Porte 14 : Dortoir de Lucy-Chan [Privé]

ㄨ Le rassemblement était terminé, je marchais vers mon dortoir, ma chambre, mon lieu de détente. La lueur des torches vint me caresser la joue… à chaque fois que je passai devant l’une d’entre elle… à chaque fois… aucune flamme ne manquait à l’appel. Ma tête était basse, j’observais le sol, la roche sous chacun de mes pas lent. Étrangement je n’étais pas pressé… mais le plus étrange c’était bien cette sensation toujours en vigueur dans mon corps, dans ma tête. L’envi? La folie? Non… ce n’est pas agréable, c’est irritant même. La peur? Heh, qu’est-ce la peur? Non plus, c’est autre chose et j’aimerai tant le savoir. C’est un mélange de haine et de désir parmi les plus obscurs de mon être. Un enfant… si, je veux tuer un enfant. Je veux le voir pleurer, je veux le voir saigner, je veux me nourrir de ses petits cris tel une vrai piqure d’extasie… Je n’ai plus de poupée… ce que je donnerai pour en avoir une, juste une…

ㄨ Soudain, je m’arrête. Devant moi se dresse un mur, la fin du couloir. Je ne l’avais même pas remarqué. Je pivote lentement sur un pied, redirigeant mon corps vers la droite, vers une porte numérotée. Lentement, je l’ouvris, doucement et sans bruit, j’entre à l’intérieur d’une pièce submergé dans l’ombre. Je m’arrête encore… ferme la porte et retire mon chandail d’un simple geste las. Aveuglément, je tâte le mur à la recherche d’un bouton de courant… puis…

Clik!

ㄨ Une lumière, une faible lueur jaillit d’une maigre ampoule retenue au plafond par une simple chainette de métal. Rien n’avait bougé, mes cartiers étaient tel que laissés avant la réunion. Toujours avec lenteur, je retire le reste de mon linge pour ne laisser que mes sous-vêtements. Je m’assis un moment sur mon lit, fouillant les poches de mes shorts pour mon paquet de cigarette, chose que je trouvai en un rien de temps… mais vide… vide? Je le fixe un moment avant de le jeter au sol. Plus rapidement, je passe ma main dans les autres poches, mais rien… rien… encore RIEN! Ma main vint se plaquer brutalement sur mon front et glissa jusqu’à ma gorge en graffignant la surface de ma peau au passage. Ce n’est rien Lucy… tout va bien aller, ce n’est qu’une nuit après tout… L’angoisse me gagne et prend le dessus de ma raison. Non-non et non! C’est trop risqué… la dernière fois…

ㄨ Je secoue la tête de gauche à droite, tentant de me vider l’esprit de ce stress soudain, celui de dormir sans avoir fumé. Je me redresse d’un bon et observe ma chambre de fond en comble à la recherche de tout ce qui peut couper, incluant le seul kunai que je conservais, attaché à ma ceinture. Une fois les objets regroupés, en autre quelques petits couteaux, un coupe-ongle, le kunai, deux vieux shurikens poussiéreux et une lame de rasoir, j’ouvris la porte grande ouverte, et balança les trucs à l’extérieur avant de m’enfermer à nouveau dans mon petit monde. J’allai m’asseoir, les genoux redressé vers le haut, sur mon lit en m’adossant contre le mur arrière. Tout est calme… il n’y a plus rien à craindre maintenant. J’expire… lourdement… puis, plus lentement pour enfin reprendre un rythme normal. Mes paupières s’alourdissent et se referment, je m’étends sur les draps doux de mon lit qui ne tardèrent pas à absorber ma chaleur corporelle…

Le sommeil… final-e-m-e-n-t… … …. … … … … zzz

…Quelques heures plus tard…

ㄨ Une présence s’approche doucement du lit de notre jeune antagoniste. Une étrange présence, sombre et qui n’inspire rien de bon. Elle est voilé d’ombre mais on voit qu’elle se rapproche… lentement… de Lucy, étant bien lotit dans ses couvertures. Un bruit de pas sonore et presque irréel se fait entendre. Chaque pas résonne dans un écho, se perdant ensuite dans un silence inquiétant.

- Luuuuuuuu-cy… retentit une voix fictive et enfantine en mettant l’accent aigue et prolongé sur le préfixe du nom.

