|| Yôken || .....En cours....

Spoiler:

~Présentation~

Nom : Inconnue.
Prénom : Yôken
Age : Quelques centaines d'années.
Sexe : Masculin.

Description Physique :

Vous voulez savoir à quoi ressemble ce personnage énigmatique ? Hé bien malgré son âge avancé il n’a aucune ride et il pète la forme. Sa carrure reste fine et musclé et n’est marqué par aucune fatigue due à la vieillesse. Ses cheveux d’un blond très claire ne son pas encore blanc et n’ont toujours pas commencé à tomber. Enfin vous l’aurez compris, il a gardé la même proportion anatomique d’un adulte de 30 ans. Sa taille avoisine gentiment les 1,80 mètres mais ne les dépassent pas. Son poids reste correct, au environ de 60 kilogramme sans compter l’équipement qu’il porte sur lui. Chez Yôken, il y a des choses frappantes qui attirent l’attention de toutes les personnes qui le croisent. A commencer par la couleur de ses pupilles, d’un d’orée claire qui sont emprisonnés dans des yeux d’un noir mystérieux. Vient ensuite ce tatouage au dessus de son œil droit, représentant quelques choses d’inconnue mais notre protagoniste semble penser que cette marque est à l’origine de la conservation de son corps sans vie. Une vilaine cicatrice dû à un combat violent arpente le haut de son nez…il a toujours caché l’origine de cette profonde blessure. Quand à sa tenue…il arbore un vêtement sombre et d’une surprenante finesse. Son t-shirt ainsi que son pantalon-short sont d’une grandes légèretés ce qui permet à Yôken de ce déplacé sans être encombré par ses habits. Il porte aussi une épaisse écharpe rouge foncé qui entoure son cou, peu importe la saison. Il se promène principalement pied nu, la peau se trouvant au dessous de ses pieds s’est naturellement solidifié et donc il possède une sorte de « chaussure naturelle ». Le tissu qui lui sert de ceinture et le même que celui de l’écharpe, et elle est tenue par une boucle ressemblant à une tête de tigre dont les dents on était remplacé par des mini-kunai.
Pour finir, son physique est décoré par certains accessoires comme trois boucles d’oreilles en plomb à son oreille droite et des bandeau/bandage noir qui entourent sont/ces bras.

Description Morale :

Décrire Yôken sur le plan psychologique est une chose difficile. Enfant, il a connu la guerre et le sang, pourtant il n’en garde pas des souvenirs traumatisants. De tel vision lui on plutôt forgé un esprit de guerrier, on fait de lui quelqu’un de beaucoup plus fort sur le plan mental. Connaître la violence et l’injustice de la guerre très tôt dans sa jeunesse lui on permit de mieux la supportait et ainsi de mieux la fuir. En tant que Chokushi, il fut très vite entraîné pour devenir l’un des piliers de son clan. Il devait se plier à de nombreux ordres sans avoir le droit de désobéir. C’est quelqu’un de très fidèle à ses principes et à ses convictions et en tant qu’homme il ne revient jamais sur sa parole. Il a un grand honneur et a un caractère dur et sévère avec les autres mais aussi avec lui-même. Certains, surtout son fils, le trouvent barbant tellement il suis les principes et les protocoles à la lettre. Enfin, tout cela était avant sa mort. Ressuscité, il cherche désespérément la rédemption. Il veut corriger ses actes du passé et veut trouver la force de ce pardonner. Pour ça, il fera tout pour aider, à sa manière, les gens qui ont besoin d’aide autour de lui. D’ailleurs, il s’est promis de mettre à néant toute idée de conflit dans la nouvelle société ninja qu’il découvre avec passion. En apprenant l’existence d’un groupe de ninja machiavélique, se nommant l’Akatsuki, il décide de tout faire pour arrêter les ninja en faisant parti. C’est un homme à la recherche de rédemption. Pour la trouver, il défiera le mal qui habite ce monde et le détruira.

| | Prologue | |

Il y a environ deux siècles avant notre ère, des clans venant des quatre coins du monde s’affrontaient pour leur survie et la renommée. Cette époque, entachée par l’obscure sang des combattants, donna naissance à une prestigieuse famille. Différent ninja, fatigués et souillés par les batailles, décidèrent de se rassembler pour former une groupe pacifique. Leur principal but était d’éviter la Grande Guerre des Shinobi et toute la tristesse et la violence qu’elle engendrait…Seulement, ils comprirent bien assez vite qu’il ne pourrait subsister sans avoir un impact quelconque sur le monde. C’est ainsi que naquit Les Chokushi. Des hommes formés dans l’unique mission des messages, colis et autres cargaisons pour le compte d’un autre clan.
Ce groupe évolua tout d’abord dans le plus grand des secrets, ses membres devinrent très vite de puissant ninja, puis ils décidèrent de proposer leur service. Les chefs des autres famille furent séduis et firent appelles de plus en plus à leur service.
Le joue le plus prestigieux des Chokushi arriva un siècle après leur naissance. Cinq grand shinobi furent chargés de livrer cinq traités de paix qui allaient mettre un terme à cette longue guerre. La mission fut alors un succès et le monde se stabilisa pendant un temps.
C’est seulement quelques années après cet évènement que nos héros font leur apparition. Yasurô, fils de Chokushi, est en train de finaliser son apprentissage pour devenir un Messager. Il part en mission en compagnie de son père Yôken, l’un des ninja à l’origine de la paix.

