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| | Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] |  |
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Raito Yamida
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|  Sujet: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] ![Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Dim 16 Aoû - 16:56 | |
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~' La recherche '~
Raito se rappela encore le jour où toute sa famille c'était détruite. Il avait ensuite grandit seul, sans aucun repère, n'ayant pour seul accroche que l'envie de retrouver le reste de sa famille. Et en ce jour, le jeune jônin avait retrouver tout le monde, sauf une seule personne. Son frère et sa petite sœur étaient ensemble à Iwa, sa frangine était chez lui, son père était mort, et sa mère était portée disparue depuis déjà plusieurs années, depuis le mort de son père en réalité. Mais en ce jour, Raito voulait découvrir ce qu'était devenu sa mère, il sentait au fond de lui qu'elle était toujours en vie, qu'elle n'avait pas quitté ce monde, et qu'elle se raccrochait encore à l'espoir. Pour lui, il était impossible qu'elle soit morte, il ne voulait même pas l'imaginer, c'était tout simplement inconcevable.
La vie était une chose précieuse donnée par dieu. Il fallait savoir en profiter pour trouver ses racines et ses origines, pour découvrir qui l'on était. Mais personne n'avait su donner ça à Raito. Lui avait besoin d'un pilier dans sa vie, mais personne n'avait su l'être, personne n'en était capable, sauf la personne l'ayant mis au monde. Il devait faire des recherches pour découvrir qui était sa mère, il n'en avait pratiquement aucun souvenirs. Il devait également savoir ce qu'elle était devenu, mais ça, cela risquait d'être un peu plus dur. Mais le jeune ninja de Kiri n'allait reculer devant rien, son équilibre en dépendait, il allait donc tout faire pour retrouver sa génitrice. Et pour commencer, ça se trouvait au bureau du Mizukage.
Dans le bureau du Mizukage, il y avait des documents officiels, mais également des officieux. Raito allait tout d'abord consulter les officiels, ceux-là, il avait le droit de les regarder. Mais c'était vraiment pas une partie de plaisir, Raito savait qu'il existait des milliers de documents, certains vraiment absurde, et d'autres très important. Cela dépendait de l'intérêt qu'on portait au sujet du dossier. Et à vrai dire, le Yamida lui, ne portait que très peu d'intérêt à tout ses dossiers, seuls quelques-uns l'intéressait. Lorsque le jeune garçon arriva devant le bureau du Mizukage, il dégrafa l'un des boutons de sa chemise pour que l'on entrevoit un peu plus son torse. Il savait que la réceptionniste craquait sur lui, et il allait se servir de ça. Devant elle, il bomba le torse et fit ressortir ses pectoraux, puis se mit à lui parler.
« Je voudrais consulter tout les documents concernant les Yamida. »
La jeune femme ne résistant pas au charme du jônin, lui indiqua la route, se donnant même la peine de l'accompagner pour rester encore un peu plus en sa compagnie. Lorsqu'il arriva à la porte, la femme voulut le suivre, mais elle ne pouvait pas, elle devait regagner son poste. Raito était maintenant seul, exactement comme il le voulait. Lorsqu'il regarda tout les documents concernant sa famille, il vit des dossiers concernant toutes les missions exécutées par son frère et son père. Mais comme il le pensait, toute trace de l'enlèvement de Raito avait été effacé, comme il l'avait prédit. Ses enfoirés du conseil ne reculait devant rien. Raito allait tout faire pour les supprimer. Les anéantir et ne plus jamais les revoir en ce monde.
Raito vit alors un document important. Il ouvrit la boîte, puis en sortit plusieurs objets sans valeur pour lui. Puis il trouva un bout de parchemin, c'était ce qu'il recherchait. Ou du moins, ce qu'il recherchait dans cette boîte. Il le déplia et découvrit un arbre généalogique. Il regarda alors les différentes générations de sa famille. Ne portant d'intérêt à aucune branches, sauf la sienne. Il vit alors son nom ainsi que celui de ses frangins et frangines. Il remonta alors, et découvrit le nom de sa mère. Il resta plusieurs minutes devant cette affiche, regardant ce nom. Son cœur battait la chamade, des perles de sueurs se laissaient couler le long de son visage. Ce qu'il ressentait était tellement profond et inexplicable.
« Sayuri Yamida .. »
Lorsqu'il prononça le nom à voix haute, il eut des frissons. Ils parcoururent tout son corps jusqu'à l'échine. Mais les recherches n'étaient pas terminées. Il fallait continuer à chercher, maintenant qu'il avait le nom, il devait trouver où elle se trouvait. Mais il n'y avait aucune indication là dessus. Raito vit alors une porte plus loin, il y avait écrit qu'elle était interdite d'accès pour cause de travaux. Mais Raito ne fit pas attention à la pancarte et pénétra dans la salle. Les archives secrètes de Kiri. Même là, l'enlèvement de Raito n'était pas mentionné. Mais ce que le jeune Yamida cherchait, c'était l'endroit de la mort de son père. Il avait établi un raisonnement qui l'aiderait à retrouver sa mère, et qui l'aiderait à coup sûr à trouver sa génitrice.
« Si je trouve où papa est mort, je suis sûr que maman est resté là bas, près de lui. C'est une certitude. »
Ce plan n'était pas si compliqué que ça finalement. Lorsque Raito trouva quelque chose susceptible d'être intéressant pour ses recherches, il fut stopper dans son élan. Il entendit un cliquetis, puis tourna sa tête vers la porte. La poignée était en train de se tourner. Raito se cacha rapidement, évitant de faire trop de bruit. Il fallait rester très discret pour ne pas se faire remarquer. Il n'avait pas le droit de se trouver ici. Entra alors deux hommes dans la pièce. Ils étaient grand, et apparemment, ils venaient chercher quelque chose eux aussi, mais ils ne semblaient pas s'en cacher, loin de là. Raito surprit alors une conversation entre eux, ou plutôt, l'un d'eux qui parlait à l'autre d'un plan.
« D'après le conseil, nous avons ordre de tuer deux hommes du village et faire passer ça en simple suicide ou bien accident. Il s'agit de Shinji Ryuken et de Raito Yamida. Le conseil a découvert que le petit Yamida en savait bien trop sur son passé à présent, et ils soupçonnent ce même jeune, d'avoir tout dit au Ryuken. Mais ils sont fort tout les deux, et même le conseil ne pense pas être à la hauteur, alors je ne pense pas qu'on y arrivera nous même. »
Le conseil voulait donc les éliminer. Et bien, ils découvriraient bien vite que c'est eux qui allait disparaître. Et pour de bon qui plus est. Raito les laissa prendre un dossier, puis ils quittèrent les lieux très rapidement, de façon à ne pas se faire prendre eux non plus. Ils ne semblaient pas bien discret en plus. Raito reprit donc son investigation et trouva un dossier classé confidentiel sur une mission de rang A. Concernant le pays des neiges. Si cette mission n'était pas dans l'autre salle, il y avait deux raisons possible. Soit son père avait fait quelque chose là bas, capable de vendre Kiri sur un acte pas bien pacifique. Soit, c'est là qu'une grosse erreur avait été faites. Et rien qu'au flair, Raito sut que c'était une erreur, et rien d'autre. Ce conseil était si incompétent.
« Yuki no Kuni. Le pays de la neige. C'est donc là bas qu'il est mort. Maman doit être là bas. »
Très déterminé, Raito sortit de la salle. Puis sorti également de l'autre pour se rendre devant la réceptionniste. Il avait déboutonné tout les boutons de sa chemise, pour laisser voir son torse ainsi que ses abdos. La femme parut complètement obnubilée par le corps du jônin, et en oublia de fouiller le jeune Yamida. Il avait pris le dossier classé confidentiel. Raito avait tout planifié. Maintenant, il partait, direction le pays des neiges.
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| | | | Raito Yamida
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Dim 16 Aoû - 20:44 | |
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~' Direction Yuki '~
Le jeune ninja de Kiri en avait dans la tête, et énormément de suite dans les idées. Il avait réussi à quitter le palais du Mizukage avec un parchemin classé confidentiel, et ne pouvant normalement pas sortir du palais. Il s'en était sorti avec brio, et même encore plus dur à croire, avec une facilité déconcertante. Il avait alors quitté le palais, en direction de sa maison. En arrivant, il vit sa sœur, Ayumi, en train de faire le déjeuner. Il allait falloir manger avant de partir pour Yuki. Raito se posa à table et déposa le parchemin non loin de lui. Son assiette fut rapidement servie, au menu, des yakitoris.
Ayumi connaissait décidément bien son frère. C'était le plat préféré de Raito. Elle se mit également à table. Ils mangèrent tout les deux, sans un mot. Le repas était délicieux. Les papilles de Raito en frémissait à chaque bouchée. Ce plat était une magnificence pour le palais d'un jeune amateur de yakitoris. De plus, Ayumi était une excellente cuisinière que Raito avait couronnée cuisinière en chef de la maison. Il se rappela de ce moment, ils avaient tout deux rigoler aux éclats pendant près d'une heure. Et ils s'étaient mit à faire la cuisine tout les deux. Mais le moment était grave, il fallait que Raito parle à Ayumi de son plan pour retrouver leur mère. Mais le jeune jônin de Kiri n'y alla pas par quatre chemin et fut franc avec sa sœur.
