Naruto Come bâck ! $

Histoire :

Une forteresse échafaudée, agencée çà et là d’une magnifique forêt où verdures éclatantes délicatement fusionnées à de somptueux filets de lumières brament le règne matinal. D’aventureuses onces infimes ne tardent à déchiqueter la toile garnie, variante de couleurs au gré de saisons immuablement aléatoires. Une quiétude chaotique mitigeant l’artistique tableau propulsé à l’avant de jugements admiratifs; la beauté, la magnificence, dont abonde l’existence éphémère, peinent à débusquer concurrents loyaux. Ce monde, n’est que songes et mensonges; un aspect enjôleur, épineux inéluctablement, telles de simples roses imprégnées de gouttelettes immondes de sang, giclées au touché présomptueux. L’erreur de ligoter importance aux apparences trompeuses… A l’œil; de ceux, aveugles de percevoir le véritable fondement. Les souvenirs enchaînés à ce principe néfaste, bornent les murs du bâtiment ovale immensément vaste, résumé en un état de village. L’illustre Konoha, couvrant une étendue unité d’hommes shinobis au nombre indéfini; chacun, victime d’un passé lourdement effaçable, baignant en un amas de souvenirs, attisant sourires et pleures. Namikaze Naruto, un membre exclus de cet ensemble, placé sous la tutelle d’un souvenir que nuls ne s’encourage à ôter. Des fibres de mémoires tenaces, impassibles ; l’écoulement du temps n’altérant nullement l’oubli durement acquis. Une sombre biographie régit le sillon du jeune-homme, succombant progressivement à une esquille favorable. Fils d’une légende élevée à un rang intangible, héritant d’un talent, d’une force morale ainsi d’une volonté immuable; un géni expert en l’art de ne jamais s’affréter à l’abandon. En une nuit voracement ténébreuse, le prélude de l’aventure tinta comble en ce monde féodalement archaïque, où pensées ancestrales nichaient encore, baptisées d’un élan légèrement porté sur l’occultisme ; une bien étrange époque. En ces quelques instants éteints, la scène s’était alertée banale, Konoha telle son habitude briguait un repos casuel. L’ensemble civilistes recoulait paisiblement, louangeait chaotiquement, bercé de par un silence purement harmonieux. Ainsi logés astucieusement, les quelques foyers s’étaient confiés aux draps d’un répit des plus convenables, étayant une confiance amblyope en la somme de gardes décidément increvables. Le tout s’enchaînait aléatoirement, cependant l’habituel quiétude ne traînailla à se troubler. Un fracas outré carillonna l’alentour de Konoha. L’alarme fut harcelée de toutes parts, jaillit d’elle une inquiétude rarement englobée. A cet appel, tous se propulsèrent à l’assaut du bruit efficacement baroque. Aux yeux écarquillés, une bête mythique se dressait, un démo-renard à neufs queues monopolisant les angoisses des quelques personnes précocement ébahis. Le sol croulait graduellement sous le poids phénoménal de la créature, craquelait assurément, alourdi d’une empreinte à l’incroyable volume. De larges fissures enfoncées, déracinant d’innocentes victimes végétales jusqu’à l’instant solidement attachées. Un chemin de débris s’effrita, guidé d’une pleine-lune étincelante de milles-éclats parfumés d’une auréole à l’allure effrayante. La nature agonisait quant à la destruction progressive que l’apogée de la bête ne cessait d’arbitrer. Ne pouvant se soumettre à cette volonté bestiale, un bien envahissant tumulte usurpa l’atmosphère désœuvrée. Les différents lambeaux de lumières mitigeaient pas-à-pas chaque habitat respectivement éveillé. Les parents quelques peu effarouchés entouraient de bras affectueux la somme d’enfants variante dont chaque foyer avait hérité. Têtes-baissées, scrutant l’environ à travers les petites ouvertures des volets. N’ayant guère d’autres choix que d’attacher leur survie à l’armée shinobi en perpétuelle investigation. Le ciel palpablement éclairé, ne traîna à afficher un amas d’ombres furtives, fourmillantes sans cesse. Les quelques héros attendus arpentant le ciel noirâtre de bonds fulgurants à la direction du bâtiment logé au beau-milieu du village au symbole effondré. Promptement emmaillotèrent l’Hokage, prirent la somme d’instructions de bon conseil pour ainsi s’œuvrer au combat désigné. Le tas de personnes orientés se hâta de réfréner l’audace que s’était érigée la bête inconnue. En de palpables secondes, l’offensive fut éjectée ; l’ambiance tachée de pointillés paraissant infimes, innombrables armements vibrionnèrent à travers le champ de bataille nouvellement hélé. Tantôt se plantèrent