→ Kugutsu et Taimu ← [PV Sasori]

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Les secrets du Kugutsu se découvrent à Tôzen, qui vient de faire sa première mission…

Tôzen venait d’accomplir sa première mission de rang D, sans trop d’efforts. Le petit qu’il devait rendre capable de passer son examen était doué et deviendrait un bon ninja. Quoi qu’il en soit, le Taimu était libre de faire ce qu’il voulait, maintenant qu’il en avait fini avec ce devoir. Il retourna d’abord chez lui, pour déposer ses affaires, et ressortit juste après. Dans les rues du village caché de Kinpaku, tout était mouvementé, comme à son habitude. La joie était présente dans tous les habitants qui avaient pratiquement tous le sourire aux lèvres. Alors qu’il n’avait pas prévu d’aller là bas, il rentra dans une petite maisonnette où se trouvait une scène animée. Des enfants étaient autour, et des parents les accompagnaient en regardant le spectacle, c’était des marionnettes. Tôzen s’approcha, regardant de plus près le spectacle enfantin des marionnettes, elles étaient petites et bien faites. Il resta pendant quelques minutes, laissant un petit sourire sur son visage heureux. Soudain, un petit garçon lui toucha la jambe, le Taimu baissa les yeux, regardant le petit brun qui avait une tête bien dessinée. « Monsieur, t’es un ninja ? » Tôzen qui était un peu mécontent du dérangement, sourit en laissant sa douce colère s’envoler. « Oui, je suis un genin. » Le petit garçon se mit à sourire, regardant admirativement le Taimu. « Ouais ! Moi aussi j’vais devenir un ninja ! Et je maîtriserait le Kugutsu ! » Les yeux de Tôzen s’écartèrent un peu.« Kugutsu ? » Le sourire du petit garçon s’effaça, et fut remplacé par un petit arc de cercle qui dessinait un visage dérangé. « Mais le Kugutsu ! L’art de combattre avec les pantins, les pièges, bam ! badaboum !! » Soudain, Tôzen comprit, et se souvint de cet art qui lui plaisait bien. Lui qui n’avait pas encore de techniques d’attaque très puissantes, était encore plus attiré par la manipulation des marionnettes. Le Taimu tapota la tête du petit garçon, imprégnant celui ci dans sa tête. Il courut ensuite vers une bâtisse où il était déjà allé : la bibliothèque.

Une fois arrivé à l’intérieur, et après avoir récupéré quelques livres sur cet art, Tôzen se mit à la lecture, pour en savoir plus sur cet art étrange et puissant qu’est le Kugutsu. Il appris quelques temps plus tard avec ces bouquins que l’art du Kugutsu était la force de manœuvrer des pièges, des pantins en tout genre, et que cet art était très difficile à réussir. La construction d’une marionnette était très laborieuse, et la manipulation de celles ci était très complexe, mais cela ne suffit pas à atténuer la volonté de Tôzen, qui rendit les livres, et rentra chez lui, pour préparer ses affaires, il allait partir pour trouver ce qu’il avait besoin pour construire sa marionnette. Une fois qu’il fut prêt, Tôzen franchi les portes du village, et se mit en route. Quelques heures plus tard, il se retrouva dans un endroit qu’il lui était bien sûr inconnu. Le paysage autour de lui était fait de roches, de dunes, d’arbres, et un lac semblait s’étendre à des centaines de mètres. Il essaya de se rappeler de ses connaissances apprises avec les livres, et se mit à réfléchir sur sa position. Il ouvrit les yeux, se rendant compte qu’il ne devait pas être loin du Pays de la Terre…

Cela faisait quelques temps déjà, que j’avais quitté le village de Kinpaku. La nostalgie n’était cependant pas au rendez-vous, je n’avais pas le temps. Depuis que j’avais déserté je n’avais pas fait grand-chose, je parvenais seulement tant bien que mal à rester en vie. Je me souviens encore, une lettre étrange, posé sur un rocher qui lui-même se trouvait sur mon chemin. Une lettre qui semblait pleine de promesses. M’était-elle vraiment destiné sa je ne le savais pas quand je l’avais prise, mais comme elle réagissait au chakra j’en conclus qu’elle n’était pas pour un simple civil. Et depuis que je l’ai ouverte je suis ici, au village d’Iwa, sur un ordre de je ne sais qui, mais cependant le calme et l’éloignement du lieu en font un village idéal pour éviter les ennuis.