« J'ai décidé de retrouver maman. Je sais où elle se trouve. »
Ayumi fut tellement surprise par l'annonce de son frère qu'elle faillit s'étouffer avec sa bouchée de yakitoris. Raito lui tapa dans le dos, puis elle but une gorgée d'eau qui glissa lentement à travers sa gorge. Il y eut un silence relativement conséquent. Sa frangine semblait être complètement abasourdie. Pensait-elle que leur mère était morte ? Pensait-elle qu'il était impossible de la retrouver ? Ou bien que Raito était trop faible pour faire le voyage ? Raito était sûr de pouvoir y arriver, il savait avant même de partir que cette expédition serait une réussite. Il ne pouvait pas en douter, et Ayumi n'avait pas le droit d'en douter non plus.
« Raito ... Tu ne peux pas partir comme ça ... Je veux bien que tu saches où elle est, mais tu n'as pas le droit de me laisser comme ça, ici, toute seule ... »
Dans la voix de sa grande sœur, Raito put sentir de la tristesse mêlée à un sentiment d'abandon. Raito se leva de table, et la rejoignit. Il la fit se lever. Et il la prit dans ses bras, l'étreignant aussi fort qu'il le pouvait. Il aimait sa sœur, elle était sa seule famille. Il ne comptait pas l'abandonner, il allait revenir, c'était sûr. Même si lui était également sûr que sa mère ne reviendrait jamais à Kiri, préférant rester auprès de leur père. Raito déposa un baiser sur le front d'Ayumi. Une preuve d'affection et d'amour. Mais à y réfléchir, Raito ne pouvait laisser la seule femme de sa vie seule. Le conseil savait des choses, et ils étaient capable de faire tuer Ayumi pour que Raito revienne et se laisse envahir par sa rancœur et son envie de vengeance. Même si ces deux sentiments l'animaient déjà.
« Ne t'inquiète pas grande sœur, j'ai tout prévu. Je ne serai pas seul, tu viendras avec moi. »
Raito prit le visage de sa sœur dans ses mains et lui souleva la tête. Elle était en pleine crise de sanglots, émue par ce que Raito venait de dire. C'était la première fois qu'il l'appelait grande sœur avec amour, et non pas par ironie, elle aussi l'avait senti dans la voix du garçon. Elle prit son frère dans ses bras, le serrant très fort, comme si elle ne voulait pas qu'il la quitte. Mais ce n'était pas le cas, ils partaient tout les deux. Vers leur passé. Vers la personne qui leur avait donné la vie. Raito mit alors en garde sa sœur et lui donna des choses à faire dans les plus brefs délais.
« On part dans une heure. Fais tes bagages, un petit sac suffira. Je m'occupe de la nourriture. Je m'équiperai de mes équipements juste après. Puis nous partirons, direction Yuki. Ah oui, prévois un manteau, c'est un conseil. Libre à toi de le suivre. »
Raito rigola suite à ses dernières paroles. Il était tellement évident qu'elle allait prendre un manteau que cela en devenait amusant. Raito comme prévu, organisa la nourriture, il avait pris pour trois jours. Pour le reste, il chasserait lui même dans la nature. Dans un climat aussi froid que celui de Yuki, il devait sûrement y avoir des tas d'ours. Maintenant, il fallait partir au plus vite, Raito avait prévu de traverser le pays du feu dans la journée et d'arriver au pays des neiges en début de soirée. Il prit alors ses équipements, puis fit son sac lui aussi. Il descendit alors les escaliers de sa demeure, puis retrouva sa grande sœur sur le perron de la maison.
Sans un mot, les deux êtres quittèrent la maison, puis passèrent les portes du village. Le temps passait, très lentement à l'impression de Raito. Quand on ne savait pas quoi faire, c'était en général ce qu'il se passait. La route était longue, il le savait. Rapidement, ils rallièrent le pays du feu et ses frontières. Puis lorsqu'ils pénétrèrent dans ce pays, ils virent un homme équipé d'un véhicule relativement rapide, une diligence. Raito marchanda avec l'homme, et il accepta de les amener jusqu'à la frontière du pays des neiges. Cela tombait bien, ils étaient du coup en avance sur l'horaire prévu par Raito. Ils en profitèrent alors pour parler, et surtout, Raito en profita pour décliner son plan.
« Comme tu dois t'en douter, j'ai pensé à tout. Pour trouver maman, nous n'avons que deux solutions, une très bête et qui prendrais du temps. Et l'autre que j'ai jugée bien plus efficace. Soit on la cherche dans le village de Yuki, en faisant du porte à porte et en cherchant du monde qui la connaisse. Ou bien, on se rend sur la tombe de notre père, où maman doit se rendre très régulièrement. »
Ayumi forma le signe deux avec ses doigts. Pour montrer qu'elle était en accord avec la deuxième proposition de Raito. Ils en profiteraient également pour aller voir cet homme qui était leur géniteur. Il reposait aujourd'hui en paix, et cela apaisait l'esprit des deux Yamida. L'homme s'arrêta alors, puis il ouvrit la porte aux deux compères. Ils étaient arrivés. Le pays de la neige était droit devant. Malheureusement, l'homme n'allait pas dans cette direction. Ils allaient donc devoir continuer à pied. Rapidement, tout deux s'équipèrent de blousons. Le froid régnant dans cette partie du monde était complètement frigorifiant, il devait être impossible de vivre ici.
Grâce à l'avance que la diligence avait apporter à Raito et Ayumi, le jeune prodige calcula qu'ils pouvaient arriver à Yuki avant la tombée de la nuit. Et il ne se trompa pas, lorsqu'ils arrivèrent dans le petit village, il faisait encore jour. Rapidement, ils demandèrent leur route, demandant la direction du cimetière. Certains étaient effrayés à la vision de Raito, le bandeau qu'il portait sur le bras ne leur donnait guère confiance. Pourtant, Kiri n'était pas hostile envers Yuki, mais ce petit pays n'avait pas une grande force militaire, ils devaient donc craindre que Kiri soit là pour les assiéger. Mais quelques personnes furent assez aimables pour leur indiquer la route. Lorsqu'ils arrivèrent, ils cherchèrent directement la tombe de leur défunt père.
« Raito ! Je l'ai trouvée. »
Raito alla à la rencontre de sa sœur. Effectivement elle avait trouvée. Il était écrit sur la tombe « Ici repose Yamida Isaki ». Raito avait donc vu juste, son père reposait bien ici. Les deux enfants d'Isaki se recueillirent alors sur la tombe du défunt. Puis se retirèrent un peu plus loin, dans l'ombre. Attendant que leur mère arrive. Et Raito ne manqua pas son coup, elle arriva rapidement, alors que la nuit n'allait pas tarder à tombée. Raito l'approcha, Ayumi étant dans ses pas. Lorsqu'il arriva derrière sa mère, Raito senti son cœur proche de la rupture. Il avait l'impression que sa vie ne tenait plus qu'à un fil. Il mit alors la main sur l'épaule de sa mère, et l'aborda.
« Je suis désolé pour votre mari, toutes mes condoléances. Vous êtes madame Yamida n'est ce pas ? »
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| | | | Raito Yamida
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Lun 17 Aoû - 16:10 | |
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~' Retrouvailles '~
Lorsque la femme entendit son nom, elle ne prit même pas la peine de se retourner, mais elle eut un moment de panique voyant que cet homme prenait tant d'aise avec elle, et qu'il connaissait également son nom. Si seulement elle avait su qui était ce garçon, elle aurait de suite compris. Mais Raito ne lui avait encore rien dis, il préférait y aller en douceur avec elle. Mais la femme sortit un couteau, prête à se défendre et à tuer son interlocuteur. Raito mit les mains devant lui, comme s'il n'avait rien fait. Elle parla alors, prenant un air grave.
« Comment connaissez vous mon nom ?! »
Raito avait deux choix, soit il disait la vérité, soit il mentait. Ou bien les deux. Les cartes étaient entre ses mains. Il n'avait plus qu'à choisir la voie qu'il voulait emprunter. Le jeune shinobi mit les mains dans ses poches, puis pivota sur lui même quelque peu, lui montrant son bandeau du village caché de la brume. Il avait un peu gelé et il était devenu tout froid lorsqu'on le touchait. La femme vit le bandeau, et sembla comprendre, elle abaissa son arme et la rangea. Mais Raito devait tout de même être prudent, elle pouvait le ressortir et le poignarder à tout moment. Il allait tout lui expliquer.
« Je suis bel et bien ninja de Kiri, vous ne pouvez rien contre moi, ni contre ma sœur. Nous ne sommes pas là pour vous faire du mal. Je connais votre nom, c'est simple, il y a écrit Yamida sur cette tombe, j'en ai donc supposé que vous étiez son épouse. »
Le jônin de Kiri serrait le poing. Il s'en voulait de ne pas avoir réussi à dire la vérité. Il s'était défilé. Ayumi lui prit donc la main, la serrant très fortement. Raito prit un grand souffle, tentant de regagner son calme et de ne pas se précipiter dans ce qu'il allait dire. C'était déjà dur à dire, alors il ne voulait pas avoir à se répéter. La femme voyant que Raito prenait une telle respiration, voyant qu'il essayait de se calmer par tout les moyens, elle commençait à s'inquiéter pour cet inconnu, qui semblait un peu déranger dans sa tête. Raito passa alors à table, il avouait tout.
