Geurre des gang II [Mission de rang C]

Nom de la mission: Guerre des Gangs II
Description: Cette fois-ci la guerre des gangs s'est aggravé. Des civils se battent au couteaux dans l'un des villages civils de Konoha. Il y a déjà de nombreux morts. Tuez les chefs des deux gangs pour y mettre le désarroi.
Condition de réussite:Les deux chefs dans la tombe.

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Le soleil avait enfin pris forme sous ses yeux. Le village avait prit à sont tour possession de ses couleur sous les lueurs de cette grande boule enflammé qui orne le ciel. La tour de l’hokage était encore vide à cette heure si matinale de la journée. En entendait presque le son du vent soufflé entre les couloirs déserts du bâtiment. L’air était encore frais en cette heure de la matinée, les fleurs s’ouvraient au monde, laissant paraître une délicieuse odeur, nourrissant mon nez si gourmand. Les arbres flottait dans le décore aux grés du vent.

J’étais encore à arpenté les couloirs, admirant le beau paysage qu’était la ville à partir des petits hublots qui partageaient le monde avec cette tour rouge. Descendre, monter, les escaliers n’en finissaient pas pour autant. Me voilà enfin arrivé au dortoir des aigles, le décor était assez monotone, du foin s’éparpillait aux quatre coins de la pièce, des excréments de toutes tailles ornaient un sol ternit par le temps. Les aigles dormait encore, j’en pris un le mettant sur le gant que j’avais pris le soin de mettre avant de m’engager dans cette salle. Je lui mis une petite souris entre le bec avant de le lançait dans les aires, deux messages à la patte.

Voilà, l’aigle allait donner rendez vous à mes acolytes devant la porte. C’est avec lassitude je descendis une fois encore ses infinis escalier en marbres qui composaient la tour. Ce fut après quelques minutes de descente que je pus enfin sentir l’air me caressait les cheveux. Je marchai alors doucement à travers la ville me dirigeant vers la porte du village. L’aigle devrait mettre beaucoup de temps pour arriver à destination. J’avais alors le temps de vagabonder en ville à mon aise. Je portai sur mon dos un sac à dos où dormait une arme spéciale qui ne trouvera son rôle qu’en cas extrême. Une sacoche vide pendait à ma ceinture, mais un étui remplis d‘armement enlaçait ma jambe droite.

La porte apparaît à mes yeux, toujours la même. Rien y avait changé depuis mon dernier départ, à part peut être les gardes. Aucune silhouette familière à l’horizon, j’en déduisais qu’ils étaient en toujours en route. Je m’adossais alors contre le grand bout de bois vert qui servait de portail à Konoha. Réfléchissant à mon avenir et à l’examen Chunin, j’étais doté d’une défense assez puissante, comme j’avais remarqué lors de mon combat contre Obito. Ses attaques ne m’avaient fait aucuns dommages, il fallait continuer dans cette d’évolution pour pouvoir contenir tout types d’attaque et ne plus avoir à éviter les attaque, mais à y résister.



Soudainement de nulle part une ombre apparut devant mes yeux, assez loin. Qui étais-ce ? Je pensais la connaître, mais je ne pouvais la distinguer. Mes yeux étaient éblouit par le soleil, pour me laisser voir quoi que chose. Il ne me fallait qu’attendre que cette personne s’approche de plus prés. Utiliser mon Byakugan aurait était bête en plus d’un gaspillage inutiles. Car mon chakra j’allais en avoir besoin lors de cette mission. Tuer deux chefs de gang contraire, ce n’était pas les combats qui allaient manquer.
Là voila enfin qui s'approche....

Le soleil venait de se lever, il apparaissait peu à peu derrière la colline, ou il se cachait, le vent soufflais fort, les couloirs du village était vide, la maison était calme, je m’étais réveillé tôt le matin et m’étais adosser sur ma grande fenêtre, je contemplais le lever du jour, une lueur mauve, rouge, orange, accompagnais la grande étoiles qui nous réchauffez les jours de froid, et éclairer nos ruelle.je me retournais et m’avança vers la glace qui était devant moi. Mon apparence avait changé, des cheveux bleus ornèrent ma tête, des yeux roses atténuée mon visage triste. Ma tenu, mon comportement, mon anatomie, tout avait changé. J’avais abandonné l’écharpe rouge de ma mère, pour un collier mauve que j’avais trouvé dans ses affaires, sur ce joyau était écrit mon prénom, le prénom que ‘avait véritablement donné mes parents celui de Ruii.