Aujourd’hui j’avais envie de m’atteler quelques peu à la tâche qui est la fabrication de pièges. En effet j’avais pas mal de matières premières inutiles, et j’avais besoin de quelques parchemins explosifs. Je sortis donc du village et alla dans la plaine d’Iwa avec mes matériaux. J’avais pris de quoi confectionner cinq parchemins explosifs. Je cherchai un endroit plutôt calme, à l’abri des regards, surtout que désormais pour moi les regards pouvaient être dangereux. Je trouvai un rocher plat, près d’un petit bosquet, pas terrible comme cachette mais idéal ou presque comme lieu de travail. Je venais souvent m’exercer dans cette pleine, d’une part car je m’y étais habitué en désertant Kinpaku et d’autre par parce que je n’avais pas trouvé de logement décent au village. Je sortis donc mes affaires de mon petit sac et les plaça sur le rocher. Il y avait une bonne quantité de poudre explosive et quelques morceaux de papier vierge. Je scellai une quantité raisonnable de poudre dans chacun des cinq bouts de papier que j’avais emportée avec moi, et la quantité de poudre était juste suffisante. Mon travail était terminé, j’avais créé les quelques parchemins dont j’avais besoin, mais je n’avais pas envie de rentrer tout de suite, récemment j’avais entrepris la fabrication d’un sublime pantin et j’avais encore besoin de matériaux. Il n’y avait qu’un seul, et surtout gros problème, j’avais besoin de bois un peu spécial, qu’on ne trouve que dans la région du pays de l’embrasement. Je voulais absolument éviter de m’approcher de Kinpaku ou même de l’ancien village de Suna qui devait certainement être surveillé, mais je n’avais pas tellement le choix. Il fallait que je me procure ce bois et j’allais me le procurer.

Dans un premier temps il fallait que j’aille à la frontière, j’étais comme à l’habitude équipée de mes parchemins d’invocations au cas où. De plus j’avais maintenant quelques parchemins explosifs si jamais une embuscade était au programme d’une fuite improvisé. Je repris donc mon petit sac que je rattachai à ma ceinture, et referma mon grand manteau rouge de manière à dissimuler mon équipement. Je marchai pendant un bon moment, admirant parfois le paysage, me demandant à quoi pourrait ressembler mon prochain pantin, et cherchant des matériaux qui pourraient m’être utiles. Puis finalement j’aperçus la frontière du pays de la terre, c’est avec prudence que je la franchis. Il n’y avait qu’un petit pays entre le pays de la terre et celui de l’embrasement, je devais donc être extrêmement prudent et jouer au maximum les touristes. Je marchais donc lentement, l’air plutôt décontracté, mais en me méfiant tout de même des alentours. Puis je m’arrêtai d’un seul coup. Au loin devant moi il y avait un ninja de Kinpaku, d’ici je ne pouvais pas le distinguer clairement, il ne portait pas de masque cependant il n’était donc pas des forces spéciales. Je ne devais pas le sous estimé, si je faisais un geste brusque il pourrait me reconnaitre facilement. Je n’avais pas tellement le choix à vrai dire, il fallait que je l’abatte. Après tout on ne sait jamais c’est peut-être un membre des forces spéciales qui joue les débutants pour ne pas attirer l’attention et surtout pour collecter des informations sans se faire trop remarquer. Je saisis un kunaï dans ma main, mais je la laissa dissimuler sous mon grand manteau, et je continua à avancer vers le ninja. En me rapprochant de lui je pouvais constater qu’il était jeune malgré sa grande taille. Vu les traits de son visage je lui donnerais entre quinze et dix-huit ans. Il était rare d’avoir des personnes aussi jeune dans les forces spéciales mais pas inexistant. Je n’avais pas trop le choix je me devais de l’assassiner, qui plus est, cela me ferait un corps de plus pour fabriquer un nouveau pantin. Je commençai à serrer le kunaï dans ma main et lorsque je voulus l’égorger en passant à coté de lui, je pus remarquer qu’il avait un grand sac à dos. Un grand sac…les ninjas expérimentés se servent de parchemins d’invocations, de façon à transporter un minimum d’équipement sur eux, et ils évitent de s’encombrer d’objets inutiles tels des livres que je pouvais clairement distinguer dans une petite poche du sac de mon opposant. Les livres étaient sans importance, en revanche il semblait posséder quelques outils intéressant. Il continua sa marche, nous étions dos à dos, je regardai par dessus mon épaule, et ne le vis pas se retourner, il avançait sans grand but particulier. Il avait un regard très sombre, cela me plaisait bien. Je ne savais pas qui il était ni ce qu’il faisait ici, mais une chose est quasiment certaines, il ne me connait pas, et n’est pas la pour me faire la chasse à l’homme. Je le suivis et curieusement je ne savais pas pourquoi, il me rappelait ce ninja, Sawen, que j’avais déjà affronté. La jeune génération de Kinpaku est pleine de promesses dirait-on. Il marchait toujours, ne semblait pas s’intéresser à son environnement j’en conclus donc qu’il n’était pas en mission. Son bandeau semblait solidement fixé, il n’était pas particulièrement sale, et surtout il était hors de son village, seul et à découvert. Pour préserver l’équilibre des forces, les ninjas hauts gradés des villages ne sortent généralement pas de leur village respectif à découvert, sauf si c’est pour entrainer une équipe de genins. Mais en même temps si c’était un genin, il était bien imprudent de se balader seul si loin de Kinpaku. Je n’avais pas d’autres moyens de savoir son grade, il fallait que je m’adresse à lui directement. J’attendis donc que nous soyons dans un endroit peu fréquenté, à vrai dire, pas fréquenté du tout. Je ne devais pas prendre de risques inutiles en l’abordant, si je ne le tenais pas en respect et qu’il s’agissait d’un ninja chargé de m’éliminer, j’allais y rester. Je m’avançai donc vers lui, et avec mon bras gauche lui saisit le cou, tout en le maintenant avec ma main droite à l’aide de mes fils de chakra.

