Missions de rang B : le restaurant du Port

Quelle chaleur, une chaleur intense, une chaleur bien célèbre en ce lieu, la chaleur de tout un chacun, de cette puissante boule de feu qui touche chaque être en ce monde au moins une fois dans ça vie, il est donc des plus facile de comprendre que la chaleur en question provient de ce puissant soleil, mère et père de toute être, une chaleur humide par ici car n'oublions pas ou nous nous trouvons, tout bonnement sur la coque d'un navire, un navre célèbre de par son nom, mais surtout sa notoriété, une notoriété des plus funeste, car ce navire n'est pas un simple marchand, c'est le plus célèbre navire pirate des 7 mers, sur celui-ci se cache brigand, crapule assoiffé de sang et plein d'orgueil, mais dans toute cette débauche, un pirate ce démarque, un pirate connu pour de nombreuse chose, un pirate qui n'a peur de rien ni personne, ce pirate est aussi réputé pour ce qu'il est,un shinobi... Pour en revenir à cette partie, il nous suffit de nous rendre dans la meilleur place du navire, un lieu ou peu de personne sont convié, y entrer sans y être convié est un affront fait au capitaine de tout navire, c'est pour cela qu'en ce lieu, une seule et unique personne s'y trouve, une personne particulièrement bien habillé de la tête au pied, propre sur elle, d'une taille assez importante, son visage est des plus banal si ce n'est un regard assez sombre, des trait fin qui fond ressortir une froideur sans précédent, mais en cela, ce cache une haine profonde, une haine de la vie, de l'être qu'il est et de tout un chacun en ce monde... Pour cette homme que nous ne nommerons pas à l'initial, rien n'a d'importance, tout est achetable, l'or, les femmes sont ses seule maitres mots et bien sur, la boisson, une boisson consommé par tous dans ce genre de milieu, une boisson indigeste et peu recommandable, le Rhum, ce puissant poison qui détruit l'esprit humain à petit feu, ce tord boyaux qui n'a pour but que de voir la vie en rose pendant un cours instant, avant de sombrer dans une migraine épouvantable... D'une seule main, cette être infâme attrape sa bouteille journalière, il retire le bouchon de celle-ci, hume lentement le parfum qu'il trouve des plus divin et la porte à la bouche, mais dès la première gorgé, il entend un bruit sourd venant de l'extérieur, qu'est-ce que cela est ? Il n'en sait rien, peut-être son équipage encore ivre et à se battre pour un coup de dé mal placé, doit-il intervenir ? ou continué ce délicieux nectar dans sa chambre de solitude ? Une question qui n'a qu'une seule et unique réponse, il est le capitaine de ce bord, personne ne va lui gâcher ce délicat moment sans en payer le prix fort, un prix qui se résume à la planche dans leur langage courant, c'est ainsi que le capitaine se lève rapidement de sa chaise, enfile un manteau majestueux et un chapeau original le désignant comme chef des lieux, il ne referme pourtant pas la bouteille, pour lui, cela ne durera pas, pas assez pour que le gout du Rhum s'en aille, de plus, un légère odeur se dégagera de sa cabine à son retour, ce qui aura pour conséquence de lui donner encore plus l'eau à la bouche, quoi qu'il en soit, il est temps de ce rendre sur le navire calmer les esprits violenter de ses subalterne déchainé...

