Le temps filait tendrement entre les doigts du ninja, la liberté celons le grand aigle, pouvoir se trouver ou l'ont souhaite, mangé quand on le désire. Ketten avait réussis cette simple idée de la liberté que tout homme pourchasse dans les grand précepte d'une vie tranquille. Les jambes dans le vide le regard ailleurs que faisait il ici alors que les projet qui reposaient sur le manteau qui battait la mesure d'un coeur partie dans les élan d'une course rapide était si grand, bien plus que lui. Il c'était offert quelques heures rien de bien grave dans la vie d'un homme libre. Il avait décidé de laisser l'akatsuki derrière lui d'embrasser chaque parcelles de l'humanité comme il l'avait tant de fois fait avec son ancien sensei. Que les souvenir remonte vite alors qu'on se plaît dans une plénitude totalement désuet et stupidement admirative. Combien de personnes pouvaient le voir, perché sur le plus haut bâtiment du village, le corps coller à une girouette grinçante devant sûrement remplacé le chant d'un coq inexistant. L'homme libre qu'il s'insurgeait d'être réclamait son moment de bonheur de rire et de joie. Depuis combien de temps n'avait t'il pas tiré la chaire de ces lèvres dans un vrai marasme de rire. Le ninja ne voulait pas se lever, observant les personnes qui passaient en contre bas comme une réplique miniature d'une vie qui l'avait autre fois accueillis comme le bien venus. Il lui avait tourner le dos, comme beaucoup de chose. Mais il avait gagné la liberté de l'aigle, le choix lui appartient et la vie de tous ne se décide qu'à la pointe d'un Kunai ou d'une technique bien plus aiguisé que les mots de justice et faux précepte qu'on avait pus lui compté y a bien longtemps.
Le vague à l'âme s'installe doucement, la nostalgie d'un temps passé ou l'homme enchaîné avait du monde avec qui rêver, la liberté durcie le coeur, et l'aiglon le plus docile deviendra le plus brutale pour gagner les cieux bleu tant convoité. L'unique différence avec l'homme c'est que leur besoin son plus disparate. Le sexe, et les envies diverse du libertin ou libre penseur, dans un monde aux unités si varié qu'on se perd dans les couleurs et les langues, qui peut se dire vraiment libre. Alors que les shinobi apporte la puissance et la sûreté, ces hommes aux mille et une techniques aux puissances tous plus diversifié inventant de nouvelle façons de restaurer une paix ne reposant que sur le sang de millier de guerre. Sommes nous libre. Le ninja est ce qui s'approche le plus de la liberté, si il n'était pas entravé par les villages qui leur apprends à s'aimer et à s'étioler dans les bon sentiments, l'âme s'émousse aussi sûrement qu'un kunai laissé à l'abandon, on fuit donc, on se fait poursuivre on tue nos amies, nos parents, on s'entre tue pour libérer la seul puissance véritable qui fait de l'homme le haut de la chaîne alimentaire et du shinobi le dieux sur cette terre parsemé de croyance au plus haut point néfaste pour l'intégrité du loups qui sommeille en chacun de nous.
Tuer pour la liberté n'est qu'un précepte sans fondement alors que les hommes viennent à s'entre déchirer pour la seul raison qu'ils aiment sa, la raison d'un shinobi est de continuer la guerre contre soit même et la dedans attiré le plus de monde possible pour que continue la recherche de la liberté. Sa propre recherche. Une fois dominé les envie meurtrière et les bas instinct on peut se dire libre d'une manière parfaite et absolue quand nous prend l'envie de la guerre attendre que d'autre jette la première pierre pour ne pas paraître trop enclins à céder à nos pulsion.
"Enfin de compte nous somme toujours des prisonniers" fit il remarquer Ketten à un aigle qui tourne non loin de la, se levant dans un mouvement rapide.
"Aussi prisonnier que l'aigle l'est de la pesanteur, je le suis de mes sentiments et de mes envies" conclut il.