Chapitre I

Le jeune homme traînait ses pieds dans le sable chaud du désert. La chaleur étouffante faisait suer à grosse goûte Yasurô, déterminé à ne pas poser un genou à terre. Son arrogante fierté le poussait à rester debout pour montrer à son père, déjà quelques mètres loin devant lui, qu’il n’était pas une pauvre mauviette. Il serrait les dents tout en murmurant des blâmes à l’encontre de Yôken. On lui avait dit que cette mission était d’une grand importance, que sa réussite allait finaliser son apprentissage de Chokushi. Seulement l’adolescent ne prenait pas la chose au sérieux et trouvait le contexte complètement ennuyeux. Pour lui, livrer un parchemin poussiéreux à un vieux débris habitant en plein milieu du désert, sous la surveillance de son propre père, et dans le seul but de devenir « Messager de l’ordre et de la paix », c’était idiot. Enfant, Yasurô c’était plutôt imaginer devenir livreur de stupidité en transmettant un message de la plus haute importance, comme l’avait fait son dure papa il y a de cela quelques années.
Le garçon monta difficilement au sommet d’une dune, avec l’espoir de voir la maison du client. Il regarda à l’horizon et put apercevoir une fine fumée noir se démarqué de cette mer de sable. La vu était vraiment splendide, le soleil haut dans le ciel faisait briller les collines de poussière qui s’apparentaient aux vagues d’un océan. Plus sérieusement, Yasurô se fichait pas mal de la vue que lui offrait ce point haut. Il se contenta de soupire en remarquant que la fumée, venant sans doute de la maison du client, se trouvait encore loin de lui.

Yôken : Arrête donc de rêvasser et dépêche toi de ramener tes miches ici. Je deteste livrer un colis en retard.

Yasurô se retourna brièvement vers son père et le dévisagea du regard.

« C’est incroyable, plus tu vieilli, plus tes chiants ! On peut faire une pause merde ! J’suis crevé ! »

-Nyahahah mais sa servirait à rien, même quand tu te repose t’arrive à te fatiguer. Bon, descend de cette dune, qu’ont continuent notre route.

« Files moi un peu d’eau. » -dit-il en descendant."

- Non, tu bois trop, on en aura plus assez après…

« Père indigne »

-Fils indigne.

[Après s’être mutuellement insulté, ils rirent à grande bouffer d’oxygène, puis reprirent leur route toujours dans cette ambiance, à la fois électrique et sereine.

Le soleil était en train de se coucher derrière le désert lorsque nos deux protagonistes arrivèrent près de l’habitation du client. Ce dernier avait été décrit comme étant un vieil ermite à la longue barbe grise mal coiffé et sans plus aucun cheveux sur le crâne. Il devait aussi s’appuyer sur une canne en bois sec et porter un ridicule pair de luenette. Enfin…c’est comme ça que Yasurô imaginait les derniers détails physiques de l’homme qu’il n’allait pas tarder à rencontrer. Yôken devança encore et toujours son fils et toqua à l’entrée de la vieille cabane. C’était tout de même plus qu’un vulgaire cabanon. Une baraque sûrement faites de marbre pour résister au tempête, dont les mûrs extérieurs avaient pris la même couleur que le sable. Le toit était triangulaire et une cheminée s’en démarquait pour y laisser circuler une fumée grise et épaisse. La porte quand à elle était en bois d’une telle solidité que le paternel faillit ce briser un doigt en tapotant dessus du poing. Elle s’ouvrit lentement, accompagné d’un grincement aiguë, puis la silhouette du vieil hommes s’évada de l’intérieur de la maison.
La description donné par les informateurs avaient été presque précise. A vrai dire, seul l’imagination de l’adolescent avait bafouée l’étonnante sagesse que dégageait le papy. Sa barbe pratiquement blanche était superbement bien coiffée et le manque de cheveux sur sa tête n’était sûrement pas honteux. La fameuse pair de lunette, qui aurait normalement dû être ridicule ne l’était pas ; la forme rectangulaire des verres rajoutaient un semblant de classe au visage dur et ridé du senior. Son dos était à peine voûté, sa carrure était fine et récouverte par une tenue classique, c’est-à-dire t-shirt et pantalon, qui eux étaient surplombaient par un kimono gris. Il portait des sandales banal, puis la canne sèche, elle, était absente, remplacé par un kunai usagé.

