Teka
Genin d'Oozora
Age : 30
Niveau : 7
Nombre de messages : 613
Localisation : La ou tu n'es pas... e_e
Date d'inscription : 20/04/2009
~RPG~
Pv ::
    (310/310)
Pc ::
(270/270)
Exp ::
(125/170)
 |  Sujet: >> Mission D : Chats voleurs!~  Ven 19 Mar - 10:09 | |
| - Citation :
- Nom : Chats voleurs
Endroit concerné : Restaurant, Casinos & Loisirs
Description : Apparemment, un restaurant se fait voler de la nourriture par une espèce de gang de chats. Le chef en a marre et ne pouvant pas surveiller toute la soirée car il travaille, demande à un ninja de chasser ces animaux et de trouver leur planque pour récupérer ses biens.
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Voila... Je rentrai d'une mission plus ou moins périlleuse, bien qu'elle fut de bas rang. Après avoir arpenté les quartiers de Oozoragakure pour arriver devant un petit cabanon, donnant vu magnifique sur une luxuriante forêt avec une verdure des plus magnifique, qui se trouvait-être mien, je pus y entrer... Je posai mon argent récolté avec le peu d'argent qu'il me restait, posai mes kunaï et shuriken pour sortir dehors, panthera a la taille. Je n'avais plus de parchemin et ne savait pas vraiment quoi faire. Enfin, j'allai m'exercer au maniement de cet étrange épée, semblant cacher plus d'un mystère, même pour moi, son possesseur. Légère, puissante, rapide, voila se que je ressentais en serrant son manche dans ma main, après l'avoir extirpé de son fourreau d'un bleu étincellent. Je regardai ma lame pour y voir mon reflet au travers de son puissant tranchant, me persuadant que cette lame pourrait découper n'importe quel dieu sur son passage. J'étais en possession d'une telle merveille... Je devais retrouver mon habileté. Seulement... En plus de puissance, rapidité, légèreté, je ressentais quelque chose d'étrange. Cette épée pleine de mystère en ferait frissonner plus d'un si j'apprenais a m'en servir. Je devrai donc continuer les missions pour que, peut-être, avec chance, ma mémoire revienne au grand jour. Ainsi, j'utiliserai tout mon potentiel. Je me mis a faire tourner la lame dans le vide avec rapidité, manquant d'habileté. J'en vins a fendre l'air, ajoutant puissance et force, pour entendre ce bruit... Le bruit de panthera fendre la chair du vent, pour y passer au travers et lancer un aigu cri symbolisant la victoire. J'en vins, après avoir prit puissance et vitesse, a exploser le tranchant de ce sabre contre un gros arbre... Je pus passer au travers, mon sabre était au sol, ma main tremblante. J'avais quelque peu blessé cet arbre mais ma main... Broyé, ensanglanté, foutu! J'avais abusé sur son usage, déjà lors du dernier entrainement et lors de la dernière mission. Je décidai quitte a donner quelques sous, de me faire soigner par la brigade des ninjas spécialisé dans le ninjutsu irou. Un art très utile, quasiment indispensable pour un village d'une si grande envergure. Je ne mis que quelque minute pour arriver a l'hopital des soins et dans le couloir ou résidaient ou plutôt a l'endroit ou travaillaient tout les ninjas médicaux ou presque, du village, spécialiste du irou ninjutsu. Après que l'infirmière s'occupant de prendre les noms, m'eut noté dans son carnet, je n'eus qu'a patienter une éternité ou, autrement dit, une dizaine de minute pour que l'on me soigne si rapidement le bras. Tout neuf, oui je me sentais comme si j'étais tout neuf! Le médecin me fit la morale me racontant de ne pas trop forcer mais je ne prêtais nul attention aux jacassements interminable d'une tarlouze. Oui, car un homme avec une ambition, un rêve, un but, devient fort de jour en jour en repoussant ces limites et non en glandant chez lui éternellement ou en se plaignant de son sort ou même en racontant que son foutu destin est déjà tout tracé. Bon, s'en est fini des belles parole... Il était assez tard et je me devais, quand même, sans avoir l'avis de ce doc' de merde, de roupiller pour reprendre mes forces et ainsi, allé grailler. Après être rentré chez moi, décidant de dormir a la belle étoile, je pus allonger mon grand corps sur un hamac que j'avais monté moi même, tenu par deux arbres. Ainsi je pus m'endormir, sous le bruit des animaux, au sein d'une mystérieuse et charmante forêt...
