Madara Uchiwa

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~Présentation~

Nom : Uchiwa
Prénom : Madara
Age : surement 1siècle ..
Sexe : Muasculin

Description Physique : Commençons par décrire l’allure générale de Madara. C’est un homme d’une assez grande taille qui approche les deux mètres. Assez massif, il semble peser dans les 90kg. Mais, contrairement à la plus part des hommes normaux, Madara est loin d’être gras. Il est en effet tout en muscle. Bien qu’il apparaisse rarement torse nu, voire nu tout court, on pourrait si cela arrivait constater que les combats innombrables qu’a mené l’ancien co-fondateur de Konoha on forgé son corps à l’extrême. Ses jambes, bien qu’assez fine, sont fermes et dures, leur forme est celle des jambes de guerrier, cuisse assez large et musclé, et mollet un peu volumineux. Le haut de son corps est très marqué par les guerres successive auquelle il a participé dans le passé. De longue cicatrice qui ne disparaîtrons probablement jamais zèbrent son dos. Haut du corps qui, comme les jambes est très musclé. On peut en effet dire que l’expression “tablette de chocolat” prend tout son sens chez cet Uchiwa puisque le bas de son ventre a clairement six forme géométriques légèrement carrées qui forment ses abdominaux. Disposant également de biceps pratiquement carré eux aussi, ils sont cependant plus plat que sur les vulgaire brutes ne songeant qu’a développer la force physique. Son dos, est également traversé par les lignes frontalières des muscles très développés fournis par la guerre et l’entraînement.

Ses bras, un peu grands par rapport à son corps, sont un peu moins musclé que le reste de son corps pour ne pas ralentir trop ses mouvements et lui permettre de conserver une importante dextérité. Ses biceps formant une petite rondeur sur le haut des bras. Au niveau vestimentaire, on peut affirmer que Madara apprécie la touche sombre. Premièrement, le manteau de l’Akatsuki qu’il porte en permanence. Il est fait d’un tissu léger mais résistant à la dure vie d’un Shinobi. Ce manteau noir si caractéristique de l’organisation criminelle, dont les lunes rouges brodée et entourée d’un tissu blanc à la perfection inspire craintes et frayeurs chez ses adversaires. Il semble porter une combinaison, noire également, dont le bas et le haut sont relié par un léger ruban un peu plus clair. Les jambes du bas de la combinaison s’arrêtent environs trente centimètres en bas du genoux, laissant ensuite la place à des sorte de bas blancs qui lui entourent le reste de la jambe excepté ses orteils dont les ongles sont vernis avec une couleur noire commune à tous les membres de l’Akatsuki. Le long de ses côtes et jusqu’à ses hanches, on peut apercevoir des plaques cuirassées assez mobiles qui ne le gênent pas pendant les sauts. Elles sont également noire.

Pour masquer son identité, le chef occulte de l’Akatsuki porte un masque assez étrange. Celui-ci est fait dans une matière assimilable à du bois et dont un morceau de tissu taillé sur mesure pour la largeur de la tête de Madara permet à ce masque si étrange de ne pas trop bouger pendant un combat. Ce masque est d’un orange sombre, et il a été travaillé de manière à prendre la forme d’une spirale dont l’origine se trouve dans un trou rond et minuscule qui est la seule ouverture sur le monde de celui qui se fait appeler par le pseudonyme de Tobi. Derrière se masque se cache un visage impassible, à la peau très claire et aux yeux bridés. En fait, il ne lui reste qu’un seul oeil. Cet oeil est pratiquement toujours en mode Sharingan à trois virgules. Sa pupille est donc rouge sang, et luisante dans le noir avec trois virgules noires dessus, dessous et à droite de l’iris. On peut constater également que les cheveux de madara sont sombre et court, contrairement à la coiffure qu’il arborait dans sa jeunesse avec de grand cheveux lui masquant l’oeil qu’il semble avoir perdu. Sa bouche fine laisse entendre sa voix plutôt grave lorsqu’il s’exprime en tant que chef, et plus apeuré lorsqu’il joue Tobi.