Grand-père : C’est vous les messagers ?

Yôken : Oui.

- Donnez moi le parchemin…et partez !

Le papy parlait d’un ton menaçant, mais ça se sentait qu’il était étrangement effrayer. Le kunai tremblotant dans sa main en était le signe le plus visible. Yasurô fronça légèrement les sourcils pour montrer son étonnement face au comportement nerveux du vieux sage, puis il se contenta de donner le parchemin sans remarque déplacé. Sans vraiment de remerciement, le client le prit et commença à fermer la porte, quand soudain son regard se porta à l’horizon du désert. Il devint encore plus anxieux et cria sénillement « Les mercenaires ». Yôken crispa là son tour ses sourcils noir et tourna ses pupilles vers l’imposant nuage de poussière. Il semblait s’approcher rapidement, chose qui ne détendait pas du tout le vieillard, qui claqua subitement la porte en bois. Le bruit de fermeture de la serrure se fit entendre, et les deux Messagers se retrouvaient dès à présent face à face avec le danger que représentait les hommes à l’origine de l’amas de sable.
Yasurô s’avança avec un grand sourire vers les cinq cavaliers. Quatre d’entre eux étaient armés d’un long katana, le cinquième –sûrment le chef- portaient dans son dos une épaisse et longue épée. Leur physique ainsi que leur expression facial arpenté de grande cicatrices criaient à nos deux héros qu’ils étaient des mercenaires. Le jeune homme avait déjà entendu son père parler de tel homme. Ce sont d’anciens ninja qui ont vu leur clan anéantie pendant la guerre, et de par cette raison ils n’ont pas acceptés la paix. Dans l’unique but de se venger, ils répandent le chaos dans le monde en pillant et saccageant ce qu’ils croisent sur leur maudite route. En résumer, ils n’étaient pas ici pour prendre un thé et papoter gentiment…ce qui rendait le jeune homme étrangement joyeux.
Les cinqs bandits quittèrent leur monture. Le leader du groupe se foutait de connaître l’identité des deux ninjas, il envoya sans attendre ses sbires attaquer l’adolescent. Ce’ dernier ne recula pas, bien au contraire, et évita un premier coup de katana, puis un deuxième, puis un autre…ils esquivait d’une grande qualité tout les coups portaient par ses opposants. Après une bonne minute, durant lequel il se joua des mercenaires, il passa à l’offensive. Son pied vint s’écraser dans le bide d’un de ses adversaires, puis il enchaîna une droite à un autre. Il se tourna brièvement pour se concentrer sur les deux autres bandits qui fonçaient, la lame en avant vers son anatomie. D’un geste d’une grande classe, il dévia la trajectoire des deux armes qui vinrent se planter dans le deux thorax des deux autres qui étaient encore abasourdi par les coups que leur avaient portés Yasurô. Les hommes qui avaient tués sans le vouloir leur compagnon sentirent leur gorge se serrer sous la pression de la main du jeune et talentueux ninja. Il commença à les étouffés, mais une ombre vint préoccuper son action. Le chef avait enfin sortit sa large épée de son fourreau et avait bondit en direction de l’adolescent avec l’intention particulière de le découper en deux.
Yôken s’interposa d’une manière incroyablement surprenante. Le tranchant de la lame fut stoppé par la main du ninja. Le chef des mercenaires avait beau forcé, il ne pouvait ni continuer son action, ni même la récupérer. Et dans tout ça, le plus impressionnant n’était sans doute que le père avait arrêtera l’arme rien qu’avec ses phalanges. En effet, l’épée ne toucher même pas l’intérieur de la main du shinobi au regard sombre, ses doigts suffisaient pour l’immobiliser complètement. Il faisait preuve d’une maîtrise de soi inébranlable, et de par sa force il fit valser l’objet tranchant et son propriétaire dans une dune quelques mètres plus loin.
Voyant ça de par sa fenêtre, le grand-père sortit de chef en abordant un grand sourire et commença à encourager les deux Chokushi de tuer ce groupe de mercenaire. Les quatre sbires étaient déjà mort étouffés ou le cour percé. Yôken marcha en direction du leader qui commença à supplier de l’épargner, les genoux plantés dans le sable et les yeux aborants des larmes non sincère. L’adulte resta inexpressif et lui dit droit dans les yeux.

