RP Métier/Classe : Dague Craft de Minato

Invité

De tout les ninjas qui peuple cette terre et de tout ceux qui la peupleront personne ne se souviendra de Minato et pourtant elle sera sûrement une des seules ninjas a n'avoir fait couler le sang que très rarement qui est capable de gagner un combat sans le moindre acte de violence hormis le fait de désarmer son adversaire. En sa nature de non violente, il est tout naturel que ses mains ne soient pas douées pour la destruction, mais pour la création même si cela est une arme. Parce qu'entendons nous bien sur le sujet, on a toujours perçue une arme comme quelque chose de dangereux, mais en elle-même ca ne reste qu'une simple création, un bout de métal qui la plupart du temps n'est que le prolongement du bras. Les armes n'existe pas que pour détruire, elles sont aussi là pour défendre et cela se décide dès l'instant ou l'on dégaine, le vrai courage ce n'est pas d'être capable de brandir une arme, mais c'est d'être capable de le faire pour une cause. Que l'on choisisse de tuer ou de défendre une vie, l'arme n'est que l'outil qui permettra l'acte, alors que l'acte est le raisonnement de la pensée humaine mise en application : si je veux tuer, l'arme m'aidera a tuer, si je veux défendre alors l'arme me défendra. Tout est question de manière et ce que l'on transpose pour les armes, on peut tout aussi bien le faire pour les hommes, dès lors que Minato s'engage dans un combat la première pensée qui lui vient à l'esprit ce n'est pas de vaincre son adversaire, mais tout simplement de ne pas mourir. Comprenez bien la nuance, dans un cas on veut prendre la vie et dans l'autre on veut la retirer, dans les deux cas il y a un combat mais la manière est différente. Pour la fabrication d'arme c'est la même chose, dès lors que l'on s'engage sur la voie de création si l'on fait des armes pour tuer ou pour défendre cela se ressentira sur le résultat final.

"Mon épée est mon bras et mon bras n'est fait que pour défendre."
Un bandana dans les cheveux, une sorte de salopette épaisse au couleur marron délavée le tout sous poudrée d'un peut de charbon pour donner ces petites noires qui le rende si horrible, mais on sait le remercier quand celui-ci vous empêche de vous brûlez les jambes, le ventre ou bien pire. Une chose a ne pas occultée, les gants, bien plus épais que la tunique leur première utilisation est surtout le fait de résister à la chaleur de la forge et du métal bouillant, ensuite bien le côté pratique et tout comme la tunique ils ont pour but de défendre des projection de brindilles ou des petits soucie qui peuvent arriver. Ça fait maintenant un moment que, pour apprendre la création elle était passer par plusieurs étape et avait entre autre était charger de la fabrication en masse de kunaï, shuriken et autre plaque de métal que l'on glisse dans les habits en guise de protection. Même si le travail était dur et épuisant il n'en reste pas moins que la chuunin se plaisait dans cette atmosphère ou ce mélange le souffre et le charbon, le tout donne une odeur particulière et un charme rustre à l'endroit. Forcer de reconnaître que ce n'est pas un havre de paix et que tout ici fait pensée à la force et à la puissance entre autre avec ces lourdes pierres qui font l'édifice ou ces piliers de bois qui font les fondations. Tant de puissance et de rudesse pour un lieu de création, c'est peut être le côté décalée qui lui plait, à la fois la violence des coups de marteaux sur le métal et en même temps ce plaisir intense de faire venir au monde son enfant, sa création qui tout comme nous aura une vie. De la recherche de matériaux dans les montagnes et les plaines à la création de masse ou spécialisée il n'y a pas de doute tout lui plait dans ce travail et cela même si a première vue on ne voit pas en elle une forgeron.

"Je veux capter le vent, j'en ferais une lame d'exception."
Elle avait enfin atteint ce stade où elle n'avait plus rien a apprendre et pour le prouvait à son professeur elle se devait de forger l'arme de son choix, ce pourquoi elle se destinait. Pour elle il n'y avait pas de doute, elle voulait être capable de saisir le vent entre ses mains et pour ce faire la seule chose capable de symbolisé au mieux cette élément est la dague. A la fois fine, douce et majestueuse elle a un aspect agréable et fait souvent office d'artefact tant elle est belle quand elle se pare de bijou et pourtant derrière cette beauté elle peut s'avérait être une arme meurtrière qui à la différence d'un katana ou d'une épée n'as que pour unique fonction de tuer, en un seul coup sans offrir la moindre défense à l'utilisateur. Comme le vent qui souffle, on aime se sentir en sécurité quand on là avec nous, mais dès lors que le vent se change en tempête la terreur nous gagne en comprenant qu'on l'a trop sous-estimé. Une arme parfaite pour Minato, mais au combien complexe a faire si l'on en saisie pas le concept. Pour le moment elle s'atèle au travail de préparation de la lame et le métal encore chaud elle vient le travaillait avec violence en frappant encore et encore avec son marteau sur la lame pour lui donner la forme parfaite, ce qu'elle recherche et ce qu'elle a dans son esprit. Il est impressionnant de voir combien elle est concentrée et si cela doit durée des jours pour qu'elle arrive à la perfection on a le sentiment que ca ne la gênera pas plus que cela car elle est l'arme qu'elle créait, chaque nouvelle création est un renouveau pour elle.

La lame est plongée dans l'eau, assez pour qu'elle refroidisse mais pas trop pour qu'elle n'en soit pas moins puissante, c'est un des travail les plus complexe car ce qu'il faut bien comprendre c'est que le temps n'est pas fixe et il n'existe pas de recette miracle, tout est une question de température de l'eau et ensuite il faut arriver à comprendre son arme et savoir combien de temps il faut la laissé. Tout est affaire de patience et c'est quand elle est encore fumante que la chuunin l'examen, comme elle le ferait avec elle un livre elle en lit chaque ligne, se nourrit du moindre mot et de la moindre imperfection pour la passer ensuite au travail de finition, il s'agira de l'affiniée, de lui donner cette silhouette uniforme et tranchante qui la rend si terrible. La lame frottant sur cette roue de pierre tournant a vive allure crée des étincelles de toute part mais ce n'est pas ca qui arrête la kunoichi qui fait son travail tout simplement en jouant de ses mains pour la perfectionner au mieux. Le travail est finit, la lame n'as pas de manche mais cela n'as pas d'importance, ce qu'on lui demandait était de faire une lame et ce qu'elle a rendu sans être un chef d'œuvre, loin de là même une dague qui aura son utilité. Qu'importent la sueur et la douleur dans les bras, le repos viendra bien assez vite une fois le travail finit voilà ce qu'elle c'était dit quand elle s'attelait à faire ce bout de métal et il emblerait que la recette marche, pas de doute elle n'avait plus rien a apprendre d'un professeur, le reste elle devra le comprendre par elle-même.

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Beau Rp.

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