[Une entente avec le diable]

La course rapide parmi le décor vert du pays de la rivière, la horde armée au trousse de Ketten le manteau frappant l'aire. Il savait ou il allait, la rivière finissait en une cascade des plus impressionnante ou peu pourrait s'en sortir mais la son entraînement n'avait rien à voir avec une quelconque annihilation du groupe qui le poursuivait. Ketten avait voulu découvrir les attraits du pays alors que la cachette au sein de la montagne le pesait, alors sans vraiment dire ou il allait il prit la poudre d'escampette, lui qui ne voulait pas s'entraîner en se jour bénie d'un seigneur absent de sa vie. L'idée saugrenue lui était parvenue alors qu'il répétait pour la millième fois les même signe, essayant de faire toujours la même technique, un kekkai des plus spécial. Le sentiment de lâcheté n'était pas présent, il prit donc sur lui de quitter ce pays pour celui des rivières, essayant de trouver la force lâche qui lui permettrait de faire la technique qui était la cause de son énervement.
Le ninja marcha quelques jours et même une fois au sein du pays des rivière, il ne s'arrêta pas s'enfonçant dans le pays pour trouver un endroit encore non souiller par la présence des hommes affable qui l'entouraient depuis son départ. Le vent avait quelques chose de doux sur son visage, bien que frais il parvenait à le calmer, à faire danser la nature autour de lui appuyé par les clapotis de l'eau, instrument incongrue mais tellement apaisant dans la mélodie naturelle qui se jouait pour lui. Pour mieux écouté ce qu'on lui offrait il se perdis au milieux d'une rivière suivant le court d'eau comme un chef d'orchestre faisant vibrer le tempo de ses doigts vif. Le sons changea pour les basse menaçante et Ketten eu vite fait d'ouvrir les yeux pour apercevoir une cascade meurtrière qui s'ouvrait devant lui. Avec rapidité il se recula, le manteau enrobant chacun de ses mouvements donnant l'impression d'une tache moirâtes sans réel consistance. Le bruit de la chute d'eau avait changé sa vision de la musique que le vent jouait encore, ce n'était pas de l'apaisement mais de la tromperie. Un trompe ouïe qui vous assaille de beauté complaisante pour vous menez à une fin des plus atroces. Ketten parvint à oublier quelques peu la musique qui se jouait pour lui et rejoignis le bord de terre fatigué de son inconstance, mais déjà son coeur batifolait vers d'autre horizon moins mouvementé par les vague de l'âme. Il se devait de s'entraîner, c'était sa petite musique personnelle qui lui rappelait se simple fait à tout moment et en tout lieux comme une petite chanteuse hautaine qui rappelait à chaque moment la faiblesse de son corps, et la force de l'organisation qui l'avait recruté. Le ninja aux nuages cramoisie se releva d'un bond, le coeur et l'âme à l'unisson avait trouvé leur une chanson qui les convenaient tout les deux, ceux de la force et de la sueur, d'un moment ou le corps devait s'endurcir. L'entraînement reprit de plus belle, accompagné par le chant des arbres qui bordait la rivière tranquille mais meurtrière. Les clones explosèrent, les coups de Kunai devenait de plus en plus meurtrier et le ninja était fière de la précision des jets qu'il arrivait à produire, une forme d'auto encouragement. Mais le plus important n'était pas la, le Kekkai source de son entraînement ne parvenait pas à se fabriquer, comme si la réalité avait gagné en force et qu'elle reposait de ces bras venteux la création du monde à Ketten. Mais rien n'était perdu, Jikken lui montrait toujours les signes et comment il était arrivé à la créer, il fallait un danger immuable quelques chose qui entraînera le ninja à fuir sans sommation. Au centre de sa rivière, Ketten fit un petit nombre de clone qu'il envoya au point cardinaux pour rechercher ce qui pourrait lui servir.