« Pourquoi t’épargner alors que tes compagnons sont morts sous tes ordres…sa serait trop injuste par rapport à eux de te laisser en vie. »

Suite à cette phrase, il attrapa la tête du brigand d’une main ferme et lui compressa le crâne d’une telle pression que du sang sortait lui des oreilles, des yeux et du nez. En à peine quelques secondes il était mort, le crâne complètement fissurer par la force dévastatrice du Messager. Ce dernier se retourna vers son fils et lui dit brièvement qu’il était l’heure de rentrer. Il ne firent même pas attention au remerciement du vieil homme et partirent du désert en direction du Q.G des Chokushi…

Chapitre II

- Yasurô, Fils du digne Yôken. Nous te sacrons officiellement Chokushi.

Cette déclaration résonna dans l’immense pièce en cercle où était rassembler de nombreux ninja. Au milieu de cette grande salle l’adolescent recevait le titre tant convoité de Messager, sous les yeux fier de Yôken. Il n’était d’ailleurs pas le seul, une centaine de personne était présent pour regarder les cinq nouveaux Chokushi. Tous jeune et en bonne santé, il avait le talent et la force pour supporter les lourdes tâches que leur proposait leur nouveau titre. Et c’est d’ailleurs avec surprise qu’ils allaient devoir accomplir leur première mission dès maintenant. Le chef du clan leur remit à chacun un parchemin et leur indiqua la position du client. Avec ça, ils durent graver dans leur tête les principaux principes qu’ils devaient respecter : - Un chokushi n’a pas le droit d’ouvrir ou de lire le message qu’il doit livrer. ; - Il ne doit pas le remettre à personne d’autre que le commanditaire de la mission ; -Il ne doit pas, bien évidemment, détruire l’objet de la livraison.
Le père de Yasurô était le premier surpris par cette soudaine annonce, mais il acquisa d’un léger sourire vers son fils pour lui donner confiance, puis il quitta la salle avec toute les autres personnes. Il rentrait l’esprit tranquille chez lui où la merveilleuse compagnie de sa femme allait lui permettre de ce détendre sans être inquiet pour sa progéniture.
Le jeune homme partit en direction de l’est, tout droit vers la Grande Mer. Il n’avait jamais eut l’occasion de voir l’étendu bleu qu’était cette océan, il avait donc hâte. Il commença son voyage par une forte accélération, en courant sur le sol ou en sautant d’arbre en arbre. Le parchemin qu’il devait livrer était soigneusement attaché à sa ceinture, il y avait peu de chance qu’il le perde. Pour une fois, et malgré son caractère « je me fous de tout » il était emballé par sa mission. Auparavant il n’était jamais aller aussi loin sans être accompagné de son père qui le guidait dans chacune de ses tâches. Maintenant qu’il était Chokushi, ce point là avait changé, il était responsable de ses propres actes, se sentait déjà bien plus libre. C’est un peu à ça que pensait Yasurô en marchant lentement dans la clairière où il avait arrêté sa course, trop essoufflé pour continuer de courir. L’air frais qui agitait les fleurs sur le sol et qui aidait les pétales à circuler dans le vent donnait à l’endroit une incroyable atmosphère de sérénité. Au milieu de ce paysage, l’adolescent se sentait évadé du monde et de ses tensions. Il était apaisé de cette imminente douleur au bras qui le faisait souffrir…**Merde…** pensa t-il en remarquant qu’un kunai avait trancher son épaule droite. Il était sûrement tombé dans un genjutsu pour que ce monde semi-hippie lui face baisser sa garde. La blessure le réveilla de ce rêve et il put constater que trois ninja dont le visage était caché par un ruban l’avait encerclé. Leur regard haineux visait froidement le visage du jeune ninja qui sortit au plus vite son katana. Il était, il faut bien l’avouer, dans une très mauvaise posture. Une chose l’intriguait pourtant dans cette situation à haut risque. Ils n’avaient pas l’air de mercenaire, leurs habits identiques et leur stratégie étaient dignes de ninja de même clan. Il avait donc un objectif que l’adolescent n’allait pas tarder à connaître.

- Nous t’épargnerons, Chokushi, si tu nous remets ce parchemin que tu tiens à ta ceinture.

« Nous avons des règles qui nous empêche de remettre à des inconnues nos colis. Et vos menaces de mort ne me font pas peur bande de raclure ! »

- Alors nous prendrons cette déclaration de guerre par la force !

