- Présentation -
Mode de jeu : Mode Statistique
Nom : Nous ne le connaissons pas, malheuresement.
Prénom : Juugo
Age : 21 ans
Sexe : Mâle
Description Physique :
Un physique avantageux, une prestance presque divine et un Sexe Apeal négligé, telle est son apparence.
Plutôt grand avec ses 2 mètres, Juugo par une musculature notable connaît un franc Succès avec les femmes. Son visage au trait soigné lui donne un air à la fois serein et intimidé. Ses yeux sont claire et son grain de peaux aussi pâle qu’un défunt. Ses cheveux son bruns et mis long. Ils sont peu coiffés voir ébouriffé accentuant le côté « extravagant » de Juugo.
Mais ce qui fait de lui un personnage très particulier reste sa façon de s’habiller assez classique et délaissée. Constamment vêtu d’un Pantalon déchiré foncé, accommodé d’un Tee-shirt usé d’une couleurs plus claire et pour couronner le tout, d’un long voile enveloppant la quasi totalité de son corps. A Noté que ses cheville sont entouré d’une chaîne en Fer beaucoup trop visible.
Description Morale :
Juugo est un jeune homme calme adoptant la simplicité et la solitude. Cependant, le jeune garçon est victimes de schizophrénie. Un dédoublement de personnalité séparant deux type de caractère : Le pacifiste autrement dit, le Juugo que tout le monde connaît et le Psychopathe, un Juugo hystérique pour qui la seul distraction est l’homicide.
Juugo est à première vue un adolescent de tout ce qui à de plus normal. Malgré un Sexe Apeal déconcertant, le jeune homme aux caractère singulier est finalement très proche des autres personnes de son âge.
Enfin il peut être un psychopathe à l'état pur : Il est sans cesse entrain de se demander de quel sexe sera sa prochaine victime. Pourtant au plus profond de lui-même, son rêve le plus fou est de devenir normal et de perdre sa personnalité absurde dû au sceaux maudit. Il déteste qu'on parle sur son dos et en général n'en laisse même pas le temps... Il est agressif et roublard mais pas très rusé voir d’une naïveté déconcertante. . Il ne ressent pratiquement pas la douleur et tue par plaisir.
En résumé Juugo n’est pas humains à proprement parler, on peut le définir comme une créature compréhensible au caractère Androgyne mais énormément dangereuse
Histoire :
# L’Homme : Une Ambition Débordante #
L’homme a durant des siècles cherchés la perfection. L’homme s’est pris pour Dieux à de nombreuse reprise sans même être punis par celui qui peut prétende être Dieux.
Le sang des hommes est d’ordre Mortel, un sang aussi impure ne peut prétende une telle responsabilité. Mais cela ne l’est entravait pas, bien au contraire. Les Hommes ont durant tant d’années cherché à se surpasser mais à quelle prix ? Est-il nécessaire d’aller aussi loin pour prouver notre valeur ? Cette longue investigation aux quelle s’est prêté l’Homme a commencé il y a des années, à l'époque où la femme était encore esclaves de l'homme, où l'argent n'était pas significatifs de pouvoirs mais de biens. La médecine, les sciences l’homme s’étendait dans tous les Domaines et essayait de comprendre chaque détail, chaque élément présent dans notre monde. L’homme n’est pas privé de la moindre recherche il est seulement restreint. Des limites qui le différentie d’un être divins et qui fond de lui ce qu’il est vraiment.
Cependant l’homme avide de connaissance et de pouvoir voulait aller plus haut encore. De simple recherche ne suffisait-elle pas ? Apparemment non , les Hommes après avoir acquit un nombre énorme de connaissance qu’elle soit d’ordre médical, physique ou scientifique décide de révolutionner leurs monde et de cette fois, ne pas analyser ce qui a été crée mais Créer.
Les Hommes étaient trop gourmand et ce malgré le mécontentement de certains d’entre eux.
Ainsi, après des année où l’homme n’a fait qu’observer ce monde, il établie un projet révolutionnaire à l’encontre même de toute logique humaine. « Seul un être Divin se permet la créations ; L’homme n’est qu’une œuvres parmi tant d’autres ; Une œuvre se contente de vivre à travers les âges… seulement » Rien empêchait l’homme d’aboutir son projet. Un projet qui a pour thème « La création ». À l’époque, le monde retenait son souffle et endurais la folie qui animait certains d’entre eux.
Mais qu’elle était donc ce projet ? Quelle création pouvait satisfaire l’homme ?
# Un Projet Inachevé #
Au fils des années les Homme toujours animé d’une soif excessif de pouvoir mirent fin à leurs projets. Ce dernier semblait aboutit et le monde s’apprêtait à subir ses effets. Car l’homme, ignorant, avait commis une énorme erreur. Il croyait simple d’être maître de la création mais il ignorait les responsabilités que cela engendrait.. Sans faire durer le suspense plus longtemps, le projet sera révéler seulement l’homme animé d’une déception sans pareille laissa le monde entier dans l’ignorance en annonçant l’annulation du « projet révolutionnaire ». Un mensonge humiliant qui va certes rassurer le monde entier mais qui l’aura déçut tout de même.
