L'instant décisif...

Voué à. Voué à autre chose. Voué à autre fois. Décidé à ne pas. A ne plus jamais. Pour pouvoir toujours. Sans penser à. Parce que ce n’est plus le moment de. Il faut faire face à, et cela ne s’annonce pas comme une partie de plaisir. En tout cas, il est trop tard pour avoir regrets ou remords. Sur le sentier qui n’était peut-être pas le bon, il a bien fallut constater que, car les étoiles brillent de plus en plus loin.

Alors oublions que, et regardons vers, puisqu’il n’y a plus rien.

Des années à chercher, quelques heures à en profiter, et le reste de la vie pour en souffrir. Mauvais équation dont il faut changer les données. Parce qu’il ne sera jamais question de. Ou de faire demi-tour. Et aucun ersatz ne sera suffisant. Et aucun cœur ne sera plus assez chaud. Il n’y aura plus que les larmes, les sanglots et la rage. Impossible à admettre ? Que tout saute d’accord, mais pas comme ça. Oh que non. Enfant sans âge, il est temps d’assouvir ta soif inaltérable et de faire des réserves. Parce que sinon, tu sais ce qui t’attend, au delà du voile des apparences. Qu’elle soit là ou pas… elle, mais plus n’importe qui. Ok ?

Les vagues fracassantes venaient se briser rageusement contre les rocs durs et sombres de la falaise. Barrière aussi impressionnante que menaçante, résistant sans courber l’échine face au courroux houleux d’une mer enragée, lui tenant tête comme si elle défiait cette déferlante aqueuse de l’importunait plus longtemps. Rigidité, froideur et main de fer s’opposant à la danse endiablée du mouvement marin s’étant allié à la furie du vent. Celui-ci, téméraire, abusait sans complexes de ses effets sur les éléments. Sa bouffée de colère impétueuse emportait avec elle l’eau salée, la gonflant en vagues guerrières qui telles des kamikazes valeureuses, allaient de jeter de toutes leurs forces contre la paroi rocheuse osant la contenir en des limites définies. L’eau balayait ses chaînes, se grandissait de fureur, dans le seul but d’extérioriser toutes ces désillusions dont la réalité humaine l’avait encensé, toute l’amertume que sa mémoire millénaire avait avalé. Cependant, le dépit restait et avec lui, le fracas persistant de la mer en colère. Toute cette agitation ne semblait se préoccuper que d’elle-même, feignant avec une effronterie d’enfant, l’ignorance des conséquences que son caprice pourrait provoquer. Toute cette puissance, toute cette vivacité… ne passait pas aussi inaperçu qu’elle ne le pensait.
Une brèche avait entaillé dans le vif le sombre noir torturé du ciel dont le grondement venait se joindre de concert à celui de la mer et aux mugissements du vent. Cette déchirure céleste déversait sa lumière telle une lance divine sur le plus haut des blocs de pierres, illuminant la silhouette enveloppée de noir qui s’y tenait si immobile qu’on aurait pu la prendre pour une excroissance rocheuse de la falaise. C’est ainsi, sur le plus haut des rochers, surplombant l'océan rageur s’adonnant à ses fantasmes de destructions, que l’homme contemplait le désastre naturel des éléments. Décalé, il souriait. Son sourire n’était pas emprunt de sadisme, de malveillance ou d’ironie, mais d’une douceur éthérée, étrange et impalpable. Il songeait, aux milliers d'âmes étouffant encore, purifiées par la grâce des larmes de pluie dégringolant le siège des Dieux. Il s'esclafferait presque naïvement s'il avait été démonstratif, mais se contente de masquer sa joie d'un sourire... cinglant soudain. Le monde de Noé et des flots enragés persiste pourtant, et il se dit qu'il doit œuvrer à terminer le chef-d’œuvre des vies agonisantes. Il descend sur eux, sur vous, sur tous, ou plutôt... Il plane, léger, frôlant l'onde qui s’apaise, sans reflet, rapidement, brise fantasque mais acharnée, vent bientôt violent, éclaireur de futures tempêtes. Il s'annonce comme une ombre au sillage frissonnant, le Dévoreur de shinobis, et l'orage n'est qu'un prélude aux horizons macabres que ses yeux rouges perçoivent au-delà de vos espérances. Le monde est un grand corps qui se disloque peu à peu, s'écartèle lentement, torturant ses entrailles d'eaux vengeresses. Le déluge, de sang, de plomb et d'explosions, vous n'avez jamais mérité autre chose que cette ultime parade, dernière étoile, dernière flamme.

Bientôt, vos serez mort et lui, il se tiendra là. Sans penser à. Sans jamais vous donner de. Car il est...

