[Flashback] Un autre Monde...

C’était le jardin, un lac miniature, comme dans toutes bonnes maisons. Devant celui-ci se trouvait un garçon, jeune d’environ huit voir neuf ans au maximum. Ses yeux étaient bleus, clair surprenant et envoutant. Ce sentiment joviale qui s’exprimait à travers la couleur très unique de ses pupilles était rare et peu commune. Ses cheveux eux étaient noir, un opposé comparé à ses jeunes mirettes enfantines et naïves. Ils étaient propre, et ordonnés, comme sous le commandement du jeune garçon, ou plutôt celui de la nature. Le vent souffla alors, levant donc cette couverture, cette fourrure, la tirant vers le côté, lentement et gentiment. Cette scène était rare et différente, c’était l’été, le rare été dans le Pays de la pluie. Le sourire de l’enfant semblait illuminé l’endroit surpassant d’une manière les rayons bienfaiteurs du l’astre d’apollon. Il avait une forme peu adéquate pour un gamin de son âge, chose qui le démarquait de loin. Sa carrure surpassait celle d’un enfant normal de sa génération, cela montrait, que un sang guerrier coulait en lui. Ses muscles grandissaient comme s’il les avait entraîné toute sa vie, une apparence des plus trompeuses. Le fait de voir cet enfant surprenait, mais la chose en soit même qui aurait affecté tout jugement était ses actions. Au bord de l’eau, il avait l’air de s’amuser avec la substance liquide, mais ce n’était pas à s’y méprendre. Non, en vérité, il transforme cette chose, jouant avec comme avec un simple liquide.

Ce don, inconnu, le jeune homme ne savait point d’où venait cette force mystique et rare. Ses yeux se fermaient alors, inspirant et adorant l’air pur un cours instante, un moment perdu. Ouvrant alors subitement, cette action brusque ne retira en aucun cas le sentiment et la puissance, et surtout la tendresse de ses iris azurés. Devant lui, l’eau se cristallisait, prenant une forme surprenante, en cette journée ou le soleil était torride. Cette forme qui arrêtait les mouvements des cellules aqueuse forçant cette pression sur le liquide. Ce bleu devint blanc, changeant de forme méthodiquement, comme si contrôlé par une force extérieur venant du jeune homme. C’était le cas, cette émanation était son Chakra, la puissance, qui venait du physique et de l’esprit, créant la source de puissance de tout Shinobi. Cette force mystérieuse, permettait à ce gamin, ce préadolescent de contrôler un liquide si libre et peu lourd. Ce don, devait venir de ses ancêtres, qui malheureusement lui étaient inconnu depuis sa tendre jeunesse. Sa mère, sa créatrice, refusait d’aborder le sujet quelque soit les circonstances, changeant le sujet de la discussion comme si els dires de l’enfant n’avaient jamais eu lieu. Ces actions heurtaient le jeune homme, d’une manière surprenante, mais malgré cela, il gardait le sourire aux lèvres. Maniant la substance, celle-ci reprit une forme normale, une forme unique et incessante. Retirant sa main, un morceau de glace, suivi son membre, comme un chien suis son maître.

La boule geler, lévitait quelque peu dans la paume du jeune homme qui semblait concentré. Lentement ramenant sa main vers le au, son autre bras, se plaçait au-dessus de la boule. Séparant alors son index et son majeur, la forme sphérique, se déchira dans un bruit aigu rappelant celui d’un diamant brisé. Puis se fut le tour des autres multiples doigts qui peuplaient el bout de sa pomme. Petit à petit, des pointes, inégale et perçant se formaient, restant intouchable au milieu de l’air dans la main du garçon. Tournant donc ses doigts, une sorte de minuscule tempête tournoyait dans la paume de sa main. Après quelque secondes, le gamin s’arrêtait, observant sa main coupée de maintes fois. Ce n’était qu’une blessure superficielle aux yeux du jeune homme qui pour l’instant, se moquait bien de cela. Approchant sa poigne de son visage, sa langue sortit de sa bouche, léchant les blessures, et arrêtant le sang qui avait tenté de couler à flot. Attrapant les morceaux de lace dans l’autre, paume, cette fois-ci il se moquait que la substance flotte ou non. Sa main, descendue alors lentement, touchant la surface de l’eau, comme apeuré, avant de se plonger dans celle-ci. L’inconvénient était que cette mare, était remplie d’eau de mer salé. C’était la raison pour laquelle le jeune homme avait fait cela, pour cicatriser au plus vite. Cette méthode bien que douloureuse s’avérait être la meilleure pour la situation actuelle. Il n’y avait pas d’autre moyen et il en voulait montrer ses blessures en portant un bandage quelconque.