Alors que le projet était déclaré « annulé » ce dernier continuait de subsister et allait hâtivement vers son aboutissement. Mais pour la dernière fois, qu’elle était ce projet ?
L’homme a révélé qu’il était courtisant de Dieux et de son travail, ainsi il a voulut après des années l’imiter et reproduire son ébauche sous le thème de la création.
Il a donc en s’inspirant des ses trouvailles et de ses connaissances créer un organisme qu’il jugeait Parfait. Un être parfait, hybride incarnant la prouesse physique à l’état Pure. Son nom était Juugo.
Un telle projet était à l’époque difficile à concevoir alors qu’on était incertains de cloner des être humains l’homme vint à créer une nouvelle race.
Seulement ce projet nommé Juugo est à la base un humain. Je cite : « Juugo est un métamorphe : un humains qui sécrète une matière unique par l’intermédiaire d’un Sceaux. Cette matière lui permet après avoir fusionner avec la totalité de son corps la modification instantané de ce dernier. Toutes métamorphose lui est possible. » Un pouvoir énorme dont l’auteur est l’être le plus abjecte qui n’est jamais exister dans ce monde, l’Homme. Cependant ce projet avait quelques défauts car malgré les vents de son créateur Juugo était comblé de défaut. Notamment le plus important car si Juugo peut sécréter une matière unique, cela n’est faisable que lorsque son esprit diverge, causant des troubles psychologiques. Des défaut qui sont malgré tout insignifiant comparé à l’énorme faculté que possède Juugo…
# Juugo No Tenpin #
Malgré le fait qu’on le définit par « Projet » Juugo est avant tout un adolescent de 17 ans sur qui on a réaliser un grand nombre d’expérience. Mais Juugo n’est pas n’importe qu’elle être humain. Car ce projet n’aurait pus être réalisé sur aucun être humain, seul l’organisme de Juugo pouvait subir une telle intervention.
Juugo est en effet à l’origine de la matière unique qui le compose désormais. Cette matière, il l’a sécrétait déjà, seulement en faible quantité. Les scientifiques n’ont finalement fait qu’accentuer cette sécrétion afin de faire de lui ce qu’il maintenant.
Car d’un point de vue humain, Juugo est a priori normal. De ses 1 mètre 81, il possède une apparence tout à fait ordinaire sans l’activation du Sceaux. Il serait même plutôt beaux garçons, avec une musculature avantageuse et un corps que l’on peut qualifier de Parfait en prenant en compte que la perfection n’est pas universelle, un fait que l’Homme a parfois négligé.
Cependant le jeune et beaux Garçons qu’est Juugo est psychologiquement instable. Depuis sa naissance le jeune homme est partisan de trouble psychologique accentué d’une Schizophrénie, soit un dédoublement de personnalité. Car autant le jeune homme peut être réservé et timide autant il peut être insensé, voire Aliéné. Un dédoublement de personnalité du à sa capacité lié au Sceaux.. Plus le Sceaux s’étend sur son corps, plus le jeune homme sombre dans un délire profond et plus sa soif de sang s’intensifie.
Au final Juugo est un être extrêmement dangereux avec qui toute sociabilité est restreintes. Aujourd’hui encore, le jeune homme, ou devrais-je dire, l’erreur de la nature hère sans objectif précis si ce n’est que survivre dans ce monde détérioré par l’homme…
Test-RP :Un cri strident retentit dans la maison, audible depuis l’autre coté de la rue très certainement. Ayame était tout simplement terrorisée. Sa couleur de peau avait viré au très pâle et elle semblait prête à s’évanouir. Nagamaru accourut, suivit de près par Madara. Ils étaient paniqués par la frayeur que l’on pouvait entendre dans la voix d’Ayame. Quelque chose de grave était arrivé, cela ne faisait aucun doute. Nagamaru avait dégainé un kunai au cas où quelqu’un avait pénétré dans la maison. Madara ouvrit la porte de la cuisine à la volée et se mit en position de combat comme il avait vu faire son père. Nagamaru se plaça devant lui, et pointa son kunai droit devant lui. Puis, ils s’arrêtèrent un instant, sans comprendre, puis leur regard se dirigea vers le sol. Ayame ne cessait de crier, et en les voyants arriver dans la cuisine, les appela à son secours. Nagamaru et Madara se regardèrent, un sourire gêné apparut sur leur visage, puis ils craquèrent et explosèrent littéralement de rire. Le petit Teyaki arriva quelques instants plus tard, et se retrouva prit au milieu d’une bien étrange scène. D’un coté de la cuisine, il vit son père et son petit frère, écroulé dans les bras l’un de l’autre à force de rire. Ils étaient tout rouges et respiraient bruyamment, emportés littéralement par l’hilarité. Du haut des ses cinq ans, le petit Teyaki ne comprit pas exactement quel était la cause de cette soudaine euphorie, mais il comprit vite en regardant de l’autre coté de la pièce, où Ayame continuait à crier de peur. A vrai dire, à présent, elle vociférait contre Nagamaru et son « fils indigne » de ne pas l’aider plus qu’elle ne criait de peur. Teyaki se mit à sourire de la scène ridicule et s’approcha de sa mère. Il prit au passage un biscuit sur le plan de travail où sa mère avait l’habitude de faire la cuisine et le mangea en partie. Il plaça sa main sous sa bouche de manière à récupérer les miettes qui tombaient de sa bouche et cassa le reste du biscuit en petit morceau dans sa main. Il se baissa et posa les miettes devant lui, puis se recula un petit peu, de manière à faire une trainée de miettes jusqu’à lui.