- Hrrrrrmm… qu… est-ce? Zzz…

ㄨ Une étrange voix venait tout juste de perturber mon sommeil et comme je le devine, elle n’est pas prête de me foutre la sainte paix…

- Luuuuuuuu-cy… tu te souviens de moi, non?

- Neh… qui de fuck es-tu? Merde laisse-moi dormir… Dis-je en me retournant, face au mur.

- Ahoooww… Tu vas encore me laisser seule, non? Tu me laisses toujours seule Lucy!

- Pourquoi ne veux-tu pas jouer avec moi? Hum?

ㄨ Non mais cette fillette n’allait pas me lâcher ein? Faut que je lui fasse quoi pour quelle comprennent? Lui en coller une en pleine gueule? Cette solution semble la plus juste. De ce fait, je me retourne brusquement et fit face à face avec…

- Ça fait longtemps Lucy, tu ne m’as pas oublié… j’espère… maintenant, on joue tu veux bien? Dis la silhouette enfantine de… moi, enfin… elle, non… ici, comment? Qu’est-ce qui se passe? Ce n’est pas réel, c’est impossible… Je suis moi… JE SUIS MOI! Je suis pas une gamine de huit ans bon sang… et j’peux pas être à deux endroit à la fois! C’est un rêve, c’est forcément un rêve! Avant même de me relever pour chasser cette image de moi qu’une voix résonna aussitôt dans ma tête…

*Tu es bien là Lucy… nous somme là, tous les deux! Unis à jamais!*

ㄨ La jeune silhouette de mon enfance afficha un doux sourire serein.

*Non… C’est impossible, tu n’existes pas!*

ㄨ J’observais mon double, sentant une sueur froide couler sur mon visage. Je sens…? Comment? C’est une sorte de jutsu pour me faire perdre la carte c’est ça? C’EST ÇA?!?!?! Soudain, elle disparue. Où… où était-elle? Je tourne la tête à gauche, à droite, derrière… puis dev-…

- Suuuuurprise!

- GAAAAAAAAAAAAAH!!! Ne refait plus jamais ça tu entends…! Crachai-je en sentant mon cœur se débattre à toute allure.

- Ha-Ha-Haaaah! Ha-Ha-Ha-Ha-Haaaah! Ce que t’es drôle, Luuuucy! S’exclama mon double en étirant un rictus des plus chaotique. Sans comprendre pourquoi ni comment, elle était là, sur mon lit, devant moi et ses mains… longeait la surface de mon corps jusqu’à mes seins qu’elle… qu’elle massa brièvement.

- WHAT THE FUCK QU’EST TON PROBLÈME! Gueulai-je furieusement en élançant mon poing dans sa figure, chose qu’elle bloqua aussitôt d’un revers de la main…Que? Merde… d’où vient sa force putain! C’est une saloperie de fillette de mon derrière!

- Tsss… Tsss… ne me repousse pas comme ça, Lucy. Tu vas me faire de la peine.

- Maintenant, on joue à la poupée… tu seras ma poupée d’accort? Demanda cette garce en affichant un sourire sadique propre à nul autre qu’un démon… ou un vampire ou je ne sais quoi mais c’était anormal pour une gamine!

Heh...

- Tu as été une très vilaine poupée, Lucy. Et maintenant, Eh-hi-hi, je dois te punir! D’accort? Osa-t-elle me demander sous ses petits airs enfantins super heureux à m’en donner le goût de vomir.

- Tch, si tu crois que ça va être comme la dernière fois… j’suis pas conne, tes petits jouets j’lai ai tous foutus dehors! Dis-je avec un sourire confiant qui s’effaça aussitôt, voyant que mon double ne semblait pas plus déçu que ça… le contraire même, elle paraissait réjouie. Espèce de vermine chaotique...

- Oh! Mais… Lucy… débuta-t-elle en rivant ses mains vers les hauts tel un chat.

- Je n’ai pas besoin de jouet pour m’amuser avec toi… termina-t-elle alors que ses ongles s’allongèrent pour former de longues serres pointues tout en démontrant ses canines prolongées par un sourire maniaque.

…

GYYYAAAAAAAAAAAAAAAAHH!!!!!!!!!!!!!!!!