Ces mots qui venaient d’être prononcés avait été fait avec une colère impressionnante. Cet homme balafré, au visage ardu, prit alors un pas décidé s’approchant du jeune homme, qui se mit alors à trembler. La violence qui s’exprimait à travers l’être de cet homme était plutôt surprenant. Continuant son pas, le corps du jeune Kaa ne pouvait bouger, impossible de se mouvoir d’une manière ou d’une autre. Le fait d’avoir observer la façade de cet homme l’avait effrayé d’une manière peu commune dans le monde humain et celui des Shinobis. Une main robuste et musclée traversa alors l’air, attrapant le col du haut du gamin et serrant avec force. Lorsque ce processus fut effectué, une puissance étrange, leva le corps du jeune homme s’y vite qu’il aurait cru continuer sans arrêter en direction du ciel pour finir carbonisé. Brusquement, la force, gravitationnel, s’arrêta, et devant lui se trouvait le visage d’un homme surprenant, et encore bien plus effrayant de près que de loin. Des larmes commencèrent alors à couler le long du visage du jeune homme, qui commençait à trembler, comme si sa vie était finie. Un grognement ce fit alors entendre, traversant l’endroit et résonnant de multiples fois. La puissance de ce cri aurait pu réveiller le quartier entier. Puis quelque chose fonça rapidement, et avant qu’il ne le sache la joue de Kaa se tordu et changea. Son visage fut heurter, mais son corps resta à la même position. Puis une nouvelle fois, et encore une, à la fin, son visage devenait bleu, et la douleur, le faisait pleurer, mélangeant ses larmes à son sang qui ruisselait le long de son visage. Brusquement, il fut jeter en arrière, et il entendu une voix puissante sortir de la gorge de l’énergumène qui venait de le taper.

« Je t’avais déjà dit de ne plus jamais utiliser ce pouvoir ! Tu te moques de moi ! »

Les pleurs continuaient, ils n’allaient pas finir…

Un bleu, chauffant et douloureux. Une souffrance atroce traversa la façade de Kaa, les larmes avaient arrêté de couler, et elles avaient séché. Un reniflement qui continuait, mais s’apaisait avec le temps. Remontant son visage vers le miroir de sa chambre, le jeune garçon n’en revenait pas. Il n’aurait jamais cru que cet énergumène qui avait fait la cour à sa mère et qui avait réussi était si violent. Il aurait du s’en douter, cet homme lui faisait déjà peur,ce n’était pas taper un gamin qui le bousculerait. Un morceau de coton se reflétait dans la glace avant de toucher son visage. Kaa recula subitement, la douleur était forte, et ces quelques trucs, genre l’alcool, piquaient énormément. Le gamin de huit ans se demandait vraiment si cette situation était correcte. C’était la mère du jeune homme qui effectuait cette action en fait. La douleur qu’il ressentait n’était pas sa faute, mais cette chose, ce liquide le piquait. Il apprit rapidement qu’il devait le supporter. Voyant le coton aller sur son visage, il fit une grimace, et se tue après cela. Une sorte de colère grandissait en lui à chaque seconde. Kaa ne supportait plus le comportement de cet étrange qui s’était incrusté dans leur vie et voulait maintenant la contrôler. Il fallait bien y faire quelque chose. Sa mère remarqua alors l’expression sur el visage de son enfant, elle comprenait la réaction du jeune homme qui détestait cet homme déjà au plus profond de son être.