La petite souris renifla quelques instants avant d’apercevoir la nourriture qui lui tendait les bras. Elle émit un petit couinement un courut grignoter les morceaux de biscuits. Teyaki en profita pour l’attraper par le bout de la queue en rigolant bruyamment. La souris se mit à couiner de panique en se tortillant tant bien que mal pour essayer d’aller mordre les doigts du jeune enfant, mais elle n’y parvint pas.
Ayame se dépêcha de descendre de la chaise sur laquelle elle était montée afin d’échapper au rongeur et sortit rapidement de la cuisine, loin de cette « horreur sur pattes ». Madara et son père se calmèrent et s’approchèrent de la souris. Celle-ci s’était calmée et se laissait maintenant pendre lamentablement, résignée à son triste sort. Mais Nagamaru la prit délicatement des mains de Teyaki et disparut dans le jardin. Lorsqu’il passa dans le salon, un nouveau petit cri retentit, Ayame pensant être à l’abri du monstre en se réfugiant sur le tatami.
Les deux petits garçons sortirent alors dans la cuisine. Ayame se précipita et prit Teyaki dans ses bras en le serrant très fort. Elle le félicita pour son courage et sa gentillesse, et surtout de ne pas avoir suivi l’exemple de ses imbéciles de père et de frère. Madara maugréa que ce n’était tout de même pas sa faute si elle avait peur d’un petit animal ridicule. Mais lorsqu’il vit Teyaki tourner la tête vers lui et lui tirer la langue, il ne répondit pas, contenant sa colère et tourna les talons d’un coup sec, avant de se rendre dignement dans sa chambre. Il ne put malgré tout s’empêcher de la claquer le plus fort possible. Il s’allongea sur son lit en maudissant ce satané frère que la vie lui avait imposé avec force. Depuis que Teyaki était arrivé, comme il l’avait redouté depuis le début, plus rien n’était pareil. Il avait deux fois moins de cadeaux, deux fois moins de sorties, deux fois moins d’argent de poches, et surtout, deux fois moins d’attention de la part de ses parents. Il se redressa de façon à s’adosser contre le mur, ferma les yeux et tenta de se souvenir du temps où il était fils unique, le petit trésor de ses parents, qui recevait tout l’amour dont ils pouvaient faire preuve. Il avait beaucoup de mal à s’en souvenir, car il n’avait à l’époque que deux ans et sa mémoire était une espèce de gruyère où les souvenirs s’échappaient à toute vitesse à travers les trous. Plus il tentait de se remémorer, plus ses souvenirs s’éloignaient au loin. Il se pressa les mains sur les oreilles, de façon à ne plus entendre cette peste de Teyaki, pour pouvoir mieux se concentrer.
