Bienvenue sur Naruto Sedai Infinity

Bienvenue dans le monde de Naruto Sedai Infinity, un monde où votre vision de Naruto ne sera plus jamais la même, un monde où votre histoire se réalisera dans les règles de l'art, un monde où le chaos pourrait exploser d'un instant à l'autre... Alors qu'en pensez-vous ? Voulez-vous rejoindre notre communauté et vivre une expérience unique ?

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 Sur les traces de son père [PV : Gon]

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Gon Hyûga
Nidaime Tsukage
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MessageSujet: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMer 27 Mai - 15:19

    Première partie : Par une nuit de pleine lune



    Non loin du village caché du sable qui avait accueilli cette année là l’examen Chuunin, un groupe de marchant ambulant marchait tranquillement. Ce convoi était composé de trois chariots tirés par des bœufs, de six marchands qui guidaient leurs attelages, ainsi que de six gardes qui devaient veiller à protéger les marchands ainsi que la marchandise en cas d’attaque. Aucun d’eux n’était ninja, mais il connaissait les bases du Kenjutsu qui, généralement, suffisait à les sortir des pires situations. Cependant, ce jour là était différent. Un épais brouillard s’était levé depuis quelques heures, qui diminuaient la visibilité des gardes. Ceux-ci n’étaient pas des novices, mais c’était malheureusement pour eux la première fois qu’il traversait un désert, et ils ne savaient pas que dans les déserts, il n’y à pas de brouillard naturel. Aucun des soldats n’avaient vu venir l’attaque. Le brouillard s’était en quelques secondes comme épaissit. Le chef du convoi, qui avait la quarantaine se retourna, scrutant la brume de toute part. Impossible, il ne pouvait voir en travers. Soudainement, il se leva, comprenant enfin ce qu’ils leurs arrivaient. Un bruit de lame ce fit entendre et le chef qui se nommait Gondovan comprit qu’il était trop tard. En effet, lorsque le brouillard se dissipa légèrement, il put constater que tous les gardes avaient disparu, comme s’il avait été soudainement effacé de la réalité.

    Gondovan sauta de son chariot, il courut très rapidement à l’arrière de son chariot, fouilla dedans et en sortit un magnifique katana incrusté de rubis. Il sortit la lame de son fourreau et contempla quelques secondes la beauté de l’ouvrage avant de crier :

    « ATTENTION, ON NOUS ATTAQUE ! »

    Tous furent surpris d’entendre ce crie, ils se retournèrent tous, se levant à moitié pour pouvoir bien voir tout autour d’eux. Tous regardaient autour d’eux, mais aucun ne réagissaient, comme s’il ne comprenait pas la gravité de la situation. Le fils du chef sortit du chariot, un couteau à la main. Il n’avait que 9 ans, mais il était déjà très débrouillard pour son jeune âge. Il regarda à son tour tout autour de lui et vit tout de suite ce qui n’était pas normal. Il courut vers son père, lui demandant où était passé les gardes. Le père ne répondit pas, il serrait fort son sabre et se mit dos au chariot afin d’avoir une chance de pouvoir voir venir l’attaque qui n’allait sans doute pas tarder. C’est à se moment là que le plus riche des marchands descendit à son tour de son chariot en secouant la tête.

    « Vous êtes fou tous les deux, les gardes n’ont pas bougé d’un pousse ! »

    Le grand marchand qu’était Gondovan ne comprenait plus rien. Les gardes n’ont pas bougé ? Pourtant il avait beau regarder tout autour de lui, aucun d’eux ne semblaient encore présent. Il n’y avait plus aucune trace d’eux. Comment était ce possible que personnes en se rendent compte de leurs absences ?

    « Le soleil t’a trop tapé sur la tête. Tu devrais aller boire un peu de sake, tu verras, sa te… »

    L’autre marchant qui avait prit la parole n’avait pas eut le temps de terminer sa phrase qu’un Shuriken se planta à l’arrière de sa tête. Gondovan se mit encore plus sur sa garde ; l’attaque avait donc belle et bien commencé. Pourtant, toujours aucune réaction chez les marchands. Pour Gondovan, c’étaient comme si la mort de son compagnon était un mirage. Les marchands qui étaient toujours en vie s’inquiétaient encore plus sur l’état de leur chef qu’avant. Si celui-ci continuait, ils devraient prendre des sanctions et le ligoter dans un de leurs chariots. Le fils du chef, qui avait lui aussi vu la scène était totalement pétrifié par la peur. Il regardait ses compagnons qui continuaient de mourir, l’un après l’autre, sans que personne ne réagisse. Le garçon commençait à perdre la boule lorsque l’ennemi se montra enfin.

    Trois ninjas apparurent dans le reste de brume qui se dissipait. Ils étaient tout trois terrifiant. Les trois regardaient Gondovan qui était l’un des survivants.

    « Je suis désolé, mais c’est là que s’arrête ton voyage ! »

    Le chef leva son sabre, le brandit, et dit à l’enfant et au riche marchant qu’il fallait se battre ensemble, sinon ils n’auraient aucune chance. Il regardait toujours fixement ses adversaires, prêt à attaqué, mais ce qu’il n’avait pas prévu, c’était que son véritable adversaire n’était pas ces trois ninjas, mais l’homme qui se trouvait derrière lui. Il n’eut pas le temps de dire un mot de plus qu’une longue épée ombragée lui traversa le corps. La douleur était effroyable. Il sentit son corps se raidir et tomber, comme vidé de toute force. Sa vision s’obscurcissait, mais avant de rendre son dernier souffre, il reconnu son ami avec qui il avait tant voyagé et affronté d’épreuve, son compagnon, le riche marchant.

    L’assassin émit un rictus qui aurait pétrifié une gargouille. Il lança un puissant coup de pied dans le flanc de l’homme mort qui se trouvait à ses pieds, puis, il lui marcha tout simplement dessus, ne se gênant pas d’essuyer ses pieds pleins de terre sur le visage de son ancien compagnon. Puis, après un petit silence, il dit au trois ninjas.

    « Merci à vous ! Ce que vous voulez se trouve dans la première caravane. »

    Le plus effroyable des trois ninjas, qui portait un masque à gaz, s’avança et sauta dans la caravane. Il fouilla dedans, puis, après avoir fouillé dans des malles remplis d’or, des coffrets contenants des trésors si précieux qu’ils n’ont pas de prix, il ressortit. Il marcha, silencieusement vers le gros et riche marchand. A une vitesse fulgurante, il sortit un longue cimeterre et la mis sur la gorge du gros. Il s’approcha très près de sa bouche et dit :

    « Il n’est pas là ! Dis-moi où il est, où tu es mort. »

    Le gros ne comprenait rien, il l’avait vu lui-même. Il avait vu cette lettre et cette bague avec quoi jouait…

    « Noonnn... C’est le garçon qui l’a, il l’a volé. »

    Les ninjas regardèrent rapidement autour d’eux, l’enfant avait disparu. Ils se mirent tout trois autour du gros lard qui implorait pitié, mais il faut savoir que ce genre de ninja n’en a pas. Un seul bruit traversa la tranquillité de cette nuit de pleine lune, c’était le cri d’un homme qui avait fait la rencontre de la mort elle-même.

    Sur les traces de son père [PV : Gon] Images_site_DPM_79Sur les traces de son père [PV : Gon] 14jb7Sur les traces de son père [PV : Gon] Images_site_DPM_80

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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMer 27 Mai - 15:24

Deuxième partie : Le travail d'un Chuunin


    Dans le village caché du sable, au sommet de l’une des plus hautes tours, se trouvait un jeune garçon tout vêtu de vert. Le jeune garçon avait 12 ans et avait été fraichement promu Chuunin. En effet, l’examen venait juste de se terminer et il s’était réfugié au sommet de cette tour pour avoir un peu de calme et pouvoir ainsi contempler son nouveau bandeau ainsi que de se remémorer tout ce dont il avait du faire afin de devenir un ninja confirmer. Il savait que dorénavant, le village aura de plus en plus besoin de lui et cela principalement pour les missions à haut risque. La chose ne le dérangeait en rien, mais, cependant, il aurait préférer avoir un Sensei pour le guider dans cette nouvelle étape de sa carrière. Il se rappela du jour où la team 1 de Suna avait été crée, il se remémora toutes les épreuves et missions qu’ils avaient dues accomplir ensemble. Tous les membres de cette équipe méritaient de devenir Chuunin, et pourtant, seul Kangeki et Gon avait passé. Bon, ce n’était pas si grave, Mikasuki passera sans la moindre difficulté l’année prochaine. En pensant à cela, Gon se rappela qu’il ne l’avait pas revu depuis fort longtemps. C’était en faite lors de la première épreuve de l’examen qu’il l’avait vu la dernière fois, il ne savait donc pas que, pendant les étapes suivantes, Mikasuki s’était ardemment entrainé et arrivait déjà maintenant à son niveau.

    Le ninja à l’œil blanc regarda au loin dans le désert aride de Suna. Il activa son Byakugan, cette technique qui l’avait aidé dans tous les moments les plus pénibles de son existence. Regardant à une distance d’environ un demi-kilomètre, le Chuunin remarqua un étrange petit nuage qui s’approchait de l’entrée. Après quelques minutes, il put distinguer que ce petit nuage était en faite un garçon qui courait à une vitesse hors norme. Puis, il put distinguer qu’un nuage bien plus grand et rapide le suivait de loin. Gon les regarda un petit moment, puis se leva et sautant à vive allure de toit en toit afin d’arriver aux portes. Il les passa rapidement, avertissant les gardes au passage qu’il se chargeait de savoir ce qu’il se passait là-bas. Les gardes, eux, ne comprirent pas tout de suite ce que disait Gon, car les nuages de poussière étaient bien trop lointain pour être repéré à l’œil nu. Ils le virent seulement partir en direction du désert à une vitesse moins impressionnante que le garçon du désert, mais quand même terriblement rapide.

