Isshin Fujiwa Genin de Kinpaku
Age : 36 Niveau : 6 Nombre de messages : 189 Date d'inscription : 17/06/2009
~RPG~ Pv :: (260/260) Pc :: (210/210) Exp :: (146/150)
| Sujet: Le reveil du héros, les baffons sont aussi un trésor... Lun 9 Nov - 16:10 | |
| Le regard vide, Isshin est apaisé comme jamais auparavant, pour la première fois depuis des semaines il ne ressent ni douleur, ni souffrance corporel quelconque. N’est-ce pas là un doux moment pour ce jeune garçon plein d’avenir ? Bien évidemment, que demander de plus quand on a tout ce qu’il faut en ce bas monde ? Absolument rien. Lentement les yeux d’Isshin s’ouvrent sur la réalité, la première chose qu’il voit est une lumière blanche et forte qui l’ébloui et l’oblige à les refermer rapidement. Par la suite il pose ses mains sur son visage pour se frotter celui-ci, un geste simple qui lui permet de recouvrer rapidement ses esprits. Quand enfin il ressent les muscles de son visage il se décide à ouvrir les yeux, là il comprend vite ou il se trouve, la couleur de la pièce est d’un blanc écarlate, l’odeur est inodore, peut-être une légère sensation de renfermer dans ses narines, mais rien de bien probant. Facile pour lui de deviner qu’il est dans une chambre d’hôpital, le premier des ahuri l’aurait compris. Isshin ne fait pas un mouvement de plus, il est totalement couvert par de grosse couverture, sur un lit douillet à souhait, bouger serait une perte d’énergie, se reposer est le meilleur des solutions pour ce flemmard incandescent. Il tourne lentement la tête vers la fenêtre de sa chambre et regarde vers l’extérieur, à ce point de vu précis il ne peut voir grand-chose, la seule véritable chose qu’il peut observer est le ciel ainsi qu’une branche d’arbre qui s’est accolé à la vitre. Mais une chose d’autre attire son regard, il semble que sur cette vitre un oiseau ait fait son nid, à l’initial seul le nid est en ce lieu il semble désert… Enfin… C’est ce qu’il pensait, car en un instant celui-ci ce met à bouger, le vent peut-être ? C’est une possibilité comme une autre, mais la manière dont celui-ci bouge est tout autre, un espèce de tremblement s’effectue et à force de trembloter le nid se déplace changeant totalement le point de vu qu’à Isshin sur le nid et en un instant ce jeune shinobi peut voir à l’intérieur de celui-ci un œuf d’oiseau en pleine éclosion. Pour la première fois de toute sa vie Isshin va assister au miracle de la vie du monde animal, n’est-ce pas là un moment divin qu’offre dieu à ce puissant shinobi plein de talent ? C’est presque trop d’honneur que l’on lui fait à l’heure actuel. Sans dire mot, Isshin ne quitte pas l’œuf des yeux, car en peu de temps les mouvements qu’il fait finissent par craqueler l’œuf. Un craquellement magnifique qui permet au jeune oisillon de laisser s’échapper son bec encore à peine former, pour par la suite briser la coquille à son sommet pour enfin laisser sortir la tête du jeune nouveau née. A la vue de cet oiseau déplumé, Isshin est abasourdi, car en un rien le jeune oiseau pousse son premier cri, un cri puissant qui lui permet d’appeler ses parents pour qu’ils puissent venir enfin le nourrir. Est-ce cela le miracle de la vie ? Un long et difficile combat dès le commencement ? Au fond cela semble de nature commune pour le jeune Isshin, c’est ce qu’il arbore de jour en jour avec brio depuis son arrivé à Konoha nouvellement Kinpaku. Quoi qu’il en soit, Isshin observe toujours l’animal au cri perçant, quand enfin au loin on peut entrevoir un oiseau de belle envergure et couvert du plus beau des ramages, d’un bleu azur comme on en a peu l’opportunité d’en voir. Celui-ci effectue l’une des danse les plus gracieuse de ce monde avant de se poser tranquillement sur cette dite branche. Dans son bec se tenait un petit verre blanc, voilà donc la nourriture tant attendu par le jeune oisillon, bien évidemment le père oiseau ne tarde pas à déverser la nourriture dans la gueule du nouveau née, père car en ce monde c’est le père qui s’occupe de ce genre de corvée. Quand enfin l’animal est rassasier on ne l’entend plus et Isshin peut observer le plus beau tableau qu’il lui ait été donner de voir, un oiseau et son fils ou fille dans un nid qui se regarde tendrement dans le blanc des yeux, sur ceux, Isshin laisse s’échapper un exquis sourire sous sa chaude couette et par pur enthousiasme il laisse aussi s’échapper quelque mots…
"Qui aurait cru qu’un jour j’assisterais a cela ! Comme quoi ce dur moment dans cette chambre froide m’a permis d’en apprendre plus que j’en connaissais, magnifique en tout cas, magnifique !"
