~ Une mer déchainée. ~ [Flash back. PV]

~ .'#'. ~

Homme libre, toujours tu chériras la mer!
La mer est ton miroir, tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.

Tu te plais a plonger au sein de ton image;
Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.

Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets;
Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes;
O mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets!

Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remords,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
O lutteurs éternels, O frères implacables!

~ .'#'. ~

#'. La mer se déchainait, sous ce ciel lourd de menace. En haut comme en bas tout était sombre et ténébreux. Chaque nuage était chargé d’électricité qui tendait l’atmosphère. Pourtant, cela faisait des heures que ce ciel gardait cet aspect menaçant, sans jamais lâcher cependant la moindre goutte ou un éclair. Il se tendait, grossissait comme un ballon de baudruche, pour mieux exploser, plus fort encore. La mer elle, avait déjà commencé son ballet infernal. Les vagues s’entrechoquaient en haute mer, plus haute les unes que les autres, dans un bruit terrifiant. L’écume jaillissait, inondant les rares inconscients qui naviguaient à cette heure-ci. Puis elle se refondait dans la masse, dans des remous sombres, pour rejaillir sous une autre forme.

#'. La mer. Elle symbolise la vie, dans un renouveau éternel. De l’océan se créer des milliers de vagues. Elle grandisse, surpasse parfois les autres, et, lorsqu’elles ont esquissés leur plus belle courbe, s’écrase pour regagner la mer. Pour finalement se reformer, dans une autre vague. La réincarnation. C’était un concept de vie, qu’adoptait le jeune Deidara. S’il ne croyait pas au Paradis, c’était peut-être pour éviter de ce dire que s’il existait, il finirait en Enfer. Non, il ne pensait pas à cette justice divine. Chacun avait de multiples chances d’évoluer, et se rectifier. La réincarnation permettait de se servir de ses anciennes connaissances pour pouvoir s’améliorer. La vie offrait plusieurs chances.

#'. Peut-être était-ce pour sa que Deidara tenait tellement à réaliser son rêve. Pour lui, une vie était égale à un nindô. Sans objectif, la vie ne sert à rien. Lui, bataillait et bataillerait toute son existence pour exaucer sa chimère. C’était son explication au fait qu’il s’autorisait à offrir la mort. Mort inexistante finalement, puisque tout se renouvelait éternellement. En tuant, il créait la vie, d’une certaine manière. C’était l’équilibre de la nature, et le blondinet y contribuait à sa manière.

#'. Il s’allongea dans le sable, qui épousa aussitôt sa forme. Il était froid, et balayé par un vent violent. D’une nature pourtant râleuse, Deidara ne maugréa pourtant pas. Pourtant il avait de quoi. Il s’était déplacé jusqu’à Kiri, et avait quitté le beau temps pour la tempête. Le sable volait tout autour de lui, et pourtant, il était serein. Alors que la poudre d’explosif agissait sur lui comme un excitant, la mer, elle l’apaisait. Même agité ainsi, sous cet orage imminent, tout était calme. Harmonie. C’était ce mot qui venait à l’esprit du jeune homme sur cette plage déserte, au milieu des éléments déchainés.

#'. Il s’était posé sur la côte Est de Kiri, à quelques heures de Kiri. Sa berge était encadrée par d’énormes rochers noirs. Ils se dressaient comme la mâchoire d’un monstre imaginaire. Ces dents de pierres tendaient leurs pics décharnés vers le ciel tout aussi sombre. Un vrai paysage « dark » qu’aurait adulé bon nombre de gothiques. Seul tâche sur ce tableau de noirceur : Deidara, allongé sur le sable blanc, qui fixait ce ciel. Le fracas de la mer et sa tranquillité ne le firent pas entendre les bruits de pas qui s’approchaient.

Souvent pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant enfuis sur les gouffres amers.

À peine les ont-ils déposés sur les planches
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons, traîner à côté d'eux

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui naguère si beau, qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime en boîtant l'infirme qui volait...