    Plus il avançait en direction des nuages de poussière, plus un sentiment bizarre l’emplissait. Il sentait que le garçon était en danger, mais pas seulement lui. Il redoubla donc le pas, courant plus vite que jamais. Il lui fallut tout de même 10 minutes pour rejoindre l’enfant qui était absolument exténué. Celui-ci s’effondra à une dizaine de mettre du jeune Hyûga. Celui-ci vérifia une nouvelle fois à la hâte si l’enfant allait bien, puis il se releva, avança de quelques pas pour faire face aux ninjas qui étaient arrivés maintenant. Deux d’entre eux était moche, le troisième semblait bien plus humain. Le plus moche, c’était celui qui portait un masque à gaz sur la tête. Gon remarqua tout de suite qu’ils avaient tous le même tatouage sur l’avant-bras, un tatouage en forme d’araignée avec un numéro dessus. Le ninja de Suna le reconnu rapidement, car il l’avait déjà vu une fois lors de son enfance.


    Flash back


    Sur les traces de son père [PV : Gon] Vlcsnap-978176


    Gon avait 6 ans, il vivait encore chez sa tante Mito qui s’occupait bien de lui. Il avait passé toute la journée dans la forêt, jouant avec les animaux comme à son habitude. En effet, le jeune garçon était vraiment apprécié des animaux. Il passait la plupart de son temps à se balader en forêt, à soigner les animaux qu’il rencontrait et à jouer avec ceux qu’il rencontrait pour la première fois. Dans la forêt, presque aucun animal ne le connaissait pas. Seul les Ours-Renards ne semblaient pas le connaitre et c’était tant mieux sinon Gon serait mort depuis longtemps. Bref, il avait passé toute la journée à s’amuser, et quand le soir vint, il reprit la route qui menait à sa maison.

    Le jeune garçon aux cheveux noirs était déjà bien habile à cette époque. Ses sens étaient déjà surdéveloppés, son agilité et sa rapidité pareille, seule sa force était celle d’un garçon de son âge. Il lui fallut donc moins d’une demi-heure pour traverser la totalité de l’île et revenir à son logis. Cependant, à environ 200 mètres de la maison, il vit une étrange lueur orangée qui brillait, tel un flambeau. Il n’eut pas besoin de réfléchir très longtemps pour comprendre que sa maison était dévorée par les flammes. Il doubla donc le pas, courant comme si sa vie en dépendait. Il s’inquiétait.

    **Mito et grand-mère sont peut-être toujours à l’intérieur, je dois les aider ! **

    Arrivé sur les lieux qu’il croyait être un accident, le jeune garçon courut vers la porte de la maison, il ouvrit la porte d’entrée qui était en train de brûler et courut en direction de la cuisine, où aurait du se trouver sa tante à cette heure du soir. Les flammes dévoraient tout sur leurs passages. Pour ouvrir la porte de la cuisine, Gon dut lancer une chaise enflammée contre celle-ci. En entrant dans la petite pièce, il se sentit devenir très faible, si faible qu’il ne tenait plus debout. Il se raidit et s’écroula sur le sol dur de pierre, ne pouvant plus que bouger les yeux. Pourquoi c’était-il sentit soudainement si fatigué. La réponse était très simple et il la découvrit très rapidement. La fumée noire qui inondait la maison ainsi que les flammes l’avaient tout simplement privé d’oxygène. Il s’était fait avoir comme un parfait idiot. La peur l’emplit, allait-il mourir ici ? Non, pas encore, son heure n’était pas venue.

    En regardant tout autour de lui, il vit un corps allonger par terre. D’abord il crut que c’était sa tante, mais en regardant de plus prêt, il comprit que c’était un homme. Ce mystérieux personnage faisait vraiment froid dans le dos. Son apparence était absolument terrifiante avec son bras beaucoup plus gros que l’autre, sa tête qui avait la forme d’une brique et ses oreilles complètements déchirée. Mais une chose avait intrigué le jeune garçon. Le colosse qui semblait mort par terre avait un tatouage en forme d’araignée sur son dos, et sur celle-ci figurait le numéro 13. Après avoir vu tout cela, Gon avait perdu connaissance, et c’est seulement des années et des années plus tard qu’il apprit que c’était en faite cet homme qui avait incendié la maison.


    Fin du flash back


    Gon regarda un à un les nouveaux adversaires qui s’étaient présenté à lui. Ils paraissaient tous puissants et expérimenté, surtout celui qui avait les cheveux longs et qui ressemblait le plus à un être humain. Tout à coup, ils enlevèrent tous leurs manteaux gris. Gon fut ébahi par ce qui se trouvait devant ces yeux. Le ninja au masque était tout simplement dépourvu de jambe. A la place de celle-ci se trouvait comme une sorte de petit mât qui lui permettait d’être à une hauteur convenable. Son corps était effrayant, il ressemblait vraiment à une toupie. L’autre ninja qui était moche avait un visage horrible, avec des yeux qui n’avaient rien d’humain. Quand au troisième, il paraissait encore plus imposant. Il avait un corps de dieu grec ainsi qu’un style inné. Gon n’avait pas envie de ce battre contre lui, car s’il était aussi beau que fort, le combat s’avèrerait vraiment compliquer. Soudainement, une question assez stupide vint à l’esprit du jeune ninja de Suna en regardant le ninja sans les jambes.

    **Comment a-t’il fait pour courir jusqu’ici ?**

    Malheureusement pour lui, Gon ne pouvait pas perdre de temps à questionner ces malfaiteurs. Il devait montrer rapidement qu’il avait le dessus sur eux, tout en espérant que celui qui l’inquiétait ne prenne pas part au combat. Il voulait montrer qu’il n’avait pas peur et qu’il savait qui ils étaient, c’est pourquoi il dit :

    « Vous vous dites de la brigade fantôme avec vos tatouages en forme d’araignée, mais vous ne l’êtes pas. Les vrais membres de la brigade fantôme portent premièrement un numéro se situant entre 1 et 9. De plus, leur araignée est dessinée en grand dans leurs dos. Je sais cela car j’ai fait beaucoup de recherche sur ces mystérieux personnages et que l’un des faux à déjà essayé de s’en prendre à moi. J’ignore ce que vous voulez prendre à ce garçon, ni même ce que vous avez contre moi, mais je peux vous assurer que vos ambition s’arrête là. »

    Le combat semblait inévitable. Le fait d’avoir dit cela avait vraiment énervé ces adversaires qui voulaient vraiment le tuer. Gon s’en fichait, il savait que de toute façon, le combat n’allait pas durer. Suna enverrait sans doute de l’appui s’il ne prenait pas rapidement les dessus.


    93 lignes


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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeVen 29 Mai - 17:15

    Troisième partie : Un destinataire incongru



    Gon était satisfait de lui, il avait parfaitement réussit à énerver ses adversaires. Ceux-ci lui faisaient toujours face. Le seul ninja adverse qui ressemblait vraiment à quelque chose s’avança lentement vers le ninja de Suna. Il le regarda de haut en bas, calmement et sans se presser, comme si de rien n’était. Il s’avança ensuite vers lui, se mit à une distance d’environ 3 mètres de Gon qui ne bougea pas et lui regarda droit dans les yeux. Après un petit moment bien calme dont seul le bruit du sable porté par les vents troublait, ce ninja se retourna, regarda ses coéquipiers et dit tout simplement :

    « Je retourne au point de rendez-vous. Nous avons perdu la lettre et nous n’avons pas à nous battre contre ce ninja. »

    Le ninja de Suna ne comprenait plus rien. A première vu, ses trois adversaires étaient à la recherche d’une lettre qui semblait être en la possession du jeune garçon qui se trouvait derrière lui. Vu leurs niveaux, Gon n’était pas encore de taille à pouvoir les affronter, et ils le savaient très bien. Et pourtant, celui qui semblait être le plus puissant, voir même le chef de ce groupe avait abandonné, juste en le regardant ! C’était inconcevable. Il devait sans doute avoir prévu quelque chose.

    « Tu n’y penses même pas. Si on veut pouvoir entrer dans la brigade, il faut que l’on intercepte le message qui se trouve à l’intérieur. Tu le sais très bien que c’est pratiquement impossible d’entré dans ce groupe si on échoue dans l’une des missions qu’ils nous ont confié. »

    « Je le sais, mais ce n’est pas non plus en leur donnant ce qu’ils veulent que l’on y entrera. De plus, quand je vous dis que nous avons perdu la lettre, c’est que nous l’avons perdu ! »

    Un gros sourire se dessina sur le visage de Gon. Puis un petit rire malicieux lui échappa. Ils n’avaient donc rien vu, sa ruse avait bel et bien marché. En effet, juste après avoir soigné le garçon, il avait fait habilement un clone de sa personne, suivit d’une technique de métamorphose. Lorsque le ninja l’avait regardé dans les yeux, c’était sans doute qu’il avait comprit que celui qui leurs faisait face était une face pendant que le vrai se trouvait assis par terre, ayant pris la forme de l’enfant qui les avaient contourné et passé derrière des dunes afin de ne pas être aperçu et afin de rejoindre le village de Suna sans le moindre dégât. Les adversaires de Gon paraissait vraiment fort, mais deux d’entres étaient absolument stupide pour s’être fait piégé si facilement. Le Chuunin venait d’humilier ses adversaires car il n’avait utilisé que des astuces étudiées à l’académie ninja.