« Ne te fatigue pas à bouger, les fils qui te retiennent sont des fils de chakra, et crois moi en tant que marionnettiste il m’est aisé de te briser les membres avec. J’aimerais beaucoup que tu me dise qui tu est et pourquoi tu es si loin de ton village, en fonction de ta réponse, sois je te libérerais, sois je te briserais les membres et t’égorgerais. Oh et j’oubliais, je n’aime pas attendre alors empresse toi de me répondre ! »

Citation :: HRP : Vraiment désolé du petit retard, j'ai été plus long que prévu

→ Une rencontre ←

Tout avait été trop vite pour Taimu, qui à présent, était livré à son destin, qui se jouait à l’humeur d’un seul homme. Lorsqu’il se rendit compte qu’il n’avait rien vu venir, et qu’il était immobilisé, Tôzen regarda ses membres paralysés. Des petits fils d’une couleur bleu ciel était rattaché à ses bras, jambes et autres parties du corps du ninja qui poussait des petits bruits d’énervement et de panique. Une voix l’interpella : « Ne te fatigue pas à bouger, les fils qui te retiennent sont des fils de chakra, et crois moi en tant que marionnettiste il m’est aisé de te briser les membres avec. J’aimerais beaucoup que tu me dise qui tu est et pourquoi tu es si loin de ton village, en fonction de ta réponse, sois je te libérerais, sois je te briserais les membres et t’égorgerais. Oh et j’oubliais, je n’aime pas attendre alors empresse toi de me répondre ! » Décidément, Tôzen n’avait pas eut de chance. Lorsqu’il leva la tête, il aperçus un homme qui avançait, les mains levées. Il n’était apparemment pas du village de Kinpaku, ou d’Oozora, dont le Taimu connaissait bien les symboles. Ce ninja était sûrement un shinobi du village caché ninja principal du Pays de la Terre. L’identité de ce ninja devait être dévoilée à Tôzen, mais ce n’était pas à lui de poser les questions pour le moment, et il devait s’y résoudre… « Je me nomme Tôzen Taimu. Je suis un genin de Kinpaku. Pourquoi je suis si loin de ce village ? Parce que je veux créer une marionnette, et devenir un spécialiste de Kugutsu. Et toi, qui es tu ? » Les yeux de Tôzen ne quittèrent pas une seule seconde ceux de l’inconnu. Il savait qu’il allait sûrement mourir, mais c’était hors de question qu’il trépasse sans honneur, sans se battre jusqu’au bout. Le regard du Taimu devint de plus en plus féroce, et déterminé. « Tu es trop puissant pour moi, c’est certain. Alors tue moi si c’est ça que tu désires tant ! Mais sache que tuer quelqu’un qui ne te voulait rien, et même le contraire, maintenant que je sais que tu est un marionnettiste, et sans défense en plus, c’est lâche. Alors peut être que mes paroles te pousseront à me tuer, mais tant pis. Hors de question de mourir sans rien dire ! »