Le poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer
Exilé sur le sol au milieu des huées
Ses Ailles de Géant l'empêche de marcher

La vie est donné est reprise si facilement mais, pourquoi ? Qu'elle était les règles s'applicants à la nature pour créé la vie ? Aucune bien sur, elle n'en fessait qu'a sa tête. Certaine personne dépasser les siècle d'existence et d'autre mourrait à vingt ans, n'y avait il pas une grande forme d'injustice ? Asraï pouvait d'une simple pression entre ses deux doigts détruire une forme de vie primaire comme un membre de l'akatsuki pourrait en faire autant à son égard. Le seul facteur de survit en se monde était la puissance. Voila tout les ninja rechercher la puissance seulement voila, Asraï ne comprenait pas pourquoi le déserteur décédé du nom de Ryô Matsuda avait quitté Kiri no Sato ne recherchant pas particulièrement la puissance. Peut être l'amitier ... Voila, les questions que se posait un adolescent mal foutu mentalement marchant sous la pluie à la recherche d'un nouvelle espoir. Asraï marcher ainsi depuis qu'il était venus au monde. On l'avait abandonné très jeune et pourquoi ? Tout sa parce qu'il était en réaliter un Zenbu. La pluie lui fessait penser à ce que traverser son âme. Il avait aussi l'impression qu'elle le lavait de tout ses pécher et lui apporter la sérénité à son âme. Il regarda quelques instants le ciel de son regard démoniaque puis, rabaissa sa tête et se mit à marcher d'un pas résolut. Il avait décider de plus jamais regarder derrière lui et d'aller de l'avant. Toujours ...

Il marchait ainsi depuis une bonne heure. Le froid commencer à s'incruster dans ses os. La pluie avait tellement détrempé ses vêtement qu'ils étaient comme neuf mais, la flemme que l'on pouvait apercevoir dans les yeux d'Asraï était elle toujours intact. Rien ne pourrait plus jamais l'ébrécher ou l'éteindre. Soudainement, il vit au loin proche du lac sur une petite plage un homme, un petit blondinet semblant inoffensif. Il regarda alors ces vêtements ... Il portait les même vêtements que Ketten-sama, il devait certainement appartenir à son organisation, commençait se nommait telle déjà ? A oui, l'akatsuki. Asraï se mit à fredonner un petit poème qu'il avait apprit et qu'il s'était remémorer en apercevant l'oiseau bizarre d'une très grande taille et qui semblait couvert d'argile."Bonjours, puis-je avoir l'honneur de connaitre votre nom et savoir si vous faites partie de l'organisation que fréquente Ketten-sama ?" Asraï dit cela très simplement alors qu'il se trouvait devant l'un des êtres les plus dangereux du monde actuel. Paradoxal non ?

#'. Un bruit fit quittez tout le calme intérieur du jeune artiste. Un crissement sur le sable, un souffle. Un bruissement dans l’air, et le garçon fit volte-face. Dans ce paysage, où les éléments se déchainaient et bataillaient, les deux hommes firent face. Le visage de l’intrus était pâle, et deux yeux or le fixaient avec passivité. Ses cheveux bruns volaient au vent, alors qu’il lui demanda :

"Bonjours, puis-je avoir l'honneur de connaitre votre nom et savoir si vous faites partie de l'organisation que fréquente Ketten-sama ?"

#'. Le blondinet se redressa, pour faire face au garçon. Le sable blanc dégringola de son habit sombre, s’immisçant dans les plis et les accrocs de son vêtement. Ses cheveux blonds volaient autour de lui, et son mèche se soulevait, dévoilant son appareil anti-genjutsu. Son visage était neutre, chose rare chez lui, car d’habitude, ses yeux bleus bouillonnaient de sentiment. Mais là, non. Un océan de vide et d’impassibilité qui aurait put en déconcerter plus d’uns. Peut-être était-ce la mer, qui arrivait à le vider ainsi de toute expression. En tout cas, impossible pour le visiteur de découvrir ses émotions. Il dévisagea ainsi l’homme pendant quelques secondes, qui semblaient durer des heures. La mer s’écrasait sur les rochers noirs derrière eux, et Deidara dut haussez légèrement le ton pour se faire entendre du garçon.