Soudainement, alors que j’étais perdue dans mes pensés j’entendais un aigle criait, me retournant je vu un message accrocher a ses fine pattes, on le lisant je reconnue l’écriture de mon frère.

*Nous avons une mission rejoint moi le plus vite possible prêt de la grande porte*

Je m’empressais de sortir de la maison, le soleil lui était haut dans le ciel, les rues toujours aussi vide, le temps quelque peu humide, rien ne coordonner dans ce village, je regardais par ci, par la, mais rien pas une seul sourit a l’horizon, le brouillard était épais, le mauvais temps s’annonçait, , et pourtant, le soleil, n’était pas cacher, j’espérais que la mission serait on dehors du village car je ne pouvait encore supportais ce temps si triste, je voulais on aucun cas recommencer a pleurer pendant toute la journée, non ce n’était pas une vie, non ce n’était pas ma vie,, déjà je n’avais plus prononcer de mots depuis mon entrainement avec Hito, le silence était on moi, et je ne pouvais on sortir, comment faire ? Comment faire pour oublier sa première victime, suis-je un monstre ? Comment ai-je pu la tuer ? Je n’avais réponse a aucune de ses questions mais d’autre venait a mon esprit, ils me hantaient jour et nuit sans vouloir s’arrêter.

Soudainement de nul par je vis une silhouette, bien noire, je me dirigeais vers elle, c’était devenu mon repère dans cette brume aveuglante, petit à petit tout on me rapprochant, je commençais à distinguer les forme, je reconnue mon frère derrière sa tenu rouge et son haire mystique, je venais me mettre à coter de lui, peut-être m’avait-il pas reconnue ? se faisait longtemps que je ne l’avais pas vu, après tout moi-même je m’étais trompé.
Peu après une autre silhouette venait s’ajouter au tableau, certainement OBito , l’équipe était au complet et pourtant on n’avancer pas, plus le temps passer plus je croyait qu’on attendais une autre personne un sensei, ou un autre genin, le temps n’était pas notre ami, nous restâmes là sous une pluie torride, le ciel pleurer les morts qu’il avait compter ou bien était-il fâchait par ce qu’on avait fais la dernière quand était réunie.
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ordre de passage: Hito-Kyouki-Obito

La brume s’épaississais peu à peu, le temps défilait, la pluie commençait, Obito venait d’apparaître devant nous, il resta là pendant quelque instant a nous regardais, puis il se dirigeât vers les gardes, puis nous sortîmes tout les trois du village, nous étions tremper et la route n’était aussi facile, la boue était maître sur cette terre, nous continuâmes notre marche sous ce temps torride, j’avoue tout de même qu’a ce moment précis je ne pensé qu’as être dans une maison ou la chaleur serait maître de place, je voulais alors me plongeait dans un grand fauteuil qui me tiendrait chaud pendant toute la nuit, ainsi je n’aurais plus envie de le quitter.

Nous arrivâmes enfin à destination, un petit village non loin de konoha. La vie ne semblait pas paisible les maisons était bruler, les corps empilais, les enfants était tous mort de peur, on pouvait sentir l’odeur du crime, de la mort, de la peur, je ne pouvais rester sans rien faire, après tout c’était avant tout mon devoir autant que défenseure du pays du feu. J’entendais des rires, et des pleures, la vie n’avait-elle pas de prix pour ses hommes, l’âme n’avait-elle aucune considération, pour ses gens, non ils ne mériteraient même pas le non d’humain, pour moi ce n’était que des animaux, et encore les bêtes on une considération pour l’homme, je ne pourrais décrire la colère qui m’es survenu, tout d’un cou je n’étais plus la même je m ‘avançais, mon frère essaya de me retenir, mais rien n’y faisait, ma haine était telle que je ne voulais que tuer ces….., malgré tout je n’arrive pas a les nommés, sans attendre je me dirigeait vers mon ennemie.