    « Deux techniques de bases, le Henge et le Bunshin, ainsi que les bases pour protéger une personne apprise la première semaine de l’académie ninja qui consiste à focaliser l’attention des adversaires sur nous même pour qu’ils oublient leur proie. Vous avez peut-être bien plus développé votre corps que le mien ne l’ai, mais vous êtes des nuls incapable de voir un éléphant dans un couloir. Jamais je n’ai vu une bande d’inca… »



    Sur les traces de son père [PV : Gon] Sm_nar10



    Il ne termina pas sa phrase. En une fraction de seconde, il sprinta vers le seul ninja qui semblait capable de réfléchir et lui mit sa main en dessus du front. Tout ce déroula en un dixième de seconde. Une multitude d’image, de son, de pensée se mêlèrent à celle de Gon. Une forte émotion l’envahi, des souvenirs, des joies, des cœurs brisés, de la haine, de l’horreur,… Tout ce mélangea en Gon, si rapidement et en désordre qu’il ne comprit rien au début. Il commença à réfléchir. Que voulaient dire ces images ? Pourquoi voulaient-ils cette lettre ? Il était si tourmenté par les questions qu’il oublia complètement de bouger. Lorsqu’il s’en rendit compte, une chose encore plus inattendue qu’avant vint à son esprit. Gon avait déjà envoyé son attaque, il avait réussit à lire dans les pensées de son adversaire, et pourtant, contrairement à ce qu’il aurait cru, celui-ci ne l’avait pas attaqué ni même touché. C’était comme s’il ne s’opposait pas à ce que Gon puisse lire en lui. La technique d’Etsuran Tama suscitait généralement toujours la colère de celui qui s’était fait en quelques sortes volé. Et Gon trouvait cela normal, car il n’aurait pas du tout aimé que l’on vole ses souvenirs. Grâce à la technique qu’il avait utilisée, il avait en sa possession de puissantes armes qu’il pouvait utiliser face à son adversaire. Il savait que celui-ci s’appelait Kastro, qu’il était né dans un petit village se trouvant loin au nord du pays de la terre, que son chien était mort lors d’une partie de chasse, que sa mère était morte lors d’une attaque de bandit, que son père était devenu fou par la suite. Il savait également que ses deux compagnons s’appelaient Guido et Sadaso, qu’ils étaient orphelins et qu’ils aimaient bien s’en prendre au plus faible qu’eux. Leurs missions, qui avait été donnée par un homme caché derrière des rideaux de sois dans un magnifique bâtiment aux mures de pierre blanche, consistait à retrouver une lettre en la possession du marchand nommé Gondowan avant que celle-ci n’arrive à un destinataire inconnu vivant à Suna, tout cela afin d’empêcher…

    **Impossible !**

    Ils devaient empêcher que la lettre n’arrive en SA possession. Avec les souvenirs de Kastro il avait appris que la lettre venait d’un ninja du nom de Jin Freeccs, et ce Jin n’était nul autre que le père de Gon. Son père voulait donc le recontacter, mais pourquoi ? Pourquoi maintenant ? Il ne comprenait pas. Après avoir passé si longtemps loin de lui sans lui donner la moindre nouvelle, après l’avoir abandonné à sa tante afin qu’elle s’en occupe… Pourquoi maintenant ! L’ironie du sort voulait que Gon attendait cela depuis si longtemps. Il avait tout tenté pour que cela arrive, mais maintenant, il n’en avait plus envie.

    Le pauvre était tout déboussolé et Guido et Sadaso s’étaient enfin décidés à attaquer. La situation se présentait mal. Cependant, juste avant que Sadaso le touche avec son poing, Gon disparut tout simplement de leurs champs de vision. Kastro dit alors à ses hommes que s’ils voulaient rester en vie, il devait partir, car lui savait très bien que Gon était de retour aux portes de Suna.



    66 lignes




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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeSam 6 Juin - 12:40

[Validation expresse ]

+45EXP

Jolie Rp ^^

Bonne continuation !
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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMar 9 Juin - 21:24

    Partie 4 : Une nouvelle technique



    Personne ne comprit réellement ce qu’il venait de se passer. Gon était apparu au centre du couloir qui menait à Suna. Les gardes ne l’avaient pas vu passer et il était vraiment très surpris de voir que Gon avait réussit à utiliser une technique de téléportation. Ils avaient déjà envoyé quelques hommes pour l’aider à battre ses ennemis. Ceux-ci étaient déjà de retour, après avoir fait choux blancs. Ceux qui se trouvaient autour de Gon voulait savoir ce qu’il s’était passé, mais le Ninja de Suna était bien trop sonner pour leur répondre. Il pensait au évènement qui venait de ce dérouler et à ce qu’il devait faire maintenant. Son père voulait sans doute le revoir, vu qu’il lui avait envoyé une lettre. Mais la question était : Est-ce que Gon voulait le revoir.

    Lorsqu’il se reprit, il fut lui aussi surpris d’avoir utiliser cette technique. En effet, il ne l’avait pas réellement expérimenté, il n’avait fait que d’y penser, sans réellement vouloir l’apprendre. C’était pour lui la première fois qu’il la réalisait et était vraiment surpris de l’avoir réussit du premier coups. Il savait que cette technique pouvait être vraiment utile lors de mission de repérage ou d’infiltration. En gros, cette technique était parfaite pour la mission qui allait bientôt se présenter à lui, mais il l’ignorait totalement. Il ignorait également qu’elle lui sauverait la vie lors d’une mission future lorsqu’il rencontrera le plus puissant Ninja de Suna qui deviendra son maître et qui le guidera sur le chemin de la puissance. Quand à l’autre technique qu’il avait utiliser contre l’un des faux membre de la brigade et qu’il avait appris le soir même du jour de la final de l’examen Chuunin, elle allait lui permettre de suivre le long chemin qui le mènerait à son père.

    Soudain, une chose lui revint à l’esprit. La lettre était toujours en la possession de l’enfant. Il s’avança donc vers l’un des gardes et le questionna tout simplement sur la direction qu’avait prise l’enfant.

    « Il est entré dans le village, disant qu’il avait un paquet à donner. Nous avons d’abord contrôlé son identité ainsi que fait un interrogatoire, puis nous avons finit, ne voyant rien de menaçant chez lui, par le laisser pénétré dans le village. »

    Les gardes de Suna était réputé comme étant très compétent et professionnel. Il maîtrisait parfaitement leur affaire et faisait la fierté du village tout entier. En effet, les citoyens avaient vraiment confiance en eux et vivaient paisiblement, sans se faire du soucis sur une quelconque attaque. Gon espérait cependant ne jamais être assigné à ce poste, car il préférait de loin l’action plutôt que de devoir surveiller 24h sur 24h une entré de village, mais il les respectait pour cela.

    « Merci beaucoup. »

    Il ne perdit pas une seconde, piquant un sprint en direction du village, tel une flèche. Il voulait retrouver l’enfant au plus vite. Son cœur battant la chamade, il courut, fendant le vent, la foule,… Rien ne semblait pouvoir le stopper. Lorsqu’il y avait trop de monde dans les rues, il passait par les toits, et quand celle-ci redevenaient déserte, il faisait un bond et reprenait sa route dans celles-ci. Il ne savait pas où se trouvait l’enfant, mais il ne tarderait pas à le retrouver. Après avoir fait un bon magnifique par-dessus un mur, il ferma les yeux activa son Byakugan et…

    BANGGGGG

    Le ninja à l’œil blanc avait terriblement mal à la tête. Il s’était cogné contre quelque chose, mais quoi. Il se leva, clignant des yeux tellement la douleurs était forte. Il regarda dans quoi il avait percuté et remarqua que c’était l’enfant. Sans le savoir, ils avaient sauté sur le même mur au même moment. Les deux étaient terriblement solide, mais les deux avaient aussi mit énormément de force et de vitesse dans ce saut, ce qui rendit le choc d’autant plus violent. Lorsque l’enfant se releva, Gon mit sa main sur son front pour guérir la petite ouverture qu’il avait causé. Il regarda l’enfant en s’excusant. Celui-ci lui dit que ce n’était pas très grave.

    « Merci de m’avoir sauvé avant. J’ai eu peur pour toi un moment, car ils étaient vraiment très fort, ils ont tués mon père ainsi que tous ses collègues. J’espère que les corbeaux dépèceront leurs cadavres jusqu’à ce qu’il n’en reste rien. »

    Gon ne dit rien. Il ne voulait pas avouer qu’il ne les avait pas vaincu par peur que le garçon attise une haine envers ceux-ci et veille les tuer, quitte à mettre sa vie en danger ainsi que tout ce qui l’entoure. Il lui présenta toutes ses condoléances. L’enfant était solide, il ne montra pas le moindre signe de tristesse. Il dit simplement à Gon qu’il pourra le pleurer lorsque sa mission sera terminée.

    « Mon père aurait du donner cette lettre à un habitant du village de Suna. Malheureusement, il ne risque plus de le faire alors c’est moi qui le fera. Mais j’aurais besoin de ton aide. Son destinataire est une personne du nom de Gan Hyûga., tu le connais ? »

    « C’est Gon, et oui, je le connais car c’est moi ! »

    Le garçon fut d’abord étonné, puis suspicieux, car il craignait que Gon soit en faite l’un des complices de l’autre groupe qui essayait de le piéger. Puis, après avoir mûrement réfléchit et posé quelques questions à Gon, il lui donna la lettre. Il se leva, avança de quelques pas en tournant le dos à Gon et lui dit :

    « Fait attention à toi, car si des gens sont près à tuer pour que la lettre n’arrive pas en tes mains, c’est sans doute qu’ils ne veulent absolument pas que tu rentres en la possession de cette lettre. Sur ce, adieu. »

    Gon ne lui dit qu’un bref au revoir, car il voulait absolument ouvrir sur le champ cette lettre. Il l’ouvrit avec précaution, déplia soigneusement le morceau de parchemin qui se trouvait à l’intérieur, et il la lut rapidement. A la fin de sa lecture, il fut terriblement étonné. Il se leva rapidement vers la tour du Kazekage pour lui annoncer qu’il allait s’absenter pour quelques jours.