Soudain, il se souvint de sa fête de un an. Dans sa tête, ses souvenirs se mélangeaient avec ce que l’on lui avait raconté, de telles sortes qu’il ne savait plus si ce dont il se souvenait coïncidait vraiment avec ce qu’il avait vécu. En revanche, il se souvenait parfaitement du spectacle de feu. Cela l’avait vraiment marqué et il s’en souviendrait certainement toute sa vie. C’est depuis ce jour qu’il avait développé une véritable passion pour le feu et toutes les techniques Katon. Il se remémora alors le jour où Nagamaru avait décidé de lui apprendre à devenir un ninja. Il avait alors quatre ans et donc, logiquement, Teyaki avait fêté ses un an depuis un moment. La fête avait été presque aussi spectaculaire que celle de Madara, les membres du clan leur ayant offert un nouveau show de flammes. Cela en revanche, Madara s’en souvenait parfaitement. Il avait boudé toute la soirée. C’est vrai quoi, on ne pensait qu’à Teyaki, comme si lui n’existait plus. Bref, toujours est-il que environ une semaine plus tard, Nagamaru était venu voir Madara en lui annonçant qu’il était maintenant assez grand pour apprendre à devenir un ninja. Madara avait sauté de joie et avait couru dans ses bras. Il rêvait depuis très longtemps de ce moment, sans jamais oser en parler à son père. Ils étaient alors allés dans la forêt qui bordait le petit village, afin de s’entrainer au lancer de projectiles. Nagamaru portait à sa taille une petite sacoche contenant une vingtaine de kunais et une petite centaine de shurikens. Madara jubilait complètement, il allait montrer à son père qu’il valait nettement mieux que le petit nouveau de la famille. Il allait reporter l’attention de ses parents sur lui, plutôt que sur son frère cadet. Ils arrivèrent donc finalement au lieu dit. Il s’agissait d’une petite clairière, aménagée spécialement pour le lancer de shuriken. Des petites cibles étaient disposées un peu partout, ainsi que quelques mannequins. Nagamaru sortit un shuriken et le plaça dans la main de Madara, puis en prit un lui-même. Nagamaru lui montra la pose exacte qu’il fallait avoir pour bien lancer le projectile et Madara l’imita à la perfection, ou presque. Il est important de préciser que Nagamaru était un des plus puissants membres du clan Uchiwa, surement même plus fort que le chef. Il savait donc manier les armes avec beaucoup de talent et Madara n’aurait pu trouver un meilleur professeur. A cette époque, bien entendu, l’académie ninja n’existait pas. Nagamaru lança alors le shuriken qui s’envola en voltigeant à travers les airs dans un petit sifflement, avant d’aller se planter contre le cœur de la cible dans un bruit sourd. Il incita ensuite Madara à essayer, mais celui-ci lui demanda de recommencer, pour qu’il soit sûr de la manière de faire. Madara agissait toujours ainsi, observations, analyse et seulement après, exécution. Nagamaru commençait à être habitué à cette façon d’agir dont faisait preuve son fils et s’exécuta. Il prit un second shuriken et le lança, exactement de la même façon. Celui-ci alla se planter à moins de deux centimètres du premier, Nagamaru étant doué d’une précision extrême. Bien évidemment, il n’attendait pas un tel exploit de la part du premier essai de son fils de quatre ans, mais ne pouvait s’empêcher de placer beaucoup d’espoir en son fils prodige. Après un instant de réflexion, le jeune Uchiwa déplaça légèrement le shuriken dans sa main, ajustant sa prise, prit une légère inspiration et détendit violement son bras, dans un mouvement relâché et souple. Le shuriken siffla en tourbillonnant dans les airs. Nagamaru et Madara le suivirent des yeux, sans respirer, comme si cela pouvait le faire dévier de sa trajectoire. Finalement, celui-ci vint se placer très exactement entre les deux shurikens que venait de lancer son père. Sous le choc, ces deux derniers se détachèrent de la cible et vinrent tomber au sol dans un petit bruit métallique. Il ne restait plus sur la cible que le shuriken de Madara, seul, au beau milieu du rond. Nagamaru écarquilla les yeux de surprise et se tourna vers son fils.
"Madara !! C’est fantastique, quel lancer parfait ! Comment as-tu fait une chose pareille ?""Ben j’ai fait exactement comme toi.""Vas y recommence, pour voir si ce n’était pas de la chance."Celui-ci obéit, saisissant une seconde étoile de la mort et se préparant à le lancer. Son père, juste à coté de lui, trépignait d’impatience si ce lancer avait été le fruit du hasard où si son fils avait bel et bien des prédispositions fabuleuse à la voie du ninja. Enfin, le shuriken partit. Il vola jusqu’au premier shuriken, et se planta tellement près de lui que l’on vit une petite étincelle jaillir du frottement des deux. Nagamaru poussa un véritable hurlement de joie et fit tournoyer son fils dans les airs. Madara était lui-même assez fier de lui, mais il était surtout très content que son père soit fier de lui. Qu’il pense à lui et non à ce Teyaki de malheur.
Après, ils s’entrainèrent au lancer de kunai au cours duquel Madara se montra tout aussi performant. Ils finirent la journée en s’entrainant jusqu’à la tombée de la nuit. Ahhh quel merveilleuse journée il avait passé cette fois-ci.
Madara rouvrit les yeux et fut ramené à la réalité. Il était chez lui et Teyaki avait grandit. A son grand regret, il semblerait que Teyaki soit également très doué, et cela forçait l’admiration de ses parents. Le jour où Nagamaru l’avait emmené essayer le lancer de shuriken, Teyaki avait touché la cible à chaque fois. Légèrement moins bien que lui, certes, mais cela l’énervait malgré tout. Son frère cadet semblait extrêmement doué, tout comme lui, et il ne parvenait pas à attirer sur lui l’attention d’Ayame et de Nagamaru.