en un sol humidifié de bave répugnante, tantôt se fracassaient durement contre la cuirasse d’énergie déployée aux parures de la carcasse bestiale. Les corps miroitants d’attraits funestes, une pile morbide entassée aux environs de la glèbe (Champs de bataille), les solutions plausibles n’influaient guère, la mortalité s’enivrait à raviver la cadence ; l’un après l’autre, homme succombait à la magnificence meurtrière que procurait le scénario néfaste. L’appui imminent du chef se faisait languir sous une pluvieuse averse sanguinolente. Ce-dernier ne rôda à infliger son utile présence au cadre malsain, cramponné solidement au dos d’un étonnant crapaud à la taille excessivement ample. L’allure classieuse, un devoir de protection omniprésent captivant volonté ascendante et assurance soutenue. Un jutsu de scellement fut échafaudé, un contrat aux termes stricts, ôtant l’existence de l’utilisateur du peu de vitalité enjôlée. Le but se résumant en la faculté salutaire d’emprisonner la bête en un corps de nouveau né dont le cordon ombilical fraîchement retiré. Le choix ne daignait s’exhiber, le renard insalubre n’offrait répit à la horde de shinobi outrés. Le maniement de la technique fatale s’avérait obligatoire. Ainsi en de perceptibles instants, Le danger fut définitivement capturé, un sacrifice eut lieu, honoré de pleures innocentes. Un sceau fut inculqué sur l’abdomen fragilisé du jeune Naruto, soumis à un cruel cheminement. L’écoulée furtive du temps putréfia les quelques fibres de mémoire douloureusement délébiles, où pertes estimables giclaient tel le sang déversé. Cependant, une haine héritée, accordée à une rancune insoutenable demeurait opiniâtrement active. Naruto, assigné à un rang nullement enviable, englobé de regards à caractères vindicatifs. Ne pouvant se soustraire à de tels jugements injustes, endurant une bien féroce solitude, créché à l’extérieur d’une société dont jadis il fut sauveur. Le sentiment d’être rejeté, l’envie d’être accepté… Tant d’émotions rafistolant l’esprit du jeune-garçon de questions multiples. De nouvelles résolutions s’entreprirent teintées d’une voie claire et distincte. N’alliant guère d’importance du-moins partiellement aux différentes propagandes, même aux détriments d’une quotité de souffrance éventuellement enfantée. Dénommé tel un singulier, l’unique moyen de dédire cette opinion étant d’affirmer convenablement ses propres valeurs, divulguer ainsi qu’embellir les quelques qualités humanistes. A l’aboutissement de cette conclusion, un rêve vint à se consolider - un jour devenir Hokage, œuvrer corps et âmes jusqu’à l’achèvement de cet objectif, ne jamais abandonner quoiqu’il en coûtera – Les années défilèrent promptement, Naruto réhabilita l’académie shinobi pour ainsi préluder efficacement l’objectif fixé. En ce lieu, amples éléments s’étalèrent, mouvementés certes, développant assurément le jeune-shinobi, ôtant de son être les quelques séquelles d’un passé tenace. À l’aide des quelques amis empoignés, la joie de vivre condescendit à lui sourire. Bordé d’une prise d’êtres à l’importance grandissante, la véritable perspective shinobi s’annonçait ; tout lui paru étrangement simple, tant de réponses comblèrent leur fourreau. La patience exploitée porta enfin ses fruits, entourés de fréquentations convenables qui surent l’accepter. Le jeune Naruto progressait assidûment, forcé à endurer les quelques réprimandes dus à son manque de tenu. Laissant paraître un comportement fantasque qui ne reflétait absolument pas la réelle valeur de ce même personnage. Effectivement replié derrière l’enceinte de l’établissement à endurer de courageux entraînements destinés à décocher la somme de desseins convoités. Ainsi s’embrasa la volonté enflammée dont regorge chaque être ; parvenir à attoucher ses rêves, lutter pour ces quelques principes, ainsi se forge l’authentique nindô. Pas-à-pas, avançant en cette quête, abordant une équipe au fort élagage, placée sous la tutelle avisée d’Hatake Kakashi, un shinobi très férocement connu, aux enseignements variés excessivement avantageux. Au sein de la team également séjournait une présence brutalement féminine « Haruno Sakura », une personne qui ne traîna à subtiliser l’attention progressivement admirative du jeune Naruto. De même, un autre élément boucla l’équipe nouvellement accolée, le rival éternel à l’apparence avantageuse et aux talents irrépréhensibles « Uchiha Sasuke ». Ensembles, feuilletèrent d’innombrables risques et aventures où tous démontrèrent leur