Description Morale : Madara est un et plusieur à la fois. Sa principale caractéristique est à l’image de ses plans: le fait d’être retors et obscure, tel Janus, il a deux visage qu’il peut à tout moment utiliser à son profit. Le premier, celui que tout le monde à pu voir, est celui de Tobi. Un être attardé, idiot et attachant. La principale qualité de Madara lorsqu’il joue se rôle est d’arriver encore une fois à se faire passer pour ce qu’il n’est pas: un suiveur. En effet, le “petit” Tobi ‘est un vulgaire suiveur, tous le monde semble lui être supérieur en jugement. Il n’a d’ailleurs même pas conscience de lui même puisqu’il s’exprime à la troisième personne comme un vulgaire gamin dans une phrase totalement mièvre: “Tobi est un bon garçon”. Tobi est naïf, il prend tout au premier degré. Il n’a aucun sang froid et peut se mettre à pleurer en pleine bataille en croyant son coéquipier mort. Il se laisse guider par ses sens et abuser par ce qu’il voit entend, et qu’il considère comme une vérité absolue.

Mais tout cela n’est en vérité qu’un ersatz! Il ne faut pas négliger qui à crée cette personnalité écran, ce miroir qui renvoi en fait l’image des adversaires de Madara: des naïfs, des idiots, et des marionnette. Puisque aucun d’entre eux n’a su cerner que Tobi n’existait pas! Qu’il n’était qu’un rideau de fumée crée pour cacher ce qui doit être: Un leader né. Et le meilleur leader est toujours celui dont on ignore l’existence et qui gouverne dans l’ombre de ses propres serviteurs. C’était là toute la pensé de Madara, dissimuler pour mieux observer, mieux observer pour régner plus facilement.

Tobi et Madara ne font qu’un, ils sont en vérité les deux artifice d’un homme monstrueusement intelligent, capable du meilleur en terme de performance. En effet, l’esprit d’analyse du plus éminent des Uchiwa démontre son expérience. Capable de cerner les problèmes dès qu’ils se présentent, menant sa réflexion en plein coeur de la cible, trouvant à chaque fois le point de rupture, déterminant avec brio chaque mécanisme lui permettant d’arriver ou il veut. Une détermination commune à tout le clan Uchiwa. Dont ils ont fait d’ailleurs leur philosophie. Tant qu’il n’est pas mort, il continuera à utiliser tout son savoir pour arriver à remplir ses objectifs finaux. Et c’est là que Tobi prend toute son importance! Car il permet à Madara non seulement de se cacher physiquement, mais de cacher ce qu’il veut également!

Ceux qui rencontrerons Madara si ils ont de la chance, comprendront alors que seul lui peut connaître la finalité de ses plans, et que rien qui proviennent de lui directement ou indirectement ne doit être considéré comme une vérité absolue. Fin politicien, il a appris l’art de la manipulation! Mêlant constamment un grain de mensonge dans un océan de vérité pour corrompre toutes ses affirmations et donc laisser dans le flou ses adversaires. Maître dans l’art d’allier les caractères et les talents, ce général averti est soucieux de la vie de ses hommes qu’il envoi au combat, et pleure ceux qui font le sacrifice ultime de leur vie pour lui et ses idéaux. Ayant grandi dans un climat de guerre constante, la négociation est avec lui inutile. Il ne voit le monde que par des rapports de force, des influence qui lui sont favorables ou non. Son âge tend à lui faire considérer qu’il n’y a plus rien à voir dans le monde d’assez intéressant pour que cela vaille la peine d’être sauvé.

C’est sans doute ce qui le perdre, ce cynisme et ce pessimisme l’ont conduit à développer un égo immense, qui ne semble avoir aucune limite dans la folie mégalomane. Philosophiquement, on peut affirmer que Madara est un partisan de l’élitisme. Il déteste les faibles, et leur mort ne provoque chez lui pas le moindre sentiment de tristesse. Résolument contre la démocratie et la liberté ainsi que la paix, il considère que ce n’est finalement que le piètre refuge pour des peuples fatigués qui n’ont plus la force de combattre pour leurs intérêts. Il est un partisan des valeurs qui semblent suranné comme l’honneur ou la famille. C’est pour cette raison qu’il est si attaché à sa vengeance contre Konoha. Cet institution qui à retourné sa famille contre lui et sali son honneur en le faisant passer pour un vulgaire apprenti dictateur. Ce qu’il a fini par devenir par la suite, tout en conservant ses idée très conservatrices sur le rôle que doit avoir la famille, particulièrement en ce qui concerne les lien fraternels. Pour Madara, l’individu si il fait parti d’un clan, ne doit pas exister en tant qu’individu, mais en tant que partie de ce clan. Résolument holiste, il serait prêt à se sacrifier pour que la victoire de son groupe et de ses idée soit permise pour l’éternité. Il ne se considère en effet “que” comme le chef d’un groupe qu’il doit mener à la victoire avec ses capacités. Archétype même du despote éclairé, Madara est toujours à la recherche de connaissance nouvelle pour accroître sa puissance. Son adage favori étant “Le Savoir c’est le pouvoir”.