Plongé dans un le néant, dans le noir total, comme si je tombai dans un gouffre sans fin, je sentais mon dos se briser, je l'entendais craquer. Ainsi, une puissante douleur se faisait ressentir, comme si des kunaï venaient brusquement s'ancrer dans mon dos pour me briser les vertèbres une a une, sans pitié, ni ressentiment. Bientôt, je pus manquer d'air, comme si l'on voulait m'étouffer avec je ne sais quel genre de foulard plus ou moins sale, sentant la transpiration a plein nez. Cette odeur en devint familière, j'avais l'impression de la connaitre, au bord du suffoque-ment. Ou étais-je donc? Je pus voir, tombant dans ce gouffre sans fin, dans les abysses les plus profond des ténèbres, un clown montrer sa tête pour finalement, m'effrayer. Je redoutai énormément les clown avec leurs putain de pif rouge, leurs airs de sadique et leurs grandes chaussure de merde! C'est sur cette vision horrifiante que je pus me réveiller en sursaut, m'emmêlant avec mon propre hamac, me paralysant, m'étouffant, me ramassant des pierres, des battons dans le dos, déboulant une pente pour finir dans le vide, dix mettre plus bas, en vrac. Mon foutu rêve avait donc une part de réalité... N'est-ce pas? Je trouvai ca emmerdant, le nez dans la terre. J'eus du mal a me relever mais ca m'aura appris a ne plus dormir dans un hamac, principalement de ma construction. Je me relevai avec agacement et difficulté poussant un "merde", injure signifiant que j'avais fais le con et que j'en avais largement ma claque de tout cela... Je m'en allai l'air miné vers ma maison, après avoir trébuché sur une putain de caillasse de merde. Je lisais brièvement la fiche de mission, histoire de voir se qu'il m'attendait et principalement pour connaitre le lieu de rendez-vous. Ça tombait plutôt bien... J'avais comme qui dirait, un petit gros creux dans le bide. Ouèp, j'avais vraiment la dalle! Je devais me rendre sur le port pour cette mission, qui plus est, dans un restaurant pour chasser le "gang" des chats. Je me demandai quel était le minable que ne savait pas chassez un enfoiré de chat. Aujourd'hui, oué, c'était la journée de l'insulte. Tout cela me fendait le cul, j'en avais marre de cette journée pourrave alors qu'elle venait a peine de commencer. Après avoir préparé mon arsenal, je partais vers le port, me réconfortant en pensant que j'allai manger un de ces repas... Aïe! Aïe! Aïe! Comme je le disais et le pensai si bien. Après avoir sauté de branche en branche, après avoir laissé mes empruntes dans une terre qui en devint boue, après avoir dégueulassé mes p'tins de panards, je pus mettre les pieds sur un bois craquant, laissant mes empruntes sous forme de boue a chaque nouveau pas, m'aventurant dans cet étrange restaurant. Il y avait peu de monde, cela ressemblait plus a un bar d'ami... Un vieillard saoul vint m'aborder alors que je comptai manger et ce put franchement m'énerver!
 → Hey! Petite merde, vient voir papy... Allé, amène ton cul!
→ Si mon cul s'amène, connard, tu vas comprendre ta souffrance...
→ Lopette! T'as peur d'un vieux, tapette...
Tout d'abord, après que cet enfoiré m'est coupé la route, semblant vouloir m'aborder, il m'appelait d'un "Hey". Suite a ca, débutèrent les provocations, me traitant de merde insignifiante, jusqu'à me demander de venir le voir, comme si je n'étais qu'un clébard ou un gamin sous-ordres. Il me dit de me dépêcher, prétextant que je devais amener mon cul. Son sourire de merde, sa voie a la con et sa tête de mort pilot commençaient a sérieusement m'énerver mais je décidai de me prêter au jeux, avec un regard plein de défi et de haine. Je pus lui rétorquer que si mon cul venait a lui, lui confirmant qu'il était un sale connard et une merde, qu'il allait comprendre la véritable douleur. Oué, le cul d'une bête sauvage... La chose qu'il ne put savoir c'est que d'un simple pet, je pouvais tuer un teckel a cent mètre! Met moi dans un placard avec quelqu'un, dix second plus tard... K.O, la mort assuré s'il reste plus de une minute en ma présence. Mais cette merde décidait de m'insulter a nouveau puis il me dit, ne prétextant pas, ne provocant pas, ne confirmant pas, il me dit simplement, comme s'il savait tout sur tout, que j'avais peur d'un vieux comme lui. Il poursuivit finalement la provocation avec une nouvelle insulte. Je pris un air innocent pour, finalement, tout lâcher dans sa foutu tête. Le vent créé put le faire reculer d'environ cinq mètre, un puissant courant d'air ascendant vint balayer la pierre, levant la poussière. L'odeur fit tousser tout les