Ketten marcha un moment de long en large sur le toit tuilé, leur grincement à chacun de ses passages fit sortir deux petits chat sûrement dérangé par le bruit miaulant de leur voix roque. Le ninja se baissa, un sourire franc sur le visage et un bras tendus vers l'animal qui s'approcha doucement, une crainte pour l'homme mais l'attirance pour l'animal qu'était Ketten. Le chat au grand yeux vers, le pelage lisse se laissa facilement prendre, se calant dans les bras du ninja sous les supplications du second qui se frottait contre les jambes de Ketten.
La vie est amusante, alors que le temps disparaît sous les cris de supplication des ennemies qu'il avait put tuer, il se retrouvait toujours d'une infatigable humanité pour les choses simple. Les meurtres, le sang et la vie brutale d'un shinobi ne parvenait pas à effacer la caresse d'une douceur esquisse du pelage d'un chat contre votre main alors que les miaulement de bonheur venait couvrir vos pensées, le doux ronronnement attendrissait le coeur le plus dure. Les animaux ressemblaient à Ketten d'un manière plus équivoque que le plus mauvais des humains. On trouvait dans les réaction féline une certaine harmonie paisible ou s'alliait la fureur simple de l'instinct primaire et l'esprit instinctif souvent non chaland. D'une douceur esquisse pouvait surgir un monstre sadique. Derrière son sourire d'ange se cachait le ninja de l'akatsuki. Deux personnalité antagoniste frôlant un cas de psychologique pure mais d'un stabilité déconcertante. Les deux partie d'un même homme se soutienne pour une seul raison évidente, la liberté.
Un nouveau sourire déchira le visage de Ketten alors que le chat paisiblement installé vint à saute du manteau noir et rouge pour retrouvé la rudesse des tuiles d'un orange sale. Il miaula quelques chose à l'attention de Ketten qui le prit comme une mise en garde, sa gentillesse avant été mise à nue par une simple boule de poile, et de son regard vert il lui avait dit de se méfier de ce coté la.
"Que faites vous ici" psalmodia une voix derrière lui.
Ketten se retourna le regard doux, attendris par la rencontre qui c'était brutalement fini. Ses pensées allaient au ralentis, sur le moment il ne vit qu'un travailleur, affublé d'un bleu de travaille noirâtre. Ketten leva une main comme pour saluer l'inconnu puis s'approcha doucement.
"Bonjour" dit il alors qu'une chute vertigineuse les séparaient "je ne suis qu'un homme de passage"
Le travailleur sembla interloqué, il fallait avouer que les toits d'un village n'était pas vraiment l'endroit rêvé pour rencontrer de nouveaux visage. Surtout que Ketten n'avait pas l'aspect le plus accueillant. La longue veste de l'akatsuki le couvrait presque totalement, ses trait était marqué par des blessures disparate et le regard froid ne collait pas vraiment avec le sourire qu'il affichait. Le ninja fit un magnifique saut pour rejoindre l'homme, atterrissant sans bruit si ce n'était que le bruissement du manteau. L'homme fit quelques mouvement pour essayer de s'éloigner de l'homme mais ne parvint qu'a perdre l'équilibre et se mettre à chuter vers le sol. LE ninja le retint un moment pour le ramener sur les tuiles.
"Ne partez pas maintenant" dit il avec amusement.
L'homme taciturne au manteau noir et rouge, perdis peu à peu son sourire, comme le chat il venait de comprendre quelques chose de fondamentale, céder au caprice de la joie lui avait été interdit lors d'un choix antérieure, il était plus qu'un aigle ou la seul règles qui le maintenait encore prisonnier était les envies disparate qui coulait en lui.
"Pas de chance je suis pas comme sa" fit il remarquer lâchant l'homme qui s'écrasa lourdement sur le sol pavé.
Ce n'est pas qu'il aimait cette vie mais c'était la seul qui le menait vers l'objectif premier d'une force et d'une liberté à toutes épreuve. Le reste il s'en moquait, peu importe le nombre de personne qui se devait te tuer, femme, enfant. Pour sa liberté il ne devra faire attention qu'une seul chose. Les sentiments humain.