[color:ff77="RoyalBlue"]Histoire :
Je suis Madara Uchiwa, si je commence à écrire ses pages, c’est qu’aujourd’hui, une bataille importante est en train de se dérouler. Bien que je doute fortement de notre défaite, je dois, en tant que stratège la prévoir, et faire en sorte que personne n’oublie mon histoire, mon nom et mon clan. Ce livre vous donnera des éléments pour juger de ce que fus l’histoire du monde des Shinobi à mon époque, et de son évolution jusqu’à aujourd’hui. Vous comprendrez alors l’utilité de mes travaux, et pourquoi j’ai fait ce qui devait être fait. Ma quête de puissance, mon esprit de vengeance, tout sera expliqué ici.

[color:ff77="RoyalBlue"]Date Inconnue: Lieu inconnu.

Bien que la cartographie soit assez précise, je ne connais pas précisément ma date de naissance ni mon lieu de naissance. Je suis né dans la demeure ancestrale des Uchiwa. J’étais le premier enfant mâle de la branche dirigeante de ma famille. J’ignorais alors que je devais devenir plus tard celui qui commanderait cette famille. Le monde avait un visage de meurtre et de sang à ma naissance. Les guerres qui opposaient les différents Daimyo faisaient rage, et de nombreux groupuscules qui n’étaient pas encore les puissants clans qu’il étaient destiné à devenir, remplissaient des mission diverses et variés auprès de ces seigneurs féodaux. Assassinat, escorte, commandement de troupes, nous étions à cette époque assez peu nombreux dans chaque clan et nous ne nous détestions pas comme ce fut le cas par la suite. Nous faisions notre travail et nous ne tenions pas rigueur des morts fait dans nos rangs par les autres. C’était la guerre après tout. Et comme à chaque fois en temps de guerre, les enfants grandissent plus vite. Je n’avais pas quatre ans lorsque mon père, décida qu’il fallait commencer à m’entraîner. Dans cette vaste demeure, je passais mon temps au Dojo avec lui. Il m’assura que mon éducation serait de la plus haute qualité pour que je devienne un jour un leader respecté. Mon père était un excellent ninja et un grand guerrier. Déjà à cet âge, je me souviens que je l’adulais. Malgré les coups qu’il m’infligeait lors de nos entraînement, je le considérait comme un héros. Combien de fois m’a t-il fait pleurer par sa rudesse? En me faisant violemment tomber sur les planches de bois de notre Dojo. Je ne m’en souviens plus. Il disait souvent que c’était pour faire de moi un homme. Ma mère, elle, était une très belle femme, svelte, avec ses grands yeux noirs et son sourire amical, je la trouvais plus belle encore lorsque son ventre arrondi me promettait un petit frère, ou une petite soeur. J’étais si naïf à l’époque. Comment n’avais-je pas pu voir tout le sang que le monde versait autour de moi? Je crois que mon père, malgré son allure militaire et ses envies guerrières cherchait tout de même à m’en préserver. Quant à ma mère, si éloigné du monde des Shinobi, comment aurait-elle pu comprendre ses histoires de guerres? Elle se contentait de seconder et d’aimer son mari dès que cela était possible ou nécessaire.

[color:ff77="RoyalBlue"]Date inconnue: Demeure des Uchiwa.

