[center]- Présentation -
Mode de jeu : [Mode Statistique]
Nom :Arîkado
Prénom :Sôma
Age :16 ans
Sexe :Shinobi
Description Physique :De taille moyenne, il est plûtot svelte, plus mince que svelte en faite, il a peu d’épaule, mais il a une allure assez grâcieuse. Sa démarche féline est particulièrement soignée pour donner une impression d’assurance qui n’est pas forcement vraiment présente. Il a un peau assez bronzée, tirant vers le marron caramel, cela fait bien ressortir ses yeux d’un rouge cendre très prononcé, un peu maladif et toujours un peu fermés. Il cligne des yeux ed manière lente, un peu comme les chats. Il a une chevelure, blonde grisée, qui lui tombe devant les yeux, mais est coupée jusqu’a la nuque. Ses lèvres fines et sont nez droit donnent à son visage un air d’ange assez juste pour un final. Il est habillé d’une simple tunique qui lui descend a la taille, avec à son cou une écharpe blanche qui lui mange la moitiée du visage.
Description Morale :Sôma est un garôn psychologiquement très fragile. En effet, dans un moindre écart de temps, il a vu ses parents mourir au combat, son village rasé par la haine. C’est donc un personnage très peu sûr de lui, ses convictions ayant été anéantie, ses rêves massacrés. Il est très proie au crises de colère pour ses anciens idéaux, ce qui en fait un personnage impulsif, dépourvu de sens critique dans biens des situations, bien qu’il reste un garçon assez intelligent pour comprendre les subtilitées d’un plan assez compliqué lorsqu’il est calme. Il a beaucoup de respect pour la vie, il n’arriverait pas à tuer quelqu’un pour le simple fait de le tuer, ou tuer tout court lui est tout bonnement inimaginable...Certes, que pour un Shinobi il a l’esprit faible et peu endurant. Mais ce qui fait son atout majeur, c’est sans doute sa détermination presque sans faille de venger son pays du monde, pour ça, il a rencontré son dieu, son messie. Nagatô «Pain» Rikûdou. Alors qu’il était enfoncé sous les décombres de sa maison au pays des rizières, attendant son heure dans une souffrance presque insoutenable, à l’agonie, celui-ci le sauva et trouva ainsi un de ses plus fidèles serviteurs.
Très acharné à vouloir satisfaire les objectifs de son maître, il est au fil d’une année devenu très endurant. Il a peu a peu perdu de sa naïveté au fur et à mesure, mais reste quand même quelqu’un de très peu experimenté quand il s’agit du monde exterieur. C’est pour ça que la principale image qu’on a de lui c’est un jeune garçon calme, timide, et réfléchit, sans doute qu’il n’a jamais été au danger.
Histoire :Né le septième jour d’une pluie dru et ininterrompue, il est le fils d’une famille de recolteur de riz de classe moyenne. Paysan basique au départ, le jeune garçon n’est pas prédisposé au ninjutsu, qui plus est, de constitution assez faible, il n’est pas très doué pour les travaux des champs. Néanmoins, ses parents étaient particulièrement aimant, et aimés aussi. Et bien qu’ils soit pauvre, le jeune garçon put malgré tout bénéficier d’une certaine éducation grâce au professeur du village. Ainsi, très jeune, il prît goût pour l’instruction grâce aux diverses leçon qu’on lui a prodigué, et ainsi, au fur et à mesure qu’il grandit, il acquit une certaine forme de connaissance et de sagesse. D’ailleurs, peu à peu son grand rêve devint d’unir le monde shinobi, et peu à peu faire du monde une utopie. C’est notemment l’un des livres de Jiraiya (un des livres sérieux de Jiraiya pardon x’)). Qui font que cette passion est né en lui. Au fur et à mesure que c’est option de carrière montait en lui, le monde Shinobi changeait autour de lui. Pusi vînt le jour fatidique ou le pays des Rizières fut rasé. L’attaque dans son village fut brève. Tout détruire. Il n’y avait aucune resistance armée très sérieuses, ce fut très, trop rapide. Sôma qui étudiant dans l’atelier de son prof à ce moment là, se fit écraser par une poutre, pendant que son maitre se fît piétiner par une créature de trop grosse envergure pour être discernable. Puis ce fût le noir. Il dormi, un, deux trois jours, presque mort. Plus mort que vif. Lorsqu’il se réveilla, il falli tourner de l’oeil...La fringuale dans l’estomac, la lancinante douleur de ses jambes coincée sous les poutres, il se sentait partir, lorsqu’il le vit. La terreur du monde ambiant...Il ne le reconnut pas, lorsqu’il vit sa main se tendre, il sombra dans le sommeil de nouveau.
Quelques heures plus tard, allongé et malade, une femme l’allitait avec une seringue, lorqu’il demanda ce qu’il c’était passé, il n’eût que cette réponse énigmatique !
«Remercie ton Dieu.»