Lentement il s'approche de la porte et rapidement tourne la poignée de celle-ci, son cœur bat rapidement, il n'a pu satisfaire encore ses envies de boisson, une chose qui le rend assez nerveux de toute évidence, il reprend, donc, rapidement son calme en respirant un grand coup, son visage n'a pas changer un brin depuis tout à l'heure, au contraire, la noirceur de son fort intérieur se fait sentir, une sensation peu commune qui pourrait glacer le sang de n'importe quel être, mais trêve de bavardage inutile, la porte commence déjà à s'ouvrir et c'est la qu'une lumière éblouissante fait son apparition, aveuglant le capitaine rapidement, celui-ci ne semble pas vouloir s'intéresser à ce phénomène et abaisse son chapeau pour parait se contre jour, rapidement il discerne une foule des plus importante au centre du navire, il comprend que tout son équipage est en position d'attaque, mais cela ne semble pas être une mutinerie, puisque ceux-ci sont dos à la cabine du capitaine, que ce passe t-il au centre de cette foule ? Le capitaine se le demande bien, il ne perd, donc, plus une minute pour s'avancer dans celle-ci, mais dès que le capitaine pose sa main sur l'épaule de l'un de ses matelot, celui-ci se retourne brutalement, observe les yeux du capitaine et s'écarte sans plus attendre, d'un pas des plus léger, le capitaine commence son ascension dans a foule, un chemin humain se trace devant lui, tout les matelot semble garder un profond respect pour cet être imparfait, une chose rare en ce bas monde, quoi qu'il en soit, il ne lui reste que quelques pas avant d'arriver près du centre de la foule et c'est la qu'il se stoppe net, d'un seul et unique regard il ordonne au matelot restant de s'écarter, ce qu'il s'empresse de faire et dès que cela est fait, le Capitaine observe deux personne dos à dos, deux inconnu semble t-il, la raison de leurs venu n'est pas connu du capitaine, mais cela n'a pas la moindre importance à son sens, saborder un navire pirate est la mort assurer, ses deux jeunes shinobi ? Au vu de leur accoutrement vont vite comprendre quel en sont les risques, mais avant cela le capitaine se doit d'émettre certaine parole afin de comprendre mieux la situation, c'est rapidement qu'il leur demande qui ils sont, rapidement, très rapidement la réponse est dite, mais il ne s'en souci guère et c'est d'un ton narquois qu'une forme de réponse est apporté...

"AHAHAH, vous me fêtes rire, je suis Fukin, capitaine de ce bateau, et c'est moi qui vais vous faire dégager !"

Le capitaine semble heureux de la venu de ces deux ennemi en quelque sorte, cela fait fort longtemps qu'il n'a pas eu un peu d'action dans sa vie ou son navire, un large sourire s'offre aux deux compère, une chose qui n'annonce guère une suite merveilleuse, bien au contraire, soudain, sa main se porte au manche d'un objet contondant, est-ce une arme ? Ou une chose que seule le capitaine à le secret ? Allez savoir, mais rapidement il sort cet objet et le met dans sa main bras tendu face aux deux shinobi, la il est facile de deviné ce que cela est, en effet, l'objet en question est un rouleau de taille moyenne, une chose qui cache surement un lourd secret, un secret qui vous sera bientôt révélé... En un seul et unique mouvement, le capitaine lance l'objet en l'air à très grande hauteur et lorsque cela est fait, tous les regard ce porte sur celui-ci, mais pendant ce temps, le capitaine exécute un grand nombre de signe et lance une technique dont-il a le secret, une technique qui lui fait craché de l'eau en bouche sur le sol du navire, celui-ci en direction des deux shinobi et lorsque cette eau atteint les pied des ennemi la technique est maintenant lancé... cette eau n'est pas pour faire beau en ce lieu, car à la seconde ou elle est lancé, elle devient une mixture collante, une glu sans précédent, la touché serait être pris dans un piège des plus dangereux, quoi qu'il en soit, la technique lancée, les pied du shinobi qui s'adressa au capitaine sont pris, une attaque qui semble vouloir montrer que l'on ne s'adresse pas à un capitaine avec si peu respect, le capitaine lève la main au ciel et attrape le rouleau lancé au préalable et rapidement déroule celui-ci, mais ce rouleau n'est en rien une technique secrète, ça n'est que les règles pirate établi en ce bâtiment, le capitaine n'a pas le cœur à cité chacune d'elle, il en viendra donc à la phrase concernant les sabordage, une phrase des plus dur a entendre, une phrase sans lendemain qui n'est autre que...

"la mort, par décapitation..."