« Mais je ne connais pas votre nom comme ça. Regardez ce bandeau, il vous rappelle bien quelque chose non ? Le village de Kiri, où vous avez grandit, où vous avez eu quatre enfants. Et que vous avez quitté lorsque votre mari est mort. Vous vous demandez peut être comment je sais cela. L'explication est simple, je suis Raito Yamida, et voici ma sœur, Ayumi Yamida. »
Raito craqua, des larmes coulèrent le long de ses joues, retombant dans la neige et se cristallisant. Il tomba également à terre, les genoux au sol, et les mains dans la neige froide. Avouer ça avait été bien plus dur qu'il n'y avait jamais songer. Il ne voulait pas faire de mal à sa mère, et si leur retour pouvait lui faire du mal, Raito ne l'acceptait pas. Ayumi prit alors Raito dans ses bras et elle le réconforta comme elle le put. Leur mère approcha alors, elle mit ses deux mains en avant, les tendant pour que Raito les attrape. Les deux mains se joignirent et il se releva. Sa mère l'étreignit aussi fort qu'elle le pouvait. Raito pleurait, c'était bien trop d'émotions pour lui. Ayumi se joignit également à leur étreinte.
« Mes enfants .. »
Lorsque le ninja la regarda et qu'elle prononça ses paroles, il la vit sourire. Il sut alors qu'elle était heureuse de les retrouver. Raito sortit alors quelque chose de son sac, et le tendit vers sa mère. C'était un katana. Sur la lame était gravé le nom d'une personne. Ce nom n'était autre que celui de son père. Il voulait que ce soit sa mère qui le garde, pour se défendre, et pour faire honneur à l'homme qu'avait été Isaki Yamida. Il était important pour Raito que ce nom reste gravé dans les mémoires de tous, tout comme le sien. On vit alors des ninjas de Yuki accourir en direction de la famille Yamida. Le jeune ninja se mit alors devant, en protection des deux femmes de sa vie.
« Je ne suis pas hostile, je suis ici pour retrouver ma mère ! »
Les autres ninjas n'écoutèrent pas ce que Raito avait à dire, ils attaquèrent. Ils étaient au nombre de cinq, et Raito était seul. Sa mère voulait l'aider avec le katana, mais Raito fit signe à Ayumi de la faire reculer, il ne voulait pas que l'une des deux soient blessées. Rapidement, il sortit ses poings américains. Le jeune Yamida était énervé, ses ninjas étaient en train de faire une telle honte et un tel déshonneur à son défunt père. Rapidement, le jônin de Kiri se retrouva encerclé, l'un des hommes arriva, épée brandie. Raito utilisa une technique taijutsu qu'il avait apprise il n'y avait pas longtemps, l'anticipation.
« Il en faudra plus pour m'abattre. »
On pouvait l'observer, les ninjas de Yuki étaient très concentré, prêt à tout pour tuer leur opposant. Alors que le ninja de Kiri lui, était amusé, il prenait ce combat à la rigolade. Ses ninjas n'avaient même pas le niveau des genins de Kiri, ce n'était pas étonnant que ce pays n'était pas une grande nation au vu du niveau de ses ninjas. Raito exécuta un signe qu'il connaissait bien, soudain, quatre clones apparurent tout autour de Raito. Maintenant, c'était du cinq contre cinq. Et au loin, ils entendaient tout cinq que Sayuri, sa mère, criait de peur pour son enfant. Elle avait perdu son mari, elle ne voulait pas perdre son gamin. Mais il savait ce qu'il faisait, il utilisa le taijutsu pour réduire ses ninjas à néant. Mais il ne voulait pas les tuer, ou plutôt, ne pas les tuer devant sa mère. Raito les fit donc fuir. Sa mère et sa sœur le rejoignirent alors. Le danger était passé.
« C'est fini. »
Pas un mot de plus, Raito prit seulement sa mère dans ses bras. Elle prit alors la main de ses deux enfants et les traina à l'extérieur du cimetière. Ils parcoururent le village, rencontrant des villageois, même des ninjas, qui ne semblaient plus aussi confiant et qui tournaient le regard lorsque Raito déniait tourner la tête pour les voir. Apparemment, le petit combat du cimetière avait été rapporté, et les petits ninjas du pays avaient bien dû comprendre que Raito leur était très supérieur. Sayuri s'arrêta alors devant une maison avec une porte d'un beige nacré. Elle s'avança sous le perron, et ouvrit la porte avec sa clé. Elle habitait ici, et elle voulait que ses enfants l'accompagnent. Raito était touché, ce que sa mère faisait là, c'était magnifique. Elle leur ouvrait son monde, leur faisait déjà confiance, Raito aurait pleurer une fois de plus, mais il ne put pas, il n'y avait plus de larmes dans ses yeux, il avait bien trop pleurer dans cette journée. Il prit alors sa mère dans ses bras, et lui susurra quelques mots.
« Je t'aime .. »
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| | | | Raito Yamida
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Mer 19 Aoû - 22:20 | |
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~' La Famille, un instinct, une décision '~
Souvent, on pouvait entendre dans les rues qu'il n'y avait rien de plus important que la famille, que c'était une chose sacrée, qu'il ne fallait jamais trahir. Et en ce jour, dans les bras de sa mère, Raito comprenait pourquoi. La famille était une chose indispensable pour se construire, pour comprendre qu'il l'on était. Car pour comprendre qui l'on est, il fallait savoir trois choses. Savoir d'où l'on venait, savoir où l'on va, et savoir ce que l'on veut. Raito venait de comprendre d'où il venait, et ça, ça n'avait pas de prix. Pour rien au monde il n'aurait échangé ces moments là, de tendresses et de douceur. La famille de Raito était bien plus qu'exceptionnelle.
Sayuri versa quelques larmes lorsque son fils lui dit qu'il l'aimait. Raito prit son visage entre ses mains, et de sa main droite, il essuya les larmes de sa mère. Il ne souhaitait pas la voir pleurer, il voulait la voir heureuse, pas malheureuse. Ils entrèrent alors tous dans la maison de sa mère, et Raito eut une surprise des plus grandes. Il n'en croyait pas ses yeux, ce n'était pas possible. Il regarda la table, il y avait cinq chaises. Et en tout, dans cette pièce, ils étaient cinq. Raito regarda tour à tour Ayumi, Sayuri, puis les deux personnes assise à table. Il entendit alors une voix s'adresser à lui.
« Et beh alors Raito, on dit plus bonjour. »
La personne qui venait de parler était assise à la table et était en train de sourire au jeune jônin de Kiri. Cette voix mélodieuse et chantante, il s'en souvenait comme si c'était la veille, il ne pouvait pas oublier ce ton de voix, il était unique. Il la regarda, c'était une femme, elle avait des cheveux du même ton que ceux d'Ayumi, ils étaient d'un blanc bleuté parfaitement sublime. Elle était grande, mais gardait tout de même quelques traits d'enfants. L'autre personne était grande, blonde, les cheveux en bataille, une grande ressemblance avec Raito. Ce dernier s'exclama alors.
« Riku ! Erin ! Qu'est ce que vous faites là ? Depuis quand savez vous que maman est ici ? Pourquoi vous me l'avez pas dis ? »
Raito était énervé contre son frère et sa petite sœur. Ils ne l'avaient pas averti de l'existence de leur mère, ni même de l'endroit où elle se trouvait. Dans cette maison, autour de cette table avait lieu une véritable réunion de famille, tout le monde était réuni. Il ne manquait plus qu'une personne, le mari de Sayuri, le père de tout ses mômes. Il était mort et ne reviendrait plus. Raito prit alors un ton grave, il se racla la gorge, signe montrant qu'il désirait prendre la parole.
« Je sais que cela peut paraître brutal, mais c'est la dernière fois que vous me voyez, enfin, sûrement. »
Personne ne comprenait la réaction du jeune frère de Riku. N'était-il pas heureux de retrouver sa mère et toute sa famille ? Si, Raito était bel et bien heureux. Mais pourquoi disait-il cela ? S'amusait-il à faire une farce. Raito fit comprendre que non, que tout ceci était bien sérieux. Son air grave l'attestait. Raito prit son courage à deux mains, inspira profondément, sentant l'air s'engorger dans ses poumons puis en ressortir quelques secondes plus tard. Il reprit la parole, alors que sa mère revenait dans la cuisine, avec un plateau, portant des tasses de chocolats chauds, il faisait réellement froid dans ce pays.