« Kaa ne lui en veux pas, il fait ça pour notre bien. Personne dans Ame n’accepte notre don, sans lui nous aurions été tués. »

Ce qu’elle venait de dire était réaliste sur différent niveau et Kaa le savait. Dans la région où ils vivaient, dans Ame no Kuni, le fait d’être capable de maîtriser une affinité hors du commun tel que la fusion d’élément était interdite. Tout type de personnes dans ce genre étaient traquées et puis tuées. Un soupir s’exprimait alors, sortant du plus profond de la gorge du jeune adepte au Hyouton, l’art majestueux d’utiliser la glace. C’était une chose magnifique. Observant, sa mère continuait le processus. L’homme qui les protégeait portait le nom de Nakamura Junrei, c’était un Noble du pays de la pluie. Le Junrei adorait la mère du jeune Kaa, et adopta Kaa, lui donnant ainsi son nom de famille Junrei. Malheureusement, cela ne plaisait que peu au jeuen garçon, il pouvait aller dans les meilleures écoles, mais il ne pouvait utiliser son art qui était l’essence de sa vie, un don qui coulait dans ses gênes. Malgré cela, il devait se rendre, à l’évidence, il ne pourrait pas aller à l’académie Ninja ici, à cause de ce don. Il voulait être Ninja, comme tous les hommes dans sa famille, c’était sa seule volonté, mais il était bloqué à ce niveau. Il n’accepterait jamais ce macaque après l’événement d’aujourd’hui. Se redressant, le gamin se tourna et prit sa mère dans ses bras, avant de se retirer, il devait réfléchir quelque peu, il n’avait pas ce temps. Un soupir s’expirait de son crâne, avant qu’il ne sorte de sa chambre, prenant alors une direction inconnue. Derrière sa mère restait seul, ayant pensé qu’elle aurait pu s’occupée un peu plus des blessures de son fils.


C’était l’heure de diner, c’était un superbe repas, un endroit calme et impressionnant. Tout le monde semblait joyeux à port Kaa. La famille était sur une table basse, assit, à genou, les fesses sur les talons. Sous cette table, là où les genoux se trouvaient, une couverture qui produisait de la chaleur y était, mais elle n’était pas activée en ce jour d’été. Tout le monde souriait, à part une seule et unique personne. Ce personnage n’était d’autre que le fils adopté de Nakamura, le noble de la famille des Junreis. Son visage n’était pas amaré, mais il ne souriait pas, il ne participait pas à la conversation des plus joyeuses de sa mère, son père adoptif, ou beau-père, et la fille de celui-ci qui se nommait Rukia Junrei. Elle était blonde aux yeux verts. Son corps n’était pas déplaisant et attirait de nombreuses personnes, certaines fois, Kaa la trouvait belle, malheureusement elle était la plus grosse chipie dans ce monde. Un jour, elle avait mise du poil à gratter dans son caleçon, il en avait chier littéralement des tonnes. Il ne l’appréciait pas, mais, il y avait d’’autres choses, qu’il appréciait chez elle, il n’eu malheureusement pas le temps de faire cela. L’homme, le Chef des Nobles de la petite famille de Junrei le regarda avec un air sévère. Les deux femelles de la famille arrêtèrent alors de s’exprimer, la conversation venait de mourir. Il prit alors la parole, se calmant. Il n’était pas content et cela vibrait au plus profond de sa voix presque inhumaine. Il tint à peu près ces mots ci au jeune gamin.

« Casse toi ! va dans ta chambre, tu ne participes pas on ne veut pas de toi enfant maudit. »

Sur ces mots, le garçon se redressa alors, regardant l’homme en question d’un ton sévère avant de sortir de la pièce, dans une furie des plus surprenante.