gens présent, y compris moi. Ce fut dans un rire retenu que je pus célébrer ma victoire écrasante! Quand le patron arriva, celui qui avait demandé les ninjas d'Oozora, dans le plus grand bordel et la plus grande pagaille il put pousser un cri d'énervement, ordonnant que le coupable se dénonce. Je pus mettre l'œil sur le vieux et d'après les mouvements qu'il eut orchestré, il allait me balancer. Je n'avais pas peur de ces vieux tocards mais... Je ne devais, en aucun cas, compromettre ma mission, quoi qu'il en coute. Je vins étrangler le vieillard pour lui mettre la main devant la bouche affin qu'il ne parle pas. Au moment même ou je pus entendre une voie familière d'un mort-pilo résonner, j'eus compris que le vieux que j'étais entrain d'étrangler n'était pas le bon. Je me jetai sur celui qui ouvrait sa grande gueule et je le balayai des deux pieds pour qu'il tombe tête contre un mur, sonné. Je pus me présenter au gérant de ce restaurant affin qu'il me donne les détails de ma mission. Il me racontait, sans plus tarder, qu'une meute de chats sanguinaires étaient venu saccager son restaurant, encore pire que mon pé, pour voler tout un tas de nourriture. Avec son aide, j'eus remis tout en place, pour virer les hommes saoul affin qu'ils n'effraient pas les chats, pour éviter des dégâts inutile dans le restaurant. Suite a ca, j'exigeai, avant de commencer la mission, une entrecôte saignante avec du poivre et une sauce qui me ferais... Je ne vous raconte pas la suite, trop violent. Près a en découdre avec ce semblant de steak saignant, a deux doigts de le faire visiter ma bouche, une dizaine de chat vinrent me griffer pour saccager ma table, m'aveugler pour voler mon steak et, ainsi, s'échapper avec la plus grande vitesse. La rage ou le défi ne me hantaient plus, je n'avais plus aucune émotion, si ce n'était la haine qui avait balayé tout les autres. Une haine plus puissante que toute chose vivante sur cette planète. Les sourcils légèrement écarté, un regard coléreux, les narines qui s'écarquillaient, les joues légèrement gonflées, les dents serrés, j'étais près a tous les buter ayant le visage ensanglanté...
 → Petit connards de chats... Vous allez morfler! Tonton Teka va vous montrer se qu'il arrive quand on vole sa bouffe.
J'entrai dans un monologue, avant de passer a l'action, me disant que ces enfoirés de chats allaient tous morfler et tâter de ma fureur les uns après les autres pour avoir voler ma propre bouffe et pour m'avoir déranger a deux doigts d'avaler la plus délicieuse des viandes. Remuant mes joues je prenais ma salive, crachant un mollard avec quelques goute de mon propre sang. Suite a ca, galopant, trottant, comme un animal qui traque sa proie, je pus composer une longue série de mudra pour utiliser un henge qui me transformait en un véritable jaguar. S'est la, qu'avec des griffes aiguisé, un mode de course plus adapté, je pus me débarrasser des chats un a un, plus sadiquement a chaque fois. Le premier fut balayer d'une charge pour finir sa course, plié en deux, sur le rebord d'une poubelle métalique. Le deuxième put se retrouver sous mes griffes acérées, pour finalement finir éclaté contre un mur, littéralement explosé. Je pus mordre a pleine bouche le troisième pour faire gicler son sang et lui arracher sa propre chair, finissant par le jeter le haut d'un immeuble, dans le vide, tout en sachant qu'il ne pourrait se réception avec ces blessures. Les suivants purent avoir, le même et tragique destin, empalé contre des barres en fer, explosé contre des murs, finissant son mes crocs ou mes griffes, a l'exception du plus malin a qui je réservai la meilleure des fins. Prit dans un cul de sac, j'annulai mon henge pour empoigner, avec une vif allure, panthera... La suite put se finir dans un bain de sang avec des morceaux de poils ou l'on ne pouvait plus distinguer quel membre du chat était ou. Une véritable boucherie que j'avais laissé sur mon passage. Une fois revenu au bar, soulé, je n'avais pas l'envi de manger, plus l'envi de manger, toute fois. Bien que tout ce remue ménage aurait du me fatiguer et m'ouvrir l'appétit. Ce ne fut, donc, point le cas. A présent, je me dirigeai vers le palais de shinokage-sama ou du tout puissant Yekais Soyokaze pour faire mon rapport après que j'eus décrété, au proprio du restaurant que toute cette merde était réglé. Ma mission était terminé et elle s'était soldé par un véritable succès...
Dernière édition par Teka le Ven 19 Mar - 11:30, édité 1 fois | |
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