Un puissant vent du nord se lève en ce lieu humide, la mer commence à s'agiter légèrement faisant, par la même occasion, bouger de gauche à droite le navire du capitaine Fukin, un mouvement de balancier pas des plus agréable pour ceux qui ne connaissent en rien la mer et ses désagrément, mais pour un marin ou bien un pirate, cela n'a pas le moindre effet, additionner à cela la chaleur d'un soleil divin, vous obtiendrez l'aire marine... L'aire marine est certes une chose à sentir à plein poumon, mais aussi une forme de liberté sans lendemain, peu de personne peuvent se venter d'avoir gouter à cette liberté une seule fois dans leurs vie, une liberté de mouvement, une liberté d'expression, une liberté dite total, voila ce qui fait du capitaine et de son équipage des hommes libre, même si dans leurs cas, cette liberté est utilisé à des fin moins novatrice qu'une personne saine d'esprit... Le pillage, le meurtre et bien d'autre sacrilèges sont le pain quotidien de ses hommes libre, n'est-ce pas triste à entendre ? Une liberté utilisé à des fin aussi abjecte, alors que de nombreuses personne en ce bas monde se battent pour obtenir un semblant de liberté, alors que des milliers de personnes meurt pour cette chose là, il n'y a pas de mots pour exprimer ce que sont ses hommes, se ce n'est des pirates, la seule et unique chose qui peux les arrêter dans leur ascension est ma mort elle même... Tuer ou être tuer est la phrase type de chaque pirate, un pirate à certes peur de la mort, mais il n'a pas peur de prendre la vie d'autrui, voilà pourquoi chaque règles qui se trouve dans le parchemin fini toujours par un sous entendu morbide, mais trêve de bavardages, un pirate demeure et demeurera à tout jamais un pirate...

Pour en revenir à ce qui nous intéressent, le capitaine qui tient entre ses deux mains le rouleau des règles pirate est attaqué par l'homme qu'il figea tout à l'heure, une technique simple est utilisé, un bunshin basique avec pour seul et unique but encerclé le capitaine, celui-ci ne semble pas vouloir bougé d'un pouce,délicatement il referme le rouleau et rapidement le remet à sa place originel, le calme dont fait Foix le capitaine est sans égal, son visage reste toujours aussi froid et haineux, c'est alors qu'il écarte lentement les bras, observe le ciel avec sans froid et attend l'attaque de l'adversaire, une chose des plus étrange, ouvrir les bras pour se prendre l'attaque de son ennemi, n'est-ce pas là signe de désespoir que de se laisser prendre de toute part ? Quoi qu'il en soit, l'attaque lancé, le choc reçu crispe les muscle du capitaine, mais il ne laisse pas entendre un seul cri, pas un seul murmure, pourtant la puissance lancé est des plus douloureuse, de la fierté mal placé peut-être ? Allez savoir, quoi qu'il en soit, dès que cette attaque est terminé, les muscle du capitaine commence à reprendre de leurs vigueur, lors de l'attaque on aurait dit qu'il était comme paralysé, une sensation désagréable à vivre pour toute homme sains, bien que le capitaine n'est pas le plus sains des hommes, quoi qu'il en soit, alors que le premier shinobi a pris un malin plaisir à attaquer le capitaine, une ombre éclipse le soleil, le capitaine regarde en direction de celui-ci et que découvre t-il ? Le second shinobi qui c'est lancé dans les airs, pas le temps de reprendre son souffle qu'une seconde attaque va lui être envoyé... Lentement, très lentement le capitaine ferme les yeux et rapidement la vision de son adversaire est troublé jusqu'à ne plus le voir du tout, le voilà tombé dans le noir complet, attendant avec impatience l'attaque ennemi et c'est sur ces mots que le capitaine reçoit quelque chose qui le fait reculer de plusieurs mètres en arrière, le choc est assez puissant, la douleur se fait sentir de plus en plus, mais cela ne semble pas ébranlé notre courageux capitaine... Lorsque le calme est retrouvé sur le bateau, le regard du capitaine se porte sur le sol, les deux shinobi peuvent penser avoir fort bien travailler leurs attaques, mais en est-ce bien le cas ? Car après un temps d'attente, un large sourire apparait sur le visage du capitaine, les yeux de celui-ci se rive sur les deux ennemis, et d'un sourire des plus simple, cela fait place à un rire démoniaque, une rire à vous glacer le sang, un rire de folie presque, une chose est sur, après s'être pris de tels attaque, personne de normal rirait ainsi, un côté masochiste de la part de notre vil capitaine ? qui peut le dire, quoi qu'il en soit, le capitaine approche lentement des deux shinobi, au bout d'un ou deux pas il se stoppe, se baisse et ramasse son chapeau laisser tombé auparavant, rapidement le remet sur sa tête après l'avoir secouer de la poussière et son regard est de nouveau rivé sur les deux shinobi, le rire démoniaque est bien évidemment terminé, mais le sourire ne semble pas s'effacer, c'est alors que le capitaine prend rapidement la parole...