il ne fallut qu'un court moment pour les clones pour trouver ce dont avait besoin le ninja, tous indiquèrent la même direction, Ketten se mit alors en chasse. Effectivement il avait besoin de ce qui se trouvait devant ces yeux, un village de brigand lourdement armé, dans leur regard aucune compassion. Un sourire se dessina sur les traits de Ketten. D'un saut ample le voila au centre du campement devant les yeux hagard de ces future compagnons de jeux, se saisissant d'une femme qui était la plus proche il dégaina un kunai pour égorger la jeune femme qui mourût dans quelques tremblement sporadique sans même savoir ce qu'elle avait fait pour mériter cela. Les hommes firent tous un pas en arrière le coeur remplie de doute. Le ninja grimaça, c'était il trompé n'était ce que des dégonflé, homme de petite nature se disant fort avec des armes devant des femme mais n'assumant pas les pertes brutale, mais il n'allait pas s'arrêter la, provoquer un homme pour qu'il s'enfuit ce n'était pas cela qu'il recherchait, il allait les provoquer pour qu'il le tue. Les femmes tentaient de retenir les enfants au courage démesuré mais le petit de la mère morte vint accourir au chevet de sa mère égorgé, les spasme des artère cervicale faisait gicler un petit filet de sang sur les terre drue. un mouvement rapide et le ninja planta son kunai dans l'artère sub clavière, le retirant avec aisance provoquant une fontaine de sang alors que le gamin se tenant l'épaule tombait dans un mélange de sang et de terre, le bras meurtrie tendus vers le corps de sa mère qu'il ne parvint pas à toucher. La mort avait déjà entraîner deux personnes dans l'au delà, combien en faudra il pour qu'ils daignent montrer les crocs. Un cris strident se fit entendre, ketten fit volte face rapidement, un homme se tenait prêt des deux cadavres, il avait joint les deux mains macabres en un marasme de doigt. La peine de l'homme avait réveillé les troupes, l'un essaya d'attaquer dans son dos, une arme bien dérisoire, une fourche ou autre arme hétéroclite, un clone s'interposa, dissimuler dans les arbres aux alentour. Des gerbes électrique projeta l'intervenant dans la foule d'homme qui devenait de plus en plus dense. Jouant avec son Kunai le ninja le projeta dans la foule qui se sépara en deux pour laisser passer le projectile, Ketten en profita pour se retirer du cercle, récupérant l'arme effilé.

"Alors on se réveille ? combien doit je en tuer pour que vous vous bougiez ?" dit il envoyant l'arme dans l'oeil d'un femme qui lacha l'enfant qu'elle tenait dans ces bras pour tomber lourdement à terre. Les cris se firent entendre, cela devait être la personne de trop, ketten s'en moquait, la rage qu'il lisait dans leur regard le comblait d'une excitation sans borne.

La courses poursuite à travers la foret fut des plus amusante, évitant les coups des hommes maladroit, mais ce que n'avait pas prévus Ketten, c'était l'attroupement qui se trouvait maintenant devant lui. La cascade lui barrait toutes retraite. Le camps attaqué n'était qu'une toutes petit d'un beaucoup plus grand et quand une centaine d'homme se rajoute à une bonne cinquantaine, armé jusqu'aux dents, l'envie meurtrière dans les yeux, il était en danger, l'entraînement et les clones l'avait lessiver. Ketten ne pouvait plus faire des techniques dévastatrice et ne pouvait donc plus que se rabattre sur le fameux Kekkai. Le ninja joignis les mains, les hommes levèrent leur arme alors qu'on pouvait voir d'autre hommes se joignirent à la troupe déjà importante.

"Kekkai, Nigeru" dit il, de petit éclaire violet se forma mais sans rien de plus, laissant Ketten dans une merde noir, les hommes rigolèrent alors qu'ils s'approchaient vers le ninja, de l'eau jusqu'à leur taille. Tellement de monde que le ninja n'arrivait plus à les compter ou simplement donner un chiffre. Ketten s'éloigna encore un peut plus de la troupe qui avancait avec peine. Joignant les mains faisant les signes, une rage profonde dans les yeux.

"Tu va sortir saloperie de Kekkai !" criât il alors que les signes fini projetait déjà des éclaires d'un violet prononcé "Kekkai ! Nigeru !" hurla le ninja, les éclaire violacé formèrent le kekkai qui se superposa à la réalité, les proportion devenait gigantesque et Ketten disparut.

Dans le nouveau Kekkai le chakra de Ketten n'était plus demandé de manière continue mais une seul fois. Le monde paressait légèrement décoloré et tout était figé. Les hommes qui devait avancé vers lui telle des statue de sel. L'eau était devenue chemin de terre . Le monde avait perdu sa couleur et sa saveur mais celui ci lui permettait de fuir sans aucune peine.

"Excusez moi de vous fausser compagnie" dit Ketten alors que ces pas le ramenait vers chez lui, au près de siens. Quand il fut loin, il sortie du Kekkai reprenant goût à la vie qui se mouvait tendrement prêt de lui.