Mon frère devait avoir deux ans, et moi, j’en avais six. Mon père souhaitait que je m’entraîne avec plus de rigueur que je ne faisais déjà. Chose qui me semblait impossible! Je passais cinq à six heures par jour au Dojo à m’entraîner soit avec lui, soit avec les anciens du clan. Ils disaient que j’étais un “génie” je ne comprenais pas à l’époque le sens du mot. Mais je compris rapidement que chez les Uchiwa, déjà considéré tous comme des génie, cela était rare, et inconsciemment j’en étais très honoré. Ils disaient que mon chakra était incroyable même pour un Uchiwa et qu’il n’en avait jamais vu un aussi intense excepté chez mon frère.
Mon frère? À cette époque, je ne m’imaginais pas ce petit être sachant à peine marcher devenir un être d’exception, je souhaitais sa protection. C’est peut être l’une des raisons qui m’ont poussé à vouloir devenir si puissant. Je voulais devenir tellement excellent que moi seul aurait à endosser la charge de Shinobi. Devenir tellement puissant que mon frère n’aurait pas à subir le même sort que moi, c’est à dire risquer sa vie. Cela ne fut visiblement pas suffisant. A l’approche de ses quatre ans, mon frère, tout comme moi, commença à être entraîné par mon père. Je ne m’entraînais pas avec eux. C’était les Doyens du clan qui supervisait mon entraînement, et particulièrement mon éveil au Sharingan. Cette pupille dont on m’avait dit qu’elle était l’héritage le plus précieux de notre famille. Que tous les nôtres devait savoir utiliser cette pupille à la perfection. Pour activer le patrimoine génétique de ce Dojutsu, il fallait commencer par des méditations. Imaginer la pupille... laisser son chakra entrer dans ses yeux, et affiné le flux pour que les gênes se réveillent. On ne commençait ces exercices qu’à l’âge de treize ans habituellement, mais selon eux, j’étais déjà un Shinobi avec des bases solides, et mon talent était suffisant pur comprendre ce qu’il fallait faire.
Une fois que j’avais réveillé les gênes du Sharingan, je devais évidemment apprendre à le contrôler, à ne pas devoir me concentrer dix minute pour le faire apparaître après avoir consommé un quart de chakra. Avec les semaines d’entraînement quotidiens, je réduisais le coût de chakra et la durée d’activation jusqu’à arriver au maximum possible pour cette première forme de la pupille. On me demanda alors de rester trois jours de suite avec ma pupille activée, pour que je m’habitue à la vision du Sharingan. Lorsque l’on découvre pour la première fois cette sensation, c’est très troublant. Je voyais le chakra de mes proches, leurs couleur, j’en déduisais leurs émotions selon les leçon de mes maîtres. Je voyais TOUS les muscles de leur corps, et je sentais leur mouvement de la vie quotidienne s’imprimer en moi. Peu à peu, je devins capable de les reproduire spontanément. Mon corps et mon cerveau conservait en mémoire toutes les données que mes yeux transmettaient. Je pouvais ainsi analyser un mouvement de Taijutsu et le reproduire. Voire les coups avec quelques centièmes d’avance, ce qui, lorsque j’affrontais des Shinobi de mon niveau dans des tournois m’aida grandement à n’en perdre aucun.

[color:ff77="RoyalBlue"]Date Inconnue: Camp militaire.

Je n’avais que dix ans, lorsque mon père décida que j’étais assez fort pour rejoindre certaine mission sur le champs de bataille. Le meilleur entraînement étais selon lui la pratique dans des conditions réelles. Je n’étais pas en désaccord avec lui. Mais j’avais peur. Bien que les guerres ne fussent pas aussi sanglante que les grande Guerre dont l’arrivée étais proche, je ne voulais mourir, je pensais au déshonneur que cela porterait sur ma famille. Je pensais que mon petit frère n’aurait plus de protection. Je voyais déjà ma mère pleurer. Mes premières mission sur le champs de bataille furent faciles. Tout génie que j’étais, au départ, comme tous les enfants je devais transporter des messages d’une importance mineure sur des endroit éloigné du front. A vrai dire, ce qui fut vraiment dur dans ces camps militaires c’était les exercices du matin... Nous devions courir trente kilomètres sans nous arrêter, avec des séances de saut à travers les arbres. Quelque fois, nous simulions un rempli stratégique sous les feu ennemi. Pour simplifier, il fallait rejoindre une force allié le plus vite possible tandis que des ennemis nous envoyaient leurs jutsu, ou bien des projectiles divers et varié... Naturellement, ces projectiles n’étaient pas faux, combien de fois avons nous été blessé par un Kunai, un Shuriken ou un Kâton? Je ne les comptais plus. J’étais dans ce camp considéré comme un bon élément dans l’absolu, et relativement à mon page comme un véritable génie. Je commençais à mieux saisir ce concept, et cela se précisa avec les deux ans que j’allais passer dans ce camp de Shinobi dirigé par des Uchiwa. A douze ans, je maîtrisait à présent parfaitement le Sharingan à trois étoiles. Mes pupilles faisaient parti des toute meilleure de la famille. Et celle de mon frère, qui venais juste de commencer son initiation à ce merveilleux oeil, allait bientôt comprendre lui aussi que le monde vu sous l’angle du Sharingan était plus préci, plus complet, plus parfait. Après deux ans d’entraînement intensif et de mission relativement simple, mon père décida que je devais connaître l’expérience du front. Je fus donc emmené en mission sur l’un des points les plus tendu de notre territoire.