Sûr ces mots, Isshin décide de laisser de l’intimité à cette famille oiseau en tournant de nouveau la tête vers ce banc plafond. Mais à peine eut-il laisser son regard traîner en cette zone, une forme d’ennui l’envahis rapidement, il faut dire qu’il ne sait pas vraiment l’heure qu’il est, ni combien de temps il a put rester en ce lieu, bouger un peu ne lui ferait guère de mal. Lentement il se décide à se soulever pour s’asseoir et se dévêtir de cette couette, là on peut voir de nombreux bandages sur son corps dénudé, preuve à laquelle le combat contre son opposant n’était guère aisé. Lentement il se tourne complètement face à la porte de sa chambre pour s’asseoir sur son lit. Là il ressent une légère fatigue musculaire lui montrer au cerveau, signe qu’il est resté dans son lit depuis un long moment déjà. Là il essai tant bien que mal de se soulever, mais à peine eut-il été sur ces deux jambes qu’il se sent vaciller, un dur moment qui ne l’empêche pas pour autant de rester debout. Il commence à faire les cent pas dans la chambre pour retrouver un certain équilibre et quand cela est fait, il fini par se voir dans un grand miroir et que voit-il en ce lieu ? Sa propre personne, mais entièrement dénudé… Sur le coup, son visage devient rouge, ses mains se pose sur son intimité et son regard tourne et retourne à gauche et à droite en espérant que personne ne l’ait vu, mais voilà, à l’extérieur de sa chambre se trouve la grande cours et dans cette cours des personnes âgée qui prennent l’air, l’une d’entre elle semble regarder dans sa direction avec un large sourire, pour ensuite proposer à Isshin de venir la voir d’un simple signe de main. Isshin s’élance sur sa fenêtre pour baisser rapidement le rideau et se cacher derrière une grande plante en espérant que plus personne ne voit son magnifique derrière tout en muscle. Après un petit moment, juste le temps de ne plus ressentir la moindre gêne, il s’approche de son placard, l’ouvre et attrape des vêtements de rechange, propre semble t-il, pour ensuite les enfiler rapidement. Enfin habillé de convenance, il s’empare de son Katana rangé comme il se doit dans son fourreaux par on ne sait qui, puis lentement il s’approche de la porte de sa chambre et l’ouvre gaiement. A l’extérieur de celle-ci il découvre un monde tout en blanc, les infirmière sont en blanc, les murs sont en blanc et même les patient sont en blanc, alors lui qui est en noir fait assez tache dans ce décors lacté. Il s’élance en direction de… Euh… La porte ? Enfin, il s’élance quelque part en espérant trouver la sortie de ce lieu, mais hélas il semble ne pas avoir de bon sens niveau orientation, car comme prévu il se perd facilement et se retrouve on ne sait ou… Alors qu’il tourne et retourne, il finit par voir une porte qui mène vers l’extérieur, sans plus attendre il se dirige dans la direction même, mais à peine eut-il le temps de pousser les portes qu’il découvre un grand jardin florale. En effet, Isshin n’a pas trouver la bonne porte de sortie, il se retrouve tout simplement dans la cours de l’hôpital, un léger air dépité apparaît sur son visage, peut-être aurait-il du tourné à droite se demande t-il, mais bon, dans tout le cas, ce qui est fait est fait on ne revient jamais dessus. Alors qu’il se décide à faire demi tour, une petite voix l’interpelle au loin, celle-ci le clame de s’approcher de lui et qui est la propriétaire de la voix ? Dans le mille, la vieille femme qui a put mater le postérieur du jeune Isshin. Très gêné d’être appeler de la sorte par cette personne, Isshin hésite un instant à s’en approcher, mais le respect des anciens fait place, c’est pourquoi il se décide à s’avancer sans la faire attendre et quand enfin il est à bonne distance, la vieille femme lui lance un magnifique sourire en le regardant de bas en haut, peut-être en espérant voir certaines chose… Quoi qu’il en soit, après l’avoir mater d’une certaine façon, elle s’adresse à Isshin avec une voix douce et clair, une voix qui réconforterai le plus brutal d’entre tous…
"Salut beau jeune homme, je t’ai vu tout à l’heure par la fenêtre de ta chambre, pour cela je te remercie de m’avoir fait partager tant de bonheur en un regard ! Des années j’ai pu admirer bien des choses, mais ce genre de chose je m’en lasserai jamais. Quoi qu’il en soit, pour ton cadeau j’aimerai aussi t’offrir quelque chose, un présent unique qui te mettra en joie. Je parle bien évidemment du « trésor du peuple » ! Là tu doit te demander ce qu’est ce trésor n’est-ce pas ? Bien pour faire simple, ce trésor est une légende qui ne se transmet que de père en fils, bien laisse moi te transmettre celui-ci maintenant, car je n’ai nul enfant à qui cela servirait. Bien sur, je n’aime pas dire les choses promptement, c’est pourquoi une petite énigme est à résoudre mon jeune et séduisant ami. Cette énigme se présente ainsi : Quand dans les baffons je fut oublié, la clef du cœur s’en est allé. Faite moi sortir de cette longue agonie, pour y gagné le juste prix. A toi jeune guerrier enchevêtré, viens me récupéré pour ta gloire et ta fierté… Difficile n’est-ce pas ? Ben amuse toi bien à le décoder, mais si un jour tu veux de nouveau me montrer ton croupion je saurai te donner bien d’autre chose ! hihihihi !"