Un crissement se faisait entendre alors, l sol se mouvait près du garçon violemment. Cela provenait de la chambre de sa mère, celle où elle vivait complètement avec son beau-père, ce monstre. Un sentiment de dégoût traversait alors son esprit, le fait de savoir que sa mère se trouvait alors dans la chambre d’à côté, se faisant prendre par un barbare. Cette chose lui faisait mal au cœur, énormément. Qui plus est, les cris de plaisir qui s’exaltaient de la pièce près de Kaa lui donnait mal au ventre. Il n’acceptait pas cela, et cela l’empêchait de dormir, et ce manège se reproduisait presque chaque soir depuis leur arrivé, il y avait trois mois. Cette mère qui l’avait créé, cet endroit d’où-t-il venait se faisait souiller chaque soir, d’une manière horrible. Accepter cela n’était en aucun cas possible pour le jeune adopté des Junreis. Qui lui en voulait à ce personnage qui l’avait heurté dans la même journée. Cela faisait trois mois, trois mois qu’il supportait le gourou de cet homme stupide. Il en avait marre de devoir retenir sa colère juste pour sa mère, il avait lui aussi des besoins. Se redressant dans la nuit, le gamin se gratta alors le crâne. Il fallait qu’il attende que cela finisse, ces cris, mais par expérience, il savait que cela allait sûrement durer quelques heures de plus. Sa mère au moins prenait du plaisir certaines fois, et c’était déjà cela. Un seul mot sortit alors de sa bouche.

« Teme… »

A ce moment un grincement se fit entendre, el gamins e retourna alors.



Se tournant, une forme superbe se formait devant les yeux du garçon. De longs cheveux blonds, soyeux voyageaient au gré du vent, telle une crinière surprenante. Des yeux d’une couleur émeraude illuminaient la nuit, grâce à l’aide des rayons de la lune. Une forme, superbe, s’avança vers lui alors, le surprenant. C’était sa demi-sœur, cette jeune chipie qui avait souvent prit un plaisir à le faire souffrir. Rukia, marcha alors calmement vers lui, se mettant à genoux près de lui, le prenant dans ses bras, et le serrant énormément. Le jeune Kaa ne comprenait pas complètement la situation. Elle recula alors, elle ne portait rien à par une robe de nuit qui lui permettait de voir à travers. Rukia, s’avança embrassant, le garçon surprit, qui après quelque chose, répondu au baiser. Le garçon lui portait un kimono et par habitude ne portait rien en dessous. Les mains fines de la jeune femme s’occupèrent de défaire son kimono, le mettant à nue, il suivit le mouvement enlevant la robe de la jeune femme. Malgré son âge jeune, la jeune fille possédait un corps bien plus évolué que la moyenne. Leur corps se touchait alors, la fusion de deux être, lentement, ils furent alors une seule personne. Un gémissement se fit entendre provenant de la voix de la jeune fille, ce mixant à ce de sa mère. Une sorte de grognement de plaisir étrange prit possession du jeune homme. Goûter au plaisir interdit, il ne l’aurait jamais imaginé auparavant dans cette vie.

Les mouvements commencèrent, des cris, des gémissements, leurs parents, eux cachaient le bruit de leurs cris. Le bruit que produisait leurs chairs, s’entrechoquant dans une chanson magnifique. Les deux enfants s’étaient appréciés en secret, cachant leurs sentiments les uns des autres. Le père de la jeune fille la battait et elle voulait le tuer, elle comprenait Kaa. Cet amour avait évolué rapidement, et était devenu ce qu’il était maintenant. Puis vint le moment de l’extase, le climax de cette action. Lentement, Kaa se déversa en elle, la tenant près de lui. Puis elle le regarda alors avec des yeux pétillants qui firent fondre le jeune Junrei. Kaa lui sourit alors, et l’embrassa alors, la surprenant quelque peu, et la faisant alors sourire. La jeune fille se séparait alors de lui, séparant l’être unique qu’ils avaient créé ensemble il y avait quelque instant. Kaa sourit et vit alors la jeune fille remettre sa robe, transparente avant de se tourner vers lui, et lui donner un baiser rapide. Finissant, elle prit la parole.