utilité. L’atmosphère compétitive ajoutant une touche charmante à l’équipe aux liens incassables, adressant ample progrès à l’ascension de ces jeunes espoirs. De fil en aiguille, Naruto parvint exceptionnellement à franchir un certain seuil, l’agençant ainsi parmi les favoris. Rivalisant dramatiquement avec le jeune Uchiha, stupéfait d’expérimenté les aptitudes du raté. Les quelques grains de jalousie pénétrant graduellement l’esprit de Sasuke, l’impression de stagner affirmée lors des différents batailles livrées. Maints instants s’enfuirent, talonnés par l’avancée avide que conjure le temps facétieux. Le jeune Uchiha livré à une haine féroce, accoudée à un sentiment de jalousie quasi-possessif, ne sut agir convenablement. Un élan d’émotions coléreux, destiné amicalement au ... de l’équipe ; cet être-même qui ne se contint guère à décroitre du rythme d’amélioration ; inlassablement, l’ambition de joindre plus amples progressions taraudant cette même volonté d’un souffle de courage sédentaire. La fatalité établie contamina la mentalité du jeune Uchiha, le bousculant vers un cheminement nullement favorable. Soumis à un cruel choix, les germes de haine scrupuleusement instaurées, Sasuke pencha définitivement vers une voie à lourdes conjonctures. Désertant le village à l’emblème feuilleté, s’orientant précocement en direction d’un lieu placé sous la tutelle d’un homme vorace dénommé « Orochimaru ». Ce-dernier ne s’était attardé à percer à jours la faiblesse de l’enfant aveuglé par une suffisante dose de vengeance. Le serpent ne rôda à débusquer sa proie, envenimant les représailles logées aux fin-fonds du cœur du jeune Uchiha pris d’une morsure inévitable. Le cou tacheté d’une marque aux effets néfastes, avivant tout souffle de vengeance, disséminant tout sentiment d’apaisement. La prise fut efficacement encadrée, attisée par une envie de puissance offerte si aimablement. L’étreinte du serpent se raviva, ôtant le peu de souvenirs agréables d’un esprit faible, l’exhortant à trahir l’environnement fidèle. Ne pouvant demeurer de marbre en la présence d’une perte d’un être cher, Naruto se mut à sa poursuite, escorté par un ensemble d’amis durement acquis. Une promesse valeureuse élancée, des liens forgés à préserver radicalement… Une mêlée fut rage, s’adossant sur le potentiel de la bête somnolée, Naruto s’acharna à troubler la quête de l’Uchiha avide, à l’ambition inassouvie. Un échec ne s’éternisa à prédominer, le jeune blondinet revint accoté sur le dos du sensei. Un goût amer peuplant chaque fibre de son corps, ruant un ultime regard à l’arrière de la scène, témoin du branle-bas de combat. Le bandeau frontal abîmé du frère fraîchement perdu, cruellement serré en une main lacérée. Dès-lors, une tristesse mélancolique moucheta quelques peu le comportement du jeune blondinet, cependant le principe fondamental dont-il regorgeait s’épanouit promptement, alertant un objectif clair et distinct. Un but que nul n’altérera. Poursuivre l’ami égaré, le ramener en toute éventualité. La promesse récemment faite hantant chaque action du jeune-garçon. Une autre quête annexe s’afficha, l’ermite des crapauds, le légendaire « Jiraiya » l’embaucha. Un long voyage initiatique s’entama, le terme de l’entraînement – Soutenir avec plus de tact les aptitudes de l’élève, ainsi les embellir -, nécessaires à l’accomplissement de l’objectif escompté, également essentielles à l’assurance d’une protection personnelle. Un perpétuel danger survolait le sillon du ôte. Une organisation du nom d’Akatsuki, aspirait à capturer la bête fourrée aux bas-fonds du corps de Naruto. Une durée propre de deux ans et demi séparait le départ du village en perspective de l’entraînement envisagé. Revenu au village, de périlleuses aventures ne vagabondèrent à dévoiler leur terme ; une seule espérance emmêlée à de nouvelles capacités. Le jeune-homme subit d’innombrables événements, des luttes portées à un but précis. Une nouvelle team honorée de la venue de deux nouveaux membres s’énonça. Sous l’œil aguerri de « Yamato » un ancien ANBU, dépêché au rang de chef, bénéficiant d’aptitudes de bûcherons. Mais également « Saï », un artiste aux expressions faussées, se vantant d’attiser les colères du reste du groupe. Ensembles parvenaient à formuler une entente tumultueuse qui ne dura à changer de nature, hâtée par un travail de groupe continu quant aux récents événements. De fil en aiguilles, entouré d’amis fiables, l’aventure s’anima d’un ton ardent. De mêmes desseins à combler...