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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMar 9 Juin - 21:28

    Partie 5 : Retour au bercail



    Le soleil brillait, le vent soufflait très légèrement, juste pour faire voleté les cheveux des filles qui se trouvaient sur le port d’une île située au sud de Kumo ayantt la forme d’une baleine. Cette île ce nommait effectivement l’Ile de la Baleine, et elle était le lieu de naissance d’un Ninja de Suna qui venait juste de faire ses preuves ainsi que d’un très puissant déserteur. Le déserteur ne donnait plus de nouvelle depuis des années, quand au jeune de Suna, son nouveau grade était le seul sujet de préoccupation de cette petite île de pêcheur. En effet, une rumeur raconterait que le jeune Gon aurait été promu au grade de Chuunin, ce qui signifiait qu’il était devenu un Ninja confirmé et qu’il devra accomplir dans le futur des missions pour protéger des célébrités ou pour sauver beaucoup de vie. Gon Hyuuga était devenu en quelques mois… la fierté de l’île.

    Cependant, les marins de l’île, bien que très intéressé par ces rumeurs, continuait de travail avec acharnement. Les maris étaient sur l’eau, essayant de faire de bonnes prises, tandis que les femmes s’occupaient de la maison et du linge à nettoyer. Les enfants quand à eux, n’étant pas très nombreux, passaient le majeur parti de leur temps à essayer d’aider leurs parents. Bref, tous étaient occupés, excepté une femme qui s’occupait d’une échoppe de l’autre côté de l’île, et qui ne pouvait s’empêcher à chaque fois qu’elle pensait à Gon de regarder vers l’ouest. Malheureusement pour elle, à l’ouest se trouvait seulement de l’eau, à perte de vue.

    La nuit commençait à tomber lorsque quelque chose vint enfin bouleverser la vie monotone de cette île. En effet, un tout petit bateau de pêche s’avançait lentement. A son bort, un jeune garçon de 12 ans portant des habits vert, de grosse botte, et une canne à pêche dans le dos, s’affairaient à diriger le bateau vers la splendide île. Lorsqu’il put voir la terre, il grimpa au sommet de son mat, tenant en équilibre sur celui-ci alors que la barque tanguait. Il regardait tranquillement cette beauté de la nature avec des yeux d’une pureté sans égale. Lorsqu’il put enfin voir l’activité qu’il y avait sur le port, il sortit un bandeau vert de sa poche, et le mis autour de son avant-bras. Et oui, ce garçon était belle et bien le jeune Gon, Chuunin du village caché du sable.

    Avant même que Gon eut put mettre pied à terre, il put remarquer que les gens qui l’entouraient ne parlaient que de lui. Ils s’appelaient les uns les autres pour voir s’ils n’étaient pas en train de rêver. Mais finalement, ce rendant compte qu’ils étaient bel et bien réveillé, ils crièrent avec joie et fierté :

    « Bienvenu chez toi Gon »

    Gon descendit de son bateau et l’amarra. Ensuite, il voulut se rendre en direction de la forêt pour rejoindre l’autre côté de l’île, mais une jeune fille qui devint toute rouge en le regardant l’en empêcha. Gon ne la connaissait pas, elle venait sans doute juste d’arriver sur son île. La fillette en question n’était en faite pas si jeune que ça, elle devait avoir environ un an de moins que Gon. Gon l’a salua avec toute la politesse possible et lui demanda se qu’elle voulait. La petite fille lui dit, en devenant toujours plus rouge à chaque mot :

    « Euh… Gon… Ta tante t’attend de l’autre côté du village. Elle sera sans doute très contente de te revoir. »

    Ensuite, elle s’enfuie en courant. Gon n’eut même pas eut le temps de la remercier et de lui dire que c’était en faite là-bas qu’il comptait se rendre. Il poursuivit ensuite sa route, marchant lentement dans la forêt, regardant les changements qu’avait eut la nature qui l’entourait. Les maisons qui se trouvaient sur l’île paraissaient toujours aussi miteuse et pauvre, mais elle semblait déjà bien plus nombreuse qu’avant. Gon put même voir en sortant du petit village qu’un hôtel de classe moyenne avait même été construit sur la colline. Lorsqu’il pénétra dans la forêt, il put constaté que celle-ci aussi avait changer. C’était comme si elle lui était devenu plus lugubre, plus sombre qu’avant. Sans doute était-ce son moyen de montrer qu’elle ne laisserait pas les hommes l’abattre.

    **Comme ça à changer, alors que ça fait seulement 10 mois que je suis partit. Je me demande comment va Mito et grand-mère.**

    Il était toujours en train de réfléchir lorsque une énorme bête ressemblant à la fois à un ours et à un renard lui sauta dessus. N’importe qu’elle personne qui aurait été témoin de ce spectacle se serait énormément inquiété de la santé de l’enfant, cependant, Gon n’avait et ne risquait rien. Cette bête était une vieille connaissance de Gon.

    « Kon, comme ça fait longtemps. Tu es toujours le roi de la forêt ? »

    L’Ours-renard lui répondit d’un signe de tête. Gon était vraiment heureux de le revoir. Kon avait été l’un de ses meilleurs amis durant son enfance. Tandis que pour Kon, Gon était plus comme un père, car il l’avait recueilli et élevé après la mort de sa mère, tuée par un Ninja afin de sauver la vie de Gon.

    Gon et le chef de la forêt parlèrent à leur manière durant tout le trajet. Cependant, Kon le quitta à l’entrée du domaine de Gon, car la tante de Gon n’aimait pas le voir traîner avec son neveu. Gon poursuivit donc seul son chemin, ce qui ne dura pas plus d’une minute. Lorsqu’il vit l’échoppe de sa tante, il pensa à elle ainsi qu’à son enfance. Il avait vraiment passé de très beau moment dans ce lieu paradisiaque. Mito avait toujours était comme une mère pour lui, elle l’avait en faite remplacé lorsque celle-ci était morte. Gon devait le reconnaître, il ne connaissait que peu de chose sur sa mère et c’était un peu ingrat de sa part de l’ignorer alors qu’elle s’était sacrifiée pour qu’il ne soit pas frappé du sceau des Hyuuga, s’enfuyant avec lui et mourrant tuer par ce sceau maudit.

    Gon vit une femme au sommet du restaurant, c’était elle, c’était sa chère tante Mito. Elle se retourna, et croisa le regard de Gon. Au début, elle ne réagit pas, comme-ci elle craignait d’avoir vu un simple mirage. Puis, se rendant compte qu’il était vraiment là, elle commença à courir, son visage illuminé d’une joie qui l’avait quitté dès son départ. Elle ne pensait qu’à une chose : Gon était rentré, il était là.



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    Kon, à 1 ans

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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMar 9 Juin - 21:35

    Partie 6 : Désillusion




    Mito était depuis le retour de Gon absolument radieuse. Son neveu était vraiment content de retrouver sa bonne cuisine et il eut aussi l’occasion de revoir sa grand-mère qui elle aussi, rayonnait de le revoir. Il passa les quelques jours qu’il avait devant lui à aider sa tante à l’échoppe, à faire la vaisselle, la lessive ainsi que beaucoup d’autre tâche ménagère afin de les aider. Il eut aussi l’occasion de passer quelques heures avec Kon, ainsi qu’à l’une de ses passions… la pêche. Il put beaucoup discuter avec sa tante. Il apprit avec tristesse que le vieil homme du port était mort. Il y avait par contre eut deux naissances, deux magnifiques bébés qui faisait le bonhomme de leurs mères. L’île était en pleine évolution économique dans le but de la rendre plus touristique, mais malheureusement, tous ne suivait pas le problème et, de plus, ils manquaient de beaucoup d’argent afin de faire toutes les modifications nécessaires. Gon était vraiment content d’apprendre qu’il était déjà plus aisé de vivre sur l’île qu’avant et que s’il voulait, il pouvait faire la connaissance des deux autres enfants de son âge qui se trouvait sur l’île.

    Malheureusement pour lui, le temps passait, et justement, le jour de son départ approchait dangereusement. Il n’eut même pas le temps d’apprendre le nom de la fille qui lui avait passé le message à son arrivée. Il aurait bien voulu rester un peu plus, mais il devait hélas partir. Il voulait le dire à sa tante et à sa grand-mère qui, elles, croyaient qu’il était de retour pour bien plus longtemps. Ce fut donc pendant le repas du soir, deux jours avant son départ, que Gon leur annonça la mauvaise nouvelle.

    « Mito, grand-mère… Je suis désolé de vous dire cela aussi crûment, mais je vais vous quitter à nouveau dans deux jours. »

    Mito regarda le fond de l’assiette, jouant avec son couteau comme l’aurait fait une gamine qui ne voulait pas quelque chose. Tout en regardant l’assiette, elle dit à Gon :

    « Je m’en doutais, tu ne peux sans doute pas rester infiniment alors que Suna à besoin de toi. »

    Gon poursuivit donc très rapidement, afin de mettre bien les choses au clair.

    « Ce n’est pas à Suna que je retourne, pas encore. Je pars après-demain pour prendre un bateau, qui doit me conduire à une sorte de tournoi qui est ma seule piste afin de retrouver mon père. »

    Sa tante se leva brusquement, se tenant appuyé sur ses doigts qu’elle avait sur la table. Elle paraissait furieuse et à la fois inquiète.