"Vous avez cru pouvoir me faire souffrir avec ce genre de technique ? Je vais vous montrer ce qu'est une technique... Matelot, encercler les pour les empêcher de fuir !"

Sur ses mots, tous les hommes du navire se remettent en cercle pour entourer l'ennemi, le capitaine observe chaque tête de son équipage, ferme les yeux une seconde et les re-ouvre, sans perdre une seconde de plus il se dirige sur l'un des côté du navire, puis rapidement saute de celui-ci pour se retrouver sur une barque attaché au navire, un moyen de secours en cas de problème, même si peu de personne peuvent s'y installer, quoi qu'il en soit, son pied se pose sur la coque du navire et fait dériver le capitaine avec la chaloupe, lentement la distance entre les deux embarcation s'élargit, le capitaine à une vision large de son navire, il n'arrive plus à voir ses matelot ainsi que l'ennemi, mais il sait que tous sont resté comme il l'a ordonner, une chose de sur, ce qu'il va faire maintenant n'est pas la plus belle, ni la plus loyale qu'il soit, son visage devient neutre, ses mains se mettent en position d'attaque, rapidement,très rapidement il exécute de nombreux mouvement avant de hurler une phrase simple, une phrase de base, une phrase qui va changer le cours de son histoire, cette phrase n'est autre qu'une technique bien réputé dans le monde shinobi, que peu utilisent cependant, de par sa puissance, mais aussi de part sa cruauté, quoi qu'il en soit, après avoir exécuté les signes et hurler le nom de la technique qui n'est autre que le Daibakufu, l'eau tout autour de lui s'agite, celle-ci se soulève rapidement, créant, de par ce faite, un puissant tsunami, une vague de plusieurs mètres de haut qui approche du navire, allant jusqu'à engloutir celui-ci et tous ceux à bord, la puissance de la technique est telle qu'elle frappe tout un chacun sur le navire, brisant celui-ci en deux morceau distinct... Tous, je dit bien tous les matelot du capitaine coule avec le navire et aucun ne survit à cette attaque, une cruauté sans pareil de la part d'un capitaine, une chose impensable de part tout un chacun, rapidement, très rapidement le navire coule, tuant les dernier matelot à son bord, emportant avec lui tout âme qui vive... Après un long moment et l'attaque lancé, le bateau disparait complètement des yeux de son capitaine, ne laissant que quelques planches de bois à la surface de l'eau, la mer retrouve son calme habituel, le capitaine a une penser pour ses matelot mort au combat, même si cela semble pourvoir être évité, quoi qu'il en soit, il se demande juste ce que sont devenu les deux ennemis et ça, il pense ne pas tarder à le savoir, enfin, si l'ennemi englué au navire a réussi à s'en sortir bien évidemment...

Technique utilisé :

Spoiler:

