Cet homme à eut de nombreuse chance d'arrêter de faire le mal, et combien de ces victimes on subit cette tolérance aveugle ?" quand ses mots fut prononcé un silence glacial s'installa entre les deux. Une gerbe de sang colora la lune naissante. L'homme décapité chut sur le sol dans de dernier soubresaut. Ketten retira le sang de la lame et rangea l'arme dans son dos avant de dépasser Seika pour voir les hommes qu'elle avait combattue et laissé en vie par la même occasion. Il n'en reconnut aucun, il eut un haussement d'épaule "Je laisse ton jugement pour eux donc ils raseront en vie".

Il eut un bref regard sur la femme en pleure par terre puis la releva avec un sourire des plus agréable rien a voir avec le ninja qui venait d'abattre trois homme de sang froid. "Vous allez bien" demanda Ketten l'air préoccupé, on aurait put vraiment croire qu'il était inquiet mais une fois la réponse de la jeune femme donné, entre coupé de soubresaut il s'éloigna invitant le jeune femme à suivre leur périple.
"Tu vient ? ou tu a d'autre chose à faire peut être ?"

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(toujours en cours, désolé, c'est médiocre... jai posté pour que tu puisses rp aussi ce soir)

Seika ne savait vraiment pas quoi penser de tout ce qui venait de se passer. C'était la première fois qu'elle voyait un homme mourir... surtout de façon si sanglante... Il est vrai que le brigand avait eut une vie violente et fait beaucoup de mal autour de lui, mais était-ce un prétexte pour lui ôter la vie ? Elle ne le pensait pas. Elle avait toujours cru qu'il fallait aider les mauvaises personnes à devenir bonnes, plutôt que de les juger et de les condamner. Elle aurait eut beaucoup plus de mal à apprécier la compagnie de Ketten sans cela. Mais elle ne pouvait pas s'occuper de son maître et de ses malandrins en même temps ! C'est pourquoi elle décida de laisser les deux survivants aux bons soins des villageois qui sauraient les rendre meilleurs, elle n'en doutait pas.

"Je ne pense pas que ces hommes méritaient de mourir, Maître Zenbu. Cela-dit, j'espère qu'ils auront une meilleure vie dans l'autre monde, car le notre ne les a pas épargné."

Comme à son habitude, Seika gardait donc toujours le même sourire qui réconfortait si bien Ketten. Elle ne plaignait pas tant la femme victime de violences que les brigands, déchets de la partie la plus noire de l'humanité. Pour elle, c'était eux les plus malheureux, et c'était eux qu'elle voulait aider à tout prix. Il n'avait surement pas eut la chance d'avoir connu le bonheur qu'elle même avait vécu, et c'était probablement pour ça qu'ils renvoyaient leur propre déception de la vie sur les autres. Mais Seika était persuadée de pouvoir aider ce genre de personne à s'en sortir, et elle allait avoir un travail de taille avec son maître. C'est pourquoi, même si elle adorait ce petit village, elle décida de rejoindre ce dernier pour vivre de nouvelles aventures !

La jeune avait de grand principe cela se lisait dans le regard de la jeune femme et sa force le força a sourire devant une telle détermination. La jeune femme raccompagna les deux blessé au village, Ketten ne voyait que des loups entrer dans la bergerie mais il ne devait pas non plus contre dire tous les actes de Seika. Une fois revenue la jeune femme était prête à continuer son périple mais Ketten avait prit une décision qui le déchirait.
"Seika" dit il posant sa main sur son épaule "Ton clan son des bourgeois et tu te frotte a un monde cruelle" continua le ninja alors qu'il emmenait la jeune femme sous les arbres pour lui parler de manière plus tranquille. "Tu a une vision du monde qui pourrait de causer des ennuies dans l'avenir" Ketten fit une pause, il aurait voulut se mordre les lèvres, regarder la lune tout pour que son esprit vagabonde, pour que la flemme s'empare de lui comme elle le faisait toujours. Mais cette nuit elle ne voulait pas se montrer et il se devait de soutenir le regard magnifique de la jeune femme. "J'aimerais te laisser apprendre par toi même que tu forge ton caractère avec le monde que tu pénètre" conclut il lui montrant le chemin qui s'étendait devant elle comme des milliers de promesse.