Yasurô fut d’abord surpris, mais il dû très vite ce reprendre en main car ses trois ennemies passèrent à l’attaque. L’un sauta très haut en l’air en faisant plusieurs signe et cracha une intense boule de feu sur le shinobi immobilisé. En effet, un autre qui était resté à proximité avait usé d’une technique suiton qui avait créé une mare gluante, collant les pieds du Messager au sol. Le troisième quand à lui ce préparer déjà à donner le coup de grâce en enchaînant à son tour une importante série de signe. Le jutsu Katon toucha de plein fouet la cible, le feu devait en ce moment brûler la peau ainsi que le parchemin de Yasurô. Le dernier individu finalisa l’incantation et une vague de vent déferla, ce qui éteignit le feu mais trancha la chair de l’adolescent. Ce dernier n’avait plus de t-shirt et sa peau était d’un noir cendre…Pourtant un sourire léger ce marqua sur ses lèvres, sous les yeux ébahi des trois autres guerriers. Le jeune homme ne mit pas longtemps a se secouer et à enlever la poussière qui s’était poser sur son corps, puis d’un main il commença à son tout à malaxer son chacra.
De la foudre commença à se propager dans la terre, on pouvait très bien identifier la forme des éclairs. Les trois agresseurs essayèrent malgré eux de fuir cette attaque, mais il était trop étonner que le Chokushi soit encore vivant. Il avait bêtement baisser leur vigilance, ce qui leur coûta la vie à tout les trois. L’intensité du courant électrique qui circulait dans le sol frappa de plein fouet leur organisme, ils grillèrent sur le coup. Il n’était pas pour autant mort, seulement quelques minutes encore à vivre, le temps que la décharge électrique fatigue peu à peu leur cœur. Yasurô s’approcha d’un des trois individus et se mit accroupi à coter de son corps. Le ninja agrippa le col du jeune adulte et lui parla droit dans les yeux.

- Quel est…ton pouvoir… ?

« Pff…on va dire que je peux te le dire, vu que tu vas bientôt crever. Dans la famille, nous sommes capable de renforcer nos cellules organiques et ainsi, nous pouvons rendre notre peau aussi solide que l’acier. De ce fait, notre corps résiste beaucoup mieux au grosse chaleur ou même à une intense charge électrique…dommage pour vous hein ? »

- Ne livre pas ce message…sinon tu mettra fin à la paix.

« Qu’est ce que t’essaie de me faire gober comme connerie ? »

- Je dis la vérité…lis le !

Le pauvre homme mourut quelques secondes après, et il avait réussi à éveiller la curiosité du Messager. Si il disait vrai, ce parchemin était alors une déclaration de guerre. Mais pourquoi le clan qui avait engendré cette paix si saine voudrait-elle déclencher une nouvelle guerre ? Il fallait qu’il en est le cœur net. Sans penser qu’il allait délibérément trahir un principe, il ouvrit le rouleau et put constater avec effroi que le gars qu’il venait de tuer avait bien raison. Ce colis était donc un message de guerre. Se refusant de participer à la construction d’un nouveau conflit mondiale, il jeta le papier en l’air, malaxa son chakra et détruit l’objet de sa mission d’un puissant éclair d’électricité…
Yasurô était en route pour le lieu de sa soi-disant mission qu’il avait abandonné. Mais il n’avait pas l’intention de rejoindre le repère du clan où il aurait dû livrer la lettre. Non, il se dirigeait vaguement vers la Grande Mer tout en sachant que les membres de son clan allait le poursuivre pour haute trahison.

Le lendemain, à l’aube…

Yôken avait été réveillé de toute urgence par deux gardiens du temple des Chokushi. Ils l’emmenèrent sans explication devant le grand Maître qui se tenait debout en face de son trône. Il avait le visage crispé et le ton que prit sa voie voulait tout dire. Il était très en colère et l’homme au regard d’or le remarqua très vite. Il ne prit aps le temps de s’agenouiller, trouvant cette habitude trop lamentable. Il était comme ça, sans pitier mais un grand honneur. Se serait donc méprisant de baisser la tête face à un homme qui l’avait lever de force de son lt à une heure très matinale.

« Que se passe t-il Ô Grande Maître…dit-il avec un soupçon d’oronie. »

Chef : ce qu’il se passe ? Je vais te le dire ! Ton fils, à qui nous avons confié une mission hier n’est pas revenu. Et tu t’inquiètes sûrement pourquoi n’est ce pas ? Et bah non, il n’ait pas mort ! Il a ouvert le parchemin, l’a lut et voyant ce qu’il était inscrit dessus, il l’a détruit pour ensuite se cacher.

« Comment ?... Mais je lui est pourtant tout enseigner…je l’ai entrainer à contrôler ses émotions et à ne pas laisser sa curiosité prendre le dessus…qu’est-il inscrit sur le message ? »

Chef : C’était une simple lettre qui avait pour but de proposer nos services à différent clan…Je ne comprend pas moi-même pourquoi il l’a détruit…Tu comprends que son acte est compris comme étant une désertation , une trahison !