En ce monde, il y a bon nombre de chose à dire, à vivre, à explorer, mais une chose est sûr, on ne peux toute les vivre, cela demanderais tant de temps, un temps dont l'homme ne bénéficie pas avec sa courte vie, du temps perdu par instant dans de nombreuses activité sans réel intérêt, mais lorsque nous nous retrouvons au bord de la mort, nous pouvons observé un phénomène étrange de la part de l'homme, un phénomène inexplicable... Quel que soit sa fierté, sa haine, sa dévotion, son égoïsme et autre, chaque homme qui affronte la mort de près à une penser commune, une penser sans réel intérêt, une penser fataliste sur les bord, mais quel est donc cette penser ? Bien, juste un défilement de sa courte vie, passant par tout genre d'émotions vécu ou non, une chose simple n'est-ce pas ? Pourtant quand on est dans ce cercle infernal, personne ne sait ce qu'il va en ressortir, d'un côté on expie ses péché, de l'autre on regrette chaque instant et chaque moment à vivre, allant même jusqu'à projeté dans un futur impossible, souhaitant la belle vie à tous, un moment de pur solitude qui nous impose une forte réflexion, bien que ce genre de chose devrait être penser bien avant que cette fatalité morbide fait son apparition, mais quoi qu'il en soit, mieux vaux tard que jamais comme l'on dit si bien... Bien évidemment, cette penser est pour tout être issu de ce monde dont l'esprit reste logique, il est quasi impossible d'en réchapper, le cas contraire dénoterais un esprit sans sentiments, sans réel espoir, sans réel rêve, une chose que tous ont eu un jour, des rêve doux, des rêves orgueilleux, des rêve tyrannique et bien d'autres encore, chaque rêve à réalisé est l'espoir de tout homme... Enfin... Presque tous...

Pour en revenir à notre fière capitaine, après avoir coulé son bateau, d'une façon des plus misérable, le capitaine observe la mort de tout un chacun sur ce navire faire un travail à la chaine, pour le capitaine, observer ses matelot mourir n'a pas la moindre importance, bien au contraire, il considère cela comme un sublime sacrifice, un sacrifice pour leur capitaine est une chose exceptionnel à vivre, même si dans ce cas la, le sacrifice est forcé... Un temps passe, le navire continue de sombrer, le capitaine semble très satisfait de son œuvre, tuer deux shinobi en un seul coup est un travail bien fait à son sens, mais pendant qu'il s'extasie de sa dite victoire, une chose étrange se produit, un globe de feu se forme soudainement tout autour du capitaine, celui-ci n'a pas le temps de réagir qu'il est pris dans ce globe, la première chose qu'il souhaite faire c'est sortir de ce traquenard, mais à peine approche t-il la main à quelque centimètre du globe qu'il la sent brulé, c'est dire la forte chaleur qui se dégage de celui-ci, le capitaine est pris dans un piège mortel semble t-il, son état physique commence déjà à chuter, une forte transpiration l'envahis sur tout le corps, le capitaine ne pourrait expliquer ce qu'il ressent, car au fond, il n'a jamais ressenti cela, mais une chose est sûr, il sait ou il risque d'aller à cette allure la, cependant, sa première réaction est de ne plus bouger, rester droit comme un piquet, puis observer à l'extérieur du globe, même s'il ne voit rien de précis, il semble uniformiser certaine chose, surement les shinobi de tout à l'heure, il ne penser pas que ceux-ci étaient aussi fort, bien au contraire, une erreur qui risque de lui couter la vie... Un temps passe, le capitaine garde un calme sans précédent, lentement il replace son chapeau, caressant la plume qui s'y trouve juste avant de croiser les bras et fermer les yeux, il n'émet aucune sentiments dans ses gestes, aucune compassion pour la vie, rien, difficile de comprendre à quoi il pense en ce moment même, une pierre gelé à plus de compassion que cet être imparfait... Le capitaine ouvre les yeux, mais semble avoir perdu la majeur parti de ses acuités visuelle, son coprs est comme engourdi, sa respiration accélère de plus en plus pour obtenir le peu d'oxygène en ce lieu, ses vêtements deviennent noir cendre, la mort est donc la seule issu qu'il lui reste, mais une chose d'étrange se produit rapidement, le visage du capitaine passe d'une crispation sans précédente, à un large sourire, sourire à la mort est impensable, aucun être normal ferait cela, mais... Qui a dit qu'il étatit normal... Le corps du capitaine commence à bruler à son tour et c'est dans un rire effroyable que le capitaine meurt de cette attaque, en laissant à ses assassin la marque d'un être sans coeur et sans repproche...

"Ahahahahah ahahahahahah aaaaaaaaaaahahahahahah AAAAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAH..."