Un nouvel art.

Techniques apprises:
-Cécité
-Poison

Total des lignes requise:40.
Deux parchemins niveau I utilisé.

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Oh non, il pleuvait aujourd'hui, d'ailleurs je pouvais entendre cette pluie s'abattre sur le toit de la maison de Rioma, j'étais au grenier ainsi je pouvais entendre chaque goutte, me délecter de chacune d'entre elles. Une bonne saveur, si vive, mon réveil se passait donc en douceur. Je tirais mes draps, j'étais presque nue, seul mon caleçon cachait mes parties intimes, la frâicheur du matin veut me glaçer le corps, le choc était rude. En effet le contraste chaud froid était assez puissant et ne faisait pas que du bien. Je pouvais constaté que les parchemins que j'avais acheté la veille étaient toujours là, il fallait vraiment donc aujourd'hui que j'essaye de m'entrâiner à les maitriser. Je m'habillais en silence, sans mot, avant de descendre les escaliers, aujourd'hui il 'n'y avait pas la bonne odeur de nourriture de d'habitude. Rioma devait surement être déjà partit, mais merde je savais pas faire à manger moi!


J'étais encore bien partit pour ne rien manger de la journée. Je décidais donc de prendre une simple tartine et partir de la maison, de plus j'avais une grosse envie de m'entraîné pour une fois. Les parchemins sous le bras. Je me dirigeais donc vers les terrains d'entraînements en silence.Je me faisais très discret dans les rues, cimme à mon habitude, j'étais calme observant chaque mouvement des personnes ainsi à forces j'avais pus remarqués les tics de quelques habitants, par exemple une grand-mère allait tous les jours faire ses courses au marché, elle commençait toujours par les légumes et avait toujours le même sourire. J'eus un petit sourire en repensant à cela, je continuais donc ma marche vers le lieu d'entraînement. Au bout de quelques minutes j'arrivais enfin au lieu tant attendus. Beaucoup de personnes étaient en train de s'entrainer, beaucoup trop à mon gout, je décidais donc de partir plus loin. Partir pour être seul un petit moment.


Je passais donc par une fôret assez mystérieuse, en même temps je décidais d'ouvrir un rouleau du parchemin, la première technique, était une technique de Genjutsus, le nom de cette technique était Cécité, apparamment elle rendait la précision de l'adversaire très défaillante et il avait du mal à toucher son ennemis. Cette technique me correspondait vraiment, j'aimais tant déstabiliser mon adversaire, c'était plus qu'amusant. J'étais donc préssé d'arriver à un endroit assez prestigieux pour pouvoir m'entrainer et ainsi devenir un grand Ninjas, ce ninjas qui deviendra le maître de ce monde. J'avançais donc doucement, me délectant de chaque paysage, les feuilles étaient si vertes, les abres rayonnaient de bonheur, mais le ciel gris créeait un contraste immonde avec ce paysage. Soudain un bruit, des pas, quelque chose venait vers moi. Mais quoi? Allais-je mourir la maintenant? Je ne le savais pas et ne le voulais pas.


Une panthère noir, elle me sautait dessus, trop tard je n'avais pas le temps d'esquivé, j'eus à peine le droit de mettre mes bras en croix devant mon visage qu'elle me sautait déjà dessus prêt à me déchiqueter, je ne bougeais pas et pris le coup. Le choc fut rude, à vrai dire cette panthère portait son poids. Elle me donnait des coups de griffes, je les sentais rentrée dans ma chair, cet animal avait faim, il me voulait comme repas, mais je n'avais pas l'intention de me laissé faire. Surtout façe à un félin, c'est moi le félin de Kiri, je me concentrais alors comme jamais, j'étais prêt à en découdre. Je descendais mes bras et d'un regard je concentrais tout ce que j'avais en réserve de chakra dans mes yeux, mais la panthère levait la patte, si je me prenais ce coup si j'étais mort. Non elle venait de me rater, la technique avait donc fonctionné, j'avais donc réussis à la maitriser, étais-je si puissant? Ou était-ce la peur qui me rendait plus fort? Mon heure n'était donc pas venue.


Je voyais donc cette panthère essayée de me touché, mais c'était trop tard pour elle, son heure était venue, je déroulais d'un geste brusque l'autre parchemin que je possédais. Une autre technique de Genjutsus y était inscrise, elle se nommait Poison. Mais celle-ci agissait comme son nom l'indique comme un poison elle pouvait faire perdre de la vie à l'adversaire sur une durée. J'aimais ça, j'allais voir cette patnhère souffrir. Elle allait souffrir comme elle avait voulu me le faire. Je me concentrais une fois de plus dans mes yeux, cette action me faisait mal mais j'y étais obligé d'une façon ou d'une autre. Cela faisait de l'effet, je voyais la panthère se rouler au sol, se tortillant dans tous les sens, criant de toutes ses forces, elle criait oui, mais personne ne pouvait l'entendre, je décidais de m'assoir pour admirer le spectacle, admiré ce qui m'était offert. La mort d'un être. Mon poing vint se poser sur ma joue me permettant de reposer ma tête.

Le spectacle se finissait peu à peu. En effet je pouvais voir la panthère qui arrêtait de se tortiller dans tous les sens. Quel beau spectacle de voir un félin mourir, un si bel animal qui finissait si cruellement, de plus je n'avais rien mangé ce midi. Je décidais donc de profité de cet animal, je commençais à découper certaines parties avec un Kunaï bien tranchant, après cela je me mis à rassembler du bois sec autour de moi et les réunis avec des pierres. Maintenant tout était prêt pour pouvoir faire un feu digne de ce nom, et même un repas digne de ce nom. Grâce à mes quelques connaissances je réussis à faire sortir quelques flamèches en claquant des doigts, je pouvais désormais entendre le bruit du bois qui craque sous la chaleur, rien de plus merveiller. Après que le feu soit prêt je mis les viandes sur des bouts de bois pour créer des brochettes, le repas allait être délicieux.


La viande était enfin prête je ne perdis pas une seconde mes dents vinrent déchiqueter la peau de la cuisse de la panthère, elle était délicieuse. Mes canines déchiquetaient, et mes molaitrs broyaient, ainsi toutes les saveurs étaient partagées partout dans ma bouche. Rien de plus savoureux, le repas était copieux et je ne laissais pas une miette, à la fin de celui-ci j'étais enfin plein. Mon ventre me faisait un peu mal et la nuit commençait à tomber, je devais vite partir, pour retourner à la maison, j'espérais seulement que Rioma ne m'avait pas fait à manger, car sinon je ne pourrais rien avaler et je devrais m'excusé au près d'elle. Au près de cette femme que je pouvais maintenant appelée "Mère"