"La première des leçons qu'apprend un ninja un moment ou un autre est de supporter la solitude de ne devoir compter que sur lui" dit il, sa main passait dans les cheveux de la jeune femme, leur contacte était doux et il adorait la sensation que sa lui procurait, ne se serait il pas trop attaché en si peut de temps. "Mais je veux te revoir, ne te construit pas une vie ou tu restera une femme fée de logis ou autre" il aurait aimé rajouté quelques chose il se retint, le sentimentalisme n'était pas son fort et il se devait de montrer que c'était une décision prise sans avoir l'aire de la jetée alors que l'envie de la revoir se faisant déjà ressentir. "Je te donne 1mois de vagabondage" dit il s'éloignant de la jeune femme le manteau ouvert voltant dans l'aire froid de la nouvelle nuit qui se levait. "Dans un mois quand tu aura affûté ton expérience et tes sens on se retrouvera au pont Naruto j'ai apprit qu'il l'avait fini" Son regard se leva vers la lune maintenant claire dans le ciel noir "Si tu me fait faux bond" il laissa sa phrase en suspend tellement de chose pourrait arrivé a la jeune femme en un mois qu'il n'osait pas l'imaginer. Il se retourna regardant la jeune femme puis s'approcha lui donna un petit baisé sur le front et s'écarta.
"J'espère te revoir dans un mois" Ketten haussa les épaule avec un petit sourire puis s'éloigna gratifiant son départ d'un geste d'aurevoir pour la jeune fille, un kunai était sur le sol aux pied de la jeune femme, un cadeau de Ketten pour son périple.

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Remise: 7 xp chacun.

Commentaire: Vu que vous semblez avoir une certaine relation je ne peux pas mettre un peu plus à l'un et moins à l'autre. Je vous mets la meilleur note possible à deux. Car je ne peux pas vous offrir mieux les règles sont les règles. Parlons du rp, Ketten tu fais un peu plus de fautes d'orthographe que Seika, mais qui ne fait pas de faute dans ce monde. Moi la seule chose que j'aime pas tellement dans tes rp's ce sont les phrases mises en gras en pleine description. Continuez ainsi tout les deux chacun de votre côté. Wink

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Je fais ma mission ici, je trouve ça mieux que de créer un nouveau topic. Et je précise que le poème n'est pas de moi, ne le notez pas à mon compte Smile

(Edit : mince on me dit que mon texte est trop chiant^^ Dur dur d'écrire sur un jardin :-p)

Nom de la mission : Le Taupe 1 des jardins

Spoiler:

Seika se trouvait dans un immense jardin dont la complexité et la grandeur illuminèrent ses yeux. Elle fut frappée d'abord par les odeurs, des dizaines de senteurs différentes ravivant autant de souvenirs de la maison où elle avait passée son enfance. Puis c'est la variété et la disposition des plantes qui attirèrent le regard de la jeune femme. D'abord, elle marcha sous un couple d'Ume millénaires. Se côtoyant pour l'éternité tel deux êtres dont l'amour ne peut pas même être brisé par le temps, leurs branches s'enlaçaient laissant le passage pour une personne, pas plus, comme pour prévenir de l'intimité d'un tel voyage.
Sur la gauche, des Azalées, ou des arbres à roses, qui dans le langage des fleurs signifiaient danger. Alors elle ne s'aventura pas plus loin, préférant bifurquer vers sur la droite. Ici, un Hinoki apportait une ombre bienveillante au voyageur qui voulait se reposer et admirer le petit bassin où des poissons de toutes les couleurs tournoyaient sans cesse.
Si on s'enfonçait encore un peu plus en avant, des rochers représentant des montagnes, parcourus de petits bonzai comme si c'était une forêt miniature, bouchaient la vue sur la suite du jardin. Alors, il fallait contourner l'obstacle, entouré par des pétales de cerisiers portés par le vent, et on arrivait au centre du jardin, la plus belle pièce que possédait le vieille homme s'y reposait. C'était un Gingko, arbre immortel, bien plus vieux que l'humanité, il trônait là comme seigneur de ce pays, restant imperturbable face aux vicissitudes de l'âme humaine. Cela lui rappela un poème, qui n'était pas d'elle, mais qui concernait ce Haut-Roi de la forêt...