Le ciel sombre laissa dévaler ses grondements de colère. Tel un fou appelant à lui à la lance sacrée de lumière, les bras de l'Hisawa se tendirent vers le ciel pour recevoir l'éclair des Dieux, le châtiment de la justice suprême. Mais la foudre épargna son enfant, allant frapper le roc de la falaise quelque mètres plus bas. Aujourd'hui ne serait toujours pas le jour où ces parents le rappelleraient à eux... Soit, il lui faudrait encore traîner cette carcasse de chair et de sang encore et encore, la laisser devenir le messager du macabre, le symbole de la mort. Si personne ne m'arrêtait, c'est qu'il lui était permis de continuer à répandre sa vision de ce monde. Sandy ne faisait pas le « Mal »...
C'est le claquement d'une cape froissée par le vent qui l'interpella. Ce retournant, c'est avec indifférence qu'il remarquait la présence d'un homme à quelques mètres à peine de luii. Il était étrange... Ou plutôt, le masque masquant son visage l'était car lui, il ne valait rien. Il ne fallait pas lui en vouloir, ce n'était pas sa faute s'il n'était qu'un homme. C'est l'existence qui est à blâmer, elle qui est cruelle de permettre à de telles choses de voir le jour. Les rats n'ont jamais demandé à vivre dans leur trou.
Tranquillement, Enzo leva son bras et désigna l'homme de son index. Perché sur son rocher, le ninja aux cheveux blonds le surplombais de hauteur, ce doigt pointé sur lui n'en étant que plus écrasant encore de prestance, de supériorité et d'indifférance.

« Ça faisait longtemp... N'est-ce pas...? »

La de Sandy voix était calme, à peine plus puissante qu'un murmure noyé dans un océan de mugissements venteux. Et pourtant, son timbre faible était plus distinct qu'eux tous par son charme envoûtant. Il n'avait pas besoin de hurler, son interlocuteur avait ces lèvres pour les lire ; Sandy n'avait pas besoin de se forcer, l'homme en face de lui avait son esprit pour le penser. Et l'Hisawa, avait la vérité pour alliée.
Mais qui était cette homme que Sandy semblait plus que connaître, comme s'il se doutait de son arrivée comme s'il connaissait tout de lui sans pour autant avoir passer sa vie avec lui. C'est se qui fait la différence entre un ami et un membre de sa famille qu'on concidère comme étant son ennemi...

« Tu ne pense quand même pas refaire la même chose après toutes ces année... Se serait vraiment irréfléchit de ta part... »

Des paroles qui ne surgissaient de nul part, qui n'avaient aucun sens, aucun appui, aucun fondement. Mais elles touchaient pourtant si prêt du cœur... L'Hisawa se fichait de l'effet qu'elles auraient sur cet homme qu'il semblait connaître, car il se fichait de leurs conséquences. Sandy était au-dessus des hommes, au-dessus des apparences des convenances, qu'avait-il à craindre de cette homme si familié ? Le ciel, lui, ne craint pas le fourmillement futile des hommes ; les éclairs, eux, ne craignent pas la rumeur plaintive inutile de ses victimes. lui, non plus...
Ses yeux qui étaient maintenant passé d'un geste du marron aux gris persant fixait pendant quelques brèves secondes supplémentaires l'homme qui fait son apparition, mais qui parurent des heures, l'homme finit par détourner son regard, le dirigeant vers la mer en furie. Danse, frappe, mord, écrase et détruis semblait-elle lui souffler dans un murmure carnassier, vengeur. Il leva alors la main, tendant ses doigts vers elle et sa folie, avant de prononcer une seul phrase. Unique, esseulé, mais puissante de représentation. Une phrase qui à elle seule était la clé de toute une explication torturée.

« Tu as beau te sentir puissant, tu as beau vouloir te rapprocher du ciel… Que tu le veuille ou non tu es plus faible que moi et tu le sera toujours... Car, j'ai en pocession un pouvoir que tu n'a pas... Mon fils... »

A ces mots, l'homme vous dévoila enfin son indentité, il s'agissait donc de Ryukaze Hisawa, le père de Sandy. Longtemps l'homme avait été oublié, du monde car concidéré comme mort à la détruction de clan Hisawa, il l'est toujour, seul Sandy sait qu'il est vivant et se depuis sa rancontre avec lui lors de son voyage dans l'ancien pays de la roche, autrefois appelé Kumo... Ryukaze s'avança alors un peu plus de son jeune fils, une fois de plus, il s'emblait être venu pour le testé, voir si après toutes ces années il avait progessé. Après ces quelques mots, l'ancien chef du clan Hisawa enchéna de suite avec un sourire un peut sadique aux lèvres...