Il repensa alors au jour de ses six ans, où il avait supplié son père de lui enseigner une technique Katon. Sa passion pour le feu n’avait jamais faiblit et c’est cette apprentissage qu’il demandait, en tant que cadeau d’anniversaire. Nagamaru avait finalement accepté, contre la promesse de ne pas faire de bêtises. Le jeune garçon avait bien évidemment accepté, il était d’un tempérament très calme et n’allait certainement pas s’amuser à attaquer le premier venu à coup de boules de feu. Nagamaru l’emmena donc encore plus loin, jusqu’au désert. Cela représentait plus de deux heures de course, mais Madara n’en avait rien à faire, il allait enfin réaliser son rêve, maîtriser un Katon. Lorsqu’ils arrivèrent sur place, Nagamaru prévint son fils que cet exercice était infiniment plus technique et plus difficile que de lancer un shuriken. Le premier venu pouvait lancer un shuriken ou un kunai, avec plus ou moins de précision. En revanche, les techniques de ninjutsu élémentaires demandaient beaucoup de savoir-faire et d’entrainement. Il lui expliqua aussi qu’il y avait de grandes chances qu’il n’y arrive pas avant au moins une semaine, peut-être un peu moins vu son talent. Il lui expliqua alors e façon théorique ce qu’il allait devoir faire. En vérité, tout les Katon ont la même manière d’être exécuté au départ.
Le but est de réussir à imprégner l’air contenu dans ses poumons de son chakra, en le malaxant. Son fils l’écoutait attentivement, buvant ses paroles comme un véritable nectar. Il suffisait ensuite de doser la quantité de chakra que l’on mettait pour faire varier la température des flammes, et la façon de le recracher pour changer sa forme. Bien évidemment, Nagamaru ne parlait que des techniques de base, et encore, il avait simplifié. Madara lui demanda alors en quoi le fait de mettre du chakra dans l’air allait provoquer un embrasement. Son père sourit, attendant visiblement cette question. Il lui annonça qu’en tant que membre du clan Uchiwa, le chakra qui parcourait son corps était de type feu. Il lui parla alors des éléments, le feu, l’eau, le vent la terre et l’électricité. Chaque personne possédait un type de chakra, mais les Uchiwa possédaient tous, sans aucune exception, le chakra Katon. La libération du chakra sous forme d’air allait donc provoquer la matérialisation de ce dernier par des flammes, plus ou moins importantes selon la concentration en chakra de l’air. Ils passèrent ensuite à la pratique, Madara n’attendant que cela depuis le spectacle de son premier anniversaire. Nagamaru se plaça devant lui et lui montra les signes qu’il devait exécuter avec les mains au préalable. Ces signes avaient pour but de matérialiser le chakra. En effet, une boule de feu et de l’air plein de chakra, ce n’était pas la même chose. Les signes représentaient l’incantation nécessaire à la matérialisation du chakra. Madara regarda une fois son père exécuter les signes, ce qui lui suffit pour les apprendre par cœur. Ensuite, Nagamaru lui apprit à malaxer son chakra. Pour cette exercice, le garçon eut beaucoup plus de mal. En effet, cette fois-ci, tout se passait à l’intérieur du corps, il ne pouvait donc absolument pas observer, et donc pas imiter non plus. Tout ce qu’il voyait, c’était une auréole de puissance qui entourait son père. Il suivit les conseils que lui avait donné son père, c'est-à-dire de joindre ses mains, de se concentrer pour placer toute sa puissance dans ses poumons, comme s’il voulait les faire exploser. Il devait pour cela contracter le plus de muscles possible, il devait libérer de la puissance dans son organisme. Une fois cela fait, il devrait voir la même puissance émaner de lui. Madara hocha la tête et essaya immédiatement.
Il joignit ses deux mains dans le signe du tigre et se concentra. Il aspira un grand coup et se concentra sur ses poumons. Jusque là, cela n’était pas très compliqué, d’autant plus que, étant donné qu’il venait d’inspirer, il lui était aisé de se concentrer sur ses poumons. Madara se mit alors à contracter ses abdominaux, il força sur ses bras, ses jambes, ses fesses, tous les muscles qu’il pouvait. Il sentit la chaleur l’envahir. Mais il dut s’arrêter, à bout de souffle, complètement rouge. Nagamaru le rassura, c’était tout à fait normal pour un premier essai. Mais le fils ne s’en démordit pas et recommença immédiatement. Il allait y arriver, il en était persuadé...
