Sâle bête...[Mission rang D+ Bushin no Jutsu]

C’était une journée bien banale. Le soleil était caché par d’innocents nuages grisâtres. Pas de ces nuages noirs, charger de mauvais présage et annonçant la pluie. Pas non plus de ces petits nuages blancs distendus qui parsème le ciel bleu d’été. Non, c’étais ces nuages, qui annonçait une journée monotone, lorsqu’il ne fait ni chaud ni froid, lorsqu’on a rien envie de faire. Ce fut ceci que Deidara remarqua en premier lorsqu’il se leva. Il regagna le dortoir. L’entrainement attendra demain. Lorsqu’il se recoucha il fit tomber une feuille. Intriguer, il la ramassa et la lu a mi-voix :

Citation :: Nom de la mission: Un animal fouineur.
Description: Un animal creuse des trous dans la planque de l'Est, ce qui pourrait entraîner une idée de fuite aux mains d'œuvre.

En bas étais inscrit : « A effectuer le plus vite possible. » Affolé, le garçon vérifia la date : il avait pris la mission il y avait déjà deux jours ! Pas question de roupiller ! Il se doucha et s’habilla en hâte. Direction, la planque Est. Il prit quelques raccourcis que lui seul connaissait et arriva à destination. Contrairement au repaire principal de l’Akatsuki qui avait été battit dans de la pierre, l’est et l’ouest étais en terre. Pour creuser les galeries, il avait fallu de la main d’œuvre. L’organisation avait alors « recruté » leurs prisonniers ou encore de simples touristes qui s’aventuraient trop près. Il faut le dire court et net : Deidara détestait cet endroit. Tous d’abord, il y régnait une odeur tous a fait abjecte. De la sueur, qui se mêlait au sang, et l’odeur des explosifs. Et puis il y avait les cris de désespoirs poussé par les esclaves, et les hurlements de rage et de cruauté de leurs bourreaux. Deidara n’étais pas le mec sanguinaire et psychopathe, il tuait sans problème, certes, mais l’horreur ne l’amusait guère. Et puis il était toujours irrité lorsqu’il voyait les explosifs qu’ils utilisaient, et la qualité de la terre qu’ils travaillaient. Il ne pouvait même plus les mépriser, il était excéder. M’enfin, sa rapportait des tunes.

Lorsqu’il quitta les rassurants couloirs de pierres pour ceux de terres et qu’il entendit des gémissements et des plaintes, il fit une petite grimace. Une lourde porte de métal le séparait de l’horreur. Les deux gardes lui ouvrirent la porte. Aussitôt, il se sentit écraser, oppresser. Le plafond était bas, l’oxygène rare et l’odeur insupportable. Chaque heure des dizaines d’hommes s’effondraient a bous de souffle. On les frappait jusqu’au sang pour qu’il se redresse. Et lorsqu’il ne le faisait pas on les faisait rouler avec détachement jusque dans un coin de la pièce qu’on avait surnommé « le caniveau ». On enlevait une fois par moi cet amoncellement de corps humains. Deidara essayait de ne pas y prêter attention, et suivit le garde qui devait le conduire aux derniers ravages de la bête. Mais il était difficile de ne pas regarder les femmes, les enfants et les hommes de tous âges qui creusaient, parfois avec leurs ongles la terre et les couloirs qu’il foulait. Et lorsqu’un homme l’attrapa par la jambe, et qu’il croisa son regard désespérer, il eut un frisson de pitié. Un autre lorsque le garde qui l’escortait le frappa violemment. Et enfin, un autre qui lui rappela de ne pas être faible.

D’ailleurs, ils prirent bientôt un couloir moins peuplés. Enfin, ils s’arrêtèrent, et l’homme lui montra un trou dans les parois.

« Voila c’est la. Alors forcément, ce n’est pas très gros, mais ces putains de chacals arriveraient à agrandir sa pour se tirer. »

Deidara avait revêtue sa carapace qu’il appelait « son imperturbable » et il ne tressaillit même pas a l’appellation qu’avait choisis le sentinelle pour désigner des gens de la même race que lui. Celui-ci le laissa d’ailleurs à ses observations. Le jeune garçon s’accroupit et observa le trou de plus près. Il était d’une dizaine de centimètres de diamètres. Sa deuxième bouche –c'est-à-dire dans sa paume de main- avala la terre et eut une grimace de dégoût. Elle était de très mauvaise qualité. Mais elle révéla à l’adolescent que la trace était fraiche. Il hésita, puis prit une pioche qui était posé le long du mur, et entreprit de grossir l’entrée. Il constata très vite que la bestiole avait fait un tunnel très long. Il jeta une petite bombe de sa création le plus loin qu’il pu dans le souterrain. Elle allait exploser dans exactement 3 minutes. Deidara revint alors sur ses pas, et marcha plusieurs mètres sur l’allée principale. Enfin, il entendit une explosion. Il continua un peu sa marche et remarque une légère fissure à cet endroit. Il reprit sa pioche et fit un tunnel suffisamment grand pour qu’il puisse s’y glisser. Ce qu’il fit d’ailleurs, et après avoir progressé a quatre pattes dans le noirs le plus complets, il tomba sur sa bombe. C’était a cet endroit que le tunnel s’arrêtait. Attendez, à moins que…Le souterrain ne s’arrêtait pas, il tournait ! Il reprit sa route, mais du ramper, car il se rétrécissait de plus en plus. Enfin, il vit de la lumière. Il découvrit une pièce, surement un bureau abandonné depuis des années. Le jeune homme put se mettre debout. Il aperçut alors, tapit sous une poubelle, une énorme taupe. Se sentant repérée, elle détala. Heureusement, elle n’était pas rapide. Mais Deidara perdit toute sa confiance lorsqu’il vit que sur les parois de la pièce il y avait…des tunnels. Des dizaines et des dizaines de tunnels. Il était tant d’appliquer sa nouvelle technique :

« Bunshin no Jutsu ! »

Mouais, pas tous à fait au point. Il avait réussis à faire deux clones a peu près corrects. Les 6 autres ne bougeaient pas et étaient complètement Gogols, et les deux autres s’écroulèrent au sol et explosèrent aussitôt. Enfin, les deux Bushins bloquèrent l’entrée. Pendant ce temps, Deidara ferma les yeux. Il lui fallait plus de chakra…

« Bushin no Jutsu ! »

4 autres clones se formèrent. Il ne devait pas relâcher son chakra. Ils aidèrent les autres a bloquer les entrées. Puis l’un d’entre eux se saisit de la pioche et acheva la bête. Voila, mission accomplit ! Il ne restait plus qu’a sortir de cet endroit. Il relâcha son chakra, les Bushin disparaissant. Puis il se glissa dans le tunnel. Heureusement qu'il étais mince ! Il se hissa dehors et ôta toute cette terre qui le recouvrait pour se donner un peu de contenance. *Forts pratique ces clones* songea t-il. Et il retourna d’où il venait : c'est-à-dire dans son lit.

Mission terminer...

Invité

Remise de l'xp :

• Tes Rp sont vraiment superbes, y'a pas à dire. Et plaisants à lire qui plsu est.Quelques fautes rares + 5 Xp

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