« Je pense que chacun d'entre vous doit le savoir, sauf peut être toi Erin. Mais le conseil de Kiri a mis un plan machiavélique au point, il y a de cela des années. Ce plan était de détruire notre famille, pour me rendre vulnérable, moi, l'héritier suprême du Youton. Et aujourd'hui, j'œuvre dans un plan encore plus diabolique, je veux faire tomber le conseil, les tuer, tout les trois. Même si je dois y laisser ma propre vie, je vengerai toute notre famille. »
A l'écoute de ses paroles, la mère de tout les enfants fit tomber son plateau tellement elle était horrifiée. Elle avait peur que son petit garçon y laisse la peau, ce qui était tout à fait naturel. Lorsque Raito prononça « héritier suprême du Youton », c'est son grand frère, Riku, qui fit la grimace. Car au départ, il était destiné, en tant qu'aîné de la famille, à être le plus puissant d'entre eux, mais c'était finalement Raito qui s'était imposé grâce à sa maîtrise du Youton. Erin elle, fut stupéfaite, elle ne semblait pas croire ce que disait Raito, elle n'était au courant de rien. Et Ayumi elle, attrapa le bras de Raito et lui mit une gifle dont il allait se souvenir pendant un long, très long moment.
« Alors tu avais tout planifié ! Enfoiré ! Tu n'as pas voulu retrouver maman que parce qu'elle représente énormément à nos yeux, mais parce que tu veux que je reste ici ! Tu n'as pas le droit Raito ! Tu ne peux pas te sacrifier pour nous ! »
Raito déposa alors un baiser sur le front de sa grande sœur. Tout ceci était destiné à la calmée. Rapidement, il réussit à apaiser la situation grâce à un silence quelque peu redoutable. Erin n'avait pas tort, il savait qu'Ayumi ferait tout pour rester avec leur mère, et que Raito repartirait seul. Mais la donne avait changée, ce que le génie de la famille n'avait pas prévu, c'était Riku et Erin. Il savait que son frère était membre de l'escouade spéciale d'Iwa, et qu'il était capable s'il le voulait, grâce à un genjutsu puissant, de pénétrer l'esprit de son jeune frère pour y déceler bon nombre d'informations. Ayumi n'allait peut être plus rester à présent. Raito fit alors comprendre sa réaction.
« J'ai tout avoué, à quoi bon cacher cela, alors que Riku fait parti de l'escouade spéciale d'Iwa. Il aurait pu lire mes pensées et y découvrir mon plan. Puis je n'ai pas de compte à te rendre Onee-san. Je suis le seul maître de mes actes. Et tu as pu le voir de toi même, je suis un très bon ninja, surpassant bon nombre des meilleurs ninjas de ce monde. »
Ayumi acquiesça, elle savait ce que Raito valait en tant que ninja. Il était doué, très doué même. Il était devenu bien plus fort que son frère, et le fait qu'elle acquiesça mit un peu en rogne Riku, qui fit la moue. Sayuri quant à elle, était tête baissée, elle ne voulait pas y croire apparemment. Mais elle semblait comprendre son fils. C'est alors que tout le monde se mit à parler en même temps. Raito les calma, et les fit parler chacun à leur tour, de façon à comprendre de façon intelligible ce que chacun d'eux osait dire.
« Petit frère, je ne fais plus parti de l'escouade spéciale d'Iwa. Pour tout te dire, je ne fais plus parti d'Iwa du tout. Je suis un ninja du pays de la neige aujourd'hui. Un jônin. Et Erin est passée genin dernièrement. Elle est plutôt douée. »
C'était donc pour cela qu'ils étaient là, ils avaient emménager ici, et était devenu des membres du village à part entière. Erin elle, était passée genin, elle commençait sa carrière de ninja. Mais il devait bien concéder qu'il ne la voyait pas trop se battre, elle devait être ninja médecin, soignant les blessures sur le champ de bataille. Ce type de ninja était bien utile lors de missions extrêmement dangereuse.
« Je dois te le concéder petit frère, tu es un très bon ninja ... »
C'est avec dépit que ses paroles sortirent de la bouche d'Ayumi. On sentait une pointe d'amertume se distinguer. Mais ce n'était pas fini, Raito vit sa mère, prête à prendre la parole. Elle semblait à la fois heureuse, mais triste. C'était assez difficile à décrire, car théoriquement, on ne pouvait être heureux et triste à la fois. Mais Raito écouta la réaction de sa mère.
« Tu lui ressemble Raito. Prendre des risques inconsidérés. L'honneur de la famille. La vengeance. Ce sont des traits de ton père. Un tempérament fier et guerrier, prêt à tout pour rétablir son honneur et celui des siens. Il serait fier de toi. Mais regarde où ton père est maintenant à réagir comme toi. Il est mort. »
Raito eut un tiraillement au ventre. Si ils se ressemblaient autant, alors lui aussi était destiné à mourir sur le champ de bataille. Ce qui voulait dire qu'il allait très certainement mourir contre le conseil. Mais comme le disait sa mère, il était fier, et il avait un tempérament de feu, étant prêt à tout pour rendre la justice et rétablir l'honneur. Tout cela était vrai, mais ça n'allait pas le dissuader pour autant. Chaque être sur cette planète était différent, chacun avait une destinée différente. Celle de Raito était de rétablir l'honneur des siens, et de se venger.
« Je ne suis pas comme notre père, je suis bien plus fort. J'ai surpassé toutes les générations des Yamida, parce que je suis l'élu. »
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~' Deux frères, deux rivaux '~
Le père de Raito avait été un homme fort et respecté. Un homme s'attachant à toutes les valeurs de la vie qu'il trouvait juste et respectable. Et il avait transmis cela à son plus jeune fils. Raito lui aussi était fort et respecté, plus que son père même. Mais la haine et la vengeance l'avait détourné du chemin que son père avait prévu pour lui. C'était un triste dilemme, mais le choix du jeune jônin était fait, il n'allait pas revenir dessus. Il était l'élu. Le plus fort de toutes les générations de Yamida. Il était capable de réaliser des exploits, il le savait, il le sentait. Lui seul était capable de faire ça, mais quelques uns ne semblaient pas d'accord avec la décision du blond.
« Tu ne partiras pas Raito. Tu resteras ici, ton domicile est ici, tu ne repartiras pas. Tu n'as pas à sacrifier ta vie pour nous venger, nous sommes tous réunis maintenant, ne gâche pas ça. »
Raito regarda son frère, avec un regard noir, des plus ténébreux. Jamais il n'avait eut ce regard là, sauf envers le conseil, et lorsque l'on parlait de Shin Datenshi, son ancien coéquipier, qui avait déserté Kiri pour rejoindre l'Akatsuki. Raito n'était pas fou, il ne faisait pas ce qu'il pensait ne pas pouvoir faire. Mais là, il était sûr de pouvoir y arriver, d'être assez fort pour réussir à terrasser l'opposant, de détruire l'oppresseur. Raito s'approcha alors de son frère, et se mit également à parler. Mais d'un ton qu'il n'avait jamais employé, il était froid, comme s'il n'avait plus aucun sentiment. Ce ton était des plus bizarres, surtout sortant de la voix de Raito qui d'habitude était si souriant.
« C'est ma vie, je décide moi même de ce que je ferais. Tu n'as aucune directive à me donner, et je retournerais à Kiri, je ne suis pas un déserteur moi ! On compte sur moi, j'aimerai vous en dire plus, pour ne pas que vous vous inquiétiez, mais une partie de mon plan est top secrète, et j'ai des alliés, plus puissant que vous ne pourriez le penser. Et toi Riku, si tu n'es pas d'accord avec ça, alors on ira se battre, et tu comprendras que je suis le plus fort de nous deux, et que je les tuerais. »
Riku ne supportait pas l'affront que son petit frère venait de faire. Il était vrai que Raito était arrogant, mais il avait les capacités pour l'être. L'ainé de la famille se leva et attrapa son frère par le col, tentant de le plaquer contre le mur. Raito l'attrapa alors au cou, effectuant une pression sur sa jugulaire. Raito, de son autre main, fit le signe non, balançant sa main de droite à gauche avec l'index levé. Il montrait que son frère faisait quelque chose de stupide. Il relâcha alors son frère, qui de suite tenta de lui mettre un coup de poing en pleine figure. Apparemment, Riku se rappelait de la faiblesse de Raito, le combat au corps à corps. Mais ce dont il ne se souvenait pas, c'est que le jeune prodige de Kiri ne s'était pas tourné les pouces durant les derniers mois, il était devenu plus fort. Il attrapa alors le poing de Riku qui parut déconcerter devant la rapidité de son frère.
« Tu risquerais de le regretter, ne vas pas plus loin. Je n'hésiterais pas à t'ôter la vie, grand frère. »
Taijutsu - Anticipation
![Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Tai7310](https://i.servimg.com/u/f43/09/03/91/00/tai7310.png)
Description : Le Ninja peut anticipé la prochaine attaque ennemie et peut bloquer l'ennemie avant même qu'il fasse une technique de Taijutsu ou de Ninjutsu de niveau 1 ou 2.
Chakra : 50Pc
Spécial : Intercepte l'attaque ennemie, avant même qu'elle soit enclenché.
Riku prit d'une prise de colère folle se mit à attaquer son frère de plus belle. Raito avec un seul poing contrait toutes les attaques, se qui mettait son frère encore plus en rogne, d'autant plus que le jeune frère se défendait avec un seul de ses poings. Avec l'autre, il alla chercher l'un de ses poings américains, puis il frappa Riku avec, en pleine cote. Le grand blond tomba à terre, à genou devant son frère. Apparemment, cela allait devoir finir dans le sang. Mais tout cela, s'était compté sans Erin et Ayumi.