« Deidara. Oui, j’appartiens à l’Akatsuki, et il se trouve que je suis en duo avec Ketten-san. Et qu’est-ce qui lui vaut l’honneur d’être appelez avec le suffixe ‘sama’ ? »

#'. Un petit rire moqueur vint briser son masque de froideur. Le Zenbu aurait donc des disciples ? Il sourit de nouveau en pensant à l’homme, entouré de petits jeunes. Non, Ketten en professeur était difficilement imaginable. Une fois le fou rire passé, la curiosité prit place. Sérieusement, qui était ce type et pourquoi connaissait-il son compagnon de mission ?

« Je me suis présenté, à présent à toi. Qui es-tu ? »

#'. Dans sa question, Deidara espérait découvrir son nom, son grade, son appartenance, et ce pourquoi il connaissait Ketten. Pas sur qu’il est tout ses informations, surtout que son interlocuteur semblait assez froid. Le blondinet quand à lui, affichait un certain flegme, chose qui le caractérisait. C’était un de ces traits de caractère les plus agaçants en combat. Ses adversaires et ses interlocuteurs avaient toujours l’impression que l’artiste se désintéressait totalement de la situation. C’était bien pratique pour échafauder une stratégie, alors que ses ennemis le pensaient détendus, et donc déconcentrés. Il était souvent sous-estimé. Au début, il en avait été agacé, puis il avait compris que c’était un véritable avantage.

L

' homme qui se trouvait devant le jeune Zenbu se nommait donc, deidera. Ce membre de l'akatsuki se redressa au nom de Ketten. Il devait très certainement le connaitre mais, il possédait un regard plutôt morne bizarre ... Il lui répondit aussi qu'il appartenait à L'akatsuki. Bien, Asraï ne s'était pas trompé car, au vus du nombre de villageois qui ont fuit devant Ketten-sama, l'akatsuki ne devait pas avoir une bonne réputation. Asraï fut étonné car, ce blondinet fessait équipe avec Ketten. Ils semblaient en tout point différent. Lorsqu'il demanda les raisons d'Asraï d'ajouter le suffixe 'sama' à Ketten, Asraï s'apprêta à lui répondre lorsqu'il, se mit à rire mais, c'était du foutage de gueule !, Après avoir finis de rire, le blondinet le regarda d'un air curieux et lui demanda à se présenter étant donner qu'il s'était lui-même présenté. Après tout, sa demande était logique.

"Je me nomme Asraï no Ashatar. Comme tu peut peut être le deviné grâce à mon bandeau je suis un ninja de Kiri no Sato bien que je sois ridiculement faible par rapport à Ketten-sama. Je comprend dans ta question que tu aimerais savoir qui je suis par rapport à Ketten-sama. Hé bien, je suis l'un de ces cousins et je le respecte énormément car, il est d'une puissance phénoménale et à réveiller le Zenbu qui dormait en moi."

Asraï se demanda si il n'en avait pas trop dit à ce petit blondinet. bah, seul le destin le lui dirait en plus, il n'avait en aucun cas provoqué le membre de l'akatsuki donc, il ne voyait aucune raison possible pour une attaque de sa part envers lui. Reste à savoir si il était normalement constitué psychologiquement.

hrp: court mais, j'ai du retard pour ce post et pas trop d'inspi'