« Tu cherche la puissance divine de notre clan déchu n'est-ce pas ? »

~ To be continued ~

Le parfum... La furie du vent balayait les terres environnantes, soulevant et transportant avec elle les milliers d'effluves ayant choisit pour refuge la mer et ses falaises. Sandy fermait calmement les yeux et inspirait une longue et lente bouffée de cet air sauvage, emplissant son sens olfactif de ces senteurs. Sel, poisson, pierre, humidité, herbe fraîche... Elles représentaient toutes la mémoire d'un instant, de cet instant. Celui où il se tenait là, surplombant le ravage d'une guerre naturelle sans crainte ni affectations, écoutant le fracas d'une mer hurlant son courroux et le claquement anarchique d'une cape agitée par les vents contraires. Ryukaze était encore derrière son fils... Ce dernier sentait sa présence sans avoir besoin d'en apporter la preuve visuelle. Il ne semblait pas enclin à disparaître dans les limbes de l'insignifiance qui l'avaient vu naître... et cela, Sandy est était désolé. Il n'avait que faire des remarques provocante que l'ancien chef du clan Hisawa lui avait dite. Par contre, le ninja au cheveux blonds ne resta indifferent quand Ryukaze parla de puissance divine du clan Hisawa. En effet, il cherchait la puissance absolu de son clan mais n'en savait rien, il ne savait de quoi il s'agissait mais savait que cela existait. Maintenant, il avait devant lui l'homme qui pourrait tout lui dire et il comptait bien obtenir les informations qu'il voulait et se par tout les moyens...

« La puissance divine dit tu...? Peut être que tu à raison... Peut être que je suis à sa recherche... Comme tu peut le voir, depuis ma naissance je n'ai pas eu besoin de toi pour grandir pour accomplir mon but et mes rêves... J'ai fait partit de ceux qui n'avait aucun modèle, aucun exemple à suivre, j'ai toujours était seul et se sans voir que tu était encore en vie. Et là, tu apparaît, comme si de rien était, en m'appelant ton fils... Tout sa n'a aucun sens... Tu cherche quoi exactement...? A renoué un lien...? Si même ce dernier existait auparavant... Sa droit être sa, dans le cas contraire tu m'aurais tué lors de notre première rencontre. Ainsi, tu à un coeur... Etrange... Dit moi en un peu plus sur ce que tu entend par puissance divine... »

Un malicieux sourire pouvait se lire sur les lèvres de Ryukaze. Alors comme il n'avait jamais était là pour son propre fils ? Il fut surprit des remarques de Sandy mais ne formula pas de réponse pour autants, il s'avait très bien se qu'il avait fait et qu'il n'avait pas fait, etant son père, il n'avait pas a se justifié. Le vent violent entrainant les vagues à se frotté contre les rochers était toujours présent, et une douce pluie vint l'accompagné. Sandy se retourna vers Ryukaze le regardant avec sa non chalance habituelle comme ci sa venu ne lui importait. L'ancien chef devenu vieux, lui gardait son sourire, il s'avait très bien que le ninja aux cheveux blonds avait besoin d'encore plus de puissance. A un certain stade de la vie d'un ninja, c'est se qu'on recherche tous. Etrangement, il avait comme une sensation de fièrté envers le jeune Hisawa. Il s'avait très bien par quelles étapes Sandy était passé pour en arrivée là. Laissant le vent le conduire, Ryukaze reculat légèrement de son jeune fils. Ils s'avaient tous deux comment cela allait terminer. Sandy sortit alors une cigarette de sa poche puis la fixa des yeux, bizzarement il n'allait pas l'entamé, il la rangea de suite dans sa poche et fixa maintenant l'homme qui était face à lui. L'Hisawa avait besoin d'une puissance supplémentaire, car il faisait maintenant partit d'une élite de shinobi qui n'avait qu'un but. Ryukaze lui fixait également son fils, il était déjà très heureux du parcours qu'il avait fait et savait maintenant que le clan Hisawa continurait à vivre entre les mains de Sandy. Une étrange bagarre allait maintenant avoir lui. Un fils, son père, un combat qui entrainerait la mort d'un d'entre eux.