"Allez, ne te décourage pas Madara, moi ca m’a mis plus d’une semaine à apprendre mon premier Katon."Cela faisait maintenant plus de deux heures que Madara tentait en vain de malaxer ce satané chakra sous un soleil implacable. Il était à bout de force, et commençait à s’impatienter. C’est vrai à la fin, il n’avait pas l’habitude de ne pas réussir ! D’habitude, il regardait comment faire et reproduisait ce qu’il avait vu. Mais là, il ne voyait pas du tout. Il commençait à s’énerver. Il ne devait pas échouer, sinon il laissait une opportunité à Teyaki de réussir plus tôt que lui. Et ça, il ne pouvait l’accepter. Or, il savait que ce dernier ferait tout pour le surpasser. La rivalité qui s’était installé entre les deux frères était très vive, même si jamais aucun des deux n’en parlait. Après tout, le silence valait tout les discours. Il repensait à son frère, à chaque fois que Madara réussissait quelque chose d’exceptionnel, son frère cadet arrivait à le faire également, au même âge et avec autant de talent. On aurait dit des clones, ils étaient égaux en tout. Cette pensée fit monter la rage en Madara, il se mit à contracter tout ses muscles avec une force phénoménal, il en avait mal partout. Mais sous l’effet de la colère, il n’en avait rien à faire. Il se mit à crier et les cailloux qui se trouvaient autour de lui furent expulsés. Une aura rouge vif l’entourait, de façon nettement visible. Nagamaru se releva d’un seul coup, il s’était allongé en attendant, sachant que cela allait être assez long. Il félicita Madara qui relâcha la pression. Il était très content, il avait réussi en moins de trois heures, et avait pu analyser sur lui-même la façon dont il fallait procéder. Il se sentait capable de recommencer quand il le voulait. En vérité, il fallait réussir à utiliser l’énergie de ses muscles, et non pas consommer son énergie dans les muscles. Depuis le début, il faisait l’inverse de ce qu’il était censé faire. Au lieu de récupérer de l’énergie pour l’utiliser, il consommait son énergie vitale. Mais maintenant qu’il avait compris, cela lui semblait presque naturel. Il recommença deux, trois fois pour être sûr d’avoir bien compris, puis se tourna vers son père.
"Et maintenant ? Comment on fait pour faire des flammes ?""Je vais t’apprendre le Goukakyu no jutsu. C’est le Katon le plus basique. Tu dois juste concentrer cette énergie que tu as réussi à maîtriser au niveau de tes poumons. Il passera tout seul dans l’air. Ensuite tu n’as plus qu’à relâcher l’air en soufflant très fort après avoir exécuter les signes."Il montra l’exemple à Madara. Il prit une grande inspiration, fit les quelques signes nécessaires à la technique et souffla très fort en criant GOUKAKYU NO JUTSU !! Une grosse boule de feu d’environ quinze mètres de diamètre se forma juste devant la bouche de Nagamaru. Madara écarquilla les yeux d’admiration. Il n’en avait jamais vu d’aussi grosse, son père avait très certainement voulu l’épater en plaçant une dose de chakra colossale dans ce jutsu. En effet, lorsque son père cessa de souffler, il put voir à quel point il était essoufflé. Il sourit et se dit que c’était quand même génial de savoir faire ça. Il voulut essayer immédiatement. Il recommença à malaxer son chakra et sentit une douce chaleur l’envahir. Il força sur sa cage thoracique et sentit cette fameuse chaleur se déplacer dans son corps, jusqu’à l’endroit voulu. Il attendit alors quelques instants, pour que le chakra passe dans l’air, et souffla très fort. Au début, il crut avoir lamentablement échoué, ne voyant rien. Mais très vite, il sentit une vive chaleur au niveau de son visage. L’air commençait à s’embraser, juste devant ses yeux. L’instant d’après, il put voir apparaitre avec admiration une grosse boule de feu, le fameux Goukakyu no jutsu qui faisait la fierté du clan Uchiwa. Il n’était pas aussi impressionnant que celui de son père, bien évidemment, mais il dépassait tout de même les 4m de diamètre, ce qui était tout bonnement impensable pour un premier essai. Nagamaru sautillait de joie. Madara avait maitrisé une technique aussi complexe en très exactement cinq heures. De mémoire d’homme, il s’agissait du record du clan. Il prit Madara dans ses bras et le serra très fort, extrêmement fier de lui. Tout au fond de lui, Madara sourit. Jamais Teyaki ne parviendrais à faire mieux que ça et il devrait enfin avouer que c’était lui le plus doué des deux, le plus fort et le plus puissant. Ce jour là, en rentrant chez lui, Ayame prépara un repas succulent et ils fêtèrent tous ensemble le génie de Madara.