« Arrête Riku ! Il est plus fort que toi ! Raito ! Arrête ça de suite ! »
« Riku elle a raison, tu ne fais pas le poids. »
D'un revers de la main, le frère de Raito s'essuya la bouche. Et lorsque Ayumi prononça ses paroles, Raito se propulsa rapidement derrière elle, sans même que personne n'ait eu le temps de l'apercevoir. Il abaissa alors sa tête au niveau du coup de sa sœur et l'embrassa tendrement, dans le cou, lui donnant des frissons. Elle fermait les yeux, savourant ce moment de tendresse et de bien être. Raito lui susurra quelques paroles à l'oreille, il avait les larmes aux yeux, mais il se contenait, pour ne pas montrer sa faiblesse.
« J'espère qu'un jour tu me pardonneras .. Saches que je t'aime Ayumi .. Tu es de loin celle que j'aime le plus en ce monde .. Mais je t'en supplie, ne me rattrape pas .. »
Ces mots étaient emplis d'une tristesse sans égal, mais également d'un amour fusionnel rarement vu en ce monde. Raito aimait sa frangine comme personne. En deux mois, il avait eu le temps d'apprendre à la connaître, et il n'existait personne d'aussi formidable qu'elle. Et Raito était tiraillé rien qu'à penser qu'il allait être séparer d'elle, une fois de plus. Il ne voyait plus vraiment sa vie sans elle, elle était devenue le pilier de sa misérable vie, elle l'avait rendue plus belle, rien que par sa présence et l'amour qu'elle portait à son frère. Elle l'attrapa alors par la taille, le serrant très fort, plaçant sa tête contre l'épaule du grand blond.
« Ne me laisse pas .. J'ai trop besoin de toi .. »
Rien qu'à entendre ses paroles, Raito n'en pouvait plus. Si il ne partait pas de suite, il craquerait et renoncerait à son plan. Il aimait trop Ayumi pour la faire souffrir. Mais il devait venger ce qu'on lui avait fait, à elle et à lui. Il la serra alors encore plus fort, l'idée de la quitter lui était insupportable, mais si elle revenait à Kiri, le conseil s'en prendrait à elle, et ce serait encore plus dur à supporter. Raito porta alors ses lèvres sur le front de sa grande sœur. Il voulait savourer ce moment de tendresse, après tout, c'était peut être le dernier qu'il vivait.
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~' Raito à terre ? '~
La nuit était passée très lentement. Le froid s'était emparé de l'atmosphère et la température avait gravement chutée. Le froid n'atteignant pas le Yamida, il entreprit de visiter les alentours, simplement pour s'occuper. Il ne vit que des arbres, encore des arbres. Tout était empli d'arbre. Konoha devait être le poumon de la planète. La nuit laissa rapidement place aux premiers rayons de soleil qui éclairèrent le visage de Raito. Ce dernier fronça les sourcils, ne pouvait ouvrir les yeux plus longtemps. L'astre solaire lui brûlait les yeux. Il se tourna alors à cent quatre-vingt degré et retourna vers le mini campement des ninjas de Kumo. Tout le monde était debout, c'était une bonne chose. Raito se plaça alors autour du feu qui brûlait encore. Il expliqua alors la situation, en réalité, il n'avait pas fait que promener, il avait fait un repérage aux alentours de Konoha.
« Le plan est très simple vous entrerez tous par les portes de Konoha. Et vous détruirez tout ce que vous pourrez. Cela fera diversion, et une alerte sera créée. Moi je n'aurai plus qu'à m'introduire dans le bureau de l'Hokage. Et notre mission commence, maintenant ! »
Raito fit signe au chef de cette petite escouade de le suivre. Tout deux allaient entrer par le côté nord de Konoha. C'était l'endroit le moins surveiller, suite à cela, ils allaient devoir traverser un petit bout du village caché de la feuille, pour arriver jusqu'au bureau de l'hokage. Rapidement, Raito entendit des éclats, sûrement les ninjas de Kumo qui étaient en train de croiser le fer. Raito et son complice arrivèrent et escaladèrent la paroi qui faisait office d'enceinte pour le village. Ils coururent alors en direction du bureau de l'Hokage. Mais ce fut compté sans tout les ninjas qui affluaient vers les portes. Raito avait choisi de faire entrer les ninjas de Kumo par l'entrée principale car elle était l'entrée la plus éloignée du bureau vers lequel ils souhaitaient se diriger.
* Tout se déroule comme prévu. L'alerte va être sonnée d'ici quelques secondes. *
L'étoile bleue continua sa progression vers le bureau. Se cachant tout les cinquante mètres à cause des ninjas qui partaient en direction de la porte principale. L'alerte fut alors sonnée. Et toutes les personnes présentes dans le bureau n'étant pas essentielle dans ce lieu allaient être évacués et les ninjas présents allaient devoir combattre. Cela affaiblirait les lieux. Pour le moment, tout se passait bien, il fallait espérer que les ninjas de Kumo tiendrait le coup, et qu'ils ne tomberaient pas trop rapidement. Raito pénétra alors dans le bureau, par l'entrée principale. Il mit alors son masque et cacha son village en dissimulant son bandeau sous la manche de sa chemise. Il grimpa alors les marches en compagnie de son acolyte qui avait lui aussi dissimulé son bandeau. Tout était tellement bruyant dans cet endroit. Des gens criaient et courraient dans tout les sens par peur de se faire tuer.
* Il faut trouver le bureau maintenant. *
Pendant un moment, ils tournèrent en rond, sans trouver l'endroit voulu. Mais il passa devant une porte dont le bois était bien plus usé. Raito en conclua que cette porte était souvent ouverte et fermée, c'était là, le bureau de l'Hokage. Les deux ninjas entrèrent sans même frapper. Personne n'était présent, ils étaient seuls. C'était le moment de profiter de l'aubaine, mais Raito ne savait pas ce qu'ils cherchaient, il laissa donc l'autre homme chercher seul. Lui resta devant la porte, montant la garde. Il s'aperçut alors rapidement que des ninjas commençaient à comprendre le petit manège, et ils faisaient des rondes autour du bureau, c'était pas bon. Raito se faisait passer pour un Anbu, mais il savait très bien que la supercherie ne durerait pas.
* Ça tourne mal, trop mal ! *
Le plan ne marchait pas comme prévu, Raito attendait devant la porte fermée, mais le kage était absent, alors pourquoi un homme veillait-il devant la porte alors qu'elle aurait dû être fermée ? C'était absurde, et c'était là la première erreur de l'étoile bleue. Il rentra alors à l'intérieur et ferma la porte très doucement. Les ninjas de Kumo se débrouillaient très bien, apparemment, il avait trouvé les papiers. Ils pouvaient maintenant déguerpir. Mais il fit signe que non, ce n'était pas le moment, des hommes étaient postés devant la porte, attendant qu'ils sortent. Donc depuis le début, ils étaient repérés. Mais personne ne savait si ils étaient des ennemis ou non. Il fallait donc partir par la fenêtre ou par le toit. Le toit était une solution plus judicieuse. Il passa alors la main autour de la taille de l'homme de Kumo, et lui chipa discrètement les informations. Le Yamida se mit alors à chuchoter à l'intention de son complice.
« On se sépare pour mieux se retrouver. C'est le meilleur moyen de s'en sortir vivant, on se retrouve là où tu sais. »
Raito voulait bel et bien parler du campement. Il fit alors signe au ninja de Kumo de partir par la fenêtre. Raito lui, mit d'abord un grand coup de pied dans la porte, pour que les ninjas de Konoha se jettent à la poursuite du chef d'escouade. Raito lui, passa vite par la fenêtre donnant accès au toit. Il rallia rapidement son objectif, il n'était même pas suivit. L'étoile bleue grimpa alors sur le mont des Hokages, là bas, personne ne l'attaquerait, personne n'oserait détruire les honorables statues. Il regarda au loin, les ninjas de Kumo étaient en train de se faire battre, et par une seule personne. Une femme. Raito décida alors de quitter cet endroit au plus vite, et de sortir par la paroi ouest, étant la plus proche du campement.
* Ça sent pas bon du tout cette merde ! *
Raito se mit à arpenter les rues de la ville à la recherche du bon endroit pour sortir. Mais il ne put pas sortir. Rapidement une personne lui enfonça un katana dans le ventre. Le conseiller du kage ! Puis juste derrière lui, le cinquième Hokage lui mit une pêche dont il allait se souvenir. L'étoile bleue fut propulsée contre une maison qui fut détruite. Raito était gravement touché. Mais pourquoi l'avait-on attaqué ? Personne n'était censé savoir qui il était. Il regarda alors son bras droit, et vit une écorchure dans sa chemise, dévoilant son bandeau de Kiri. Il était fait comme un rat, son lit de mort était donc Konoha. Il était devenu un ange déchu.
« On dirait que c'est la fin .. Désolé Ayumi .. »
Du sang coulait de la bouche de Raito et également de son ventre. La blessure n'était pas mortelle, mais le sang qui se déversait allait l'être. Il n'avait que cinq litres de sang, et il y en avait déjà une bonne quantité à terre. Sûrement avait-il fait une hémorragie. C'était vraiment mal tombé. Le kage récupéra ses papiers et laissa le jeune Yamida sur son lit de mort. C'était la fin de l'épopée d'un jeune ninja très prometteur. Il n'avait pas vu le coup venir, il n'avait pas été assez vigilant. Et c'est la mort qui était venu le chercher.