[color:ff77="RoyalBlue"]Date Inconnue: Frontière Sud.

Celui qui n’a pas connu le front n’a pas connu l’enfer. C’est ce qui me vient à l’idée, aujourd’hui lorsque je revois les scènes de mort et de souffrance que j’ai enduré à la frontière sud de notre territoire. C’est à cette époque que, pour nos plus grand malheur les guerres commencèrent à devenir de véritables massacres. Certains clan s’en prenaient même, en guise de Vendetta aux familles innocentes des soldats. Mon Frère m’envoyait des lettres de la maison dans lequel il décrivait la paranoïa absolue dans laquelle ils vivaient las-bas. Toutes les entrées et sorties étaient contrôlées, personne ne devait se déplacer sans un garde à côté de lui. Mon père lui même avait un peu peur. Pour la première fois, je n’avais qu’une envie, rentrer chez moi protéger mon frère. Mon petit frère, perdu dans ce chaos...J’en devenais anxieux, je rêvais de son meurtre la nuit et je me levais en pleine nuit avec des sueurs froides. Les insomnies arrivèrent. Mes capacités physiques laissèrent donc à désirer pendant un moment, puis mon corps s’habitua à cette fatigue et je retrouvais mes performances habituelles...

Si seulement, il n’y avait que la tourmente de ne pas savoir ma famille en sécurité. Ici, j’étais au front. Fini les message, pour la première fois de ma vie, j’allais croiser d’autres hommes ou femmes sur ma route, avec un objectif précis: me tuer. Cette situation ne me posa pas problème. Je me considérait assez fort et mur pour ne pas paniquer. Néanmoins, lorsque vous êtes en face d’un groupe ennemi pour la première fois, et que vos alliés commencent à attaquer, la panique vous gagne...je me retrouvais à moitié paralysé, mes gestes, malgré ma pupille étaient imprécis, mes Jutsu trop timorés... je n’ai tué personne ce jour là. Et nous avons été vaincu. Je n’étais pas au rendez-vous. D’un autre côté, un gamin de douze ans peut-il tuer aussi froidement quelqu’un? Non. Et pourtant, il le fallait! L’échelle de la violence s’intensifiait chaque jour, les clans se concentraient, des milliers de petites familles se menant de simples guerres tribales, nous étions passées à seulement quelques dizaines de gros clans ayant absorbés tous les autres, se menant des guerre psychologique et d’influence, ne reculant devant rien pour l’emporter.
La deuxième fois que j’ai combattu un ennemi, j’étais isolé de mon groupe. Les forces adverses avaient bien joué et nous étions poursuivi et divisés. Je devais affronter deux Shinobi moins fort que moi...Pour me motiver, je pensais à ma famille, mon frère et mon clan. Je me suis jeté sur eux, et j’ai déchaîné cette fois toute la force de ma pupille et de mes jutsu sur eux...Le combat ne dura que cinq minute avant que leurs organes ne soit séparés de leurs corps dans de grands cris. Mon uniforme était rouge, souillé par le sang de mes adversaires. J’avais tué, pour la première fois.

[color:ff77="RoyalBlue"]Date Inconnue: Résidence des Uchiwa.