ㄨ Je sens… la sueur, elle coule… dans mon dos, sur mon visage… partout, partout partout! Je tremble, je tremble…. JE TREMBLE! La douleur, ça fait si mal… SI MAL! J’ai mal, très mal, je tremble encore… plus vite, plus brusquement… je perds contrôle puis ouvre les yeux. Ma vision est floue mais j’ai mal! C’est atroce, qu’est-ce qui m’arrive? Que m’est-il arrivé? Où suis-je? Quelqu’un? Que ce passe-t-il… que c…c’est-il passé? Mon souffle, il déraille, je tousse et tousse… ma respiration est haletante, incontrôlable… insupportable! Je veux que ça s’arrête… que ça s’arrête… … que ça… s’arrête… J’inspire, je ferme les yeux, puis expire, lentement. Calme… calme-toi, tout va bien aller… tout va bien aller... tout va… bien aller. Je me murmure… ces mots doux, je suis ma propre maman pour m’apaiser, me sécuriser de ce tourment. C’était un rêve… qu’un mauvais rêve, tout va bien maintenant. Je m’étais réveillé en sursaut, apparemment. Ma main vint me caresser la joue comme l’aurait fait une bonne mère envers son enfant… sauf que, je sentis une sensation chaude et liquide contre ma peau… du sang…

Tac..... Tac............. Tac...

ㄨ Mes yeux s’ouvrirent, vacillèrent vers la main… mes deux mains rivées devant moi. Mes bras…sanglant, rouge et encore rouge, le sang… partout, il y en avait partout! Sur moi, sur mon visage, sur mon torse, ma poitrine, partout sur les draps blanc tachés de mon lit mais davantage sur mes bras scarifiés en profondeur jusqu’à l’ossature. Comment… co….comment? Heh?! Mes doigts… mes ongles, où sont-ils? Ma tête pivote lentement vers le mur arrière… toujours sous l’agonie de mes bras dégoulinant de sang, mes mains, dont l’extrémité des doigts n’était plus que des pointes rouge foncés, se posèrent sur la surface rocheuse. Je cherche… je tâte… je sens… un ongle arraché et incrusté dans la roche… puis un autre… ARF!!! Et un autre… c’est affreux… soudain, je m’arrête devant une… peinture… un message marqué par mon sang…

Tu n’es pas seule…

ㄨ Je chute vers l’arrière… j’étais terrorisé, oui terrorisé de peur… j’avais peur… et j’ai encore peur. Je ne veux pas dormir… je ne dormirais pas… non pas… pas avant d’avoir mes cigarettes… mes cigarettes. Qu’est-ce? Je sens… ça coule… mais non de mes bras, plutôt… de mes yeux. Je pleure? Non… Et si… je pleure. C’est con… c’est tellement con! Pourquoi pleurer, je ne comprends pas et j’en ris, un rire étouffé par les larmes, des fausses larmes qui s’étaient permises de se déverser sans gêne. Plus rien n’est important, plus rien… Cette chose, moi... non elle. Oui « elle », que me veut-elle? Je ne peux pas lui faire confiance. Que faire… que faire si ça arrive à nouveau? Je dois trouver quelqu’un... des menottes, une corde ou n’importe quoi pouvant retenir cette chose de me tuer. Me ligoter… m’immobiliser, oui c’est ça…

*Luuuu-cy!*

- HEH LA FERME!

*Tu n’es pas seule…. / pas seule / tu n’es pas seule… / pas seule / pas seule*

ㄨ Retentit une voix qui résonna comme si elle était plusieurs en même temps.

- SORT DE MA TÊTE GARCE! Criai-je en plaquant mes mains contre mes oreilles.