« J'ai suffisemment vécu Sandy, mais se se n'est pas pour autant que je ne souhaite pas vivre plus longtemps... Tu souhaite connaître le dernier justu de clan ? Alors, regarde attentivement... Kyuchioze no Jutsu !! »

Une épaisse fumée prit la totalité des environs, une invocation, Sandy resta la perplexe par se qui allait se passé. Alors les Hisawa avait encore cet atouts à leurs liste, il était donc capable d'invoqué. Oui, mais invoqué quoi exactement ? La fumée c'était estompé et on put enfin voir de quoi il s'agissait. Un Guepard d'une taille anormal monté par Ryukaze. Oui, en effet, les fauves, les Hisawa était depuis leurs création en relation avec les fauves d'où leurs dôjustu qui leurs confères des sens et certaine attitude attribué aux fauves de la nature. Alors c'était donc cela. Le jeune ninja aux cheveux blond avait désormais un nouvelle objectif, la vue de cette créature fit apparaître un sourire ambicieux sur ces lèvres. Mais, il retomba très rapidement sur terre car un combat allait commençé. Sandy sortit alors son l'épée légendaire des Hisawa de derrière sa cape noir. Le combat s'annonçait intéressant et se même si l'Hisawa ignorait tout des capacité du Guepard qu'il avait face à lui. Ce alors que se dernier prit la parole, il avait une voix assez grave et semblait être un peu contrarié du fait d'être appelé de cette manière...

« Tu te fous de moi Ryukaze ! Je n'avait pas que sa à faire ! Et puis c'est qui se mec en face ?! Ne me dit pas que tu m'a appelé rien que pour lui ! »

« Kaki... Tu sais très bien que je ne t'appel jamais pour rien... Se mec comme tu semble si bien le dire est mon fils, je sais, je ne t'en ai jamais parlé mais cela n'a plus d'importance car j'ai bien l'intention de le tué... »

« Ton fils ! Et tu va l'tué, Pff les humains, qu'ils sont simple d'esprit. Ce n'est pas tout mais je n'ai pas que sa faire, finissons en et tout de suite ! »

« Entendu, dans le cas où je perdrais la vie se qui est peu probable, je voudrais que tu lui face signé le pacte car il sera ainsi le dernier Hisawa encore vivant. »

« Pff... Ouais d'accord. Bon, tout est dit, laissons parlé nos justu ! »

A peine sa phrase terminé que le fauve nommé Kaki bondit sur le ninja aux cheveux blonds sortant ces griffes d'une longueurs terrifiante dans l'objectif de lui asséné un violent coup sur la poitrine pendant que Ryukaze lui enchaînait une longue séries de signes. Moujuugan activé, Sandy avait augmenté la vitesse de ses mouvements. Son épée en main, il la placa devant sa poitrine dans le but de paré le coup que Kaki avait prévu de lui asséné. Puis il pivota légèrement laissa le fauve retombé sur ces pattes et lança de suite un projectile de vents en direction de Ryukaze qui lui exécutait toujours son jutsu. Après ces quelques mouvement, le désormais surnomé Enzo fit plusieur en arrière dans le but de s'éloigné de ces adversaires, il fallait qu'il adopte une stratégie car il avait en face de lui deux individus aux capacités nettement supérieur à la moyenne. Ryukaze continua à enchaîné les signes sans se préocupé du projectile constitué de vents Sandy qui alla se planté son bras gauche. Mais, il avait tout de même fini sa technique et d'une voix agressive prononça son intitulé.

« Voyons si tu sais gardé ton sang froid, car j'invoque le labyrinthe de fleurs de cerisier !! »

Des nuages opaques se formèrent à la fin de l'exécution de la technique instalant une brume épaisse dans le but d'aveuglé Sandy. En plus de cela, des ombres formant la silouhette de Kaki et Ryukaze se formèrent sans pour autant que sa soit eux. Le ninja aux cheveux blonds était maintenant deux fois plus désavantagé, il était déjà face à deux adversaire et voila maintenant qu'il n'y voyant plus rien, il avait seulement la chance de connaître se jutsu étant donné que qu'il s'agissait d'une technique du clan Hisawa, il s'avait donc a quoi s'en tenir. Perdu dans la brume crée par son perd, Sandy devait se concentré sur son intuition qu'il avait travaillé depuis quelque année maintenant pour que celle-ci soit bien plus affiné. Néamoin, il devait tout de même préparé une stratégie dans le cas on il se tromperait de cible pour ainsi ne pas recevoir de dégâts majeurs... Marchant dans cette brume permanent, le jeune Hisawa était maintenant près a réagir, c'est alors qu'il vit l'ombre de ces adversaires se dressé devant lui. Epée en main, il ne tarda pas l'attaqué diagonalement. C'est alors qu'une rafale de vent se produit au moment où l'ombre avait été attaqué, cela voulait donc dire qu'il s'agissait d'une mauvaise cible mais Sandy ne reçu aucun dégât car a l'apparition de la rafale de vent Sandy disparut signe qu'il s'agissait d'un clone consitant. Il fallait que le Kagemusha opère et opère vite sous peine de se voir à la merci de ces adversaires, comme quoi Ryukaze n'avait pas été nommé chef du clan Hisawa pour rien...