    « Tu es toujours aussi têtu, tu ne t’es donc pas encore enlevé cette idée de la tête. Ton père t’a abandonné. Il ne veut pas te revoir. »

    Gon s’était attendu à cette réponse, c’est pour cette raison qu’il ne fut pas blessé par les paroles de sa tante. Ensuite, il regarda Mito quitter la salle, sans ajouter un mot de plus. Gon finit son assiette et alla tout de suite pêcher. C’était pour lui le meilleur moyen d’arrêter de réfléchir et ainsi être calme et paisible. Pendant ce temps, la grand-mère de Gon alla sur le toit ou Mito faisait la lessive.

    « Tu ne pourras le retenir. Il partira, comme la dernière fois. Tu te rappelles, lorsque tu lui avais dit que tu ne le laisseras partir seulement que s’il capturait le monstre des marais, il était venu vers toi, le monstre sur le dos, et il t’avait regarder une nouvelle fois, avec ce regard remplit de détermination, le même que son père. »

    Mito prit le linge et commença à l’étendre. Elle travailla pendant un petit moment sans dire un mot, puis elle murmura comme l’aurait fait une personne terriblement triste.

    « Je le sais bien,… mais je m’inquiète pour lui. Jin n’est pas quelqu’un de bien, il ne saura pas comment s’occuper d’un enfant… »

    « Mais il n’est plus un enfant, et tu n’es pas sa mère ! »

    Mito paraissait encore plus triste. Il mit sa main sur son cœur, comme si elle avait peur que celui-ci s’arrête. Elle ferma les yeux, respira profondément. Elle avait toujours traité Gon comme son fils. Elle l’avait tellement aimé qu’il lui arrivait même d’oublier qu’elle n’était que sa tante.

    « Je le sais bien. Mais j’ai quand même peur de le perdre. »

    Sur ce, elle se remit au travail. La grand-mère du jeune Hyûga ne lui posa plus de question. Elle savait que sa fille resterait muette comme une carpe. Elles finirent la lessive et se mirent au lit.

    Le lendemain matin, Gon montra pendant le déjeuné la lettre qui lui était adressée. Sa tante Mito la lue à haute voix :

    « Alors comme ça tu veux vraiment me rencontrer. C’est comme tu veux, mais sache que tu ne me trouveras pas si facilement. Je suis actuellement dans un lieu inconnu de tous à faire des choses sans importances. Si tu veux me revoir, il faudra me traquer tel du gibier. Si je sens ta présence près de moi, je quitterais le lieu aussitôt. Comme tu peux le comprendre, il est pratiquement impossible que tu puisses m’approcher, et encore moins me parler, cependant, si tu veux en apprendre un peu plus sur moi, sache que plusieurs de mes amis vont aller participer à un tournoi dans les régions du nord. Si tu veux t’y rendre, retourne voir ta tante et attend le dixième jours de printemps. Là, un bateau sera amarré au port ayant pour destination la ville où aura lieu le tournoi. Voilà, c’est tout ce que j’ai à te dire.

    PS : Ne compte pas pouvoir rencontrer mes amis sans participer toi aussi à ce tournoi. »


    Le cœur de Gon battait une nouvelle fois à tout rompre. Il avait hâte d’être là-bas. Il ignorait totalement ce que pouvait bien être ce tournoi, mais si cela lui permettrait de revoir son père, il comptait le gagner. Mito regardait la lettre avec des yeux ébahis. Après quelques minutes, elle prit enfin la parole.

    « Et ben, il en encore moins doué qu’avant pour communiquer correctement avec les gens. Gon, il faut vraiment que tu le saches… ton père est stupide, mais si tu veux le rencontrer, je ne t’en empêcherais pas. »

    Gon était vraiment content. Il sauta dans les bras de sa tante et la serra fort contre lui. Il avait les larmes aux yeux. Elle le serra également fort dans ses bras en disant en riant :

    « De toute façon, têtu comme tu es, tu y serais allé sans mon concentement ! »

    Gon ne put s’empêcher de rire, de même que sa grand-mère.

    « Oui, c’est vrai, j’y serais quand même allé. »

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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMer 10 Juin - 22:30

[Validation]

Des parties avec beaucoup de parole et tres peu de description ! il faut du récit il faut de la description ! faut savoir ou tu es se que tu ressent ^^ mais sinon sympa ton rp !

+43EXP !

Bonne continuation
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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMer 17 Juin - 14:45

    Partie 7 : Lever l'ancre !



    Le jour du départ de Gon arriva trop rapidement. Il n'eut pas le temps de faire toutes les choses qu'il avait prévues, et dut même demander l'aide de Mito pour préparer ses affaires. Lorsqu'ils firent ses valises, son cœur était lourd. Il ne voulait pas les quitter une nouvelle fois, mais il savait qu'il devait prendre ce bateau. Lorsqu'ils se dirigèrent vers le port, il fut très heureux de croiser son ami, l'ours-renard nommé Kon. Il lui demanda de bien veiller une nouvelle fois sur la forêt en son absence. Kon lui mit son énorme patte sur l'épaule, chose qui aurait terrifié n'importe quel humain. Gon savait cependant qu'il ne risquait rien avec lui, et qu'il n'avait pas à avoir peur. Après cet acte d'amitié, il retourna se cacher dans la forêt parmi les siens. Mito n'avait rien dit cette fois, elle avait regardé la scène comme si Gon avait dit adieu à un enfant de son espèce. Ils reprirent ensuite leurs routes, lentement.

    Arrivé au port, Gon put constater que le bateau était effectivement là. Il se tourna ensuite vers Mito. Le moment de ce dire adieu était venu. C'était ce que Gon redoutait le plus, il n'aimait pas cela car ça le mettait mal à l'aise. Son cœur s'était resserré. Il aurait bien voulut que sa tante puisse venir avec lui, qu'elle puisse le soutenir dans ce moment difficile qui pourrait être les retrouvailles entre un père et son fils. Il aurait bien voulu qu'elle voie tout ce qu'il faisait, qu'elle soit fière de lui. Mais, malheureusement, il savait que si elle le suivait, elle ne ferait que le gêner. De plus, il l'a mettrait terriblement en danger, et ça, il ne pouvait l'accepter. Il regarda Mito droit dans les yeux, retenant ses larmes, et lui dit un simple au revoir avant de la serrer dans ses bras. Ensuite, il se retourna et avança sans regarder derrière lui, car elle lui avait appris qu'un homme ne regardait jamais derrière lui.

    Il avança le long des quais. Il fallait être un idiot pour ne pas remarquer tout de suite quel était le navire qui devait le conduire dans le nord. Il était tellement grand, imposant, puissant que tous les autres qui se trouvaient à côté ne semblaient pas plus gros que des barques. Gon le regarda, toujours en marchant sur les quais, de la proue à la poupe. Ses voiles dehors le rendaient encore plus impressionnant. De plus, le lourd bruit métallique qu'il dégageait le rendait presque terrifiant. Soudainement, alors que Gon se trouvait encore à une centaine de mètres du navire, un grand cri retentit qui disait :

    "Toutes voiles dehors, moussaillons !"

    Gon ne réagit pas tout de suite, se demandant s'il avait bien comprit. Puis, lorsqu'il remarqua que le navire semblait bouger, il courut à toute vitesse vers celui-ci. Malheureusement, c'était trop tard, le bateau était en train de partir. Gon se dit tout d’abord qu’il pouvait utiliser sa technique qui lui permettait de marcher sur l’eau mais, malheureusement, la mer n’était pas assez calme pour pouvoir espérer le rattraper. Finalement, il sprinta le long des quais. Il lui restait encore une possibilité de prendre ce bateau, mais elle était risquée. Le capitaine le vit courir sur la côte. Il ne semblait pas pourtant vouloir s’arrêter.

    **Et merde, si je ne le rattrape pas, tout est finit.**

    Gon sauta ensuite de roche en roche, grimpant ainsi rapidement la petite montagne qui constituait sa dernière chance de revoir son père. En quelques secondes il fut au sommet puis, sachant qu’il avait un peu d’avance sur le bateau, il inspira profondément, sortit sa canne à pêche, se mit en position pour envoyer le fil avec force en horizontale. Il avait peur, s’il tombait dans l’eau, il n’aurait plus la chance de faire un deuxième essai. Il devait à tout pris réussir maintenant. Après avoir serré sa canne à deux mains, il poussa un puissant cri. En faisant une rotation, il envoya le fil de toutes ses forces en direction du gigantesque roché en forme de dent qui se trouvait devant lui. Le fils fit le tour du rocher et, par chance, l’hameçon s’enroula autour du fil qui était encore de l’autre côté. Il fit quelques tour, suffisamment pour tenir quelques secondes.

    Gon n’avait pas de temps à perdre. Il attendit juste que le bateau passe juste devant lui, prît de l’élan et sauta dans le vide. La chute lui fit les larmes aux yeux, tellement elle était rapide. Il tombait tout droit, bien que légèrement attirer de l’avant grâce au fil qui se tendait. Ensuite, grâce à la forme ronde du pic de pierre, sa trajectoire dévia totalement et fit un joli arc de cercle. Très soudainement, le câble de la canne à pêche se détendit car l’hameçon s’était dénoué, et Gon tomba. Comme il avait bien calculé sa trajectoire, il s’écrasa sur les grandes voiles du bateau et glissa jusqu’à ce qu’il s’écrase sur le sol au milieu du pond. Il avait réussit.