Le jeune ninja semblait hésitant, il semblait quelques peu effrayer aussi, hors les ninjas de haut niveau gardent leur sang froid en principe. Je ne savais toujours pas si j’avais à faire avec un ninja expert dans l’art de la comédie et du théâtre et qui est venu pour me tuer, ou bien si simplement c’était bel et bien un jeune ninja inexpérimenté de Kinpaku. Il s’était finalement résolu à répondre à mes questions, il cédait facilement.

« Je me nomme Tôzen Taimu. Je suis un genin de Kinpaku. Pourquoi je suis si loin de ce village ? Parce que je veux créer une marionnette, et devenir un spécialiste de Kugutsu. Et toi, qui es tu ? »

Il me posa cette question après avoir minutieusement analyser mon bandeau, depuis peu il s’agissait de celui d’Iwa, et le jeune genin semblait perplexe. Les ninjas de Kinpaku n’avait eu aucun vent à ma connaissance de ma mutation à Iwa, ils me considèrent toujours comme un simple déserteur errant seul au milieu du « désert ». Les questions habituelles restaient dans mes pensées, je ne pouvais pas encore le croire totalement, après tout un chasseur de déserteur qui se fait passer pour un marionnettiste est une bonne idée pour attirer un autre marionnettiste. Mais je pouvais voir dans son regard quelques choses de … sincère. Il me rappelait un peu ce jeune genin, Sawen, que j’avais déjà affronté. Il semblait courageux ou simplement effronté car il ne me lâchait pas du regard. Il me fixait, ses yeux se remplissaient de courage peu à peu, et enfin il osa dire autre chose.

« Tu es trop puissant pour moi, c’est certain. Alors tue moi si c’est ça que tu désires tant ! Mais sache que tuer quelqu’un qui ne te voulait rien, et même le contraire, maintenant que je sais que tu es un marionnettiste, et sans défense en plus, c’est lâche. Alors peut être que mes paroles te pousseront à me tuer, mais tant pis. Hors de question de mourir sans rien dire ! »

Il avait un certain cran sa c’était indéniable et il me rappelait de plus en plus Sawen. Je le regardai attentivement, essayant de trouver un signe qui trahirait sa vraie identité, mais je ne trouvais rien, et surement parce qu’il n’y avait rien à trouver, ce n’était peut-être que la personne qu’il affirmait être. Je le regardai fixement et lui lança un petit sourire, puis petit à petit je relâchai mon étreinte, jusqu'à le libérer totalement. S’il s’agissait d’un piège ennemi…j’étais tombé en plein dedans. Mais j’avais une sorte d’intuition, qui me disait que ce jeune ninja, ce Tôzen, disait la stricte vérité. Finalement il m’avait en quelques sortes convaincues, je me décidai à lui répondre.