~ To be continued ~

Validation

Très bon Rp.
12 Exps + un bonus de 8 Exps .

Un éclair de lumière zébra le ciel, déchirant dans un grondement furieux les ténèbres installées ici bas. La puissance de cette lance divine avait été si supérieure à celles d'avant qu'à elle seule, elle fit éclater le tourment grisâtre du ciel, soufflant les nuages à l'écart. Une trouée apparue alors en amont de la mer furieuse, dessinant un rond de lumière blanche sur les vagues se fracassant les unes contre les autres. Magnifique contraste qui venait de prendre vie, imageant à merveille l'état de l'existence : une once de bonté pour un océan d'hypocrisie. Cette lumière ne faisait que pointer du doigt, accusatrice, le déficience de ce monde, ou sa malformation. La lumière ou les dieux ? L'âme sombre du Royaume des Ténèbres leva ses yeux sanglants vers la clarté azurée. Couleur en minorité absolue au milieu de toute cette noirceur s'étalant infiniment à l'horizon telle la peste noire. En hauteur l'harmonie et la douceur d'un ciel clément ; ici bas l'orage, la colère et la destruction. Une nargue facile, et une bassesse de plus au compteur des êtres se disant « supérieurs ». Eux qui avaient bâti, fondé, créé, inventé, imaginé, ils avaient aujourd'hui renoncé, abandonné, et regardaient ce grand corps se disloquer petit à petit. D'abord une oreille, puis un œil, et pourquoi pas un doigt, une jambe ? Bientôt, c'est lambeaux par lambeaux qu'ils en arracheraient la peau lentement, se délectant de cette décomposition en rien scientifique, purement sadique. Mais n'oubliez pas, n'oubliez jamais ! Que dans la fosse aux vipères, la rébellion gronde, le chaos de votre règne tremble. Vous avez forgé les créatures qui vous détruirons, alors soyez en fiers pour une fois !
Le ciel mugit sa rage une nouvelle fois, transportant avec lui une bombe. Dieu ? Intéressant. Le culot ou la folie de l'inconnu, il était encore trop tôt pour piocher, avait réussi à chatouiller assez l'intérêt du Kayiro pour que celui-ci daigne enfin lui faire de nouveau face, abandonnant derrière lui le délire de la mer pour braver celui de ces adversaire. Il n'était rien, et pourtant il osait prononcer ces trois mots somme toute d'une simplicité toute bête mais dont la symbolique aurait fait s'indigner le plus féru des croyant, s'effaroucher les justiciers du dimanche qui pullulaient sur terre. Le jeune Hisawa n'était ni l'un, ni l'autre. C'est d'un sourire sans joie, un sourire sans douceur, désabusé, qu'il continua a établir une stratégie dans la brume que son père avec créer.
Il fallait que Sandy se concentre dans tout se vacarme pour attaqué une seul et unique fois de façon à jeté un coup nette dans la poitrine ou autre endroit vital de Ryukaze. Le jeune Hisawa en était capable, il s'avait parfaitement qui surpassait son père et se depuis un bon moment. Ce dernier le sous estimait peut être mais le blondinet savait de quoi il était capable et battre cet homme il s'avait que c'était dans ses moyens. Perdu dans le nouveaux monde que son père avait créer, l'Hisawa ferma les yeux au milieu de toute les soulhettes qui se déplaçait autour de lui. Il fallait qu'il use de son intution et de sa spychologie pour repéré Ryukaze et lui assénée un coup bien précis, bien placé pour ainsi le faire tombé et en finir avec se calvère. L'Hisawa se concentrait comme jamais il l'avait fait et se même si il était perturbé par toute les silhouettes autour de lui et les dégâts superficiel qu'il reçevait du au justu de Ryukaze. Ce dernier semblait être sur de son coût mais retenait ces coups comme s'il testait Sandy, comme s'il savait qu'il mourrait de toute façon, comme ci pour lui sa vie s'achèverait ici. Kaki, le roi des fauves lui ne faisait rien de particulier et se demandais bien pourquoi il ne recevait aucune directives de Ryukaze. Ce dernier lui se revivait l'instant au la clan Hisawa fut détruit.

