[RP Métier/Classe : Blocker de Takako]

Il y a des moments ou il est bon de se retrouver seul avec soit même pour faire le point sur la situation ou tout simplement parce que l'on a juste envie de se sentir libre comme l'air. Ne nous voilons pas la face, on peut dire tout ce que l'on veut le fait de vivre en communauté impose des contraintes comme celle d'être à l'écoute de ses amis ou alors de respecter des règles pour ne pas violer la liberté de l'autre. Sauf que cette liberté dont on parle en communauté n'est qu'un simili de celle dont on peut jouir quand l'on s'affranchie de toute les règles que l'on a put se fixer jusqu'à présent. C'est simple, il suffit de voir dans qu'elle état la vie en communauté nous met, on est anxieux voir même stressé quand quelqu'un est au-dessus de nous, on a toujours besoin du regard de l'autre, de savoir ce qui pense de nous et de quoi on a l'air, on a peur de mal faire les choses et si on se rate des gens sont au courant, on a pas le droit a l'erreur. Pour quiconque ayant eu un jour la possibilité de jouir d'une liberté total et de ne répondre de ses actes que devant lui-même comprendra ce que je dis et surtout il saura que sans mentir je ne dévoiles pas toute la vérité. Parce que la vie en communauté et nécessaire à l'homme au même titre qu'un loup a besoin de vivre en meute parce que sans ca on a pas de chose telle que l'amour, le plaisir d'être avec des gens qu'on apprécie, le partage d'idée et j'en passe et des meilleurs. Non, le vrai soucie avec la liberté c'est que peut de gens comme Takako sont capable de l'entretenir, parce que oui, la liberté sa s'entretien.

Ayant prit sa journée pour quitter Konoha, la petite demoiselle qu'est Takako dans son manteau noir à la capuche retroussé s'enfonce un peut plus profondément dans la forêt. Quiconque la suivant aurait pur croire qu'elle partait toute azimut sans se soucier du trajet a parcourir et il aurait eu bien raison parce que c'est bien ce que faisait la demoiselle, partir n'importe tout ce qui compté pour elle c'était tout simplement être dans cette forêt, dans sa forêt. Ce qui lui plaisait le plus, c'était sentir le vent caressait son visage quand celle-ci se balançait d'arbre en arbre telle un singe ou plutôt une guenon dans son cas. C'est étrange de se dire que le simple contact du vent, le fait d'être dans les airs, tout ceci soit suffisant pour avoir l'impression d'être de nouveau libre comme l'air et surtout libérer de toute contrainte. C'est peut être le fait de braver la gravité qui lui permet cela ou quelque chose d'autre après tout ca n'a aucune importance tout ce qui compte pour elle c'est d'être là. Voilà que son périple prend fin, non pas qu'elle veuille quitter la forêt mais devant ses yeux se tiens un de ses loups quelconque qui revient de la chasse avec le lièvre encore dans la gueule. Pour une raison étrange alors qu'elle aurait dut s'écarter de lui pour éviter le conflit elle décida de descendre de son arbre et de provoquer cet animal sauvage. En temps normal, tout deux se serait sauté dessus et le plus fort aurait tué le plus faible mais il n'en était rien, au contraire de cela il se regardé tout simplement sans que ni l'un ou l'autre ne brise se silence ambiant pour la bonne et simple raison qu'ils n'ont pas besoin de mot ou de cris pour discuter. Dans le monde des samouraïs il existe un stade ultime au combat qui consiste a combattre sans combattre, peut sont ceux qui ont atteint ce stade tant il est difficile de montré sa supériorité sans agresser l'autre et pourtant c'est bien ce qui est entrain de se passer ici même, par le biais d'un simple regard le loup vient de comprendre qu'il avait perdu et la seule solution qu'il lui restait était de fuir. A ce moment elle sentit une étrange sensation qui parcourue son corps, comme un frisson, comme un plaisir profond il n'y a pas de doute vis-à-vis de Takako elle a belle et bien le sens du combat au fond d'elle.

Alors vous m'avez compris non ? Je vous l'avez dit il est parfois bon de se retrouver seul pour purger tout ses tourment et n'en revenir que plus puissant encore. On a souvent cracher sur la solitude mais elle n'est un mal que pour celui la subit, non pas celui qui la demande et c'est d'ailleurs bien trop souvent qu'on la renie et qu'on ne veut pas l'accepter a telle point qu'on en devient malade sans le savoir. Sans moment de solitude, la liberté n'est qu'un poids sur les épaules de l'homme qui le ronge a petit feu comme on fume une cigarette, il faut savoir revenir sur soit même pour se souvenir qui on était et du plaisir que l'on pouvait ressentir d'exister. Étrangement, dans le cas de Takako elle ne se sent exister qu'a l'instant même où elle a provoquer la mort, a l'instant même ou son regard a croisé celui de la bête et qu'il comprit qu'elle était la plus fort.