Mission Rang D .:: Collecte de matériaux ::.

Quelle mission de merde avait je choisis, collecter des matériaux pour le village mais, où on va maintenant ils peuvent pas aller le chercher eux même. Ces putains d'aristocrate de merde, l'économie du village mais, qu'est ce qu'on sans fou on a qu'un faire un guerre tué ces ninjas et se serait terminer. Je devais me rendre jusqu'au plaine qui servait de frontière pour le pays du fer, marchant tranquillement mais, avec une très grande flemme jusqu'a ces plaines. S'était l'heure de l'entrainement, le froid commencer doucement a me geler les couilles. Dégainant mon katana, effectuant quelques gestes adroit puis laissant la lame glisser dans le fourreau. Alors que je marchais, je venais de sortir d'un de mes poches une petite bouteille de saké. Buvant a petite gorgé, je pouvais me sentir plus que bien. Titubant a gauche a droite, je me mis a rire pour rien en faite je commençais a parler tout seul.

Mugen - Mais, putain quelle bon temps fait t-il cette neige si douce couler sur mes putains de couilles.

Une fois de plus j'étais vulgaire mais, en même temps j'étais un rebelle de première. Alors que la neige était toujours en train de tomber, ces perles d'eau coulaient sur mon visage les essuyant d'un petit geste de main, je marchais toujours pour me rendre aux plaines. J'avais déjà établie un petit guide pour mon travailler de merde : Il me fallait du bois ( x 20 ), du tissus ( x 10 ) ainsi que du métal ( x 20 ).
Mon pas devenait lourd de plus en plus lourd, mes habilles imprégner d'eau a cause de cette neige de merde. Je n'avais plus qu'une seul envie me rendre dans une auberge et aller fêter mon départ comme il se le doit. Voyant au loin une auberge, je marchais dans ça direction avec cette fois ci une très grande hâte. Arrivant devant celle-ci j'ouvris ces portes tranquillement. Me plaçant tout au fond ce cette pièce, je m'installa comme un véritable vagabond. Je pouvais voir un petit groupe d'homme qui avait l'air de bien s'amuser a coter d'eux une geisha en autre des grosses prostituées. Voyant que les hommes malmener cette pauvre serveuse, elle avait l'air dans bavé mai,s pas qu'un peu. Elle se rapprochait de moi, elle me demanda ce que je voulais. Je répondis que je voulais qu'un simple verre d'eau mais, en ajoutant que je n'avais gère d'argent. Me regardant d'un air d'ahuri de partir si j'étais venu sans argent. Lui demandant de s'approcher je me mis a lui parler dans l'oreille.

Mugen - Pour cinquante dango on peux faire affaire.

Jeune femme - Quoi ?

Mugen - Pour cinquante dango, je te débarrasse de ces types.

Jeune femme - Mais...

Mugen - Quoi ?.

Jeune femme - Vingt.

Mugen - Ne te fou pas de moi! Pas question de marchander un seul dango.

Une fraction de seconde plus tard, la serveuse venait de se faire appeler par un client réclament sont thé. Celle-ci s'exécuta en allant le servir mais, comme une débile de première elle trébucha faisant tomber tout le thé brulant sur cet homme qui ressembler plus a une serpière plutôt qu'autre chose. Je regardais la scène en spectateur attendant ça réponse pour les dango elle qui n'avait pas répondu. L'homme sur qui elle avait fait tomber le thé avait une véritable tête d'enfoiré énerver. Appelant ces hommes ceux-ci venaient d'attraper la jeune fille, plaçant ça main sur la table il avait décider de lui couper un doigt, ou deux. Regardant la scène coucher leur une des quelques tables, allait t-elle accepter mon offre? Voyant que les hommes n'avaient pas du tout l'air de rire, elle se mit a crier dans un air de désespoirs :

Jeune femme - Da... Da... Dango... cent!

Tout le monde était surprit par ce que venait de dire la serveuse, c'est alors que sans attendre je me levais de la table où j'étais tranquillement installer. Regardant le groupe d'homme je me mis a parler du prix de leur vie :

Mugen - Putain, pas chère la vie.