~ Flash Back ~

Cela remonte à l’époque où le clan Hisawa vivait encore, une belle époque me direz-vous ? Et bien oui, c’était belle et bien une chaleureuse époque. Là, dans le quartier des Hisawa, un quartier toujours en activité, on pouvait voir l’étendu de ce clan si puissant à l’époque. En ces temps, le chef du clan n’était autre que Ryukaze Hisawa. Cet homme était un concentré de bonté et de gentillesse, il était parvenu à être le chef du clan car il était belle et bien celui qui avait la plus grande puissance, il avait complètement remanier les capacités et les techniques du clan Hisawa, c'est-à-dire qu’il avait réussi quasiment à inventé certaines techniques devenu culte dans le clan Hisawa. Son savoir, il le transmettait à l’Hisawa qui le souhaitait, c’était un plaisir pour lui d’enseigné tout se que ces ancêtres lui avait appris, c’était une façon pour lui de leurs donné un vie éternelle même étant mort. Même si la survie et l’honneur de son clan portait une grande place dans son cœur, il n’oubliait pas néanmoins celle qu’il aimait au plus profond. Il était question d’une jeune femme blonde aux yeux bleus, elle portait constamment un kimono blanc avec des motifs à fleurs dispersées par dessus, elle était d’une taille normale c'est-à-dire ni trop grande ni trop petite, elle s’appelait Anji. Ryukaze avait donc trouver l’être aimé, mais à part son incroyable beauté, Anji n’avait rien de particulier, elle n’était pas Kunoichi, femme ninja, elle ne faisait partit d’aucun clan reconnu du village caché de la feuille, c’était la parfaite petite personne normale qui vivait une vie que n’importe quel ninja aurait aimé vivre. Anji était fille d’un shinobi du village de la brume, ce dernier ayant trouver la mort lors d’une mission de ninja, la jeune femme ainsi que sa mère durent partir et avait trouver refuge et réconfort dans le village de Konoha Gakure no Sato. Cette histoire avait quelque peu traumatisé Anji, et elle s’était jurée de ne plus fréquenter de shinobi. Mais évidemment, son cœur avait parlé à sa place et elle était tombée sous le charme du chef du clan des Hisawa un jour où ce dernier était allé récupéré le pauvre chat perché d’Anji. Depuis se jour, les deux jeunes personnes ne se quittèrent plus du tout et scella leurs unions quelques années plu tard…

« Ryukaze-sama, nous avons besoin de votre aide, C’est le Shodaïme lui-même qui vous demande ! »
« Le Shodaïme dit tu ? Konoha droit avoir des ennuis… Je n’ai pas spécialement envie de te laisser dans un tel état mais le village à besoin de moi ! »
« Oui, je comprend, vas y ne t’inquiète pas… »
« Ryukaze-sama, nous avons pas de temps à perdre ! »
« Oui ! Tu à raison ! Ikuso ! »

Ce n’était pas un jour comme les autres, alors que plusieurs batailles faisaient rage un peut partout dans le monde ninja, des batailles qui ne menait qu’a un seul et unique but, le pouvoir lui-même. Le village de la feuille était donc lui-même en guerre mais avait réussi à se trouver un allier de force, un autre village, un village voisin qu’on appelait Suna, se village se trouvait dans le pays du vent et de nombreux shinobi d’une grande puissance en faisait partit. Ryukaze avait donc été convoqué par le premier Kage du village de la feuille, il semblait que ce dernier avait besoin des capacités du clan Hisawa. C’était avec un grand plaisir que Ryukaze allait aider son chef de village mais malgré cette détermination et cette volonté de vouloir que son village sorte gagnant de cette guerre et que son clan soit reconnu comme était l’un des piliers de ce village, le chef de clan Hisawa ne pouvait s’empêché de penser à Anji sa bien aimé. Car au même moment, cette dernière allait mettre au monde l’enfant qui allait causé la perte du clan Hisawa… C’était donc à la fois un jour heureux, du fait que Ryukaze allait enfin avoir un héritier mais aussi un triste jour, tout simplement car il ne pouvait éviter le désastre que le clan Hisawa allait devoir subir… Le clan Hisawa allait maintenant reconnaître le plus puissant de leurs membre mais aussi celui qui allait tous les anéantir, cela était du à une malédiction qui avait été donné au clan à cause du fondateur lui-même, Sarashi Hisawa. Il avait été puni par les dieux pour avoir essayé de les corrompre et avoir été assoiffé de pouvoir… Ryukaze était donc maintenant sortit de sa bataille et à son retour était née un magnifique mais diabolique enfant, Tout deux, lui donnèrent le nom de San-ji. Ainsi San-ji Hisawa était née…

« Ka-san ! Ka-san ! Vien voir ! »
« Qui à t-il pour que tu puisse m’appelé avec une si grande joie ? »
« Regarde ! Regarde ! »
« Qu’est-ce qui... Aaaaaaaaaaaa ! »