Je ne suis resté qu’un an au front. Mon frère, lui, était resté en résidence. Il était encore jeune et il devait faire son éducation militaire de base. Ceci dit, avec l’intensification des guerres et de la violence qu’elle engendraient, mon père souhaitait l’entraîner davantage. Je n’étais pas revenu ici depuis longtemps! Mon frère avait beaucoup changé. Il était devenu plus fort. Sa pupille n,’avait encore qu’une seule étoile mais on me racontait qu’il s’entraînait chaque jour pour parfaire sa technique déjà excellente pour son âge. Je pense que c’est là que notre rivalité amicale est née. Tous le temps ou je suis resté à la maison, il n’eut de cesse de vouloir me tester, dans tous les domaines. Ninjutsu, Gentjutsu Taijutsu, stratégie. Il voulait voir si il me dépassait. Mais il était encore bien trop jeune et malgré le fait qu’il était presque aussi doué que moi, j’avais pour moi l’expérience du front, et de la vie militaire, et je gagnais impitoyablement toute les batailles qu’il le proposait. Un peu déçu, je le réconfortais et nous recommencions à jouer. Il ne m’en voulait pas, il avait compris que pour l’heure, la différence d’âge entre nous étais un fossé qu’il parviendrait peut être à comblé avec le temps. Et moi, je savais que face à lui, pour rester le plus fort comme l’aîné doit l’être, je devrais m’entraîner plus encore. La relation que j’entretint avec mon jeune frère devint plus fusionelle au cour des années. Son niveau se rapprochait du mien, et notre complicité nous poussait à tout nous dire. Il avait fait d’énorme progèrs en trois ans, et même si j’étais encore devant d’une courte tête, j’étais fier, fier de voir mon petit frère devenir si fort. Il y avait un paradoxe à ce sentiment. Je ne voulais pas qu’il aille au front. Je me rendais compte que sa puissance devenait trop grande pour qu’il échappe à cela. Je ne voulais pas qu’il subisse la mort, le sang, la boue et la peur comme moi je l’avais subie avant. Je fit donc pression sur mon père pour qu’il reste à la maison. Mon père, obstiné refusa. Il m’accorda cependant le droit d’être avec lui sur le champs de bataille.

Date Inconnue: Frontière Ouest.

Nos fortifications à l’ouest était durement mise à l’épreuve par un clan ennemi. Mon frère devais avoir quatorze ans, et moi dix huit. J’étais le capitaine d’une petite brigade rapide de Shinobi chargé de veiller à ce que les ennemis n’attaquent pas nos murs. Rapides et discret tel était notre devise. Mon frère c’est habitué plus vite que moi au front. Je trouvais son calme très encourageant pour le reste de la troupe et moi même. Il faisait sa mission avec un tel sang froid, qu’il me semblait parfois encore plus apte que moi même à commander.
Il avait tué dès son premier assaut, et n’avait pas tremblé. Moi qu iavait une peur bleue que l’on touche à un seul de ses cheveux, je devais peut être m’en faire plus pour ceux qui aurait le malheur de croiser nos routes. Nous agissions par duo. Moi et mon frère d’un côté, et trois autres groupes de deux. Je coordonnais leurs déplacement. Je pense que cette période de ma vie fut la plus sombre. Car nous vîmes à de nombreuse reprise des choses affreuses.
Une de nos missions c’était mal passé. Nous rampions dans la boue à travers les cadavre depuis une semaine, sans boire ni manger. Mon frère faiblissait. J’avais une telle haine, les mouches et les rats finissaient le jour le travail que nos adversaires n’arrivaient pas à faire. Et la nuit, c’était les moustiques.
Sans même parler des affrontement. Ils avaient parmi eux une grosse brute qui utilisait des techniques fuuton massive et puissante... Nous étions piégé dans une sorte de fossé... A moitié mort...J’avais un bras cassé, et mon frère était tombé dans le coma... je faisais en sorte que les mouches ou les corbeau ne dévore pas son corps...La haine m’avait envahi...Comment avaient-ils osés toucher à mon frère... C’est à ce moment là que je me suis levé...l’adrénaline aidant, j’ai fait face... Grâce à mes pupilles je suis parvenu à vaincre mes adversaires... C’est là que j’ai compris que ma soif de pouvoir était absolument infinie... Je voulais plus, toujours plus. Mon Sharingan ne me plaisait plus, je le trouvais si limité. Il en était devenu presque imparfait à mes yeux...
Mon frère avait survécu. J’étais si content que rien ne lui soit arrivé? Je me sentais soulagé.