« Oui… »

Chef : Et tu sais aussi que quand un Messager transgresse l’un des trois principes fondamentaux de notre clan…la mort s’en suit…

« Oui…Grand Maître, je vous demande une faveur, laisser moi le retrouver avant de donner votre jugement. J’aimerai comprendre pourquoi il a fait ça… »

Chef : Tu crois vraiment que je vais te faire confiance ?! Tu vas le retrouver, certe, mais ce n’est pas pour comprendre son action, mais pour le tuer de tes propres mains ! Et si par malheur toi aussi tu trahi nos ordres…ta femme y passera !

Yôken ne put sortir un seul mot de sa bouche, D’un geste prétentieux de la main, le Grand Maître demanda à ses gardes de dirigeaient le sombre et malheureux ninja à la sortie. Ce dernier devait alors se préparer à assassiner son propre garçon pour la survie de sa femme et reconquérir la confiance de son clan. Il marcha lentement vers sa maison où il demanda à sa femme de ne poser aucune question. Il prit sa tenue la plus légère, celle avec laquel il avait instaurer une paix dans le monde ninja, puis s’apprêta à prendre son katana. Ressentant une grande hésitation, il laissa la lame dans sa vitrine et quitta le foyer sans aucun mot et sans aucune arme. Au fond de lui, il savait que Yasurô n’avait aucune chance de le vaincre, mais son amour propre l’obligeait à donner le plus chance possible à son fiston.
En une nuit il traversa la moitié du pays en usant e technique de téléportation bien utile. Il se dirigeait instinctivement en direction de la Grande Mer, où il espérait trouver son fils et en apprendre plus sur son acte de haute trahison. Pourquoi avoir déserter le clan et détruit une simple lettre ? Quelque chose avait échappé au guerrier. Toute ses question le poussait alors à aller encore plus vite dans sa course pour retrouver Yasurô. C’est seulement à l’aube (le lendemain de l’ordre donner par le Grande Maître) que les deux hommes, fils et père, se retrouvèrent face à face. L’adolescent semblait comprendre la venu de son géniteur et il avait déjà sortit son sabre fin, comme si il attendait ça depuis déjà longtemps. Yôken lui restait impassable, il ne posa aucune question, car peu importe les réponses, il devait accomplir cette terrible tâche pour sauver sa femme. Le jeune homme fonça vers ce qui était maintenant son adversaire. Ce dernier esquiva tout les coups de lame avec une facilité exemplaire, puis il concentra son chakra dans son poing. Sa main se durcit au point de devenir aussi solide que l’acier, puis il frappa l’abdomen du jeune déserteur qui put sentir l’os de ses côtes se briser. En à peine une attaque, il était déjà en mauvaise posture, mais il n’abandonnait pas pour autant. Reculant agilement, il se concentra à son tour et invoqua un dangereux éclair qui se dirigea d’une vitesse incroyable vers l’adulte. Celui-ci accueillit la foudre avec son torse. Cette fois ci aussi, les cellules corporelles du shinobi se renforcèrent et parèrent sans aucune difficulté l’éclair Raiton. L’homme à la chevelure beige était un mur naturel implacable, il n’y avait aucun moyen pour Yasurô de briser la défense du grand Chokushi. C’était d’ailleurs à son tour de passer à l’offensive, avec une technique qui allait mettre un terme au combat. L’enchaînement fatal vieux de plusieurs cercle. Le combo de Ancestral de Nekomata. Yôken disparut de sa position pour réapparaître derrière son garçon. Il enchaîna donc des dizaines de coups que le pauvre ninja ne pouvait que subir. Chaque offensive, chaque blessure lui enlevait une partie de sa vie, bientôt, il allait mourir. Le Chokushi à l’origine de l’offensive pleurait sans honte pendant qu’il enchaîner ses coups de pied et de poing.
Le Taijutsu se finalisa quelques secondes après le commencement. Yasurô tomba sur ses genoux pour ensuite basculer la tête la première sur le sol. Sauf que le visage de l’adolescent tomba dans la main tremblante et rouge du pauvre père, en larme.

- Papa…je suis désoler…tu sais que je te déteste pas hein ?!

Après quelques sanglot….

« Moi non plus Yasurô, moi non plus… »

- Ils ont menacer maman…c’est pour ça que tu es venu me punir…c’est pour ça et rien d’autre hein ?!

« Oui…pourquoi tu as fait ça ? Pourquoi avoir trahi l’ordre des Chokushi ?!! »

- Le message…le message était une…-tousse-…

« Une quoi ? »

- Une déclaration de guerre.

