Présentation de Shö Makho

Description Physique :

Shö est assez jeune, pourtant il ressemble déjà à un homme. Il ressemble naturellement aux gens de sa famille, il mesure environ 1m79 pour 70 kg, un corps athlétique, il à le visage assez fin, des grand yeux, verts foncés, marque de son clan. Des cheveux longs assez sombres, avec reflets mauves, attachés. Il porte un pantalon noir, tenu par une ceinture noire également, une fine chemise blanche, et le kimono rouge avec des fleurs blanches et mauves, blason du clan. L’expression de son visage et souvent figée, ne laissant transparaitre que très peu d’émotions.


Description Morale :

Shö est très calme est assez bien discipliné, il est le fils du fondateur du clan Makho et en est fier, c’est lui qui en prend la relève. N’ayant pas forcément l’âme d’un leader il sait quand même se faire écouter par les autres, il garde très souvent un air sérieux et ne se lâche que très rarement. Il tarde d’avoir son premier katana, et être Genin pour commencer ses missions. Il est de nature protectrice et ne supporterai pas qu’on fasse du mal à sa famille, amis, ou même habitants de Konoha.
Shö joue rarement avec les autres enfants, parce qu’il n’aime pas ça, et que son père le fait travailler dur, il doit devenir l’icône des Makho et porter l’honneur et le blason du clan au plus haut. Il aime regarder le cerisier qui pousse dans la cour de chez lui, qui a été planté le jour de sa naissance.

Il aime tout genre de nourriture, il est d’ailleurs assez bon vivant, mais dépense toute l’énergie qu’il assimile. Il entretient d’assez bonnes relations avec les autres personnes, malgré son âge il ne s’intéresse pas aux filles.
Il n’aime pas qu’on l’assiste, ni la discrimination envers les gens différents et encore moins ceux qui se croient supérieurs. Les politesses d’usages sont pour lui une futilité, même s’il doit s’y plier.


Histoire :

Shö est le descendant d’Emishi, du clan Makho, il a toujours vécu à Konoha, auprès de sa famille et son clan. Il a grandit, en étant la relève de la famille, donc différemment des autres enfants du village. Son passé est relativement calme, même si les jeunes de son âge l’ont souvent fait tourner en bourrique, mais il leur montrerait de quoi il était capable.

L’amour de ses parents n’était souvent au premier plan, il voyait plus souvent les rêves d’un père, à faire monter son clan au plus haut. Mais toute sa famille était présente dans les moments les plus critiques, comme lorsque Shö s’était battu avec un des enfants d’une des plus grandes familles du village de la feuille, c’est la que Emishi se confia à son fils Shö.

Père : « Ecoute mon fils, je peux paraître souvent rude, et ne pas souvent te montrer mes émotions ou dire ce que je pense. Mais c’est dans l’intérêt des Makho. »

Shö écoutait avec attention son père qui ne laissait aucune interruption.

Père : « Tu sais, notre famille a été souvent montrée du doigt, car nous n’étions pour la plupart incapable d’utiliser d’autres techniques que le Taijutsu, c’est pourquoi nous nous battons pour faire reconnaître notre valeur. Tu vois ce cerisier ? Il est la depuis que tu es né, il fleurira quand tu seras en âge de prendre ma place, ou que je sois incapable d’assurer le rôle de chef »

Ces paroles montraient à Shö l’importance de la réussite, non pas que pour son père, mais aussi pour tout le reste du clan Makho, même si pour lui il se sentait insignifiant. Depuis ce jour, le petit garçon avait maturé, désormais plus sérieux, il ne répondait plus aux assauts des autres enfants. Il devait travailler dur, et il arrivera à ce à quoi il était destiné.


Le Katana, plus qu’une façon de combattre, un Art.

Lorsqu’il revenait de l’école, Shö pouvait voir son père et son oncle, deux experts dans le maniement du Katana mettre au point des techniques, il était impressionné par l’habileté des deux hommes. Emishi interpella Shö :

Père : « Tu veux essayer le Katana ? »
Shö : « Oui ! »

Emishi donna au garçon le Katana trop lourd pour lui, sans doute trop jeune pour manier correctement cette arme. Le gamin tapait dans l’arme de son oncle Shido, qui ne cillait pas et souriait. Shö faisait preuve d’une énorme volonté, mais il fut vite à bout de souffle, épuisé par le poids de l’arme et Emishi reprit le Katana et dit :

Père : « Ahaha, t’es trop jeune pour l’instant. »

Les deux hommes reprirent leur entrainement et Shö partit dans sa chambre, entendant le bruit des croisements du fer s’estomper, épuisé, il s’écroula de fatigue dan son lit.



Makho attire les jalousies.

Comme tout le monde le savait à cette époque, les Makho capables de se battre et de faire des missions essayaient de faire monter leur clan dans les hautes sphères, mais cette idée ne plaisait pas à tout le monde. Certes montant en puissance, le clan Makho commençait à faire parler de lui, mais tout ce dévouement avait attiré les jalousies.

Profitant de la nuit, certains assassins s’étaient faufilé dans l’énorme demeure du clan, cherchant des victimes potentielles, il était au nombre de trois, deux légèrement équipés, et un lourdement protégé.
Les trois hommes fouillaient chaque pièce, mais tous les résidents étaient dans leur chambre, sauf deux, Emishi et Shido avaient flairé le danger et sortirent, face à leur assaillants, ils dégainèrent leur arme. Ce combat serait trois contre deux, Emishi dit à son frère :

Emishi « Prends les deux petits, je me charge du gros »

Emishi fit signe de changer de position au lourdeau, qui le suivit sans broncher. Shido lui avait deux ennemis, mais peut importe le nombre, il avait un style de combat très rapide, son katana léger en main, il fonça sur ses deux adversaires, qui en un rien de temps se retrouvaient au sol, acculé de sang, et Shido dit d’une voix sèche :

Shido « On ne doit pas sous estimer ses ennemis »

Emishi quand à lui s’était déplacé quelques mètres plus loin, près de la chambre de Shö, qui fut réveillé par des bruits d’assaut. Il entrouvrit la porte qui menait à la petite cour, et voyait ce qu’il se passait. Il voyait son père, faire face au plus imposant des ninjas qu’il avait vu, il mesurait plus de deux mètres.
Emishi attaquait, avec un sabre normal, et l’homme face à lui riait à plein poumons et lança à l’attaque, Emishi esquiva, et avec un grand sourire il rangea son arme, et sortit un katana, d’une grandeur et épaisseur incroyable et dit :

Emishi « Si tu résistes à l’habileté du singe, tu succomberas à la force de l’éléphant »

Il se lança sur con ennemi, tenant ferment son arme avec ses deux mains, et il lança un grand coup dans l’épaule droite de l’homme, et un dans la jambe droite. Son adversaire se remit à rire et Emishi rangea son arme. Lorsque le lourdeau voulut bouger, il s’étala au sol. Shö était étonné et Emishi dit :

Emishi « Tu as beau avoir une grosse armure, elle bloque tout ce qui est coupant, mais avec cet énorme katana, je t’ai juste brisé les articulations »

Il n’exécuta pas l’homme, il devait parler, qui les avaient envoyés ? Malgré tous les efforts déployés, la vérité ne fut jamais découverte.

Cette nuit la, Shö avait compris que les choses n’étaient pas à prendre à la légère, qu'il devrait se battre à l’intérieur comme à l’extérieur du village, et se préparer convenablement.



Le garçon grandissait, s’entrainant chaque jour, devenant plus fort, il était maintenant temps pour lui de passer ses examens et devenir Genin.