*Je suis là… tu n’es pas seule / pas seule / pas seule… / pas seule… / Lucy…*

ㄨ Je me relève faiblement. Je tente d’allumer l’ampoule à plusieurs reprises dont quelques unes n’eurent pour effet de faire saigner davantage la paume de ma main levée. Finalement, la lumière apparue à mon grand soulagement mais laissant visible toute l’horreur de ce qu’était devenu mon dortoir. Je croyais que celui d’Hidan puait le sang alors là… ma chambre, elle est plus que l’abattoir… C’est un véritable bain de sang. Les murs, partout… marqués, peinturés, ternis par les coulisses rougeâtres de mon dos, je m’étais frotté sur celui-ci jusqu’à me faire saigner. Mais qu’est-ce qui a pu… d’ordinaire même sans clope je peux la contrôler. Un détail me sauta à l’esprit. Shin… c’est Shin… Je dois me tenir loin de lui, loin de son chakra maudit…

ㄨ Ma force… faible, je me sens faible, je m’affaibli. Cette perte de sang me donne des maux de tête, des étourdissements… le tournis. Je me laisse tomber sur les genoux, au beau milieu de la pièce où je m’étends, gisant dans le mélange de sang, de sueur et des larmes. Je n’oublierai jamais cette nuit, cette atroce nuit qui non seulement fit germer les semences de la crainte mais qui me rappela que j’étais, au plus profond de mon être, sous la drogue, cet entêtement, cette prétention et arrogance, un enfant… un enfant dans le corps d’une femme.

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~Après des mois d'absence, il était l'heure pour l'homme au Rinnegan de revenir là ou tout avait vraiment commencé pour lui. L'homme aux cheveux roux, grande taille, revêtu de sa longue et sinistre veste noire ornée de nuages rouges, se présenta devant l'entrée de la grotte de l'organisation de la lune Rouge. Il eu comme un moment de silence. De réflexion. Était-il vraiment prêt? Après tout il était déjà partit à cause de ses raisons là, il ne se sentait plus apte à faire partit de l'Akatsuki, il n'avait plus la motivation, même ses rêves s'étaient éteint. A présent, il se sentait de nouveau prêt mais... Lors de son arrivé à l'organisation il avait la même sensation, et pourtant cela ne l'a pas empêché de s'exiler. D'un geste fébrile, le poing fermé, il mis sa main au niveau de sa poitrine, il leva l'index, puis le majeur, sa bague violette qu'il portait au pouce se mit à briller puis l'énorme rocher abritant la cachette aux inconnus un peu trop curieux se libéra du sceaux et déplaça sa masse imposante, pour laisser la lumière pénétrer dans la sinistre grotte. Pein, toujours aussi hésitant, avança dans la grotte, l'ambiance sinistre froide et lugubre n'avait guère changé depuis son temps. Nagato fit avancer le Tendou un peu plus dans la pénombre, au bout du petit chemin servant d'entrée, se tenaient les membres secondaires de l'Akatsuki, tous sourirent comme s'il étaient soulagés de revoir l'homme aux multiple piercings. A ce moment là, Pein le découvrit, il s'en rendit compte, il était de nouveau prêt à combattre, prêt à ramener cette paix tant convoité dans ce monde cruel. Il progressait petit à petit dans la grotte chaque personne qu'il croisait se montrait souriante envers lui en signe de re-bienvenue. Seulement, lorsqu'il arriva au niveau des dortoirs, le nom écrit sur les plaques de bois qui pendaient aux portes avait changé pour la plupart. L'héritier du Rikodou Senin ouvrait les chambres une par une, pour voir si les membres étaient présent et ainsi leur faire comprendre qu'il était là, de retour parmi eux. Seulement il y avait personne... Ah? Si il y avait quelqu'un, une jeune femme d'à peu prêt son âge aux cheveux violacés, alors le garçon s'approcha d'elle sans dire un mot, la personne en question le regardait d'un air surpris mais dans quel sens? Nagato n'en avait aucune idée... Le garçon partit finalement en fermant la porte.~

ㄨ La nuit passée fut loin d’être mémorable et mon réveil, très inconfortable pour tout dire. C’est en dormant dans une tel posture, sur le sol, sans matelas ni couverture que l’on reconnaît tous les avantages d’avoir un lit. Non seulement je ne sentais plus le trois quart de mon dos mais je m’étais réveillée avec une profonde envie de fumer une cigarette, un joint, un cigare, n’importe quoi. Mes yeux s’ouvrent alors que mon dos se redresse de la marre de sang qui m’avait servit de couverture… s’était si chaud… et le réveil, si froid… humide. Je remarque la présence de vêtements froissés à ma droite, sur le sol, tandis qu’une main se rive sur mon front, poussant quelques mèches de cheveux qu’était composé mon toupet violacé. Je ne comprends pas, où suis-je? Cette pièce inconnue dans laquelle je me suis réveillée. Ce mal de tête… j’ai l’impression qu’une partie de ma mémoire s’est envolée, effacée, volatilisée. Des coupures, des ellipses… c’est pas la première fois que j’ai ce pressentiment, je crois.