Le garçon mourut suite à sa phrase. C’est alors que Yôken comprit que ce n’était pas son fils qui l’avait trahi, mais son peuple tout entier. Yasurô avait fait preuve d’une grande humanité et d’un grand courage en détruisant le message qui aurait put être à l’origine d’un conflit sanglant et inutile. Le Grand Maître s’était foutue littéralement de la personne qu’était l’homme qui avait permis de fonder une paix. Il allait payer. Pour la mort de son fils mais aussi pour avoir manipuler les quatre autre Messagers qui avaient sûrement livré l’acte de guerre. Il allait payer pour avoir mit en scène un complot qui avait de grande chance de faire démarrer un nouveau conflit entre les clans. Le guerrier quitta la Grand Mer en direction du Quartier Général des Chokushi, en portant de ses bras le corps sans vie de son fils. Durant sa route, il comprit que son soi-disant Chef avait fait ça pour relancer le clan qui perdait son utilité depuis la fin des conflits. C’est monstreux…
Il allait payer, lui et tout son clan.

Chapitre III : La fin d'une vie.

Il arriva les bras complètement crispé et les yeux rouge. Toute la nuit il avait marché avec le poids de son fils qui lui arrachait les deux avant bras. C’était comme si il s’infligeait cela pour ce punir d’avoir mit un terme à la vis de Yasurô. Voila qu’il arrivait dans le Hall où trônait le Grand Maitre qui portait le doux nom de Kadow. Ce dernier afficha un grand sourire en voyant le cadavre du « traître » et le sang qui s’était imprégnait dans les vêtements de Yôken. Il applaudit chaleureusement sans penser que pour le guerrier, c’était un moment extrêmement difficile. Il leva ses fesses de sa chaise pour s’approcher du ninja. Celui-ci avait son sabre accroché à sa ceinture.

Kadow : Mouhahaha !!! Hé bien, tu as fait le bon choix mon garçon. Ta femme sera épargné comme promis.

« J’ai une déclaration à faire… »

Kadow : Oui ?

« Vous êtes mort. »

La pointe de l’épée avait déjà transpercé son cœur quand le Grand Maitre s’aperçu que l’homme qui était en face de lui était passer dans son dos. Il s’écroula de toute sa masse sur le sol où une grande mare de sang ce propagea avec finesse sur les carreaux blanc de la pièce. Pendant ce temps là, les gardiens réagirent et foncèrent sur l’assassin. Leur corps furent péniblement tranché par la lame écarlate du guerrier haineux. Sa colère et sa détermination à se venger étaient grandes. Tout les Chokushi devait payer pour avoir essayer de déclencher une nouvelle guerre dans le monde ninja. Yôken traversa à grand pas le couloir dans lequel il tua un grand nombre d’adversaire, puis se retrouva à l’extérieur. Une foule de Messager l’attendait arme en main, ils étaient en moins une cinquantaine à vouloir donner la mort au père sans fils. Le combat fut long et violent, mais très héroïque. Pour commencer, le ninja plongea dans la foule et tapa le sol de son poing solidifier. La terre éclata en plusieurs morceaux et plusieurs combattants furent broyés par la violence des pierres qui s’éjectaient du sol. Tout de suite après cette première attaque, une bonne poignet de Chokushi se jetèrent la lame la première sur l’homme qui était à l’origine de ce désastre. L’amas de personne ce retrouva bredouille, étant donner que leur cible avait réussi à s’échapper avant qu’il ne puisse le blesser. C’est alors qu’un mystérieux brouillard recouvra la zone de combat. On y voyer pas à un mètre, et quand la brume eut recouvert la totalité du lieu, le guerrier munit d’une immense discrétion passa à l’attaque. Des shinobi sentir le temps d’une seconde la lame du Chokuhi de l’ombre transpercer leur coup, pour ensuite pousser un terrible cri de douleur et mourir. D’autre y passèrent de la même façon, tandis que les épargnés du moment était extrêmement angoisser à l’idée d’être le prochain à être envoyer dans l’au-delà. Seulement, un des leurs eut la bonne idée d’user d’une technique Fuuton pour chasser le brouillard. Quand les survivants purent enfin avoir une bonne vision de l’endroit, ils constatèrent qu’il n’était plus que 4 et qu’une multitude de cadavre jonchaient le sol. Yôken se tenait face aux quatre hommes avec un regard glacial. Il les fixait d’un regard empli de colère, pourtant en lui il hésitait grandement. Ces quatre personnes étaient les pères des garçons qui ont été envoyé, tout comme Yasurô, livrer la déclaration de guerre. Eux non plus n’était donc pas au courant du complot pour relancer l’utilité et la réputation du clan.
Il ne devait y avoir aucun survivant. Ils furent tués comme tout les autres. Sans aucune pitié leur gorge fut tranchée par la lame déjà bien ensanglantée du sombre guerrier.
Cinquante hommes étaient morts de sa main. Il parcouru les ruelles peu nombreuses de la ville des Chokushi et tua tout les shinobi qu’il croisé sur sa route. Seul les femmes et les enfants étaient épargnés par le terrible homme. On ne pouvait plus le stopper, sa rage avait prit le dessus sur lui. Il terrasser ceux qui le supplier, tuer malgré lui quelques civils qui étaient malheureusement pour eux à coter d’un Messager. Alors qu’il avait commencer ce massacre depuis une heure, une silhouette se dessina en face de lui. Elle avait des larmes qui dégoulinaient le long de ses joues. Son visage était marqué d’une grande tristesse et son regard désespéré fixait celui de son mari. C’était sa femme, et elle s’approchait sans peur de l’être qu’elle aimait le plus au monde.
Yôken la laissa s’approcher, laissant la pointe de son katana toucher le sol rougeâtre. Elle le serra contre lui et laissa échapper ses derniers pleure sur son épaule.