Depuis ce fameux jour, il avait réussi à maitriser un autre jutsu de type Katon, le Housenka no jutsu. Il s’agissait d’une technique envoyant plusieurs petites boules de feu en rafales. La préparation était strictement la même, c’est la manière de cracher qui différait. Il fallait cracher l’air de façon très rapide, mais intermittente. Encore une fois, il avait réussi dés le premier essai, même s’il n’était parvenu qu’à enchainer cinq boules. Madara se leva, légèrement calmé et retourna dans le salon, où Teyaki se trouvait toujours. Il passa en l’ignorant totalement et sortit dans le jardin pour s’entraîner au taijutsu. Le jardin avait soigneusement été aménagé par les soins de Nagamaru, avec divers instruments de musculation et de frappe. Il se plaça face à un mannequin que Nagamaru avait fabriqué de ses mains et se mit à le frapper de toutes ses forces. Le mannequin était composé de plusieurs sacs de toiles, fourrés de foin et reliés ensemble par une grosse corde. C’est Ayame qui s’était chargée de coudre les sacs ensemble, car le pauvre homme n’avait pas la moindre notion de couture, il était ninja après tout, il ne savait pas faire ce genre de chose. Ce jour là, il s’était senti parfaitement ridicule, il était capable de se battre, d’esquiver, de lancer des shurikens et des kunais avec une précision épatante, pouvait cracher du feu, se fondre dans la terre, faire apparaître des grandes étendues d’eau rien qu’en soufflant, il pouvait hypnotiser les gens d’un simple regard, les poussant parfois au suicide, mais il était totalement incapable de coudre deux coussins ensemble. Quelle ironie, vraiment ! Toujours est-il que le mannequin servait parfaitement pour les coups de taijutsu, tant qu’il n’était pas trop puissant bien entendu. Madara frappait avec les poings et les pieds, comma il avait vu faire Nagamaru auparavant, déversant toute sa colère envers Teyaki sur le pauvre mannequin innocent. Madara était vraiment très énervé envers son frère, il aurait souhaité que celui-ci ne soit jamais né. Sa rage lui développait sa force, il se mit à frapper à une fréquence de plus en plus rapide, de plus en plus fort. Au bout de quelques minutes, son poing passa littéralement à travers et frappa l’arbre qui se trouvait derrière. Une vive douleur s’empara alors de sa main et se propagea dans tout son bras. Il ne put retenir un cri de souffrance et se mit à sautiller en se tenant la main. Il avait les yeux froncés pour essayer de contenir son mal, mais au même moment, Teyaki sortit dans le jardin et explosa littéralement de rire. Madara se retourna et vit le visage déformé par l’hilarité de son frère, le doigt pointé dans sa direction. Il sentit alors la chaleur monté dans sa tête, une petite voix dans sa tête résonna alors.
"Tues-le, Madara, tues-le !!! Tous tes problèmes s’envoleront !!!!"Mais une autre voix l’en empêchait, la voix de la raison, sa conscience.
"Penses-tu vraiment que tes parents t’aimeront plus si tu le tues ? Non, ils te rejetteront. Tout ce que tu as à faire, c’est devenir beaucoup plus fort que lui, comme ça Papa et Maman ne feront attention qu’à toi."La pression retomba alors, il se calma instantanément et se rendit compte avec étonnement que la douleur avait étrangement fait disparaître la douleur de sa main. Le soudain changement de comportement de Madara fut tellement brutal que Teyaki s’arrêta de rire instantanément et se prépara à se protéger, au cas où. Mais Madara venait de retrouver une parfaite sérénité, il savait ce qu’il lui restait à faire à présent. Il devait le surpasser. Il s’approcha de son frère cadet et le prit par le col avant de le plaquer au mur. Il le fixait droit dans les yeux et Teyaki commençait à avoir un peu peur, mais pour rien au monde il ne l’aurait montré à son grand frère. Il le défia du regard avec bravoure. Madara craqua et lui dit directement sa façon de penser.
"Ecoute moi bien petit emmerdeur, je ne supporte plus que tu traines chez moi. Depuis que tu es né, ma vie est devenue insupportable, les parents n’ont d’yeux que pour toi alors que c’est moi le meilleur, j’ai donc décidé qu’à partir de maintenant, je serais tellement excellent que tout le monde n’aura d’yeux que pour moi et tu passeras totalement inaperçu. Les choses seront enfin comme elles devront être."Teyaki reçut ce discours comme une gifle, il l’écouta cependant très attentivement, jusqu’au bout, sans essayer de l’interrompre, comme s’il s’attendait depuis longtemps à entendre quelque chose de similaire. Il baissa finalement la tête et ne dit plus rien. Madara pensa qu’il s’était mis à pleurer, sentant le corps de son frère trembler légèrement sous sa main. Il eut presque de la peine pour lui, se disant qu’il y était peut-être allé un peu fort, mais soudain, Teyaki releva la tête en explosant de rire. Il était complètement mort de rire, et ne pouvait même plus respirer. Il tenta de se calmer mais ne put empêcher une petite larme de couler, tellement il rigolait. Une fois son calme totalement retrouvé, plusieurs fois relancé en voyant l’expression ébahit de son frère qui ne comprenait absolument pas ce qu’il avait bien pu dire de drôle, il releva la tête et lui répondit.