Ce jour là, San-ji venait d’avoir l’âge de neuf ans, cela devait être un jour assez heureux en quelque sorte car le jeune héritier du chef du clan Hisawa grandissait dans l’âge. Mais ce n’était pas le cas, car plus San-ji grandissait et plus son pouvoir s’amplifiait. Personne ne pouvait savoir à quel moment cette puissance allait se déchaîner sur eux. Mais là était le destin du clan et il devait l’accepté tel qu’il était… Alors que Anji était dans l’une des chambres du temple des Hisawa entrain de lire, elle fut interrompue par les cries de joie de son fils San-ji qui lui était dehors. Mais que pouvait-il y avoir que l’héritier soit si content ? C’était la question que se posait Anji, alors sans attendre elle descendit et alla voir se qui se passait exactement. Un chat, un chat mort et empaillé sur un arbre c’était la cause des cries de joies du jeune San-ji. A la vue de cette horrible chose, Anji ne peut faire autre chose que de crier de toute ces forces. Pour le gamin avait-il fait cela ? Non, ce n’était pas vraiment lui, mais force qui sommeillait en lui qui l’avait agir ainsi. Pour lui évidement cela n’était une chose bien grave, il jubilait à la vue de son travaille pendant que sa mère gardait ces distances apeuré par la chose. Le soir même Anji en avait parlé à son cher époux Ryukaze qui lui doutait d’un acharnement proche. Il fallait évidement préparer toute le monde à se genre de situation sans bien sur que San-ji s’en rendre compte car ils ne savaient si la colère du la chose était proche. Ryukaze voulait absolument que le clan Hisawa vive, et donc voulait changer le cours des choses, donc en quelque sorte changé le destin maudit des Hisawa. Mais le chef du clan ne savait pas vraiment comment s’y prendre car il ne connaissait pas et n’avait jamais vu l’étendu des pouvoirs de son fils. Longtemps il avait étudié mille et une façon et solution de contrer cette attaque qui s’approchait de jours et il ne trouva qu’une solution pour veiller à la survie de son clan…

« Mes félicitations, c’est un garçon. »
« Un garçon ? Je l’appellerais… Sandy »

C’est alors que Sandy Hisawa vit le jour, un magnifique enfant blond avec des yeux marron, il était le portrait craché de sa mère et était maintenant le seul et unique espoir du clan. Personne ne connaissait son existence à part quelque membre important du clan Hisawa. Son frère San-ji lui-même l’ignorait. De cette façon, Sandy allait pouvoir grandir à l’abri du destin maudit des Hisawa. Ryukaze l’avait confié au Shodaïme lui-même qui l’éleva comme s’il était son fils sans jamais lui parler de son clan ni de son destin. San-ji lui vivant tranquillement dans le quartier des Hisawa sans se douté de se qu’il ferait subir aux siens dans un future proche. Tout avait été crée de façon a se que les deux garçons ne se croisent jamais… Du moins jusqu’a à se jour, un jour on San-ji avait encore fait parler de lui de par son pouvoir. Il marchant de temple des Hisawa traversant les couloirs de ce lieux si unique, et là, il remarqua une porte entre baillé d’où des hurlements se faisaient entendre. Le jeune garçon s’empressa de s’y rende dans le but de voir se qu’il se passait et là la catastrophe était survenue. Une catastrophe qui n’aurai jamais du existé…

« Il faut que nous fassions quelque chose Ryukaze ! Sa ne peut continué ainsi ! Si on les faire il finira par tout détruire ! »
« Je le sait très bien ! Et je ne vois plus qu’une seul chose à faire… je vais tenté de mettre fin à ces jours… ! »
« Non ! Tu ne peut pas prendre se risque ! Ryukaze ! »
« Mais il le faut pourtant… »