Le soleil était là, et les oiseaux chantaient à tout vas, ils étaient plusieurs et tournoyaient au dessus du centre ville. Le jeune aspirant venait d'apprendre quelques Jutsu basique mais primordiales en combat ou en mission. Il s'avanca vers Ichiraku et acheta un bol de ramens, il commenca à penser. Il avait décider de commencer un périple vers le monde shinobi, sa première destination sera le pays du brouillard, Kiri No Kuni. Il pourra s'y entraina et y voir la mer déchainé, celle dont sa mère lui avait parlé enfant. Elle lui avait que chaque jour de l'année la mer devenait folle et grondait comme la foudre le ferait en s'en allant vers la terre. Il commenca a ce préparer et s'en alla vers les portes principal du village. Sortant de celui-ci par ses portes il commenca vers le Pays du Brouillard, il partit pour un périple de quelques jour jusqu'à cette partie lointaine du monde. Il commenca son voyage qui ce passa bien pendant deux journées complétes, arriver à un pont du nom de "le grand pont de Naruto" Genshi commenca a fatiguer. Il s'installa pour ce reposer quelques minutes. Un, deux, trois bandits tramait devant lui et semblait vouloir l'attaquer:

-Donne nous ton sac petit si tu ne veux pas que l'on te tue!
-Hum!

Genshi utilisa la technique du clonage pour invoquer deux clones en cachettes, il les transforme en kunai et les jettes vers ses ennemis les évitants comme prévu, ils ce font avoir comme des enfants deux clones les assoment en quelques temps. Il prit alors leurs shurikens et leurs Kunai puis continua sa route vers Kiri. Il passa rapidement le pont et ce retrouva facilement en mer, il était arriver deux jours avant l'orage infini. Epuiser par les événements passer il s'évanouie. Il ce réveilla deux jour après dans une maison, l'hospitalité, c'était la règle première des habitants. Il était chez un couple pauvre du village et l'homme de la maison le vit alors il lui donna de l'eau.Genshi le remercia pour son hospitalié et pris congé. Il sortit et alla voir la mer, elle était si turbulente, si forte. Les nuages étaient gonflés à bloque. Genshi s'installa et remarqua deux shinobis, il y avais un membre de l'Akatsuki, le shinobi s'approcha d'eux, doucement.

#'. L’intru répondit, toujours sans laisser passer la moindre expression.

"Je me nomme Asraï no Ashatar. Comme tu peut peut être le deviné grâce à mon bandeau je suis un ninja de Kiri no Sato bien que je sois ridiculement faible par rapport à Ketten-sama. Je comprend dans ta question que tu aimerais savoir qui je suis par rapport à Ketten-sama. Hé bien, je suis l'un de ces cousins et je le respecte énormément car, il est d'une puissance phénoménale et à réveiller le Zenbu qui dormait en moi."

#'. Deidara haussa ses fins sourcils. Un membre des Zenbu ? Il le jaugea, et un rictus apparut sur ses lèvres. Le clan de Ketten lui paraissait très puissant, hors de portée des petits membres comme le prénommé Asraï. Enfin, si son camarade l’avait éveillé à son don, cela voulait bien dire que le type était prometteur. Hélas, le blondinet ne parvenait pas à voir derrière son masque de froideur. Impossible de lire, donc, si le Kirien était d’une nature sombre. Il dut y répondre par déduction, une nouvelle fois. S’il avait accepté l’aide d’un criminel, il ne devait pas être très sage. Suffisamment, cependant, pour restez dans les rangs d’un village. L’artiste méprisait tous ces villageois, aux bottes des autorités, pour des missions toutes plus pathétiques les une que les autres. Bien sur, l’Akatsuki n’était pas anarchique, et ils devaient obéir aux ordres. Leurs devoirs n’étaient cependant pas les même. Entre chasser des dragons et garder des mioches, la différence était perceptible. Dans la Lune rouge, on avait tout le pouvoir d’exprimer son art. C’était pour sa, que le jeune homme y restait. Et aussi parce que, entre un psychopathe surpuissant et une fiche-molle collée dans les jambes de sa mère, il préférait la première option. Oui, il voyait ces ninjas ‘fidèles’ comme des fils à papa, qui veulent jouez les aventuriers. C’est donc avec étonnement qu’il accueillit la nouvelle.