« Je me nomme Sasori, les ninjas de mon ancien village, Suna, avaient pris l’habitude de me surnommé Akasuna no Sasori. Si je suis si loin de mon village d’origine, c’est justement parce que j’ai moi aussi voulu fabriquer des marionnettes et si je suis devant toi, toujours en vie malgré ma désertion, c’est parce que je suis un spécialiste du Kugutsu. Excuse moi pour les fils de chakra, mais comme tu peut le deviner, la vue d’un ninja de Kinpaku m’est assez pénible, j’ai constamment l’impression d’être suivi, mais mes histoires ne te regardent pas après tout. Je ne vais pas te tuer, à vrai dire je te trouve courageux et prometteur, je suis à la recherche de matériaux pour concevoir un pantin, si le cœur t’en dis tu peux me suivre et alors je t’apprendrais quelques trucs sur la fabrication d’un pantin, mais je te préviens, si jamais par ta faute les ninjas de Kinpaku me retrouvent, ce sera toi ma prochaine matière première pour fabriquer un pantin ! »

La solitude m’avait-elle poussé à m’occuper de ce jeune ninja ? Je n’en savais trop rien, après tout je me sentais seul depuis longtemps maintenant, et puis un peu de compagnie ne peut pas faire de mal, même si la compagnie d’un ninja de Kinpaku est dangereuse, je n’aurais qu’à l’abandonner en cas de problème. Et puis il fallait voir le coté positif, si jamais j’avais besoin d’un espion pour me livrer des informations sur le village de Kinpaku, il était la personne idéal ! Sur ce, je tourna les talons, remis ma capuche sur ma tête et me remis en route.

Citation :: HRP : Voilà deux choix s'offre à toi, me suivre et en apprendre plus sur l'art du Kugutsu ( en quelques sortes je serais ton Sensei ) au risque de te faire mal voir par les ninjas de Kinpaku ; ou alors repartir et apprendre le Kugutsu par toi même mais au moins tu n'aura pas de problèmes au village de Kinpaku.

« Je me nomme Sasori, les ninjas de mon ancien village, Suna, avaient pris l’habitude de me surnommé Akasuna no Sasori. Si je suis si loin de mon village d’origine, c’est justement parce que j’ai moi aussi voulu fabriquer des marionnettes et si je suis devant toi, toujours en vie malgré ma désertion, c’est parce que je suis un spécialiste du Kugutsu. Excuse moi pour les fils de chakra, mais comme tu peut le deviner, la vue d’un ninja de Kinpaku m’est assez pénible, j’ai constamment l’impression d’être suivi, mais mes histoires ne te regardent pas après tout. Je ne vais pas te tuer, à vrai dire je te trouve courageux et prometteur, je suis à la recherche de matériaux pour concevoir un pantin, si le cœur t’en dis tu peux me suivre et alors je t’apprendrais quelques trucs sur la fabrication d’un pantin, mais je te préviens, si jamais par ta faute les ninjas de Kinpaku me retrouvent, ce sera toi ma prochaine matière première pour fabriquer un pantin ! »

Le mystérieux ninja venait donc de Suna, et il n’était pas si hostile que Tôzen le croyait. Quelques secondes permirent au Taimu de se rendre compte d’un détail. Suna fait parti de la fusion qui a crée le village caché de Kinpaku, avec Konoha. Ce ninja serait donc un déserteur ? Et en plus un déserteur du village de Tôzen ? Le jeune genin se rendit compte que cet homme était peut être un criminel, et donc que c’était peut être un coup monté pour lui soutirer des informations. Tôzen analysait en marchant aux côtés de Sasori toutes les possibilités et tout ce que le ninja d’Iwa pouvait faire de bien, ou de mal. Soudain, avec toutes les questions que Tôzen se posait, il s’arrêta. « Tu a déserté Kinpaku alors… Ne t’inquiètes pas, je ne dirai rien. Mais n’espère pas non plus me soutirer des informations importantes, je te suis pour maîtriser l’art du Kugutsu, et… Rien d’autre. » Il était un peu hésitant dans ses paroles, mais il ne devais surtout pas se montrer trop agressif, ou trop gentil, il devait se montrer digne, et être lui même.