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Lun 24 Aoû - 22:54 | |
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~' Un héros se relève '~
Le sang coulait le long du corps de Raito, complètement avachi sur le sol. Il voyait plein de personnes passer devant lui, mais personne ne s'arrêtait en voyant son bandeau. Il savait qu'il ne devait pas fermer les yeux, ne pas s'endormir. Mais c'était plus fort que lui, il voyait trouble, il ne voulait qu'une chose, fermer les yeux et ne jamais se réveiller. C'était apparemment ce qui allait lui arriver. Il se résigna alors, ne luttant plus sachant que c'était peine perdue. Il ferma les yeux, et sombra.
Raito rouvrit les yeux, et vit son père, Isaki Yamida. Ce n'était pas possible, son géniteur était mort. Ou bien cela voulait dire qu'il l'avait rejoins. Il était donc mort et n'avait pas survécu. De là s'engagea une conversation entre père et fils. Il était temps de découvrir tout ce qu'il n'avait pas su. Il voulait savoir si il était vraiment l'élu, et si oui, pourquoi il avait périt si facilement. Il était pourtant un homme fort et puissant, il ne comprenait pas comme cela avait pu arriver. Son père lui expliqua alors la situation dans laquelle était Raito.
« Tu n'es pas mort Raito, du moins, pas encore. Tu es gravement blessé. C'est à toi de voir si tu veux retourner dans le monde des vivants, ou bien mourir et me rejoindre. Je suis ton guide, suis moi. »
Raito passa d'une pièce complètement blanche à un endroit qui lui semblait familier. Lorsqu'il regarda plus attentivement, il se rendit compte qu'il était chez sa mère, à Yuki. Apparemment, Raito n'était pas mort, mais comment avait-il pu se déplacer comme cela si il était tant blessé ? Raito était donc dans un monde où il ne ressentait rien, où son père était son guide. Il regarda alors tout le monde, ils étaient tous là, Riku, Erin, Sayuri, et bien sûr, Ayumi. Tout le monde pleurait, et Ayumi avait changé, dans ses yeux, Raito pouvait apercevoir de la haine, un énorme flot de haine. Apparemment, ils venaient d'apprendre la mort du jeune prodige.
« Tu m'as dis que je n'étais pas mort ! »
« Tu n'es pas mort, mais ceci, c'est le monde lorsque tu ne seras plus. Tu doutes peut être de ce que ta vie a pu changer en ce monde, mais crois moi, je vais te montrer tout ça. »
L'étoile bleue vit alors sa sœur se lever de table et être envahie par une rage qu'il n'avait jamais vu, ni même soupçonnée. Elle était tellement touchée et elle semblait tellement souffrir de la mort de Raito. C'était impressionnant de voir cela. Elle prit son assiette et la détruisit avec une force aberrante. Elle cachait bien son jeu apparemment. Mais le coup des nerfs, de la tristesse, de la haine, de la colère. Elle devait se sentir submergée par un évènement qu'elle ne pouvait pas contrôler. Il aurait voulu la prendre dans ses bras, mais si ce monde n'était pas le sien, alors il savait qu'il n'y arriverait pas. Raito ne pouvait plus regarder ça, c'était bien trop dur pour lui de voir toute cette souffrance et toute cette haine, il ne pouvait pas supporter ça plus longtemps.
« Emmène moi autre part, je ne veux plus voir ça .. »
Son père lui fit alors signe de le suivre, ce que Raito fit. Il se retrouva alors dans un endroit spécial. Il reconnut cet endroit, et surtout ce moment. C'était le moment où il était revenu à Kiri après son entraînement. Où il avait retrouvé Shinji. Mais ce n'était apparemment pas pareil. Il manquait une chose, Raito. Ce dernier se posait d'ailleurs des questions, il ne comprenait pas vraiment ce qu'il se passait autour de lui, ni ce que les gens faisaient.
« Dans ce monde, tu as été égoïste et tu t'es suicidé. Tu n'es donc jamais revenu à Kiri. Regarde le sort de tes amis. »
Successivement, Raito vit Shinji mourir face à Shin. Temaru mourir contre le pirate duquel il l'avait sauvé. Son existence avait donc eu une réelle importance dans la vie des gens. Mais par dessus tout, il vit sa sœur, se suicider elle aussi en prison, apprenant que son frère n'était plus. Une fois de plus, son cœur fut frappé par des milliards d'épées et transpercé de toute part. Shinji ne pouvait pas mourir face à Shin, ils devaient le battre tout les deux. Temaru n'était pas mort, il l'avait sauvé. Et Ayumi, elle était libre, et il allait tenir sa promesse. Mais son père attira son attention dans une autre direction.
« Regarde ton objectif, ce pourquoi tu as voulu préserver Ayumi. Regarde ce qu'ils font. »
Le conseil était en train de s'enrichir sur le dos des gens. Même de mettre certains petits villages côtiers à feu et à sang. Ils étaient vraiment sans pitié. Après avoir ça, Raito en était sûr, il allait les exterminés un par un. Il était sûr de les battre et de les tuer. Ils ne pouvaient pas continuer de sévir et de faire le mal. Il fallait que quelqu'un les arrête, et la division zéro allait s'occuper de cela. Mais Raito comprenait maintenant que sa vie avait un réel intérêt en ce monde. Qu'il était amené à accomplir de grandes choses. Raito parla alors à son père, lui faisant part de sa décision.
« Je veux vivre et tenir mes promesses ! »
« Tu es un homme bien Raito, ne l'oublies jamais. A un jour prochain, fiston. »
Raito vit alors un énorme dragon de lave se diriger dans sa direction. Son père l'attaquait. Mais il n'avait aucun moyen de se défendre. Il vit rapidement le dragon l'atteindre. Puis il ferma les yeux. Soudain, il réussi à inspirer une grande bouffée d'air et à ouvrir les yeux petits à petits. Lorsque l'étoile bleue retrouva peu à peu ses esprits, il vit autour de lui des personnes, il n'était plus à Konoha. Il était au petit campement. Il était encore vivant, et les ninjas de Kumo l'entourait. Aucun n'avait périt, c'était bien. Mais il ne comprenait pas comment il pouvait encore être en vie. Rapidement, tout lui fut expliquer.
« Tu as été transpercé par un katana au niveau de l'estomac, puis l'hokage t'as mis un coup de poing dont tu dois encore te souvenir. Puis tu t'es vidé de ton sang peu à peu. Jusqu'à ce que j'arrive et que mes compétences médicales te sauvent. Mes ninjas sont venus et m'ont aidés à te ramener ici. »
C'était donc grâce à lui qu'il était toujours en vie. Il avait survécu grâce à un ninja médecin. On lui avait prodigué du secours alors qu'il était en train de perdre la vie, et ça lui avait permis de revoir son père. Raito sourit alors au chef. Mais il était encore trop faible pour pouvoir bouger. On entendit alors quelques paroles sortir de sa bouche, avec une faible voix.
« Merci .. »
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Mar 25 Aoû - 2:52 | |
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~' Question de fierté '~
Durant une semaine, une très longue semaine, Raito eut droit à un traitement particulier. Médicaments, soins toutes les deux heures, voilà ce dont il était victime. Il ne supportait plus que tout le monde lui tourne autour comme si il était une brebis galeuse. Il voulait que tout cela s'arrête, qu'enfin il soit rétabli et qu'il puisse se remettre sur pied. Le jônin de Kiri voulait en finir, une bonne fois pour toute. On l'avait reconnu à cause d'un minuscule détail de rien du tout, et à l'intérieur de lui, il rageait de s'être fait avoir à cause de cela. Il s'était fait reprendre les documents et n'avait pas pris le temps de les lire. Raito allait devoir les récupérer, c'était une question d'honneur et de fierté. Mais son abdomen devait encore être mit au repos pendant deux jours, il ne devait donc faire aucun mouvements, il fallait attendre que ça cicatrise. Raito tomba alors, de sommeil. Il n'arrivait jamais à dormir à cause de la douleur, mais cette fois, il était bien trop fatigué pour résister à Morphée et à ses doux rêves.
~ Dream ~
Une caverne, des hommes. Le blond était perdu dans cet endroit. Puis d'un coup, tout l'environnement se mit à changer. Un grand labyrinthe prit place et Raito regarda autour de lui. Pourquoi un labyrinthe était-il ici ? C'était un rêve, ça ne pouvait être qu'irrationnel. Soudain, une voix s'éleva du ciel, s'adressant au jeune Raito qui décidément ne comprenait vraiment rien à ce qu'il se passait autour de lui en ce moment.
« Chaque chemin te mènera à une sortie. Il y en a douze, voici à quoi ils te mèneront.