« La feuille de cet arbre, qui, de l’Orient,
Est confiée à mon jardin,
Offre un sens caché
Qui charme l’initié.

Est-ce un être vivant,
Qui s’est scindé en lui-même,
Sont-ils deux qui se choisissent,
Si bien qu’on les prend pour un seul ?

Pour répondre à ces questions,
Je crois avoir la vraie manière :
Ne sens-tu pas, à mes chants,
Que je suis à la fois un et double ? »

Seika était émerveillée par la beauté à la fois si complexe et si simple qu'offrait la vue d'un tel jardin. Le vieil homme ne mentait pas en prétendant être le meilleur, jamais la jeune servante n'avait vu de merveille plus exaltante. Elle se disait qu'un jour, elle emmènerait son maître ici, juste pour admirer les miracles de ce paysage emblématique, sans rien dire, les mots étant superflus en pareil moment. L'attrait hypnotique que le jardin provoquait sur sa personne lui fit presque oublier sa mission. Heureusement, le vieil homme était là pour le lui rappeler ! De toute façon, c'était plutôt simple pour une spécialiste du Doton.
Afin d'aller plus vite, Seika invoqua deux clones d'elle même qui se dispersèrent aux points névralgiques du terrain. Mais même si elle voulait finir son travail rapidement, et ce afin de pouvoir admirer le paysage plus longtemps, elle s'en serait trop voulu de détruire par maladresse un ouvrage si finement réalisé. Alors elle prit tout son temps, et c'est très précautionneusement que petit à petit, mètre par mètre, elle déversa son chakra dans la terre pour la retourner doucement, et en profondeur. Ainsi, elle malmenait les taupes tout en détruisant leur habitat, mais sans pour autant endommager le jardin. Le vieil homme était même très content de la technique de Seika car elle permettait de réoxygéner le sol, ce qui était très bon pour la santé de ses plantes.
Alors, après avoir terminée sa mission, la jeune servante eut l'autorisation de se reposer dans le jardin. Elle put dormir sous les branches protectrices de l'Arbre éternel, et contempler la magnificence de ce que la nature pouvait offrir de plus beau...

Invité

Remise: 3 xp et gain de la mission

Commentaire: C'est dommage que tu aies dit que le poème n'était pas de toi sinon tu aurais gagner un xp de plus. Enfin c'est mieux d'être honnête, sinon ta mission est un peu courte.

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Nom de la mission : Casper hante les moines

Spoiler:

Seika sortait tout juste de sa mission dans le magnifique jardin du vieil homme. Elle avait encore la tête pleine de plantes exotiques et d'étranges odeurs plus enivrante les unes que les autres.. Décidément, ce voyage était des plus palpitant, et elle était bien consciente que peu de personnes ont autant de chance. En effet, elle avait vu la cascade portée par les deux colosses de pierre de la Vallée de la Fin, elle avait visité un village qui respirait la bonté, la simplicité et la joie de vivre, plus qu'aucun autre endroit, et à présent ce jardin... Mais ses aventures ne faisaient que commencer alors elle décida de poursuivre sa route jusqu'au village d'après. Le chemin fut long et ennuyeux. Elle pensait à son maître qui devait probablement appliquer son propre sens de la justice dans quelques contrées inconnues. Elle aurait voulu qu'il l'accompagne, mais elle se devait de montrer sa force.