Quelques instants après, alors que le paysage était vaste, varié et beau, Tôzen reprit la parole. « Alors ? Qu’est-ce qu’on fait ? »

Ce jeune Genin avait du cran, il me suivait alors qu’il ne connaissait de moi que les quelques informations que j’ai bien voulu lui dévoiler. Il avait l’air de se poser pas mal de questions, il était observateur, ne me lâchait pas du regard. Je me demandais encore pourquoi je m’étais entiché d’un jeune genin issue du village d’où justement j’ai déserté. Mais il me semblait envieux d’apprendre l’art du kugutsu, et je ne peux refuser à un si jeune artiste de l’aider. Il avait pour lui les toiles, il ne lui manquait que les pinceaux, et la peinture apparaitra au fur et à mesure. Dans un premier temps nous devions nous éloigner de Kinpaku et nous rapprocher d’Iwa, sans pour autant franchir la frontière. Nous avions donc marché pendant un petit moment avant que mon nouvel « élève » en quelques sortes, me demande :

« Alors ? Qu’est-ce qu’on fait ? »

Quelques minutes plus tôt, il m’affirme qu’il me suit pour apprendre le kugutsu, et maintenant le voilà qui me demande ce que nous allons faire. Mais dans le fond il n’avait pas complètement tort, il nous fallait un point de départ, une base, et rien de mieux pour cela que l’apprentissage du maniement des fils de chakra. Le seul problème est qu’il fallait certains parchemins d’instructions pour apprendre une telle technique, et Tozen ne semblait pas en posséder. Je n’avais pas tellement le choix, n’en possédant pas moi-même il fallait trouver un moyen de s’en procurer. Le magasin d’Iwa en vendait mais il fallait pour cela que je m’absente quelques temps en laissant le jeune garçon seul. Je n’avais pour le moment pas d’autres alternatives, je fouilla dans ma sacoche et tendis la main à Tozen.

« Bon écoute moi, nous sommes maintenant proche de la plaine d’Iwa, la frontière n’est pas bien loin, je vais t’expliquer la suite du programme. J’ai bien l’intention de débuter ton apprentissage tout de suite, je n’aime pas faire attendre, alors je vais t’enseigner une techniques de base dans le maniement des pantins. Si tu apprends vite et bien je t’apprendrais une seconde technique, puis enfin je te montrerai comment fabriquer un pantin articulé. Mais le seul problème c’est que ton équipement semble léger, je vais donc devoir allez acheter des parchemins… et puis non j’ai une meilleur idée, c’est TOI qui va aller acheter tes parchemins, il t’en faudra donc deux, ne t’inquiète pas c’est moi qui paye l’adition, si tu es vraiment motivé alors tu ne verras pas d’inconvénients à te déplacer autant, bien sur tu peux encore abandonner l’entrainement et rester à Kinpaku une fois que tu y sera retourné. »

J’avais pour projet de départ de me déplacer moi-même, mais en y repensant, le jeune Tozen pouvait bien y allez lui-même, de cette manière je verrais si c’est une personne déterminer ou non. Je rangeai les parchemins explosifs que j’avais prévu de lui donner, puis je sortis une bourse de quelques ryos de ma poche. Il n’y avait pas une grosse somme, seulement de quoi payer deux rouleaux de parchemins basique. Je les donnai à Tozen et je lui fis signe de s’en aller. Maintenant j’étais impatient de voir si il allait revenir ou bien s’il allait abandonner, en effet le voyage jusqu’à Kinpaku était assez long depuis l’endroit ou nous nous trouvions.

Citation :: HRP: je donne donc 20 ryos à Tozen pour qu'il s'achette deux parchemins techniques de niveau I (ils sont à moitié prix vu que les techniques vont lui être enseigné par un Sensei).
Maintenant tu a de nouveaux deux choix : soit allez acheter ces parchemins et revenir pour t'entrainer, soit garder l'argent et rester à Kinpaku.

Citation :: HRP : Tozen étant absent, nous allons considérer ce RP en plusieurs partie. La première partie est donc terminé, merci au modérateur/admin qui le validera. Il est probable qu'il y ai une suite lors du retour de Tôzen.

Sur ce bonne journée.

♪ A moi la validation des deux pinocchios !

Saso' : Très bon Rp ma foie ^^ Très peu de faute , les seules fautes sont des faute d'inattention donc une relecture correct suffit ! + 25xp Just for You !

Tôzen : Toi t'es mort ! Je blague xD Donc voilà , pense à mieu te relire , même plusieurs fois si il le faut, tu ne fait beaucoup de fautes mais certaines son vraiment tout bête . Et aussi tu gonfle tes Rp par des dialogues. Moins de dialogue plus de description etc et sera nickel ! 15xp .

Tsu' Very Happy

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