"Alors tu crois que ca m’amuse moi d’être le deuxième ? D’être obligé de rester à ton niveau tout le temps. J’entends toujours des « Madara a fait ci », « Madara a fait ça », « A ton âge, Madara... ». Et moi après, je suis obligé de me démener pour qu’on ne dise pas que je te suis inférieur. Alors si c’est ce que tu veux, très bien, je deviendrais tellement puissant que tu ne pourras jamais plus m’être comparé et ce sera à ton tour d’endurer les « Teyaki, lui... », « Si tu étais comme Teyaki », « Teyaki a fait mieux »."Madara le lâcha brutalement et Teyaki se cogna la tête contre le mur de la maison. Madara lui promit qu’il serait le plus fort et que Teyaki allait regretter d’avoir parlé si vite. Teyaki lui rendit les politesse, lui assurant qu’il allait le surpasser. Immédiatement, Madara lui proposa de voir qui était le plus fort dans un combat singulier. Après lui avoir fait promettre qu’il n’utiliserait pas ses techniques Katon, Teyaki accepta avec joie, il avait envie également d’en découdre avec lui depuis un long moment déjà. Chacun se mit en place et Madara essaya de se rappeler de tout ce que son père lui avait appris en matière de combat rapproché. Mais il n’eut pas le temps d’attendre bien longtemps, car le plus jeune des deux Uchiwa fonça directement sur lui, trop excité pour réfléchir. Madara profita de cette précipitation pour le déséquilibrer et le faire tomber. Pour ce faire, il fit un pas sur le coté au dernier moment et le poussa dans le dos en faisant le tour avec son bras. Teyaki, entrainé par sa propre vitesse tomba face contre terre, mais se retourna juste à temps, avant que Madara ne lui saute dessus. Il roula sur le coté et se releva, suivi immédiatement par Madara. Ils se retrouvèrent donc tous les deux l’un en face de l’autre, comme au commencement du combat. Le problème était qu’ils n’étaient encore que des enfants et que par conséquent leur musculature n’était pas encore développée. Ils ne pouvaient donc pas se faire réellement mal, ni effectuer de véritables bons mouvements de Taijutsu. Le combat risquait de durer très longtemps vu leur faible puissance, mais Madara avait malgré tout le dessus, étant donné qu’il était plus âgé. Il avait sept ans alors que Teyaki n’en avait que cinq. Madara fit un pas sur le coté et repartit immédiatement sur Teyaki, afin de ne pas arriver exactement en face de lui. Teyaki n’eut pas le temps de se repositionner, que Madara l’avait déjà attrapé par le cou et plaquer au sol. Il l’immobilisa en serrant et lui demanda d’admettre qu’il avait perdu, mais Teyaki aurait préféré mourir que d’admettre que Madara était plus fort que lui. A cet instant, Madara sentit qu’il était tiré en arrière et vit un pied se poser contre le torse de son frère. Il releva la tête et vit le visage de son père qui les regardait fixement tout les deux.
Nagamaru exigea alors une explication, et vite, à cette bagarre. Madara et Teyaki répondirent alors en même temps qu’il ne s’agissait pas d’une bagarre mais d’un simple entraînement au Taijutsu qu’il leur avait appris. Evidemment, aucun des deux frères ne voulait être puni, c’est pourquoi ils durent s’associer pour une fois. Nagamaru les regarda un par un, fixement, son regard passant régulièrement de l’un à l’autre, à la recherche d’une quelconque trace de mensonge, mais les deux enfants restaient impassibles. Finalement, faute de preuves, il les relâcha.
"Ok, mais faîtes attention quand même, il ne faudrait pas vous blesser. Et ne faîtes pas trop de bruit, votre mère essaye de dormir."Madara et Teyaki acquiescèrent, de toute façon, ils n’allaient pas reprendre le combat après une telle interruption. Toute la pression et la colère était retombée, ils n’avaient plus de raison de s’affronter. Ils attendirent que Nagamaru soit retourné à l’intérieur de la maison et Madara se tourna vers son frère à l’instant où celui-ci faisait de même. L’ainé s’avança et tendis la main vers le cadet. Il lui dit qu’il ne leur servait à rien de se battre. La vie leur montrerait bien assez tôt lequel des deux serait le plus fort. Teyaki crut tout d’abord qu’il s’agissait d’un piège, mais il décida de prendre le risque. Il lui serra la main et proposa un pari. Ils se retrouveraient dans cinq ans et reprendrais ce combat. Ils verraient alors qui est devenu le plus fort, car pour l’instant, la différence d’âge était trop importante. Dans cinq ans, l’impact de celle-ci sur le combat aurait moins d’importance. Madara trouva l’idée excellente, plus d’attaque personnelle, uniquement une course à la puissance effrénée, dont les résultats ne se verraient que dans cinq ans. Ils se donnèrent rendez-vous le jour des dix ans de Teyaki, au milieu du désert, à l’endroit où ils allaient souvent jouer lorsqu’ils étaient plus jeunes. Teyaki accepta avec joie et ils se lâchèrent finalement la main. Ils se retournèrent dos à dos et partirent chacun dans un coin du jardin, afin de s’entraîner. La course à la puissance avait d’ors et déjà commencée, ils n’avaient que cinq ans devant eux pour devenir surpuissants. Le temps leur était compté et aucun des deux n’avait l’intention de laisser l’autre gagner. Pas une minute à perdre !!