1 ; La porte de la sagesse
2 ; La porte de la vie
3 ; La porte de la culture
4 ; La porte de la guérison
5 ; La porte de la jeunesse
6 ; La porte de la haine
7 ; La porte de la famille
8 ; La porte de l'amour
9 ; La porte de l'ivresse
10 ; La porte de l'univers
11 ; La porte de l'honneur
12 ; La porte de l'avenir
Choisi ton chemin et écoute ton cœur, il te guidera vers ta destinée. »
Raito ne comprenait pas vraiment pourquoi il devait faire ça, mais cela semblait être le seul moyen pour sortir de là. Il prit donc un chemin qui le mena au centre du labyrinthe, un endroit où résidait une fontaine magnifique. Tout les noms de portes étaient très évocateurs, mais certaines d'entre elles devaient réserver de bonnes surprises, d'autres de moins bonnes. L'étoile bleue devait écouter son cœur comme l'avait dit la voix. Mais ça ne l'aidait pas vraiment. Il avait douze chemins face à lui, mais ne savait lequel choisir. Il ferma alors les yeux, et tourna sur lui même, écoutant son cœur battre. Il s'arrêta alors de tourner, et pris la direction du chemin qui était face à lui.
Le jeune ninja n'eut pas à attendre bien longtemps avant d'atteindre la porte. Lorsqu'il arriva devant celle-ci, il vit une inscription. Elle lui dictait un ordre. Pour ouvrir la porte, il devait sacrifier une partie de son âme et l'enfermer dans cette porte, ou bien il mourrait. Enfermer une partie de son âme, c'était un sacrifice énorme, et Raito refusait de faire ça, car il se corrompait et disait adieu à la raison ainsi qu'aux sentiments humains. Il refusait de perdre une partie de lui même. Il arracha alors le papier, et la porte s'ouvrit.
« Tu as réussi le test. Tu as passé la treizième porte, celle du courage. »
~ End of Dream ~
Raito se réveilla en sursaut. Il chercha alors à trouver un sens à son rêve. La porte du courage était la treizième porte, elle n'était pourtant pas mentionnée. Mais Raito ne calcula pas directement, mais il était vrai que depuis qu'il avait été poignarder, il avait perdu toute confiance en lui et en ses capacités. Se réduisant au niveau d'un moins que rien, d'un homme incapable de tenir ses promesses. Il ne voulait pas être cet homme là, le lâche qui dénigrait toutes ses promesses. Il voulait être un homme fort, et pour cela, il devait regagner confiance en lui. Et ça, ça passait par récupérer les documents qu'il avait déjà tenter de voler. Un de ses hommes de mains lui rapporta alors un évènement qui allait bien l'aider.
« Aujourd'hui une grosse livraison part de Konoha, avec les papiers que nous voulons à l'intérieur. Ils ne doivent en aucun cas arriver là bas chef, sinon, nous sommes foutus. »
Ce gars semblait être un peu paniqué. Il voyait que l'étoile bleue n'était pas en état de combattre. La confiance, ce n'était pas pour lui, mais pour la confiance en ses équipiers. Il devait les envoyer sur le champ de bataille sans lui. Ils allaient réussir, même s'il ne participait pas. C'est sûr, cela faisait une raison de plus à Konoha pour tenter de tuer les ninjas de Kumo, mais Raito savait ce qu'il faisait, il avait confiance. Il était sûr que tout allait marcher comme sur des roulettes, cette fois, il n'y aurait aucun accrocs.
« Vous partez sur le champ. Allez récupérer ce rouleau ! Quant à moi, je m'occuperai de moi même, et ferai un peu d'exercice. »
Tout le monde quitta le campement sauf Raito qui resta à la base. Il était temps pour le jeune Yamida de travailler son abdomen, pour qu'il se renforce et devienne aussi robuste qu'il l'était auparavant. Il se mit à faire des abdos, et ce pendant toute la durée de la mission de ses acolytes qui étaient en pleine mission. Il ne s'arrêta qu'une fois, et ce fut pour prier pour ses coéquipiers. Lorsqu'ils revinrent tous en vie, Raito fut heureux de voir qu'aucun d'eux n'avait fait de faux pas, et surtout, qu'ils avaient pleinement réussi leur mission. Ils donnèrent alors le rouleau au chef du bataillon qui le lut à haute voix.
« Rouleau de recherches : Nous venons de découvrir que certains ninjas étaient capables d'utiliser des affinités utilisant le magma, le métal et le cristal. »
Raito était au courant pour le métal. Shin lui avait montré son don, il savait s'en servir à merveille depuis son plus jeune âge. Quant au magma, il n'y avait pas meilleur exemple, c'était son don à lui. Apparemment, ils avaient trouvés la grotte où il s'était entraîné, autrement, jamais ils n'auraient su pour le Youton. Et ensuite le cristal. Ce fut un étonnement total pour Raito qui découvrit cela. Comment était-ce possible ? Des personnes étaient donc capable de maîtriser le cristal et d'en faire des jutsus, impressionnants. Mais Raito allait garder ça pour lui, il tendit le rouleau aux ninjas de Kumo et fit un clin d'œil au chef.
« Ce fut un plaisir. Mais nos routes se séparent ici. Merci encore de m'avoir sauvé la vie. »
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Mer 26 Aoû - 13:47 | |
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~' Bonheur '~
Les deux complices étaient inséparables. Cela n'avait été que pure folie de tenter de vivre l'un sans l'autre, Raito s'en rendait bien compte. Elle était sa moitié, la moitié de lui, la moitié de son cœur. Sans elle, il ne pouvait pas respirer ni vivre librement. Il avait besoin de sa présence pour être heureux et épanoui. L'amour fraternel, c'était bien plus que ça, le jeune homme était prêt à donner sa propre vie pour sauver celle de sa douce frangine. Même si sa vie devait rester morne à tout jamais, il la sauverait et deviendrait son héros, au péril de sa vie. Il s'en contrefichait, c'était elle avant tout.
Les deux personnes montaient les escaliers de la maison. Ces derniers n'étaient pas comme chez Raito, aucun bruit n'émanait d'eux lorsque l'on posait le pied sur le plancher. Ils montaient tout deux dans la chambre de la jeune fille. Ils allaient parler, de tout et de rien, raconter ce qu'ils avaient fait durant l'absence de l'un et de l'autre. C'était en quelques sortes le moment de rattraper le temps perdu. Ils pénétrèrent dans la chambre. Raito reconnut directement la décoration, une peinture violette, ce ne pouvait être que de sa grande sœur. C'était bien elle ça, sa couleur préférée était partout. Aussi bien sur son pyjama que sur ses murs. Raito demanda alors à sa sœur de lui racontait ce qu'elle avait fait durant son absence.
« Oh tu sais, c'était toujours pareil ici. Je sortais acheter des choses, puis je rentrais. Et je pensais à toi, je regardais la télé, je lisais. Le temps me paraissait tellement long. »
Raito comprenait ce qu'Ayumi avait pu ressentir. C'était la même chose pour lui. Il voyait le temps défiler à une allure si lente qu'il aurait préféré en mourir s'il n'avait pas su qu'il la retrouverait un jour. Chaque jours passé loin d'elle était une torture, comme si l'on enlevait à un enfant son jouet préféré, mais en bien plus fort. Cette sensation de vide, que plus rien ne nous raccroche à la vie, c'était bien plus qu'une sensation, on pouvait réellement le sentir. Ayumi était devenu sa drogue, sa propre marque d'héroïne. Il ne pouvait plus se passer d'elle. Elle était sa moitié.
Après de petites chamailleries, des câlins et de multiples bisous, il y eut une séance de chatouilles. Raito se mettait sur sa sœur et se mettait à bouger ses doigts dans tout les sens sur sa peau douce et voluptueuse. Ses traits étaient si bien dessiné et si parfait, c'était fou de voir à quel point un être pouvait être aussi beau. La beauté n'était qu'un faible mot à côté de ce qu'elle représentait, de ce qu'elle était. Mais rapidement, le sérieux fut de nouveau de mise. Sa sœur le questionna sur ce que lui avait fait durant son absence. Et elle lui avait demandé de répondre sérieusement et en étant honnête avec elle.
« En réalité, le jour où tu m'as vu sur la falaise, je n'ai pas quitté Yuki. Je suis resté dans la rue durant plusieurs jours pour surveiller tes faits et gestes, voir si l'on s'occupait bien de toi. Puis un homme m'a hébergé, d'ailleurs, je compte bien aller lui rendre visite. Puis j'ai pris la direction d'Oto, où une personne dangereuse résidait. J'ai été la victime d'une explosion, puis j'ai finalement survécu et arrêter le coupable. J'ai pris ensuite la direction de Konoha, où je me suis fais poursuivre par une troupe d'Anbu. D'ailleurs, ils doivent même pas savoir à quoi je ressemble aujourd'hui. Puis j'ai rencontré une troupe de ninja que j'ai aidé. Et apparemment mon don est découvert, le Youton n'est plus secret pour tout le monde. Puis j'ai failli être tuer par le cinquième Hokage si l'un des ninjas de Kumo ne m'avait pas soigné. Puis je suis rentré au pays, j'ai découvert notre appartement sans dessus dessous. J'ai été provoqué le conseil. Et j'ai tué les membres de la famille du vieux. Une absence normal quoi. »
Raito sourit à sa sœur. Il avait ironisé les choses, surtout à la fin. Pour que sa sœur soit rassurée. Qu'elle ne pense pas qu'il eut été vulnérable, mais si c'eut été le cas. Aujourd'hui, il avait repris confiance en lui, il ne se prenait plus pour un moins que rien, il ne voyait plus ce mauvais côté de lui lorsqu'il se levait le matin. Il se voyait lui, et rien d'autre que lui. Mais bientôt, il se verrait lui, aux côtés d'Ayumi. Cet amour fusionnel qu'il lui vouait était bien plus fort que tout. Raito pensait qu'elle était la seule capable de l'arrêter dans son plan démentiel de tuer les membres du conseil. Mais c'était la justice qui tendait les bras au jeune garçon, il ne pouvait pas résister, c'était une tentation bien trop grande.