    Le capitaine avait regardé la scène avec d’énormes yeux. Sa pipe en était presque tombée par terre. Jamais il n’aurait cru que quelqu’un serait assez fou pour tenter une cascade pareille. Lorsqu’il vit l’enfant se relever, il quitta sa cabine, remit du tabac dans sa pipe et marcha tranquillement vers l’inconscient. Celui-ci avait le cœur qui battait la chamade. Jamais il n’avait tenté quelque chose d’aussi fou. L’adrénaline ne semblait plus vouloir le quitter, mais il avait accompli ce qu’il voulait. Il était maintenant en route pour le nord.

    « Impressionnant gamin, tu as quand même réussit à prendre le bateau pour finir. La chose que tu as fais là était risquée, mais au moins elle m’a diverti. Nous faisons routes vers la tour céleste. Le trajet va durer au moins 15 jours, profites en donc pour te reposer. Sur ce, bye ! »

    Le capitaine s’éloigna de Gon, mais celui-ci sentait que quelques choses ne tournaient pas rond chez lui. Il ne s’inquiéta pas pour ci peux, mais il espérait pouvoir découvrir ce que cachait ce mystérieux personnages avant de débarquer. Maintenant, Gon avait 15 jours devant lui, il avait quelques idées sur l’emploi du temps qu’il allait se concocté, mais celui-ci pouvait attendre demain. Il se rendit donc dans la cabine qu’il partageait avec une dizaine de personne, se coucha dans un lit qui était vide et s’endormi en quelques secondes. Il se sentait vraiment heureux, paisible et libre. En effet, il savait que rien ne pouvait advenir durant la nuit, car le bateau était très fortement gardé.


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Dernière édition par Gon Hyûga le Mer 17 Juin - 14:55, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMer 17 Juin - 14:49

    Partie 8 : Le vin des marins





    Le lendemain, Gon se réveilla en pleine forme. Il avait vraiment de l’énergie à revendre et une puissante envie de puissance vint l’emplir dès le petit déjeuner. Ce jour là, il faisait terriblement beau, les mouchettes hurlaient gaiement en dessus du mat, ce qui indiquait qu’il s’était considérablement éloigné de la baie ainsi que de toutes terres. Il était seul, avec une soixantaine de marin et de guerrier qui se rendait au même endroit que lui.

    Lorsque Gon fut sur le pond, il sortit quelques parchemins de son sac, les étala sur le sol. Il les examina minutieusement avant de ce décidé sur les deux prochains qu’il allait utiliser. En effet, il était d’attaque à développer une nouvelle technique. Depuis l’examen Chuunin, il avait compris qu’il était loin d’être le plus fort, bien qu’il ait gagné. Il avait encore beaucoup de chemin à faire s’il voulait pouvoir rivaliser avec les plus puissants de ce monde, même les plus puissants de Suna. Il avait pleinement pris conscience de sa faiblesse et désirait ardemment combler ses lacunes.

    Après avoir relu plusieurs fois l’un des parchemins qu’il posa devant lui, il se leva, fit quelques étirements et se prépara à étudier de tout nouveau mouvement. Il voulait apprendre à mieux contrôler ses mouvements pour ainsi provoquer de plus lourds dégâts. Une technique pouvait lui permettre de le guider sur cette voie, et c’était bien celle là qu’il désirait apprendre. Son nom était très simple : Puissance accrue. Elle lui permettait de rendre, pendant le temps qu’il réussissait à la maintenir, ses attaques de Taijutsu bien plus puissante. Comme Gon maîtrisait principalement des attaques de Taijutsu, cette technique pouvait lui être très utile. S’il avait pu l’apprendre plus tôt, il n’aurait eu aucun mal à terrasser les deux plus puissants adversaires qu’il avait rencontré durant l’examen Chuunin : Hoshi et Namikaze. Certes, la plus grande faiblesse qui avait été révélée lors de ces combats étaient la vulnérabilité de Gon fasse à des clones, mais malheureusement, au niveau actuel de Gon, il ne pouvait hélas rien y faire.

    Le soleil commençait à taper très fort sur le bateau. Le sel de l’océan rendait encore plus insupportable cette chaleur. Gon préféra, après avoir fait quelques mouvements, enlever ses chaussures pour se sentir mieux. Le sol de bois était très chaud et sec, bien qu’on pouvait voir dans les interstices des planches des petites trainée blanche causé par le sel. Gon sautilla un petit moment avant de s’immobiliser complètement. Il devait se concentrer au maximum. Pour se décontracter, il écouta pendant quelques minutes le doux son de la mer, des mouettes et des fiers matelots qui s’activaient sur le pond. Ensuite, il se concentra sur chaque parcelle de son corps. Pour que cette technique soit efficace, il devait se concentrer sur chaque muscle de son corps afin de l’amplifier avec son chakra. Ce n’était pas une chose facile, même pour un ninja médecin. Il connaissait l’emplacement de chacun de ses muscles, mais ce n’était pas pour autant qu’il pouvait les sentir. Après être resté pendant une heure debout de la sorte, sans aucun résultat, il se laissa tomber sur le sol dans un grand bruit lourd. Il regarda un petit moment le ciel ainsi que les mouettes. Que devait-il faire pour réussir à maitriser cette technique.

    Il passa quelques heures à méditer sur cela. Puis, juste avant qu’il s’endorme d’ennui, il se releva, sortit sa canne à pêche et commença à pêcher. Il adorait vraiment cela. Ce jeu lui permettait de contemplé la beauté du paysage et de s’amuser. Il savait que beaucoup de gens trouvaient la pêche vraiment très ennuyeuse, mais c’était, pour lui, car il ne savait pas apprécié toute la beauté qui les entoure. Il lança la ligne à l’arrière du bateau, serra sa canne et regarda l’hameçon qui se trouvait à quelques mètres sous l’eau. Les poissons étaient vraiment très nombreux dans cet endroit, et Gon n’avait aucune peine à les voir et à les attraper. Ce n’était pas du tout les même qu’il avait sur son île, mais ils paraissaient tout de même mangeable. Gon n’avait pas très faim pour le moment, mais il comptait bien en garder quelques uns pour le repas du soir. Il continua de contemplé les poissons qui se mouvaient dans l’eau. Certain d’entre eux paraissaient vraiment très puissant, Gon se demandait comment ils faisaient pour se déplacer si rapidement dans l’eau, car lui n’avait pas la force nécessaire pour…

    Le capitaine, qui se baladait sur le pond n’avait rien comprit. Il avait vu Gon retirer sa ligne, la lancer sur les imposantes échelles de chanvre qui permettaient d’accéder au sommet du mat. Ensuite, il s’était éloigné quelques peu du bord, s’était retourné, avait commencé à courir et avait sauté dans l’eau glacée de l’océan. Le vieux monsieur courut voir s’il devait envoyer une bouée de sauvetage, mais, voyant ensuite que Gon se laissait tirer par le bateau expret, il ne prit que pour seul initiative de regarder le spectacle.

    Celui-ci dura plus de deux heures. Deux heures entières ou Gon se laissait tirer par le bateau, tout le corps plongé dans l’eau, tel un cadavre. Il s’occupait de relever la tête uniquement pour pouvoir respirer. L’idée était vraiment bonne, il était fier de lui. En effet, le fait de rester dans l’eau permettait, à cause de la pression et de la masse, d’avoir de plus grande chance de sentir ses muscles mais, avec la vitesse du navire et la résistance de l’eau, le fait qu’il soit tirer lui permettait d’augmenter encore cette pression si bien que ses muscles, avec le froid et le temps, commençait à s’enflammer. Il les sentait à présent quasiment tous grâce à sa très grande sensibilité. L’effet était visible à l’œil nu. Lorsqu’il sortit de l’eau en remontant sur le pond grâce à sa canne à pêche, le capitaine pu aisément remarquer que ses muscles étaient mieux dessiner et plus marqué, surement énormément dut à l’inflammation. Mais le plus impressionnant fut lorsque Gon s’avança vers un tonneau, se tenant debout très concentré. Il prit un tout petit peu d’élan et, après avoir alimenté de son chakra les muscles de sa jambe, il lança un puissant coup de pied dans celui-ci. Le baril voltigea sur une quinzaine de mètre avant de s’écraser dans l’eau. Vu le poids du baril, Gon aurait été, avant d’apprendre sa nouvelle technique, incapable de pouvoir le soulever uniquement avec son pied. Le capitaine, qui avait regardé la scène bouche bée, s’avança vers lui.

    « Bien jouer gamin, tu viens d’envoyer un joli coup de pied dans l’un des tonneaux qui contient le meilleurs vin de ce bateau. Si tu ne veux pas que les marins te jettent à la mer, je te conseil d’aller le rechercher. »

    **Et merde -_-‘**

    En quelques secondes, Gon courut vers le bord, utilisa une nouvelle fois sa technique et se propulsa avec force avec ses pieds qu’il venait de fortifier. Son bon fut gigantesque. Il avait mis bien trop d’énergie dans son action. Maintenant, il allait s’écraser dans la mer et l’équipage n’allait sans doute pas arrêter le navire pour lui. Son cœur se serra, la peur de mourir le gagna. Il aurait très nettement préférer mourir en ninja plutôt qu’après une stupidité de la sorte. Soudainement, il sentit l’espoir le regagner. Une cloche sonna sur le navire, les marins s’activaient encore plus. Le navire changea de direction et fit demi-tour. Il n’en revenait pas, ils avaient rebroussé chemin pour lui, c’était si gentil. Juste avant que deux marins plongent dans l’eau pour venir vers lui, il entendit plusieurs d’entre eux qui disaient :

    « Du vin à la mer, du vin à la mer. »

    Leurs intentions n’étaient pas du tout celle de le sauvé. ---‘


    85 lignes




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Dernière édition par Gon Hyûga le Lun 22 Juin - 22:20, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMer 17 Juin - 22:31

    Partie 9 : Le calme avant la tempête




    Le calme de la mer peut soigner tous les maux. Le coucher du soleil peut soulager tous les chagrins, hormis celui causé par le manque de quelqu’un. Personne ne peut connaître mieux cette douleur que le jeune Gon. Celui-ci, assis en équilibre sur le plus petit mat qui se trouve à l’avant du bateau qui se dirige vers la tour céleste. Le manque causé par son père semblait bien trop grand pour le petit cœur de l’enfant. Le désespoir de n’avoir la chance de le revoir aurait du le ronger de l’intérieur, noyant son cœur et le glaçant, le rendant totalement insensible à toute émotion. Et pourtant, le jeune garçon était tout le contraire.