Sur ces mots, Isshin redevient rouge, il faut dire que cette vieille femme a le don de le stresser au plus haut point. Quoi qu’il en soit, il décide de se déplacer en songeant à l’énigme, mais sur le coup rien ne lui vient à l’esprit, ce genre d’énigme n’est pas facile à comprendre à la première strophe entendue. Mais bon, en étant le plus logique possible, les baffons ne peuvent être que les catacombes de l’hôpital, car comme tout lieu dans le village, de nombreuses catacombes ont était creusé afin de permettre à tout un chacun de s’enfuir en cas de guerre. Sans plus attendre, Isshin se redirige vers l’hôpital, mais cette fois pour ne pas bêtement se perdre il décide de demander son chemin à la première infirmière venu. Facilement trouver, elle le redirige rapidement, mais la beauté de celle-ci est telle qu’il lui est difficile de se concentrer pour retenir toute les informations, c’est pourquoi elle s’empare d’une feuille et d’un stylo pour lui annoter le chemin à suivre, dans ce genre de situations on se croirait dans un vieux film comique ou le touriste demande son chemin. Quoi qu’il en soit, quand enfin elle a fini de bien tout noter, elle donne à Isshin la feuille qui lui lance un délicat sourire comme remerciement. Là commence son tout autre périple, ou un magnifique trésor l’attend en son fond, est-ce une bonne idée de se lancer tête baisser dans l’aventure ? Peut-être, mais dans tout les cas cela reste la plus belle opportunité de sa vie, alors jamais il ne la laissera passer bien évidemment. Sans faire trop de faute de lecture, Isshin avance à grand pas dans les directions indiquées, bien sûr après une ou deux erreur de virages, mais rien de bien grave puisqu’il semble sur la bonne voix. Quand enfin il atteint la porte tant désiré qui e mènera au lieu dit, il n’hésite pas une seconde pour l’ouvrir et pénétrer en ces lieux. A l’intérieur une grande obscurité l’empêche de voir correctement, c’est pourquoi il s’empare de l’une des torches posé proprement sur un coin. Rapidement il allume celle-ci et descend les marches d’escalier une à une. Après une longue descente presque à l’aveugle, il atteint les dit baffons dans l’énigme, là de nombreux couloir de toute forme se présente à lui, mais par pur ressenti il s’engage dans l’un d’eux sans même y penser plus, en effet, une espèce de force attractive l’appel dans cette direction ci. Que va t-il trouvé la bas ? Bonne question, advienne que pourra comme disait l’autre. Quand enfin il atteint la fin du couloir, il se retrouve dans une grande pièce très humide, rien à l’intérieur, si ce n’est en son centre un socle avec une petite boite dessus. Qu’est-ce dont ? Pour le savoir il suffit tout bonnement de s’en approcher, ce qu’Isshin fait avec la plus grande des prudences. Aucun piège à l’horizon semble t-il et quand enfin il se trouve à bonne distance, il pose ses mains sur la petite boite qui est des plus banal en soit et l’ouvre aisément. Là son regard s’illumine de mille feu, qu’y a-t-il dans celle-ci ? des trésors inestimable pour le jeune Isshin d’une certaine façon, des joyaux qui lui permettrons de se confectionner bien des choses plus tard, c’est pourquoi il n’hésite pas un seul instant pour s’emparer de celle-ci, la mettre dans sa poche et se retourné pour rejoindre la sortie de ce lieu macabre. Ainsi se termine le chapitre historique d’une journée pleine en émotion pour ce grand shinobi d’une autre époque… 143 Lignes pour les matériaux ! Merci. | |
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