« Oh, et j'ai été surnommé l'étoile bleue. »
L'héritier du clan Yamida rigola face à sa sœur. Il était sûr que ça la ferait rire également, et il ne s'y trompa pas, elle éclata de rire quelques secondes après lui. C'était si bon, de se retrouver enfin, de retrouver l'autre partie de soi que l'on avait perdu. On ne pouvait pas se construire sans les êtres étant chers à notre cœur. Et Raito était avec toutes les personnes étant chères à son cœur, et dans des moments comme celui qu'il était en train de vivre, il avait besoin de toutes ses personnes là.
« Viens sœurette, on sort. »
Il lui prit la main et l'attira rapidement dehors. Ils s'amusèrent alors comme des gamins dans la neige tombante. Ils tombèrent à plusieurs reprises, laissant les traces de leurs corps dans cette neige si pure et si blanche. Ils se balancèrent des boules de neiges. Firent des bonhommes ne ressemblant strictement à rien. Le temps passait si vite lorsqu'il était avec elle, c'était un plaisir immense que de la retrouver et de partager ses moments là avec elle. Un sourire immense illumina le visage de Raito. Il vit alors une famille au loin, cette famille qui l'avait tant aidé. Il donna l'ordre de rentrer à Ayumi, et lui, se mit à s'avancer, hésitant, vers ses amis.
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| | | | Raito Yamida
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Mer 26 Aoû - 19:09 | |
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~' De vieux amis '~
Lorsque Raito aperçut la petite famille qui le regardait jouer avec Ayumi, il ordonna à cette dernière de regagner la maison au plus vite. Ces quatre personnes ne lui étaient pas inconnues, elles étaient les personnes les plus sympathiques qu'il avait pu rencontrer au court de son long périple à travers les diverses contrées. Cet homme était d'un tel réconfort pour Raito, il savait lui montrer la voie, il lui donnait l'exemple. Idate ne s'en rendait certainement pas compte, mais il avait beaucoup appris au jeune jônin. Les paroles qu'il avait su avoir avec lui, elles lui avaient remontées le moral et l'avait aidé à surmonter sa tristesse et sa peine. C'était un homme de cœur et un homme de foi qu'il fallait respecter.
Raito avança vers eux, laissant dans la neige une empreinte de son pied à chaque pas qu'il effectuait. Lorsqu'il arriva à la hauteur d'Idate, ce ne fut pas une poignée de main qui l'accueillit mais une chaleureuse accolade. Raito avait l'impression qu'il était ici chez lui, qu'il connaissait tout le monde depuis toujours, comme si sa vie s'était déroulée ici, et qu'on avait vu grandir le jeune prodige. Les enfants avaient bien grandis, c'était bizarre de les voir tous là, réunis dehors face à lui. Face à lui qui avait commis tant d'abomination dans sa vie. Il avait tué une famille, il n'y avait de ça même pas vingt quatre heures. Et ça aurait pu être eux. Il n'avait pas pris le temps d'apprendre à connaître ses personnes à qui il avait ôter la vie par pur caprice. Ce sont des larmes qui coulèrent le long des joues de Raito et qui tombèrent dans la neige, se cristallisant instantanément.
Il s'en voulait tellement d'avoir fait ça. Seul les gens ayant commis des crimes devaient être punis, pas les autres. Cette leçon, il la retiendrait, et pour bien longtemps. Mais ses pêchés n'étaient pas lavés pour autant, et il allait sûrement devoir vivre avec tout au long de son existence. A ce moment là, le shinobi avait une piètre opinion de lui et de ses pouvoirs qu'il avait utilisé pour devenir comme ses membres du conseil de Kiri. Lorsque Idate relâcha l'étreinte, il put voir les larmes de Raito qui s'écroula dans la neige, à genou, complètement impuissant devant ce qu'il avait accompli. Il n'était pas fier, et cela se voyait. L'amertume, les regrets, mais il ne pouvait plus revenir là dessus, c'était une chose faite.
« Allez, reprends toi mon garçon. Viens, on va chez toi. »
L'étoile bleue fit signe aux autres membres de la famille de suivre le chef de la jolie petite troupe qui se tenait aux côté de cet abominable être qu'il était. Il craqua, une fois de plus, ses larmes coulèrent tel un ruisseau sortant de son lit. Ils pénétrèrent alors tous dans le domicile de la mère de Raito où tout le monde était en train de boire un chocolat chaud ou un thé près du feu. Cette image lui revenait, sans arrêt, celle de l'explosion, lui qui était propulsé, perdant ensuite connaissance. Cette image le hantait constamment. Il ne pouvait pas supporter ça plus longtemps, il devait en parler, à quelqu'un d'autre que sa sœur. Une personne qui le jugerait pour ses crimes.
« J'ai tué une famille à Kiri .. Je revois encore tout ses flashs dans ma tête. Lorsque je termine le travail, jusqu'à l'explosion final, où je suis propulsé à plusieurs mètres, heurtant le portail de la maison et perdant connaissance. Je n'en peux plus de voir cette image sans cesse ! »
C'était la première fois que le Yamida se retrouvait dans cet état. Qu'il avait autant pitié de ce qu'il était devenu. Oui, il se faisait littéralement pitié. Faire ça à des innocents ? Mais quel genre de monstre était-il ? Sûrement un sans cœur prêt à tout pour accomplir ses idéaux. Tout le monde vint alors le réconforter. Lui expliquant que ce n'était pas sa faute, qu'il avait fait ça pour venger sa famille. La nuit tomba rapidement, alors que Raito était allongé sur le divan du salon, se reposant et tentant de s'apaiser l'esprit. Trouver la paix était bien plus simple qu'il n'y paraissait, il lui suffisait de penser à ces mecs du conseil, et il aurait pu recommencer ce qu'il avait fait dans la seconde.
« Raito, le dîner est servi. Viens ! »
L'heure du dîner avait sonnée. Raito entendit au loin les carillons de l'église de la ville. Il écouta le nombre de coups qu'il donnait, en tout, il y en eu neuf. Il était donc neuf heures. Au menu, il y avait des yakitoris, le plat préféré de Raito. Il dégusta son plat, avalant chaque bouchée avec une consistance hors du commun. Ses papilles frétillaient de bonheur lorsqu'elle sentait ce goût légèrement épicé envahir le reste de sa bouche fine. Le repas était un délice, et même Idate et sa famille pensèrent la même chose. Mais il était temps pour eux de se dire au revoir, un jour l'étoile bleue reviendrait vers Yuki, et il y coulerait des jours heureux. Il espérait le faire en compagnie de son vieil ami Idate.
En vrai gentleman, Raito raccompagna ses invités à la porte et leur souhaita une agréable soirée. Il prit alors les deux bambins dans ses bras et les serra très fort contre lui. Un jour, lui aussi aurait une femme et des enfants, et il pourrait être l'homme le plus heureux du monde, même s'il avait déjà la sensation de l'être lorsqu'il était en compagnie d'Ayumi. L'heure de dormir se profilait et Raito pénétra dans la chambre où il dormait, celle de sa sœur. Le cadet des frères avait hérité du matelas pour dormir. Il fit alors une révélation à sa frangine qui semblait accueillir la nouvelle avec un certain enthousiasme, malgré qu'une pointe d'amertume se fit sentir sur son visage angélique.
« Demain on repart pour Kiri. »
Le retour était annoncé. Ils allaient tout deux rentrer à Kiri. Retrouver ce paysage qui leur était familier. Retrouver toutes ses habitudes qu'ils avaient perdues. C'était sûr, Ayumi et Raito allaient manquer dans cette maison, et les habitants de cette dernière manqueraient aussi aux deux compères. Mais tout deux, ils devaient suivre leur voie, et vivre leur vie. Ils reviendraient un jour, et toute la famille serait définitivement réunie. Mais ce n'était pas encore le jour venu, il allait encore falloir attendre. Mais un jour, tout deux, ils retrouveraient Yuki.
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| | | | Raito Yamida
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Mer 26 Aoû - 21:40 | |
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| | | | Raito Yamida
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Mer 26 Aoû - 21:50 | |
| Rp terminé.
Longueur : 1892 lignes
J'utilise la notation de Ketten :
200 lignes = 50xp
1800/200=9
9*50= 450 xp.
+92 lignes, donc 30 xp.
Ce qui nous donne 480 xp, voir plus si la qualité est de mise. | |
| | | | Ketten Zenbu
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] Sam 29 Aoû - 18:02 | |
| [Validation]
tient je ne suis plus le seul à faire des paver on dirait ==
460EXP pour toi ^^ le file est bien suivit mais on voit que le style s'éssoufle en fin et surtout avec la marge tu gagne en ligne ^^
Bonne continuation ! | |
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| | Sujet: Re: Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] | |
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| | | | | | Une mère, un enfant, une vie commune. [FlashBack] | |
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