Date Inconnue: Résidence des Uchiwa.

Voilà maintenant plus de cinq ans je mon frère et moi cherchions des moyens d’améliorer le Sharingan. Nous tentions de l’élever à un niveau très supérieur au Sharingan à trois virgules.
Toutes nos tentatives restèrent infructueuses. Nous étions, mon frère et moi comme des vampires dont la soif n’est pas étanchée, nous désirions plus de pouvoir, et immédiatement. J’avais la sensation que notre pupille était encore incomplète, les Anciens me certifiaient que je divaguais mais malgré tout je sentais dans leur coeur une certaine inquiétude. Ils savaient une chose que j’ignorais et cela me mettait dans une colère effroyable. Mon père, était mourant, la plus part des responsabilité étaient alors revenus à moi et à mon frère cadet. Je sommais les anciens de parler. Mon frère les menaçait même physiquement, mais rien ne pouvait les faire parler ces misérables...Rien excepté le chef des Uchiwa, je le savais. Une fois mon ascension réalisée, ils me donneraient ce que je désirais le plus au monde après la préservation de la vie de mon petit frère. La mort de mon père ne survint que quelque mois plus tard. Je devions donc officiellement le nouveau chef du clan Uchiwa. Mon père avait toujours mené ce clan avec une politique mesurée et malgré tout efficace. Je n’étais pas dans le même registre. J’étais plus retors, plus sombre, je cachais davantage mes intention excepté à mon frère que j’avais pris comme second. Je n’hésitais pas à manipuler des membres de mon propre clan pour remplir mes objectifs.
C’est à ce moment là que les Anciens ont souhaité ma présence. J’étais là, face à eux... Ils commencèrent par me dire que le temps était venu pour moi que je sache ce que tous les autres Uchiwa, même mon père ignoraient. Le Sharingan, était une pupille à l’origine inconnue, mais, sa forme la plus évolué, le Mangekyou Sharingan, elle, était une forme absolument démoniaque. Ses pouvoirs étaient immenses, et le prix demandé dépassait ce qu’un homme pouvait réellement fournir, c’était la raison qui faisait que son secret était bien gardé, et que personne n’avait pu obtenir cette pupille. Madara fut intrigué par les conditions d’obtention de ce pouvoir incroyable... Il fallait tué son meilleur ami. Madara fut un peu choqué par le sacrifice qu’il allait devoir consentir. Mais les temps avaient changés. Les guerres, les massacres, tout cela demandait une force supérieure pour pouvoir les dominer. Madara sorti de la salle. Devait-il le faire?
Il ne puvait prendre cette décision seul. Il en conversa donc longuement avec son frère. Et il sorti de leurs débats que l’heure n’était plus à la parlotte inutile. Il était temps de faire le sacrifice pour leur clan et ce qu’ils avaient toujours rêvés: Le Pouvoir.
Ils se donnaient un mois de préparation pour la mise en scène. Ils n’eurent même pas le temps de concrétiser leurs plans! Les belligérants avaient commencé à utiliser les armes les plus destructrices qui soient: les Bijuu. Ces démons aux réserves immenses de chakra tenaient un rôle de puissante arme de destruction massive pouvant détruire des villages entiers par les fléaux qu’ils provoquaient. On les disait neuf... Les contrôler étant impossible lorsqu’ils étaient à l’air libre, nous avions fini par découvrir que leurs maîtres les emprisonnaient dans des Shinobi. Des Jinchuuruki. Il nous fallait capturer l’un d’entre eux. Dans le cas contraire, nous serions fortement désavantagé en cas de conflit avec des puissances militaires armés de ce type d’outil. Le Bijuu qui se trouvait prêt de notre territoire se nommait Kyuubi. Le Démon Renard à Neuf Queues. Certains le nommaient également le “Roi” des Bijuu. C’était exactement la puissance de feu digne des Uchiwa. Le tout était d’établir un plan convenable qui faciliterait sa capture. Plus nous y pensions, plus il devenait clair que sans le Mangekyou Sharingan et ses pouvoirs exceptionnel nous n’arriverions à rien, si ce n’est mourir.
Nous avons alors sauté le pas, et tué nos deux meilleurs amis respectifs.