Alors qu'elle était perdue dans ses pensées, Seika réalisa soudain que cela faisait plusieurs heures qu'elle n'avait pas vu âme qui vive. Très étrange pour un aussi grand pays que celui du Feu... De plus en plus fréquemment sur le bord de la route, elle apercevait des amulettes protégeant du mauvais sort et des esprits démoniaques. Comme si on tâchait de mettre en garde les visiteurs imprudents. Cela voulait-il dire que la région était hantée ? C'est apparemment ce que pensait ses habitants, si habitants il y avait. Malgré tout, elle était très excitée à l'idée de visiter un pareil endroit. Peut-être allait-elle rencontrer un fantôme, ou même plusieurs ! Enfin, la jeune servante arriva en vue d'un misérable village. Il n'y avait que quatre maisons toutes plus vieilles et décrépit les unes que les autres. Des vieillards jouaient à un étrange jeu de boules au milieu de l'unique route en prononçant d'étrange paroles accompagnés d'un accent déconcertant...

"Hey Bébert ! Tu tires ou tu pointes !?"
"Et alors Francis ! Tais-toi un peu et tu verras bien !"

Le fameux Bébert s'accroupit et sembla se concentrer intensivement. Soudain, Seika put voir un grand chakra entourer son corps et affluer vers la boule métallique qu'il tenait en main. Puis l'homme se releva en accomplissant des signes d'une seule main et cria :

"Jetirdanl'tas no Jutsu !!!"

Et alors il lança à pleine vitesse son projectile qui fila tout droit à une quarantaine de mètres pour dégommer une autre boule et se placer juste à côté d'un cochon de porcelaine miniature.

"Héhé ! Tu vois Francis, je savais que je devais la tirer celle-là ! En plein dans l'cochonnet !"
"Woaaah ! Supeeeeer !!!"

C'est à ce moment précis que Seika avait décidé de les rencontrer. Les deux vieillards eurent presque une crise cardiaque en voyant débarquer de la chair fraiche. Aussitôt, ils posèrent moult question sur le nom, les origines, l'âge, ou encore la situation maritale de la jeune femme. Mais surtout, ils voulaient savoir pourquoi elle était ici alors qu'ils n'avaient rencontré personnes depuis plus de soixante ans. Seika leur fit alors part de l'attrait qu'elle avait pour ses histoires extraordinaires de fantômes et voulait savoir pourquoi il y avait toutes ses allumettes protectrices dans les environs. Les vieillards lui expliquèrent alors que leur temple devait être rénové, mais que quand les ouvriers sont venus, les mauvais esprits les ont attaqués, les faisant fuir au loin. Depuis, plus personne ne voulait réparer le bâtiment, même contre les 2000 ryus proposés.

Étant une aventurière dans l'âme, Seika promit aux deux hommes de s'occuper des fantômes pour permettre au temple d'être réparé et partit de ce pas en direction de l'édifice. Ce dernier se trouvait à deux kilomètres du village, sur une petite colline entourée d'arbres. Il était plutôt petit et encore en plus mauvais état que les maisons du village. Constatant que la nuit allait bientôt tomber, la jeune servante décida de s'installer dans le temple et ce, afin d'en savoir plus sur cette histoire invraisemblable. Elle posa sa couchette dans la salle principale et s'endormit très vite à cause la fatigue accumulée par son voyage.

Soudain, Seika entendit des craquements et des bruits étranges. Elle se redressa, ouvrit les yeux et poussa un énorme cris d'effroi. En face d'elle se trouvait un terrifiant et imposant fantôme blanc. Il était comme un voile de satin flottant dans le vide, avec deux grands yeux noirs et une bouche abyssale comme seuls contrastes à sa pâleur. Il levait les bras en émettant un étrange appel : HouUUuuuhHoOouuuuu !! et avançait dans la direction de la jeune femme. Cette dernière, complètement paniquée, se leva et courra dans la direction opposée à l'esprit.