« Kaa, je t’adore, mais notre père ne devrait jamais savoir cela. A demain, peut être demain soir »

Le gamin souriait alors, observant, la jeune fille partir. Leur relation avait évolué très rapidement pour des enfants d’environ douze années. Les cris de la pièce d’à côtés s’arrêtaient alors, surprenant le jeune garçon. Peut-être allait-il avoir un petit frère ou une petite sœur voyant la manière dont sa mère et son beau-père s’y prenaient chaque soir. Soupirant, le garçon se baissa alors, s’allongeant de nouveau. Puis il se remit en position assise, attachant de nouveau son pyjama, ou plutôt son kimono. Il devait prendre un peu de repos après autant d’action en une soirée, il pensa alors. Il n’avait jamais connu ses précédents parents, les anciens et son paternel, son créateur en un mot. Kaa devait savoir, car son pouvoir venait de quelque part d’autre, d’un endroit lointain, mais pas tant que cela. Il sentait que d’autres personnes comme lui existaient, mais pas dans ce pays, pas dans ce village maudit où la beauté du Ninjutsu fusionné était une malédiction et mal vu. Les gens ici étaient ignorants et stupides, leurs actions n’avaient aucun sens du tout. Se grattant la tête vivement observant le plafond, il repensa alors à la nuit qu’il venait de passer en la compagnie de sa demi-sœur. Rukia était superbe et tendre, et il l’aimait, cela se ressentait, son cœur se serrait lorsqu’il l’apercevait. De toutes manières, Kaa avait du temps, il pouvait se reposer et prendre son temps, il n’avait pas que cela à faire. Un grincement se fit entendre, dans la chambre alors, le garçon se retournait alors, pour ne rien voir. En vérité ce n’était pas rien, mais en gros c’était le chat de la maison. Un gros matou avec une fourrure grise et blanche. Kaa prit sa babouche et la lança dans un jet parfait cognant le crâne de l’animal qui cria alors avant de courir pour sortir de là. Se retournant, il se mit en position confortable et se laissa emporter par le monde des rêves.

Se levant le matin, Kaa vu devant lui le même homme qui l’avait tapé auparavant, un être assez dégoûtant et surprenant. Ses cicatrices traçaient déjà son visage d’une manière assez surprenante. Il ne souriait pas, alors là pas du tout. Il ramassa alors le garçon par le col, et décida de faire la même chose que la journée précédente. Il le tira alors à l’extérieur devant les yeux de sa mère ainsi que ceux de sa soeurette. Il ne comprenait pas complètement ce qu’il se passait à cet instant. Il prit alors un coup de poing, une attaque assez surprenante, qui produisit un craquement au niveau du nez du gamin. Il en avait déjà marre de cela, et cela n’allait plus continuer aujourd’hui surtout qu’il ne savait pas pourquoi on l’attaquait. Attrapant le bras de l’homme en question, il enfonça alors ses ongles directement dans le bras de son assaillant sans se retenir. Un cri de douleur fut émit alors depuis le fin fond de la gorge d e l’énergumène en question. Il n’avait pas l’air en forme, e cela ne l’avait pas plus et c’était facile de le remarquer. Il avait lâché Kaa en le jetant. Le gamin fit une sorte de vol planer, pour être arrêté par le mur de la maison subitement. Levant les yeux, il vu son beau-père lécher sa main depuis l’endroit où le sang coulait. Les ongles du garçon n’étaient pas long, mais sa conviction oui. Puis l’homme face à lui prit la parole alors le regardant férocement comme du gibier simplement.

« Tu couches avec la fille et tu crois que je vais te laisser vivant ? un des servants vous à vu. De toutes manières cela fera un idiot et un maudit en moins sur cette planète. »

Kaa l’observait, les servants de la villa étaient des salops à son image maintenant. Son beau –père avait un Katana au niveau de sa taille et une petite dague de l’autre côté. Ses mains bougeaient alors, il attrapa le fourreau de son arme alors et la leva, sortant la lame de son socle. Kaa vit alors, sa sœur, son amante foncer vers son père tentant alors de le bloquer, de l’empêcher de faire une action qu’il pourrait un jour regretter dans un futur proche. Il ne bougea pas et tapa sa fille la faisant voler, cela fit un déclique alors dans l’esprit du garçon. Fonçant, il attrapa la dague de son beau-père et ne réfléchit pas alors et l’enfonça dans le torse de l’énergumène perçant son cœur au plus profond. C'était finit...