Mission de Rang D

L’air étais pesant, sans doute du a l’absence de vent. Le ciel était du même gris. Le froid étais mordant. Deidara se leva courbatu. Son entrainement de la veille avait été coriace. Après une bonne douche glacé qui relaxa ses muscles irrités, il prit la direction de la salle des missions. Elle n'avait pas été changée depuis longtemps, toutes avait déjà été accomplis. Cependant un post-it avait été ajouté à la feuille. Dessus il était indiqué la présence d'un homme qui semblait pouvoir voir le repaire. Une mission qui s'annonçait fort simple. En prenant le chemin qui menait vers l’extérieur, le garçon lu en détail la petite feuille. Il étais passé pendant la pause des gardes, soit à 10 heures et demi. Il s’était approcher, avait regardé la grotte avec horreur, et avait détalé avant que les sentinelles ne le rattrapent. Deidara se dirigea vers les deux hommes qui surveiller l’entrée.

« Je prend la relève. »

Voyant qu’il ne bougeait pas, il ajouta un « dégagez ! » menaçant. Les membres de l’Akatsuki étaient assez craints par le personnel de l’organisation. C’était compréhensible en même temps. Il avait la réputation d’être sanguinaire et un peu fou. Et il savait également que leur tête n’était pas très importante dans le repaire. Aussi, ne devait-il pas trop se faire remarquer. Le jeune homme se cacha derrière un imposant rocher et attendit. A 25 il entendit des bruits de pas. Un homme qui devait avoir la quarantaine s’approchait du repaire. Il regardait en l’air, sans voir le repaire. Mais Deidara remarqua son rapide coup d’œil à l’intérieur de la caverne. Il ne remarqua pas la présence de l’artiste et rentra donc, a pas feutré. Il ne prit pas le bon couloir, celui qui menait vers les entrailles de l’organisation secrète. Deidara le suivait, les mains dans les poches. Il voulait voir comment les pièges, poser un peu partout, fonctionnait. Le curieux déboucha dans une impasse. Il se retourna, et se retrouva nez à nez avec le jeune homme. Il vit sa robe noire, et la peur lui dévora le visage. Il fit quelques pas précipités en arrière, et tomba lamentablement.

« Je, je…Ne me faites pas de mal »
« Oh, mais non bien sur…Nous traitons les curieux avec beaucoup de délicatesse. Que préférez-vous ? La mort ou l’esclavage ? »

En vérité, seul le repos éternel lui était destiné. On n’était jamais assez prudent. En tous cas ses paroles furent leurs effets. Son interlocuteur se releva, tremblant, cherchant des yeux une quelconque issue de secours. Deidara sortit de ses poches un kunai.

« Ne me tuez pas ! J’ai prévenu ma femme que je venais ici, et je lui ai dit que…que si je ne revenais pas, elle devait avertir les autorités. Je lui ai même fait un plan ! »
Sa voix se brisa en un sanglot désespéré.
« Comme c’est gentil ! Vous vendez votre femme avec vous… »
Prenant compte de son erreur, il tenta de se rattraper.
« Je…De toute façon, vous ne savez pas où j’habite. Vous devez m’emmenez pour que je vous montre…et je ne dirais rien tant que je n’aurais pas la certitude que vous la laisserez en vie.»
Le garçon fit mine de réfléchir puis dit :
« Bon…très bien. Mais au moindre essaie d’évasion…Et je vous saigne comme un goret. »

L’homme hocha la tête, livide. Deidara s’approcha de lui, et le releva de force. Le tenant fermement par le cou, il donna un violent coup de pied dans son genou. Il poussa un hurlement de douleur.

« Désolé, mais on m’a dit que tu courais fort vite mon lapin. Maintenant, sa sera plus dur, n’est ce pas. »

Il passa son bras autour de son épaule, et mit la lame de son kunai sur ça trachée. Il compromettait tous ses plans. L’homme marchait très lentement, et il prit la grande route, qui était, à cette heure, très fréquentée. Le jeune homme prit l’apparence d’un vieil marcheur. Il dit a mi-voix :

« Je m’appelle Kojima, je vous ai trouvé sur la route Est. Alors que vous coupiez du bois, une grosse branche vous est tombez dessus. Je vous ai dégagez et je vous ramène maintenant chez vous. »
Il acquiesça, et Deidara reprit :
« Dit moi…Comment a tu découvert le repaire ? T’est un ninja ? »
« Non…enfin, mon père étais très fort en genjutsu, et il m’avait appris à délier les illusions de faible niveau. »

Le voyage se poursuit, et ils approchaient du village. Le jeune homme craignait que les villageois accourent vers le blessé et l’emmène chez le médecin. A l’entrée, l’artiste rentra dans sa manche son kunai. Quelques personnes se retournaient, lançant des :

« Ca va Moji ? »
« Bah oui, ça va Moji ? Je te trouve un peu pâle ? »
Dit entre ses dents et avec un sourire narquois son bourreaux. Il répondit a la place du malchanceux d’un ton brut :
« Oui, il va bien. Il a besoin de repos. Laissez-moi passer. »

Le dénommé Moji lui indiqua une vieille bâtisse à l’ écart des autres. Il l’aida à monter le perron, et ouvrit la porte. Il ressortit son kunai et mit le verrou. On entendit quelqu’un descendre des escaliers, et une femme arriva.

« C’est toi chéri ?...Moji ! »

Elle allait accourir mais elle se figea. Son mari lui avait fait un signe. Elle leva les yeux vers Deidara. Celui reprit son apparence de jeune homme. La femme poussa un cri, et partit en courant. Apparemment, il y avait une autre sortie. Surpris, Deidara coupa légèrement l’homme au cou. Il le jeta violemment au sol, et couru a la suite de la femme. Elle essayait nerveusement d’ouvrir la porte. Il planta son kunai dans son dos avec détachement et dit à voix basse :

« Désolé, mais vous en saviez trop. »

Il repartit vers le salon. Moji essuyait le sang qui coulait dans son cou, et rampa jusqu'à la porte. Deidara n’avait plus le temps de l’arrêter. Il allait ouvrir la porte… ! Il malaxa son chakra et cria :

« Moujin ! »

Le sang que l’homme avait étalé sur son front coula jusqu'à ses yeux. Le liquide écarlate se glissa dans ses globes oculaires. Il poussa un cri et porta ses mains a son visage. L’akatsukien en profita pour attraper Moji par le col et enfonça la lame de son kunai dans son ventre. La surprise se peignit sur son visage qui perdait peu a peu sa couleur. Il retombât au sol dans un bruit sourd. On frappa a la porte.

« Moji ? Ca va ? On a entendu des cris… »

Deidara se dépêcha de rentrer au repaire. Lorsque la porte s’ouvrit, les habitants virent justes deux corps sanguinolents et un peu de fumée blanche dans un coin de la pièce. Le jeune homme réapparu dans la grotte. Il regagnât son dortoir sous les regards effrayés des gardes qui avait remarqué le sang qui décorait sa robe.

Bon je sais, elle est vraiment nulle cette mission, mais j'avais pas d'inspiration...><

Invité

♫ Bon post mais beaucoup de parole tout de même. Bravo pour ce post, il est splendide !

Citation :: Gain de mission + 5Xp supplémentaires.

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