ㄨ En moins de quelque minute, je m’étais revêtue de mon décolleté et d’une paire de shorts très courts. J’avais recouvert la provenance de cette peinture artistique de sang par des bandages couvrant le trois quart de mes bras et, finalement, rattaché mes cheveux en queue de cheval basse pour ne pas m’encombrer lors de ma prochaine mission. Tch, fucking merde avec ses missions… Craquant mon cou et mes doigts, j’observe un instant mon reflet dans un poussiéreux miroir avant de le perforer par un simple coup de poing… aucune putain de vitre ne peut réellement représenter mon image… la femme que j’avais vu n’étais plus qu’un amas de chair et d’os, rien de plus, rien de moins. Je me souviens… aie… ma main. Cette pièce, oui cette pièce. Petite? Elle s’agrandira… le message, je le vois « Tu n’es pas seule », les dents me serrent les lèvres, je ferme les poings sous la douleur d’hier, prête à sévir ceux qui tenterons d’échapper à cette haine. Qui suis-je…? Qui suis-je…? mes envies, où sont-elles? Plus rien, je ne ressens plus rien… la peur, non…NON, je ne veux pas avoir peur… quelqu’un… une cigarette…

ㄨ La porte s’ouvre, quelqu’un entre dans mon dortoir alors que mes yeux vacillent lentement pour se poser sur l’intrus ayant eut l’audace de s’inviter sans avoir cogné. Je n’avais même plus la vitalité nécessaire pour l’envoyer chier avec sa tête d’orange et aux yeux assez fucké. Des cercles? Que c’est bizarre… mais… il s’approche, j’arque un sourcil. Le manque de sommeil et de clope ne favorisait pas mes réactions. J’avais tout simplement la flemme de parler, de bouger et encore plus, de partir en mission avec cette Barbie de Deidara. Aller… intrus, fait un autre pas… avance… là… mon piège était en place, il ne manquait plus qu’à donner un petit coup de pied sur le sol… comme… euh, attend un peu, ce connard à des… des…

- P-PERCING! Pensai-je à haute voix avant de faire un bon vers l’avant vers lui comme si on m’avait enfoncé une piqure d’adrénaline dans le cul.

- ENFIN, pas trop tôt un membre de ce trou de bled avec du style, merde…!

- T’a pas des clopes avec ça? Enchainai-je d’une voix moins fanatique qui avait fait de moi une vrai conne quoi. La vache mais bon, j’ai toujours admiré les gens avec des piercings. Faut que je pense à m’en faire un sur le sourcil un jour, et sur le nombril.

- T'a un nom tignasse de citrouille?

(Suite --> Ici)

La liberté est une chose abstraite...

~Alors que Pein s'apprêtait à sortir de la pièce, la fille qui semblait à moitié dans les vapes se remit d'aplomb plus vite qu'il ne l'eut cru. La jeune fille aux cheveux couleur confiture de prune fut assez attiré par les... piercings de Pein... Lorsqu'il eut entendu cela, Nagato fut prit dans un sentiment de désarrois profond pour la jeune fille qui ne semblait pas très... comment dire... vive d'esprit. Mais le garçon aux sept corps n'était pas au bout de ses surprises, la demoiselle lui demanda d'abord s'il n'avait pas une cigarette, et ensuite sn prénom. " Mon, nom est Pein, je suis désolé mais je ne fûme pas... Et, quel nom porte cette charmante demoiselle? " En vérité, le jeune homme aux cheveux roux savait comment elle s'appellait puisque son nom était écrit en noir sur sa porte de chambre. Nagato avait dit cela pour engager la conversation, mais au final il s'en fichait. A peine avait-il finit sa question qu'il partit en claquant la porte laissant la jeune fille seule en lui disant avant de partir " Si tu me cherche rejoint moi en salle de réunion " Puis le garçon referma la porte et partit vers une nouvelle horizon...