    Sa sensibilité, c’est sans doute cela qui l’avait permis d’avancer sans jamais s’arrêter pour reprendre son souffle. Il avait comblé le vide qui se trouvait dans son cœur en faisant le bien tout autour de lui. Personne ne pouvait lui reproché d’avoir été méchant. Gon était la bonté, la gaieté et la générosité en personne. Dans son village, tout le monde l’appréciait pour ses qualités, ils savaient également tous pertinemment que si un jour il avait besoin d’aide, Gon serait le premier à venir. Ce sentiment de confiance s’était étendu, de plus en plus, telle la lumière d’une bougie. Une bougie qui liait les gens qui avait confiance en lui et qui le soutenait. Une lumière qui devenait de plus en plus grande de jour en jour, ayant pour rêve d’un jour égalé à celle du soleil. Cette lumière, c’était elle qui guidait Gon, qui le portait de l’avant et l’empêchait de regarder en arrière. Telle une étoile qui le guide vers l’espoir.

    La mer était calme, presque trop. Le soleil se couchait, laissant place à la lune qui croyait l’égaler. Croyance futile car, ne l’ayant jamais croisé, elle ne pouvait savoir que le soleil brillait telle une flamme. Sur le bateau, le capitaine tenait toujours la barre. En voyant Gon, il se décida de la lâché et de laisser son second prendre les commandes. Il s’avança ensuite vers le jeune Hyûga qui regardait toujours, depuis des heures, ce passage entre le jour et la nuit. Il s’assit à côté de lui et lui posa une simple question.

    « A quoi penses-tu ? »

    Gon, toujours pensif, lui répondit sans détourner l’œil de la merveille qui se déroulait devant ses yeux.

    « Je pense à mon père, et à mes chances de le retrouver. J’ai peur d’être comme la lune, qui poursuit désespérément le soleil, sans jamais pouvoir le rattraper. Je sais que je ne serais jamais aussi brillant que mon père, mais j’espère qu’il pourra m’éclairer et me permettre de prendre le bon chemin. Voilà ce que je pense. »

    Le capitaine prit son temps. Il sortit sa pipe de sa poche, mit du tabac qu’il contenait dans une toute petite boite en ébène qu’il avait dans sa poche. Ensuite, il sortit d’une autre poche un paquet d’allumette qu’il utilisa pour allumer son engin qui commença à dégager une douce odeur qui faisait pensé à la forêt. Il tira dessus quelques fois, fit un joli rond de fumer et répliqua :

    « Tu es encore jeune pour penser d’une pareille façon. Tu me fais penser à un type qui était venu sur mon bateau voilà une dizaine d’année. Je me demande si ce n’est pas à lui que tu penses, car il te ressemblait beaucoup. Son œil dégageait tout comme chez toi un sentiment de confiance que je n’avais jamais vu et qui demeure jusqu’à ce jour, à mes yeux, inégalable. »

    Gon ne réagit pas vraiment au propos du capitaine. Il regardait les derniers rayons du soleil qui disparaissait dans l’horizon, lieu totalement inatteignable. Il se demandait bien ce qu’il pouvait bien y avoir au delà de lui-ci. Lorsque la dernière lueur du jour eut quitté cette terre, il se releva, regarda le capitaine et lui répondit enfin.

    « Je pense que c’était lui, et qu’il envisage de me faire suivre la même voie qu’il a entrepris, si bien sûr j’arrive à suivre le chemin emplit d’embûche qu’il veut que je prenne. Je sais très bien que si je le déçois, je n’aurais que peux de chance de le revoir mais, sur ma vie, je peux vous jurer que je le retrouverais, quoiqu’il m’en coûte. »

    Le capitaine resta ébahis, sa pipe faillit tomber de sa bouche. Il était vraiment stupéfait, car les yeux de Gon dégagèrent une nouvelle fois cette impression étrange. Le capitaine en était certain, ce garçon pouvait le retrouver, il voulait en tout cas y croire.

    Après avoir discuté et rie pendant une bonne demi-heure, le capitaine invita le garçon aux cheveux noirs à venir apprendre un peu comment on commande un navire. Il lui apprit comment contacter la salle des machines avec l’interphone, certains codes marins dont Gon ignorait l’existence ainsi que de multiple histoire de marin. La nuit avançait et la mer était toujours aussi calme.

    Soudainement, le jeune Hyûga se releva d’un bond. Il regarda l’horizon, comme s’il avait sentit quelques choses. Après quelques secondes, il se dit que ce n’était rien, et revint à sa discussion avec le capitaine. Cependant, une demi heure plus tard, il n’avait plus aucun doute. Il l’entendait bien, la mer grondait, une tempête approchait rapidement. Par amitié avec le capitaine, il lui expliqua très précisément ce qu’il pensait arriver droit sur eux. A la fin de ses explications, il fut vraiment surpris d’entendre le capitaine rire.

    « Tu as vraiment une ouïe hors du commun. Nous nous dirigeons belle et bien vers une terrible tempête, mais ne compte pas sur moi pour changer de direction. On va y aller à fond les manettes, sans changer de cap. »

    Gon aurait bien voulut lui demander pourquoi, mais il n’en eut pas l’occasion. Le capitaine avertit rapidement tout le monde de la situation. Sur le navire, c’était la panique. Tous courraient dans tout les sens, car le capitaine avait annoncé que c’était la plus dangereuse tempête qu’il y avait depuis près de 10 ans. Gon, quand à lui, sachant qu’il ne ferait que gêner s’il essayait d’aider les marins, se remit en équilibre sur la proue du bateau.

    La puissance de l’orage ne fit que peu de temps à se faire sentir. Les vents se déchaînaient, la mer devenait de plus en plus instable, les mouettes s’étaient éloignées, fuyant le danger qu’était pour eux cette tempête. Gon s’était enfin décidé à aller dans la cabine du capitaine et regardait simplement le vieille homme agirent tranquillement, donnant une multitude d’ordre. Gon mit tout de même le capitaine en garde, car il sentait au plus profond de lui que la tempête n’aurait aucun mal à couler un bateau de cette taille, mais, contre toute attente, le capitaine commença à lui crier dessus.

    « Ne m’embête pas pour des pacotilles. Ce bateau ne peut pas être coulé, si tu avais prit la peine d’utiliser au moins une fois ton don depuis le départ, tu saurais. »

    Il était en effet vrai que le jeune Hyûga n’avait pas encore utilisé son Byakugan depuis le début de son odyssée. Il se dit qu’il ferait mieux d’écouter le capitaine, s’il ne voulait pas une nouvelle fois se faire engueuler. En ouvrant ses yeux, il fut vraiment étonné du spectacle qui se déroulait devant ses yeux. Normalement, Gon aurait du voir du Chakra dans chacun des membres de l’équipage qui s’activait dehors, mais ce qui était étonnant, c’était qu’il ne pouvait pas voir plus loin que cette pièce. En effet, tellement de Chakra se trouvait devant ses yeux qu’il ne pouvait rien voir au-delà.

    « Mon dieu, vous avez raison, désolé de vous avoir insulté, ce bateau est vraiment insubmersible ! »

    Le capitaine était en faite un Ninja, bien qu’il n’utilisait pas de technique. Tout ce qu’il avait fait durant les multiples années qu’il avait passé à sillonner les mers, c’était imprégner tout son bateau de son Chakra. Chaque planche était imprégnée de Chakra, ce qui la rendait plus souple et plus solide à la fois, comme le désirait le capitaine. L’eau pouvait certes, à certain moment avoir un pouvoir destructeur monstrueux, mais ce n’était rien en comparaison des protections qu’avait usé le chef de ce navire. Gon savait maintenant qu’il n’avait pas de crainte à avoir. Il désactiva son Byakugan et alla aider les passagers du bateau qui ne se sentait vraiment pas bien, car les vagues étaient maintenant si monstrueuses qu’elle faisait monter un chuter le bateau de plus de 30 mètres.

    Le lendemain, le capitaine eut beaucoup à faire. Il fallait contrôler qu’il n’y ait pas trop de mort ainsi que les dégâts qui auraient put toucher le bateau (les mats et les cordes n’étaient pas imprégnés de Chakra). Lorsqu’il entra dans la soute, il vit Gon qui courait sur un tonneau, l’amenant ainsi vers plusieurs hommes qui étaient blessé ou qui étaient assoiffé et affamé faute d’avoir tout vomit. Il s’occupa de les soigner également.

    Après avoir finit son tour d’inspection, le capitaine avait constaté que plusieurs personnes méritaient d’arriver à la tour céleste. Le premier était Gon. Le deuxième était un Ninja aux cheveux blonds qui avait été assez intelligent pour suspendre un hamac entre deux poutres pour dormir durant la tempête, il avait ainsi passé une bonne nuit, et le dernier était un homme qui portait des lunettes et qui avait passé son temps à lire des bouquins de médecins durant toute la durée de l’orage. Lorsqu’il fut arrivé dans sa cabine, le chef de ce navire ne put s’empêcher de rire.