En effet, inconsciemment San-ji devenait de plus en plus menaçant. Sa puissance inconsciente grandissait de plus en plus et il fallait que cela s'arrête. C'est pour cela que Ryukaze allait tenter l'impensable pour mettre fin à un évènement qui n'a même pas encore eu lieu... La puissance que possédait son fils aîné ne cessait de grandir de jours en jours faisant des dégâts matériel et physique au clan Hisawa, il fallait que sa cesse... et tout de suite... C'est lors d'une fin de journée que le chef de clan Hisawa décida d'intervenir, San-ji, lui dormait profondément. Ryukaze pensait que cela allait être plus facile d'intervenir au moment on son fils baisserait la garde. Mais évidement se fut belle et bien une erreur, une erreur qui se jour la allait détruire tout le clan Hisawa... Il faisait maintenant nuit et Ryukaze s'apprêtait à commencer l'incantation, le justu ultime du clan Hisawa lui permettant de tuer San-ji immédiatement. Le chef du clan se trouvait dans la chambre du maudit, le vent pouvait se faire sentir grâce à la fenêtre entre baillé. San-ji dormait profondément, on pouvoir un léger sourire sur son visage, signe qu'il faisait un rêve plutôt agréable. Voyant cela, Ryukaze eu sentiment de peine, il s'agissait de son fils après tout, et il n'avait pas demandé se pouvoir démoniaque, cela était du au destin qu'avait forcé le fondateur du clan Hisawa, Sarashi. Ryukaze malgré sa peine ne pouvait s'arrêté, il devait assurer la protection de son clan quitte à tuer son propre fils. Après tout, une perte vaux mieux qu'une centaine. Le chef du clan Hisawa reflétait parfaitement la philosophie du clan qui est de protégé coûte que coûte ces membres et n'importe quel prix. Il s'avait qu'il risquait de perdre sa vie en tentant une telle chose mais il se devait de le faire en tant que chef et meneur du clan... Il était maintenant prêt, le massacre allait maintenant commencer...

~ Fin ~

Bien évidemanent, Sandy ignorait tout de cette histoire étant donné que l'ex village cachée de la feuille le lui a toujour cachée, pour lui, Son père n'était autre qu'un lache qui c'était vu être trop faible pour protégé le clan et qui avait préféré fuir. C'était en quelque sorte le cas. Mais Ryukaze avait toujours pensé à Sandy et au exploit qu'il ferait a l'avenir et à la rennaissance qu'il donnerait au clan Hisawa. Il se devait être là et se même si il le guettait dans l'ombre sans jamais se montré face à lui. Il était fier de se qu'était devenu son fils. Il avait brillamment réussi son n'examin chuunin, puis Juunin et son talent fut constaté par tout l'ancien village de Konoha et il finit par en être le Kage. Jusque la Ryukaze avait tout prévus, mais il ne s'attendait pas a se que Sandy face la rencontre d'un dénomé Ketten Zenbu. Ce dernier avait réussi a influencé le ninja aux cheveux blonds. Il quitta alors Konoha laissant le village en plein dans une crise pour parcourir le monde et apprendre les autres justu du clan Hisawa. Il était effectivement parvenu à ces fins mais il lui manquait effectivement ces invocations...
Ne faisant plus attention a se qu'il y avait autour de lui, le jeune ninja aux cheveux blonds ouvrit les yeux il allait atteindre son but...

*Je te vois !!*

Enchaînant une série de signe à une vitesse foule, l'Hiswa fit tournoyer son sabre le plantant dans le sol puis posa ces main sur le sol. On pouvait voir l'ora de son chakra et cette sentation de légerté qui l'envahissait fortement. Fixant un point précis avec son Muujuugan activé, il commença l'incantation de son technique qui allait s'avéré être redoutable...

Fuujin, La toile de vent...

Le dragon du vent fit son apparition traquant les nouvelles pour lequelle on l'avait convoqué. Kaki et Rykuaze était maintenant prisonnier du dieu dragon du vent. Une fois Ryukaze immobile, la brume qu'il installé depuis un moment maintenant c'était dissipé. Enzo avait réussi, il avait enfin vaincu son père il allait maintenant en finir une bonne fois pour toute et allait bénéficier de se nouveaux jutsu. Prenant l'épée légendaire du clan Hisawa qu'il avait planté au sol, il s'avança vers son père, se père qu'il ne connaissait quasiment pas. Prisonnier des griffes du dieu dragon, Ryukaze souffrait, mais pour lui c'était de la bonne souffrance, de la fierté de voir son fils à un telle niveau, il allait maintenant accomplire ton ces rèves.

« On dirait que c'est la fin Sandy, Tu sera finalement parvenu a me battre. Mon seul souhait pour leur, est que tu face rennaitre notre clan. »

« Tu voudrait que je face rennaître le clan Hisawa...? Un clan que tu a lachement abandonné...? Je vais le faire, mais pas pour toi, si je le fait, c'est tout les autres membres qui sont tombé... »

Sur ces mots, Sandy planta l'épée en direction du coeur de Ryukaze. A se jour, il était belle et bien le seul membre du clan Hisawa. Comme dit, Kaki lui fit passé le pacte d'invocation puis s'en alla espérant revoir se ninja qu'il trouvait très intéressant... La carnage était enfin terminé et Sandy pouvait enfin conduire le clan la où il le désirait...

~ The End ~

Valid's
Bon Rp, belle longueur j'ai apprécier le lire ^^
16 xp pour toi