Bien sûr ce n’était pas pour autant, que je ne réfléchissais pas, j’essayais, de ma cacher, ainsi je pourrais avoir l’effet de surprise, j’enlevais alors mon bandeau.

« Je ne me bats pas autant que ninja, mais autant qu’humains, la seul différence est que un ninja peut abandonner sa mission, alors qu’humains non, il n’as pas le droit, je promets de restaurais la paix dans ce village, oui je me le promets. » .


J’activa alors mon byakugan, est resta la contempler, le jeune homme, au haire mystique il avait des cheveux bleu, et une croit au bout de son oreille qui s’illuminer par le reflet de la lune je ne pu distinguer la forme de son visage, qui certainement était démoniaque.

De loin me regard se projeta sur Obito, j’attendais toujours le signal. Les cries des enfants m’étais insupportable, j’attendais toujours, mais rien. Ou avait-il la tête, ce chère Obito, soudain, un gamin vint a coté de moi, d’une voie douce et horrifiais, il me disait:

-maman, maman…

Il ne m’avait pas reconnue, je m’étais mise à sa taille et le regardait, je mis ma main sur sa bouche et lui répondit

-Maman est là, ne pleure pas, tout iras bien, ne t’inquiète pas

Ce n’était encore qu’un gamin, et pourtant il était en pleins massacre, était-il obligeait d’assistais a tout sa NON.

San.


Je regardais ses gens se battre avec amertume, mais pour arriver à mes fins je devais faire cela. Tuer benji n’est qu’une étape, rien d’autre. Un homme qui fait le mal autour de lui sans regret et qui détruit des vies avec plaisir. Pour arriver à la puissance, il fallait détruire ces hommes. Pour que mon village récupère cette puissance d’autre temps, il fallait montrer notre force aux autres villages avant d’attaquer Konoha et ainsi devenir la nouvelle ville militaire. Pour cela il faudra faire des sacrifices, dont les vies humaines qui constituent ce pays.

Soudainement et alors que je me reposer dans mes pensé, je vis au loin à travers cette brume épaisse des corps volait de partout, aurait-on une si grande puissance dans notre village ou serait-ce un membre de Bengi, quoi qu’il en soit il fallait aller voir de plus prés. Alors que je voulais m’élancer, quelque chose sortit des buissons sans bruit. Je n’avais aucune issue, il e restait à e protéger, alors d’un geste machinal et naturel, je mis mes deux bras croisé devant mon visage.


Benji


J’éclatais en rire en regardant ces misérable s’entretuer avec leur voisin. Ils sont si facilement manipulables. Les pauvres mortels qu’ils étaient, qu’il repose maintenant sous terre. Ils ont été sacrifié pour le grand dieu que je suis, personne ne peux m‘arrêter maintenant, je détruirais le monde, changeant à chaque fois mon armée pour une autre. Suivant mes caprices de dieu, je tuerais tout les humains grâce à mon pouvoir de protagoniste.
Des corps s’envolaient de partout, qu’elle massacre ! Je ne savais qui faisait cela et je ne voulais pas savoir, Tant qu’il m’offrait à moi Benji dieux de l’eau ce que je voulais je restais satisfait. Mais soudainement, alors que je ne m’y attends pas quelque chose sortit de la brume pour s’entrechoquer avec mon corps de dieux. Je me relevais grinçant des dents.

-Comment oses-tu toucher Benji le dieux de ces terres.

Soudainement l’ennemie se retourna, je devais attaquer par surprise, je surgies de la brume épaisse qui pesait sur le petit village, il avait croisait ses mains, pour se protéger, mais rien n’y faisait il ne pouvait esquivais.

-Katon - Dagan no Jutsu (Katon : Projectile de Feu)

Cinq boule de feu jaillir de ma bouche, le plaquant contre le sol, il était terriblement amocher, et bien fatiguer, je venais à coter de lui le regardant souffrir.

