Mission D / Les cultures

Le soir venu, la nuit tombé, une fois que la lune put faire son entré en scène, je pus rentrer chez moi l’esprit tranquille avec ces quelques blessures, quelque peu douloureuse. Ce n’était vraiment pas grande chose car j’étais un homme ! Un pur, un dur ! Je préférai connaître la souffrance physique que la souffrance psychologique, bien qu’elle ne m’ait quasiment jamais atteint. Partant dans le but de satisfaire mon orgueil, combattant avec ardeurs dans le but d’atténuer ma soif de puissance, je pus écraser mon adversaire dans le seul et unique but de protéger la seule et unique chose que j’avais et qu’il pouvait me rester… Un village, Oozoragakure. En effet, avant que la boutique ne ferme, j’avais pus y faire un saut rapide, dans le but de me blinder en parchemin de technique de niveau une. Ceux-ci étaient assez spécial. Pourquoi ? Ces parchemins étaient une entité pour moi, s’étaient… Ceux de mes jutsus personnel. Enzo-sama m’avait été a les trouver, en effet, et je lui serai toujours redevable. Je n’eus pas ouvert les rouleaux car je me réservai de m’en faire une surprise pour le lendemain, au petit matin, ayant hâte de reprendre mes bons vieux entraînement tout en étant en mission. J’eus passé mon pallier avec succès pour poser les clefs de ma piole avec les quatre parchemin, don j’avais fais acquisition, il n’y avait même pas quelque dizaine de minute de cela. Je pus enlever mon haut, me retrouvant avec toute cette musculature a découverte… Ces abdominaux en béton, ces puissants biceps, ces pectoraux protégeant cette vaste cage thoracique, je me flattai tout seul en me regardant dans le miroir, effectuant quelques geste de bodybuildeur, par ci ou par la avec ce corps si svelte révélant une agilité hors du commun, une puissance écrasante, une vitesse surhumaine… Après ce passage quelque peu rapide devant le miroir a agiter mes bras ou a faire forcer les muscles, je pus franchir le seuil d’une porte, nouvelle pièce que je ne vous ai jamais fait visiter, la salle de bain. Mon ancestral, salle de bain. Je pus m’agenouiller sur le plancher avant de déclencher la robinetterie et après avoir réglé la direction du pommeau, autrement dit, le sens et le lieu d’écoulement de l’eau. Toute cette eau vint se fracasser contre cette bassine de plâtre séché, pour y couleur doucement dessus affin de rejoindre la tuyauterie, pour finir son ascension dans la nature. L’eau des chiottes n’avait pas le même destin, je peux vous l’assurer avec la plus grande certitude! Si mes grosses bronze bien moelleux a l’odeur asphyxiante, venaient a atteindre la forêt, elle pourrirait en une nuit et, parmi les animaux sauvage ou les êtres s’y trouvant, il n’y aurait aucun survivant, je vous l’assure! Toujours a genou, alors que je venais déclencher l’eau, sous le bruit des fracas répétitif et incessant, je pus donner un nouveau chemin a l’eau, qui eut jusqu'à présent rencontré ma seule baignoire. Une fois la tête sous l’eau, le rythme des fracas fut perturbé et adouci… Oui, avant de se fracasser, l’eau venait tranquillement ou brutalement se frotter a mes cheveux pour rejoindre, mon visage, mon dos ou mon torse, décision aléatoire, bien souvent. Tout ca, dans le but d’essuyer mon corps de multiples impureté et d’envoyer l’eau dans ces canalisations pour qu’elle rejoigne et alimente une douce forêt. Maintenant qu’Enzou-sama m’avait prit en tant qu’Aeris, je débutai dans le métier de la forge et je débutai dans le domaine du Kekkaï! Il m’avait dit de ramasser et recueillir tout matériaux qui pourrait servir a forger. En parlant de ca, il m’avait donné une liste très précise des différents craft et de ses matériaux. Après avoir prit ma douche, je pus hisser ma main jusqu’au robinet pour incliner le côté chaud et le côté froid… Finalement, l’eau put s’arrêter de couler, après que la substance liquide contenu dans le tuyau, ait fini de s’échapper dans la baignoire. Je pus hisser l’autre bras sur le mur qui se trouvait a droite de moi, j’empoignai délicatement une douce serviette blanche pour la tirer brusquement et la frotter avec vivacité contre ma chevelure. Je pus me lever après avoir quelque peu séché, les goûtes restante filaient le long de mon corps, tentant de s’évader… Dès lors, sous mon influence, le doux chiffon blanc put finir son travail, se frottant brusquement/lentement a mon corps pour bien l’essuyer. Marchant inattentionellement sur une goûte d’eau tombé de mon corps, dans la salle de bain, après avoir parcouru ma demeure de long en large, je pus en laissé mes traces de pieds sur toute la boiserie qui se trouvait au sol. Ce fut embêtant mais ce m’eut vite passer a l’esprit pour que je me soucis d’une toute autre chose… Examinant la feuille de craft, je pus trouver tout les objets nécessaire a cette fameuse construction d’un kimono augmentant la vitesse et les capacités d’esquive. Il fallait laine et corde. Je pus fouiller mes tiroirs de long en large, faisant de la récupération sur des objets déjà construit ou sur de vieux habilles… Fatigué par ma dernière mission, me trouvant tout près de mon lit, plongé dans mes recherches, submergé par la fatigue, je pus plonger dans le noir total, sentant une certaine apaiser brusquement mon dos pour que je m’y sente bien…