Homme - Quoi ?

Mugen - Le prix de vos vies. Ça fait cinq dango par tête, non ?

Homme - Tu te fou pas un peu de nous la ? Ta des couilles au moins. Je vais peut-être tester mon sabre en commençant par toi.

Mugen - Essaie

La provocation s'était mon fort, voyant qu'il était en train de me donner un coup avec son sabre de merde, j'avais largement le temps de dégainer mon katana ainsi que de lui donner un coup un niveau de l'articulation du bras droit coupant celui-ci laissant giclé du sang sur une petite partie autour de lui. Laissant tomber son katana, je pouvais lire sur son visage un détresse ainsi qu'une peur de moi. Quelques secondes plus tard, il hurlait de douleur son bras était au sol ne demandant qu'a être ramasser pour être manger par des cannibales. Me replaçant normalement, je les regardais tous puis avec un voix neutre mais, véridique je leur dis :

Mugen - Je voudrais pas dire, mais un par un, ça craint. [ Puis je me mis a criais en disant ] Venez tous en même temps.

Montrant mon katana, je les attendais. Ils avaient l'air de vouloir ce battre se croyant beaucoup plus fort que moi alors que ce ne sont que des merdes de plus qui ce pense pour des véritables samouraï. Dégainant leur katana les uns après les autres, le premier qui courait dans ma direction était assez vieux, il me donna un coup horizontal de katana. Un véritable coup de merde, l'esquivant avec un petit pas sur le coté. J'avais du faire de même pour les deux prochaines attaques. J'en avais marre d'esquiver leur attaque, voyant qu'un de ces hommes rapprocher un peu trop je lui envoya en plein dans les dents un coup de pied sauter. Reculant, je regardais autour de moi, tous ces hommes étaient coucher au sol du sang couler de leur corps. Ils étaient finalement mort et j'avais remplit ce putain de contrat.

Mugen - Il sont où mes cents dango ?

Affronter de telle samouraï était assez marrant, ils n'ont aucuns point fort mais niveaux points faibles c'est la dégringolade. Ils laisses des ouvertures aussi grosse que les trous d'un gruyère géant. Grâce a mon marché avec la serveuse, j'ai réussis a gagné cent dango gratuit. Les mangeant en quelques minutes, je pouvais sentir de nombreuses crampe d'estomac car j'avais manger beaucoup trop comparer a la quantité que mon ventre pourrait absorber. Manger gratuitement me donner beaucoup plus d'appétit que lorsque que je dois payer ces putains de plat. Sortant de l'auberge, avec mon air blaser de la vie je n'avais gère l'envie de les remerciés pour cette putain de nourriture, je lui avais sauver la vie a cette gamin qui finira presque obligatoirement comme toute les femmes ayant un mari jouant au jeu.. avec ces dettes, elle finira dans un bordel où elle se fera baiser comme ces nombreuses catins. Je devais me rendre au plaine qui servait de frontière naturel entre les différents pays, là bas je devrais pouvoir trouvez ce bois où plutôt j'allais juste le couper un buche. Je n'étais pas payer pour transporter ce bois, les pigeons servant cette merde de Rokumaru n'avait qu'un le faire.
Après plus d'une petite heure de marche, j'étais finalement arriver au plaine. L'expression mourir de froid je pouvais envie la confirmer, je haïssais ce putain de froid qui sert a rien juste a me geler une fois de plus les couilles. Alors que la neige tomber avec de très gros flocon moi j'étais en train de découper ce putain de bois qu'elle galère phénoménal. Enchainant les coups de katana de façon régulière au bout de dix minutes j'avais déjà terminer. On petit tas de boit qui allait être ramasser par un petit groupe de merde ambulante, je devais maintenant me dirigeais vers un forgeron qui habiter pas très loin d'ici celui-ci avait du métal a donner pour le pays du fer. J'allais devoir cette fois ci le récupérer et l'emmener jusqu'au village principale, s'était donc avec une flemme des plus phénoménal que je me mis à marcher vers la boutique ce cet homme.