-maintenant, maintenant, tu sais ce que ressentent les villageois, qui es-tu pour décider de la vie des villageois, comment ose-tu t’en prendre a eux, se ne sont encore que des enfants, pourquoi tant de souffrance, pourquoi? Est-ce elle qui te fait plaisir, et bien c’est la souffrance que tu auras.

Je parlais a voix haute, j’avais mis toute ma haine, dans ma technique, est pourtant je ne ressentais aucune satisfaction, suis-je comme lui, non jamais je n’aurais fait du mal a konoha, malgré qu’elle soit impliquer dans la mort de mes parents, ce n’était sa faute en entier, mes parents aussi avait leur part de responsabilité.

Soudainement je me mis à penser, mes oreilles était devenu sourde, mes yeux était aveugle, j’étais en pleins combat quand soudain les images du passé, vint me rattraper, je voyais a mère e porter, dans ses mains, et me père étai à coter d’elle, cela faisait longtemps que je n’avais pas vu, ses yeux blanc, et se regard doux, cela faisait longtemps que je n’avais pas vu cette douce chevelure brune et cette haire joyeux, on voulant m’approcher d’eux des flammes surgirent les encerclant, j’entendais alors les même crie que ceux dans le village, mon frère, venait de naitre, il n’avait alors que 1 jour, encore un enfant, le pauvre pleurer de toute ses forces, je fermais les yeux pendant quelque secondes, et on les rouvrant je me trouvais alors à coter du jeune homme, son visage me rappeler celui de mon père.

Des larmes prirent formes elle coulait tout au long de mon visage, je ne voulais pas avoir de campassions pour lui, mais alors qu’elle était ce sentiment, dés lors j’oubliais, out ce qu’il avait fait, je le regardais, un sentiment quasi neutre, tout juste si je sentais le vent emportais mes cheveux, il était a terre sans défense, je pouvais l’achevais, mais ne le fit pas, mes mains e l’interdisait, et mon âme ne résistais pas, j’étais coincés sans pouvoir bougeait.

« Qui est-il ? que fait-il ? Serait-il lui ? Non il n’aurait pas fait cela ? Il me semble familier, mais je ne saurais dire ou je l’ai vu, réfléchis, réfléchis, regarde, regarde bien analyse. »

Je ne clignais pas des yeux, mon regard restais figer sur lui, je ne voulais pas encore commettre un crime de plus il ne pouvait savoir d’où je venais, il se pourrait bien que je sois déserteur après tout j’ai bien enlevé mon bandeau pas vrais.

~Pnj San~



Quoi ! Qu’elle était ce sentiment d’impuissance, une boule puis une autre. J’étais à terre bruler des quatre coins. Je ne pouvais admettre ma défaite devant un lâche qui se cache et surprends. Mais ce ne serais-ce pas là les règles des ninjas. La lâcheté, la tremperie et la trahison. Voulais-je vraiment rendre mon village victimes des ces mots. Non, j’allais changer les règles de cet art aussi infect que ses connaisseurs. Je levais la tête vers mon adversaire.

C’était une fille aux cheveux clairs aux yeux roses. Apparemment rien n’aurait laissé croire à un Hyuga. La jeune kunoichi s’approcha de mon corps paralysé pare les dommages accumulé. Je ne pouvais que la regarder sans pouvoir bouger, impuissant devant sa puissance horrifiante. Mais pour la survie de mon village, je devais la tuer. Soudainement elle commença à bafouer des mots qui pénétrèrent mon cœur avant de le briser. Elle avait raison je n’étais pas dieux pour contrôler leur vie ni leur souffrance, mais tout cela je le faisais pour notre village, pour offrir aux générations suivante une plus belle vie que nous avions eu nous. Mais si j’échouais, le défie était de taille et je n’avais ni les épaules ni la force pour supporter ce poids, toute cette souffrance aurait était vaine. Je ne pouvais plus revenir en arrière, le mal était fait et je devais continuer dans ma destiner même si cela causera ma mort. Je levais la tête vers cette jeune femme.

-Vous ne pouvez pas me comprendre, j’essaie d’améliorer ce monde en offrant à la génération suivante la paix et la puissance que nous n ‘avons pu avoir. Même si cela en coutera quelques vies on continuera jusqu'à la mort.