Plongé dans cet éternel, sombre, profondeur n’ayant ni début, ni fin, je pus sentir une fraîche brise me glaçant les veines et le sang. C’était assez terrifiant, cette aura meurtrière qui planait alors qu’elle me semblait vraiment familière… Tout cela devenait de plus en plus froid alors que je sentais une terrible chaleur émaner de tout mon corps. La fraîcheur qui devint comme glace venait geler ma peau, mon physique étant, pourtant, robuste et résistant. La chaleur qui devint comme un immense brasier venait brûler mes organes vitaux, mes os, pour les réduire en charpie. Sous l’offensive de cette contre-pression assez pesante, je pus tout dégager dans un amas de chaleur et de froid, créant une atmosphère électrifiant. C’est ainsi, que j’éveillai mon corps et mes cinq sens, ayant en premier objectif l’odeur, le goût, la vu, le bruit, le toucher du frigo… Je voyais cette haute machine blanche me faisant face, impressionnante ! Avec, en son intérieur, tout plein de côte d’agneau grillé, me faisant saliver ! Je pouvais sentir cette odeur magnifique qui venait envoûter mon odorat pour éveiller la curiosité de mes papilles gustative, affin de faire appel au goût. Cet éternel bruit répétitif, qui donne mal au crane, effaçant cette envie de s’approcher de l’imposante et glacial cage blanche. Finalement, moi en vrac sur le planché, la main sur le frigo a moitié ouvert, la tête en plein dedans, bavant, la tête dans le cul. Réunissant mes forces pour me mouvoir, dès le réveil, je repoussai avec ardeur et difficulté cette porte pour la refermer et ainsi me lever. J’empoignai le récipient ou était contenu le café pour le faire réchauffer, après, pour les jours suivant, je devrai en refaire. Ca me faisait vraiment chier ! Pourquoi est-ce qu’il ne se faisait pas seul ? Bah, je n’en avais que faire… Je pus attraper de la bonne viandasse du frigo pour l’engloutir cul sec, après m’être rendu jusqu’au frigo bien sur ! Pendant ce temps, le café eut le temps de chauffé. Voilà, je devais sortir un bol pour y mettre le café ! Et pour… Le boire ! Les bonnes manière comme on le disait… Rien a foutre ! J’empoignai le café et le buvais a la pelle, grande gorgé bruyante par grande gorgé encore plus bruyante ! Je pus, subitement, attraper un hoquet que j’allai haïr du plus profond de mon être ! Le récipient put s’échapper de mes mains pour que j’essai de le rattraper dans une tentative désespéré ou mon torse put en subir les conséquences. La tasse roula libérant du café bouillant sur mes pieds. Essayant, toujours et encore, de la rattraper, je pus trébucher sur ce liquide noir ardent. Les couilles contre le plus gros bout de verre, le corps cramé par le café... J’avais envi d’en pleurer, ne sifflant pas un mot, tirant la grimace. Un nouveau coup de * hic * symbolisant la répétition et le non arrêt du hoquet que je détestai. Je pus attendre, me lamentant sur mon comportement vis a vis des bonnes manière, au sol durant une quinzaine de minute avant que la douleur ne commence a s’estomper et a diminuer. Bien étrangement, je n’avais aucune trace de brûlure après que je me sois rincé la peau. Tout ca été bien étrange… Il était dix heures, j’étais décidé a m’entraîner jusqu’au midi, au moins ! Je pus dérouler ces étranges parchemin, comprenant peu a peu, se qu’il m’arrivait… Je pus tout mettre en liaison, prenant conscience que j’étais entrain de m’éveiller a mon étrange Kekkaï Genkaï. Je pus faire l’invocation de trois clone aqueux pour mon entraînement… L’un allait s’exercer a un taïjutsu consistant a donner une série rapide et surpuissante de coup de poing. Le suivant allait s’ouvrir a un jutsu en relation directe avec mon réel Kekkaï… Un chakra noir et rouge ayant les propriétés acide et brûlante du youton des yamida. La technique consistait a faire apparaître cette source de chakra dans sa propre main pour tout libérer affin de causer de gros dégâts. L’autre clone aqueux allait utiliser une technique consistant a rejeter du chakra de ses avant bras pour rejeter un ninjutsu… Moi j’allai m’exercer au plus dur ! Accompagné de panthera. Je devais lancé un amas de chakra ayant les propriétés youton avec mon sabre. Je pus finalement, battant du sabre, des poings ou m’exerçant a tout type d’exercice, stopper mon entraînement une fois le midi venu. Je n’allai, en effet, pas manger ou me reposer l’après-midi mais effectuer un nouveau contrat de mission. J’allai mettre mon entraînement a profit pour stopper cette eau abondante qui détruit les plantations des habitants de Oozoragakure, logeant près du barrage. Je prenais mes affaires, un peu fatigué de la vielle et de l’entraînement du matin, pour me rendre sur le lieu propice.

Les divers terrain des habitants étaient inondés, la pente creusé dans la terre débordé largement ! De plus, le barrage était bien trop rempli depuis les dernières pluie a Oozoragakure. Il fallait, en un premier temps, dégager l’eau de la pente pour y avoir libre accès ! Je pus me jeter dans les airs pour prendre une énorme propulsion et retomber devant l’eau, envoyant un grand coup de pied a la verticale, usant de la technique du gura, créant une onde de choc sur mon pied pour faire remonter toute cette eau a son origine. Bien sur, elle allait redescendre d’ici quelques second ! Je devais faire vite et je n’avais pas le droit a l’échec car, suite a ma tentative, je n’aurai que quelques second. Un clone en haut faisant exploser le barrage avec le shining finger, dans le but de réduire la réserve d'eau. Un clone en bas, battant du poing dans la terre pour créer un trou avec l'eau soit ralenti. D'un côté moi qui lançai un gestuga tenshou pour carrément détruire cette eau et mon clone qui réceptionnait le jutsu avec ces avants bras grâce a un jutsu! J'avais, finalement, réussi!