Une course poursuite s'engagea alors dans le temple. Seika grimpait sur les murs, faisait des bonds prodigieux, ou encore des diversions à l'aide de ses clones, mais rien à faire, le fantôme la suivait toujours. Décidément, il était plus habile qu'un ninja ! Terrifiée, elle allait déguerpir du bâtiment quand soudain, elle entendit un vêtement se déchirer... et ça ne venait pas d'elle ! Alors elle se retourna et vit l'esprit pendouiller pitoyablement contre un mur. Elle s'approcha doucement, de peur que ce soit un piège, afin de voir ce qu'il se passait.

"M.. mon... monsieur l... le fan.. fan.. fan.. tôme ?... QUOI !?!"

Seika poussa un cris de rage en s'apercevant que cet esprit démoniaque n'était en réalité qu'un vulgaire bout de tissus. Elle comprit alors que c'était un homme de chair et d'os qui la poursuivait, et que déchirant son déguisement contre un clou dépassant du mur, il avait dû prendre la fuite ! Mais elle n'allait pas se laisser faire ainsi ! Aussitôt, elle se lança à la poursuite de l'imposteur, le chasseur était chassé ! Elle traversa le sombre couloir qui menait au hall d'entrée, et au moment où elle allait sortir pour avoir une vue dégagée sur l'homme, elle entendit à nouveau d'étranges paroles...

"Jetirdanl'tas no Jutsu !!!"

Et elle tomba dans les pommes... Le lendemain matin, elle se réveilla avec un mal de crâne impossible. Elle se regarda dans le miroir et vit un énorme hématome sur son front de la taille d'une petite balle. Mais à présent, elle savait qui été le coupable ! Alors elle réunit tous les membres du village devant le temple, soit quatre vieux, et parla d'une voix forte, afin qu'ils puissent bien entendre. Non pas qu'ils étaient nombreux, mais plutôt un peu dur de la feuille. Seika expliqua sa mésaventure de la nuit dernière et montra le drap en satin qui servait de déguisement. Les villageois se demandaient qui avait bien pu faire un tel acte, ce à quoi elle répondu prestement :

"Attention ! Tenez-vous bien ! C'est le fameux Bébert qui est le coupable ! Juste avant d'être assommée, je l'ai entendu prononcer sa technique ultra puissante ! D'ailleurs, la marque sur mon front qui fait l'exact diamètre de votre boule métallique prouve bien mes dires !"

Tous regardèrent l'imposteur avec un regard furieux. Il les avait roulé, et les vieillards voulaient une explication ! Se confondant en excuse, Bébert avoua qu'il avait dépensé l'argent de la rénovation pour s'acheter les quatre magnifiques boules d'Or de pétanque du Corps Céleste des Mille Chakra, si chères à ses yeux. Il avait inventé cette histoire de fantômes afin de faire fuir les ouvriers et ne pas avoir à expliquer où était l'argent que les villageois avaient mis en communs. Aussitôt, ces derniers punirent le voleur en l'obligeant à partager ses boules d'or avec eux.

"Et pour le Temple ? Vous le réparez pas ? Vous pourriez revendre les boules non ?"

Seika n'eut jamais de réponse à ces questions et fut même congédiée très rapidement, touchant tout de même une petite récompense pour ses efforts. En quittant le village, elle put entendre le bruit familier du choc de deux boules métalliques, signifiant que si les vieillards avaient abandonné le Temple, ils étaient néanmoins heureux de leur toute nouvelle acquisition !

lesCOMMENTAIRES

LOOOL. XD C'est ce que j'ai à dire. x33 Ton RP n'est pas une spectacle d'humour à lui seul, mais il y a des tournures qui me font sourrire. Comme les noms par exemple et les dialogues des vieux. ^^' Cependant fais attention, ce ne sont pas des noms japonais. ^^'Enfin ce n'est qu'un tout petit détail.
Qualité ; excellente, bien écrit, peu de fautes, belle structure.
Quantité ; mise en page belle à son tour ainsi qu'un texte d'une longueur pas mal, très suffisante pour une mission de rang D.
Je crois que je vais te valider hein.

laRÉCOMPENSE

10 EXPS (Mission de rang D) + 4 Exps (Bonus pour le RP) + 20 Ryos (Mission de rang D)

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