« Je suis étonné que Ketten recrute des…ninjas. Surtout qui appartiennent encore à un village. N’as-tu pas peur de passer pour un traitre ? Papa-maman serait déçus de voir leur protégé fraterniser avec des criminels, tu ne penses pas ? »

#'. Il jaugeait avec mépris Asraï, lorsqu’une silhouette se dessina en haut des dunes de sables. C’était un garçon, cheveux bruns. Un manteau gris, dont le col était garnie de fourrure, lui arrivait jusqu’au menton. Ce devait-être un ninja de Kiri, mais ne pouvant en être sur, il jeta un regard sur son interlocuteur, pour guetter ses réactions. D’ailleurs, il n’attendait pas seulement de voir s’il reconnaitrait ou non le jeune homme. Il espérait voir une réaction, à son affront direct. Vérifier si Ketten avait bien fait de l’entrainer. Un sourire farceur s’étendit sur ses lèvres. Cette rencontre allait être plus intéressante, finalement.

Un rictus apparut au coins des lèvre du membre de l'akatsuki quand il entendit le nom Zenbu. Asraï se contint pour ne pas sortir hors de ses gonds étant donné qu'il respectait plus le clan que sa vit elle même. Il devait le jugé si faible qu'il ne méritait pas ce nom ou alors, il méprisait le fait qu'il ne déserte pas comme lui ou était-ce un peut des deux ? Lorsque Deidera reprit la parole, l'émotion sur le visage d'Asraï commencé à se faire un mélange de haine et de dégout. Aurais-je peur de passer pour un traire, bien sur que non, je déserterais si Ketten me le demandé mais, j'aimai tout de même mon village ... Le pire fut lorsque Deidera parla des parent d'Asraï. Asraï commençait à en avoir du mépris de cet homme qui ne semblait pas plus puissant qu'Asraï en apparence. Asraï aperçut au coin de l'œil un homme sur une dune de sable, un p'tit brun. Il possédait un bandeau ninja mais, il étai couvert de sable. Asraï ne parvenait pas à apercevoir le sigle inscrit dessus. Il aperçut aussi un col garnit de fourrure. Il se demandait combien d'animaux au poil blanc, il avait tué pour se confectionné ce vêtement. Deidera aussi l'avait aperçut mais, il ne s'en préoccupé pas tellement. En plus, il souriait, il se moquait de lui ! Peut importe la puissance peut importe les origines, à présent, Asraï estimé cela comme un affront à tout ce qu'il chérissait encore dans ce monde pourrit. Asraï dégaina son épée Seïken et la planta légèrement dans le sable mais, dût à son poids exceptionnel, elle si enfonça jusqu'à ce que la lame ne soit plus visible entre temps, Asraï s'était reculé et avait affermit sa position sur le sable, la haine était à présent visible sur son visage brisant sa froideur naturel. Ses yeux était passé entre temps du noirs totale au dorée pour enfin passé pour enfin laissé apparaitre une étoile blanche sur son dojutsu. Asraï ne rigolait plus, s'était la guerre. Cependant, il ouvrit la bouche et parla calmement.

"Sache que papa-maman ne sont plus de ce monde depuis fort longtemps, j'agis comme bon me semble et je ne ferait pas d'exception avec toi ! "

Le jeune Kurusawa s'aperçut alors rapidement de la situation, il s'agissait de deux shinobis qui s'entre haïssait, il ne semblait d'accord sur aucun point lorsque l'homme de l'Akatsuki commença à parler, son interlocuteur planta une épée dans le sol, et ses yeux commencèrent à resplendirent, ils étaient noir.Puis une étoile apparue au centre de ceux-ci étaient-ce possible, non Genshi n'y croyait pas.Cet oeil ressemblait étrangement à celui des ancêtre du clan Kurusawa, son père l'obtenait mais pour l'on ne sait quelle raison Genshi ne l'obtint pas. Finalement, le Kurusawa préféra ne pas ce poser trop de question. L'épée du jeune homme s'enfonça de plus en plus dans le sable fin, elle devait peser très lourd. De plus son possesseur paressait très fort, interpeler un membre de l'organisation la plus recherchée au monde était un exercice fort difficile et une parfaite maîtrise en combat était requise, ainsi qu'un sang froid extrême. Genshi commenca à se baisser pour ne pas être repérer puis il scruta les deux "ennemis" il entendit quelques bribes de la phrase:

"Sache que papa-ma... ne sont plus de... depuis fort lons, j'agis comme bon me semble et je ne... d'exception...i ! "

Le jeune Aspirant ne comprit pas tout mais continua de regarder la scène avec suspens, il ce demandait si l'interlocuteur était si bon qu'il voulait le faire croire. Il sourit aussi à l'idée de voir un membre d'Akatsuki à l'oeuvre, allait-il le tuer? Seul Dieu le savait et pour le moment le combat venait tout juste de ce mettre en marche, les deux shinobis reculèrent un peu et scrutèrent le regard des autres, Genshi était là seul et savait qu'il allait devoir ce battre. Mais quand personne ne le savait, c'est alors que le combat commenca, emportant la vague vers les deux ninjas et le vent qui levait le sable...

#'. Le prénommé Asraï sembla enfin se réveiller. En même temps, Deidara l’avait poussé à bout, et à part s’il possédait un self-control hors du commun, sa réaction était justifiée. Elle était même minime vu le mépris et l’indifférence qu’avait chargé le blondinet dans sa phrase. Tout d’abord, le garçon avait remarqué dans le visage de son interlocuteur, un vif changement. Son masque de froideur avait fondu, laissant voir la colère tordre ses traits. Une haine sourde avait dévoré ses yeux, qui devinrent brusquement noir. Un noir profond, l’infini, le vide et l’absolue. On aurait pu y plonger et s’y perdre si une étoile blanche en son milieu, ne rappelait à la réalité. Il s’était écarté dans une distance respectable, idéal pour un combat. Avec rapidité, il avait planté son épée dans le sable, faisant jaillir les molécules blanches, qui se dispersèrent immédiatement au vent. Deidara le jaugea un instinct. Il prenait plaisir à tendre l’atmosphère, le rendant étouffant. Son visage se durcit, alors que ses yeux bleus s’épreignaient de violence. Il lâcha son chakra, le démuselant. Son énergie vitale envahit la plaque, comme une onde pesante, insupportable. L’électricité était perceptible, et le combat était inévitable. Ou presque.

#'. Toute la tension accumulée pendant ces interminables secondes prit fin. Un rire clair se fit entendre, rompant le silence. On devait le prendre pour un fou, mais l’Akatsukien s’en fichait bien. Le Zenbu avait agit comme il l’escomptait. Il reprit son sérieux, bien qu’un sourire persiste sur son visage. On aurait put croire que toute tension avait désormais disparue. Pas totalement, cependant. En y regardant de plus près, on pouvait lire dans ses yeux un avertissement. Il semblait dire : « range ton épée, ça vaudra mieux pour toi. » D’ailleurs, son chakra était toujours à découvert, sans pour autant être oppressant, il maintenait une pression permanente sur son interlocuteur.

« Tu mérites peut-être ton nom à près tout. Rares sont ceux qui affronterait aussi directement un membre de l’Akatsuki pour une question d’honneur. »

#'. Ces quelques mots devaient mettre fin à toute confusion. Avec curiosité cette fois, le jeune homme observa Asraï. S’il continuait à cherchez le combat, il devrait le tuer. Dans ce cas, peu probable, que ferait Ketten ? Etait-il fraternel, chez les Zenbu ? Il haussa les épaules. Son regard parcourait les rochers sombres, derrière eux. Tiens, où était donc le petit brun, qui s’était approché tout à l’heure ? Avait-il eut peur de se retrouver au milieu d’un combat ? D’une voix forte et clairement audible, il lança :

« Montre toi, là-bas… »

Spoiler:

Je clos le rp, Asrai, tu met trop de temps...

Remise des exp:

Deidara: 17 Exp, rien a dire, poste de qualité, j'ai aimé lire.
Asrai: 14 Exp Des posts plus court, mais sa n'en reste pas qui sont bien. Continue.
Genshin, 11 Exp. Deux post, court...

Dommage que ça soit finis.