« Tu savais, n’est ce pas ? »

- Je suis désoler.

L’épée se logea dans le dos de la jeune femme qui s’empêcha de crier en mordant de toute ses force l’épaule du traître. L’acier perça sa chair et brisa son cœur…mais Yôken ne s’arrèta pas la et se transperça lui aussi son cœur. Les deux organes vitaux des deux malheureux amoureux étaient reliés par la lame qui avait servi à la vengeance d’un père trahi par les siens…Il allait maintenant reposer dans les méandres des ténèbres, sans jamais trouver le repos éternel….

Il faisait énormément sombre. Ca sentait le vieux et il y avait peu d’espace pour bouger. Ce qui l’enfermait était fait de pierre et une poussière presque étouffante venait se loger dans ses narines à chaque respiration. Il bougea difficilement ses articulations, les os de ses doigts craquèrent comme si ils ne les avaient pas plié depuis une centaine d’année. Malgré ça, il posa ses mains sur le socle et le souleva –il se rendit compte que c’était un couvercle à ce moment précis-. Yôken fit tomber le couvercle sur le coter et releva son torse pour se mettre en position assise. Il regarde autour de lui et remarqua qu’il se trouvait dans un tombeau. Un fin rayon de soleil venait éclairer la pièce et aider le ninja à avoir une vision approximative de la salle où il se trouvait à présent. Ses vêtements étaient les mêmes que lorsqu’il massacra son clan, mais toute tâche de sang avaient été laver. Puis une intense brûlure au dessus de son œil droit vint le brusquer. Il posa sa main sur l’endroit qui lui faisait mal et attendit que ça passe avant de poser pied à terre. Il s’entraîna à marcher et trouva la sortie. Il ne pouvait plus rester ici, l’air était bien trop étouffant. Yôken monta quelques marches, poussa une porte elle aussi en pierre et fut éblouis par la lumière du jour. Devant lui se présentait un lac entourait par de grand arbre. Il se jeta au bord de l’étendu d’eau et se mouilla le visage. Quand il retrouva ses esprits il examina son reflet dans l’eau et put voir qu’une marque était apparu au dessus de son sourcil. C’est en se voyant aussi qu’il revit sa mort.

« Mais…je suis mort normalement… »

Code:: | | Yôken,

Comprenant ton immense colère et ton désir de vengeance, nous avons accepté la dernière volonté de ta femme. Celle-ci voulait que le peuple des Chokushi te pardonne et t’offre une seconde chance. C’est ainsi que nous avons poser sur ton front un sceau divin qui a empêcher ton âme d’atteindre l’au-delà. Dans une centaine d’année, tu te réveillera et lira ce message.
Le soir de ta mort, de nombreuse personne son mort de ta lame, y comprit ta femme et ton fils. Nous prédisons que tu n’acceptera pas de revivre avec de tel souvenir…mais si tu meurs sans avoir trouver ta rédemption, tu ne reposera jamais en paix. | |

Le guerrier versa quelques larmes à ces souvenirs et noya la lettre dans l’eau du lac. Il se releva, essuya ses joues et serra le poing.

« La rédemption…me sera offerte quand le mal de cet ère sera vaincu de mes propres mains. »

Ma présentation est fini. J'espère qu'elle sera assez bonne Razz

~ Validation ~

#'. Noooon, minaaaatooo ! Ne meurs pas ! x) En tout cas, merci de créez un nouveau compte pour que ton perso reste en statut "mort au combat". Très belle présentation. J'espère que tu seras aussi actif qu'avec ton ancien perso. +13exp.

+13 xp pour une prez'? Je pensais que sa aller pas plus loin que 10 >.>''

Sinon pour le nouveau compte...Shin à changer mon pseudo donc je ne sais pas si c'est vraiment nécessaire^^ C'est à dire que je n'ai pas 36mille adresse mail^^'

Oh flute. Oui 10exp alors. Désolé ^^
Je croyais que Shin voulais qu'on fasse ça, comme c'est ce qu'il à demander pour Kira...Enfin, bref. Présentation à déplacé.

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