La jeune kunoichi pleurait, de grosse goûte de larmes tombait au sol. Je les voyais s’écrasant prés de moi. Etait-ce mon discours ou autre ? Je ne voulais savoir, je pris ce moment d’inattention pour la surprendre. Je l’attrapais par les pieds. Elle s’arrêta soudainement de pleurer, mais c’était trop tard j’avais déjà usé de ma technique. Celle de la décapitation fatale, elle était emprisonnait au sol, coincé seul devant son sort. Je me relevai out doucement, admirant sa beauté.

-Désolé, mais je n’ai pas le choix. Je vais devoir te tuer.
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Bilan:
Kyouki:
Pv:160/160
Pc:90/140
Etat:Enraciner dans le sol pendant deux tour
San
Pv:60/160
(160-50*2)
Chakra:95/110

~Pnj Benji~



Je n’arrivais plus avoir ce qui se passait autour de moi. Une silhouette avait enchainé sur mon corps divin plusieurs coups par surprise. Je tombais à terre, qui aurait pu déshonorer mon corps divin à ce point, sans que je puisse réagir. Ce shinobi devait être fort et rapide pour avoir pu me toucher, mais devait être aussi fou pour avoir osé me contrer. Du sang de mortel coulait de ma bouche divine. Je me relavai doucement avant de fixait mon adversaire d’un regard noir que seul les dieux possède. Enfin la brume avait disparut laissant la pluie tombé, ce n’était pas de la chance c’était es pouvoir j’en étais sûr, si non pourquoi la pluie serai tombé en ce moment même. C’était mes frères ainés, les autre dieux qui me surveillé d’en haut et m’envoyait leur aide.

J’étais en ce moment là si absorber par mon délire que je ne vis nullement un gigantesque shuriken me traverser le dos, laissant une grande entaille sur mon dos. Qui avait pu oser m’attaquer ? Il attaqué en restant caché, il savait bien qu’il ne pourrait me battre sans cela. Je ne sais si cet être était fou ou malade, ais il apparu au même moment devant mon premier assaillant.

-Alors c’est vous qui osait vous attaquer au dieu de l’eau. Ce lui-même qui contrôle la pluie et les mers.

Je regardais mes adversaires, mon dos me faisait mal, mais j’essayais de l’oublier. J’étais un dieu, et je ne devais ressentir de mal. Sauf si ce corps où j’habite n’est qu’un corps mortel et que seul mon esprit était dieu. Car à mainte repris ce corps fut blessé, massacrer. Je ne pouvais plus en douter, mon corps de dieux était resté au ciel. Je ne pouvais être un dieu et avoir un si petit corps. Il fallait pour le moment punir ces deux mécréants qui osent entraver mon plaisir. Je fis quelques signe de la main envoyant une colle gluant sur le shinobi aux yeux blanc, et j’enchaine avec un clone aqueux qui lui-même lança un projectile d’eau sur l’autre adversaire (Obito).
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Bilan
Hito:Aucun dommages coincé dans la marre
Obito si touché:-10pv
Benji:-14pv(coup d'obito par surprise)-20pv(Fumma shuriken par surprise)=-34pv

Hito
Pv:180/180
Pc:160/160
Obito
Pv:170/180
Pc:140/140
Benji
Pv:136/170
Pc:70/100

~Mort de Kyouki~


Mon dernier jour sur cette terre, mon dernier combat, mourir en paix, tout se dont j’avais rêvé, je mourrais sans aucun préjudice, je ne devais alors rien à personne, j’avais vécu ma vie telle que je le souhaiter, personne ne m’attendais, j’allais alors rejoindre mes parents mille pieds sous terre.
Mon inconscience m’avait dû ma vie, je suis emprisonné sous terre personne pour m’aider et pourtant, et pourtant j’ai sentis l’attaque, mais je ne voulais rien faire, est-ce mon désir que de mourir, oui, après tout j’y avais bien pensé et plutôt deux fois qu’une.