Date Inconnue:

Obtenir le Mangekyou Sharingan me fit le même effet que mon initiation au Sharingan simple. Je voyais le monde d’une autre manière. Encore plus en détail que sous la pupille normale. Je sentais une telle force dans mes yeux, que cela en était presque malsain.
Avec une telle force, même Kyuubi devait plier sous nos deux Mangekyou.
Nous décidâmes de n’y aller qu’a deux. Moins nous étions, moins il y aurait de mort inutile. Cette forêt dans laquelle l’objet de notre quête se trouvait était vraiment profonde... Nous n’avions pas prévu de rester aussi longtemps en chasse. Nos vivres et nos provisions arrivèrent à leur terme. Par chance, cette forêt était riche en petit animaux que nous pouvions manger facilement. Le coeur de la forêt, ou devait sans doute se cacher le Bijuu n’était plus très loin. Même pendant mes plus sanglantes batailles au front, je ne me souviens pas avoir marché aussi longtemps que pour ce travail. Je sentais mes jambes parfois s’arrêter de marcher toute seule, par la fatigue... Moi et mon frère n’avions pas prévu de dormir ou de nous reposer avant d’être arrivé au coeur de la forêt. Les cinq jours de marche et la plus part de temps en remontant des pentes que nous aurions le plaisir de descendre tranquillement au retour nous avaient presque mis K.O avant même le combat. Ce terrain était si hostile que c’en devenais indécent. Mes nerfs furent très à vif durant cette mission. Et moi et mon frère, qui étions tout de même très rivaux il faut le rappeler malgré notre affection mutuelle avons failli nous battre plusieur fois. Ce fut une expérience très désagréable pour moi et je me jurais de réussir ou de mourir en essayant pour ne pas à re-subir cette torture. Lorsque nous arrivâmes dans le coeur de la forêt, nous sentions un chakra incalculable près de nous. J’étais un peu surpris, il était moins démoniaque que le mien et celui de mon frère. Après avoir acquis le Mangekyou, nous avions un chakra si noir et sombre que même la pire des abominations semblait être moins damné que nous. Nous nous sommes caché dans une grotte et nous avons dormi. Longtemps. Près de dix-huit heure de sommeil. Veillant tour à tour l’un sur l’autre. Lorsque nous fûmes tout deux éveillés, nous décidions de combattre après nous être un peu échauffé. Nous avions pratiqué deux trois exercice d’étirement et quelque passe de combat sans nous toucher réellement avant de partir.

Deux heures, nous avons mis deux heures à traquer dans son antre la bestiole. Après cinq jour de pistage cela faisait pâle figure!
Une fois devant Kyuubi, nous avons cru entendre des voix dans nos têtes... Ou plutôt, nous entendions effectivement UNE voix dans nos têtes. Celle du Démon. C’était assez incohérent car nos esprits n’avaient pas l’habitude de cette méthode de communication. Mais j’ai rapidement compris pourquoi nos chakra était plus sombre que le sien. Le Mangekyou Sharingan permettait de contrôler cette créature. Mon frère,lui, ne l’a pas compris tout de suite... Se sachant de toute façon piégé, l’animal avait peut être préféré tout avouer? Non. D’après les légendes, Kyuubi était fourbe et d’une grande intelligence. Je me méfiais. Lui demandant pourquoi il se soumettait si facilement ainsi? Lui qui était le Roi des Bijuu. Je ne parvint pas à obtenir de réponse.

(en cour) je vois que Madara n'est pas actif)

Madara Uchiha a écrit:

Bon nouvelle absence par contre elle sera longue, donc voici mes dates:

Départ: Début Juillet
Retour: Fin Aout
Cause: les vacances, la plage, les filles etc...

Par contre je pourrais peut être venir de temps en temps sur le forum pendant le mois de Juillet, si je squate chez mon couz à la compagne. Par contre à la mer si je trouve un borne wifi alors je saurais là.

Sur ce bonne vacances d'été, on avait tous besoin ( ah bas le bahu)

Désolé mais il n'est pas actif car il est en vacance, donc il est pris

Exact, je déplace.