Je ferme les yeux, une douce lumière m’apparu, je ne sens un vent doux me caressais le visage, je n’entends alors plus aucun bruit, et le mauvais temps qui pesait tout à l’heure n’est plus que souvenir.

«Ma mort……M…..MA…..MA MORT, oui c’est bien ma mort, mais pourquoi je sens si calme, j’ai envi de vivre, mais en même temps de mourir, je ne sais plus ou je vais, c’est quoi cette lueur blanche, est-ce que je n’ai plus envi de vivre…………..et pourtant pourquoi continuer cela ne sert à rien, vivre qu’elle est cet notion, la vie se n’est pas pour moi, et cela ne le sera jamais, je veux rejoindre mes parents que mon corps soit enterrer, ou laisser par terre aucune importance, qu’on m’oublie ou pas, cela m’importera peu puisque je serais morte, en faite tant mieux, comme ça on ne souffrira pas……Oui tant mieux, que l’on m’oublie et a jamais ».

Je sens une petite douleur, puis rien, je ne sens plus mes membres, aucune importance je suis morte, soudainement je commence à voir ma vie défiler devant moi, pas tout sinon cela aurais pris dix-huit ans, mais par pur hasard je ne voyais que les bons et les mauvais moments, je vois alors tout ceux qui m’entourais, ma mère, mon père, mon frère, ma sensei, ma tante et mon équipe…..Tout les moments passé avec eux était bons, une joie immense remplis mon cœur tout d’un cou, j’étais belle et bien morte, et la lumière blanche venait de se rapprochais, le vent soufflais, et je ne su comme je suis, je ne pouvais me voir, je regarde ce qui semblais êtres mes main, mes je n’avais rien , cela peu semblais impressionnant et pourtant je le vie, non désoler je meurt ainsi.

Je me penche vers le bas, je voyais mon corps décapité et mon frère courir vers moi, soudainement une idée me vint à la tête, oui je n’avais pas pu me présenter à mon ennemie, et donc il ne connaissait pas mon nom, et moi le tien.

-Mal élevé.

De la haut je pouvais voir un regard vide, et blanc, ainsi qu’un corps sans âme, planter sous la terre, un sourire se dessine sur la bouche de l’inconnue, je le vois rigoler, il ne savait pas alors que ce n’étais pas la terre qui nous délivrais de nos tord, mais bien la mort.

-tu as voulu les protégées ben maintenant tu es morte, cela t’apprendras, petite garce.

J’entendais alors c’est ragots, et commençais à crier sur lui, une haine me pris et me se dissipât immédiatement.

-Moi je suis une Garce, ho mais c’est parce que je t’ai laissé me tuer, que tu vas te prendre pour je ne sais qui, non mais putains, je vais redescendre, te montrer ce qu’elle c’est faire garce, moi, Gros Con.

Je me retourne alors, devant moi deux personnes, qui ressembler a mes parents, il me souriait, on me regardant, je les regardais bizarrement d’un aire inquiet, je ne l’ai connaissais pas et ce moment j’en avais rêvé depuis que je suis née, mais sans jamais m’y être préparer.

-c’est toi mon ange?

-bien sûr que oui Mai, je m’en rappelle comme si c’était hier.

-Maman, Papa, c’est bien vous ?

Je me jetais dans leur bras, on pleurant, une joie immense remplis mon cœur, et je ne pu encore me séparer d’eux. Ma mère me regarda fixement.

-tu as tellement grandit, et tellement changeais, alors qu’est-ce que tu as fait pendant ces dix-huit ans de séparation.

-je suis devenu genin.

J’étais fier de leur annoncer cette nouvelle, mes yeux étaient tout illuminer, et éclairer, soudainement je vis mes mains et mon corps, il était réapparu.

« Alors c’est ici que j’ai atterries avec mes parents, après tout ce n’est ni bien ni pire, tout simplement un Bof, j’étais contente certes mais j’étais loin de m’imaginer, qu’est c’était sa après la mort, et encore, je ne sais plus quoi pensé, de plus pourquoi pensé, aucun intérêt la mort m’a appeler et je lui ai répondue, avec un grand sourire……a moins que se soit moi qui me suis suicider….la question reste mystère ».
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Hito- Obito