    « Cette année, la pêche a été bonne. Mais je me demande quelle tête ils feront en apprenant que ce voyage n’est que l’une des épreuves permettant d’accéder à la tour. Hahahaha



    110 lignes
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Kawachi Soyokaze

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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeLun 22 Juin - 23:05

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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMar 23 Juin - 17:58

    Partie 10 : Tant qu'il y a une chance, il y a de l'espoir !



    Cette nuit là était sans lune. Pas un seul bruit semblait pouvoir troubler le calme de la mer, et pourtant, un sinistre bateau venait juste de quitter la terre ferme, suivit d’une flotte toute entière. Personne ne pouvait croire, devant la puissance et la grandeur de chaque navire, que le bateau qu’il comptait attaquer avait une chance d’y échapper. En effet, ces navires, commandé par le capitaine Feng semblait insubmersible, surtout celui dans lequel il sillonnait les mers. Ce n’était pas un navire ordinaire, car une sorte de carapace semblable à une tortue avec des piquants dessus le protégeait de toutes attaques. Ses multiples balises étaient si bien réalisée et si puissantes qu’elles pouvaient faire couler une dizaine de bateau en un seul tire. Bref, cette flotte était parfaite pour traquer n’importe quelle navire jusqu’au bout du monde. Son capitaine, Feng, était réputé pour commander d’une main de fer. Il était recherché dans de multiple pays pour ses crimes de pirateries, de violes et de meurtres. Et cette nuit là, ce furent un drapeau noir suivit d’un drapeau rouge vermeille, que l’on croyait baigner dans le sang qui furent hissés au sommet des mats ainsi que posé sur la carapace de la tortue qui n’avait jusque là connu une seul défaite.

    Feng était un homme qui vivait dans le seul but de ce vengé de gens qui l’avait humilié voilà 20 ans. Un navire lui avait échappé, après avoir coulé la moitié de sa flotte et troué la coque de son navire sur un bon mètre. Tout cela avait été causé par un jeune homme d’une douzaine d’année et par un capitaine ayant la quarantaine. Cette nuit où il avait attaqué ce navire, il en rêvait tout les jours. Et voilà que, depuis quelques mois, il avait entendu dire que le capitaine refaisait voile vers le nord, avec un nouvel équipage. Il ignorait ce qu’était devenu le gamin, mais il espérait l’apprendre en torturant celui qu’il haïssait tant. Sur son bateau, il regardait alors l’horizon qui n’était encore que ténèbres. En se levant rapidement, il dégaina son sabre, le tendit en l’air en poussant un cri si terrifiant qu’il permettrait d’ôté le courage à n’importe quelle homme qui désirait lui tenir tête.

    « MA VANGENCE SERA TERRIBLE, QUE L’AUBE SOIT ROUGE !!!!! »

    Quelques heures plus tard, sur un bateau qui avançait lentement à cinquantaine de kilomètre des côtes, un jeune garçon qui dormait paisiblement se réveilla en sursaut. Tout autour de lui, les gens couraient, dévoré par la peur. Il se leva, sauta de son lit et couru dans la cabine. Là, il entendit une conversation entre le capitaine et une autre personne qu’il n’aurait sans doute pas du entendre.

    « … mais ces navires ne font pas partie de l’épreuve. Ceux qui devait nous attendre on été coulé voilà deux heures par ces corsaires. Leur flotte est constituée d’une cinquantaine de navire, dont dix d’entre eux nous arrive droit dessus par le nord. Le reste vient du sud. »

    Le capitaine regarda son matelot avec sérieux. Il n’avait pas remarqué le jeune Hyûga qui était caché derrière un tonneau.

    « Et si nous passons par les flancs pour leurs échapper ? »

    La personne qui semblait être son second regarda le sol avec un regard triste. La peur se lisait dans son regard, il ne pensait sans doute pas pouvoir y réchapper.

    « Impossible, si nous partons à l’est ou à l’ouest, c’est Iwa ou Kumo qui vont nous canarder. Nous n’avons aucun moyen d’y échapper, hormis un léger passage, si nous avançons assez vite. »

    « Quel moyen ? »

    Gon était sortit de sa cachette, il savait pertinemment qu’il n’avait pas de temps à perdre. En regardant les yeux du capitaine, il avait tout de suite compris que la situation était critique et qu’il devait faire au plus vite. De plus, si la rapidité pouvait les tirer de cette mauvaise passe, il fallait faire maintenant tout leurs possibles pour accélérer.

    « Les navires du nord ne se sont pas encore totalement rejoint, si nous avançons assez vite, nous pourrions passer juste entre eux, mais leurs canons pourraient sans doute nous toucher. Mais cette solution est quasiment envisageable, car le bateau est bien trop charger pour aller assez vite. »

    Le capitaine joua avec sa barbe pendant quelques instants, semblant réfléchir à la meilleure solution qui se présentait à eux. Cependant, il ne savait pas comment ils pourraient y arriver. Même si les matelots se donnaient à fond, il ne passerait pas. Il se posait beaucoup de question, sans trouver réponse, jusqu’à ce que Gon, comme s’il avait put lire ses pensées, lui apporta la solution qui semblait inespérée.

    « Ce bateau est plein de personne pouvant maitriser le ninjutsu. Il ne faut pas oublier que les passagers sont aussi là. Nous pouvons vous aider à augmenter l’allure. J’en ai vu quelques uns qui possèdent des techniques qui pourraient nous êtres utiles. Si nous nous donnons tous à 100%, nous pouvons passez. »

    Le capitaine réfléchit pendant encore quelques instants, puis, soudain, il poussa un grand cri, tapa avec force sur l’épaule de Gon et de son second avant de rire un bon coup.

    « OUI, nous pouvons le faire. Tu as raisons petits, si nous nous unissons, nous pouvons triompher. Et puis, c’est notre seul solution, il faut nous en tenir. Hahaha ! »

    Il se retourna et commença à donner des ordres. Gon quitta rapidement la cabine pour rejoindre les passagers qui couraient toujours dans tout les sens dans la soute. Lorsqu’il y fut, il poussa un grand cri pour demander le calme, mais c’était vraiment la panique. Beaucoup d’entre eux étaient vraiment des lâches. Mais il y avait quelques personnes sur qui il pouvait compter. L’homme aux lunettes et le jeune homme blond frappèrent sur l’un des faibles qui poussaient les gens à la panique. Tous se calmèrent. Le blond dit alors à Gon de leurs dirent ce qu’il fallait faire.

    Il n’y avait pas de temps à perdre. Les navires qui les suivaient étaient maintenant visibles même dans la noirceur de la nuit. Gon ordonna à chacun de lui dire leurs affinités. Par chance, beaucoup était de type Fuuton. Il les envoya tout de suite à l’arrière du navire avec pour ordre de rendre les vents plus favorable à leurs progressions. Ceux qui étaient de Suiton durent se rendre à l’avant et à l’arrière du navire pour essayer de le pousser ou de diminuer la résistance qu’avait l’eau envers le navire. Ceux de type Katon, Genjutsu, devaient rester sur place tout comme ceux de Raiton, attendant qu’il leurs donne d’autre fonction. Les spécialistes en Taijutsu devaient quand à eux aider les marins à faire que leurs bâtiments soit dans les meilleures conditions pour avancer et, dans le pire des cas, pour se battre.

    Le capitaine, quand à lui, dirigeait le navire d’une main de fer, chantant des chansons de marins, presque le sourire aux lèvres, car cela faisait déjà vingt ans qu’il n’avait revécu une pareille épopée.


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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeLun 29 Juin - 22:28

    Partie 11 : Les problèmes s'accumulent



    Sur la côte du pays de la foudre, plus communément appelé Kumo, se trouvait un tout petit village. Ce village était très réputé pour ses poissons délicieux qu’il vendait dans le monde entier. La vie était simple et paisible dans ce petit regroupement de maison. Chacun pouvait être sur que le lendemain ressemblerait à la veille, car rien de nouveau ne semblait pouvoir se passer. C’était comme si ce village était dévoré par l’ennuie et la monotonie. Cependant, un jour ou l’autre, ce calme devait être bouleversé, et ce jour était enfin arrivé. Le village allait rentrer dans l’histoire.

    Un marin, qui pêchait tranquillement ses saumons, se retourna vers le pic des dents de sabre. Ce pic était comme un monument historique, il faisait la fierté du village. Beaucoup venait pour le contempler, bien qu’ils soient de moins en moins nombreux aux fils des années. Mais ce pécheur ne regardait pas le pic pour sa beauté et sa renommée, mais plutôt à cause d’un bruit qu’il entendait. Plusieurs hurlements se faisaient entendre, semblable au diable qui dresse ses serviteurs. Jamais le marin n’avait entendu quelqu’un crier avec tant d’autorité. Il était subjugué, désirant savoir d’où venait ce cri. Mais il n’eut pas à chercher longtemps, car un bateau de grande taille venait de sortir de sa cachette à vive allure. Le pêcheur regarda l’équipage pendant quelques instants, puis, lorsqu’il eut constaté que le navire allait beaucoup trop vite pour ralentir, il poussa un cri pour avertir les gars du port.

    Deux des hommes qui s’occupaient de la sécurité du port se mirent à rire en voyant le pêcheur plongé à l’eau alors que le navire en excès de vitesse se trouvait à 2 kilomètres. Puis, lentement, ils se relevèrent, comme s’il avait vu un fantôme. Le premier bateau ne les intéressait plus. Ils plissèrent les yeux pour mieux voir à l’horizon, puis avec un affolement totale, l’un deux couru sonner la cloche d’alarme pendant que l’autre ne pouvait que contempler le spectacle qui se trouvait devant ses yeux. C’était une véritable flotte qui venait de passer le Pic, une flotte si énorme que tout le pays de Kumo ne pourrait même pas la repoussé. Et eux aussi, ils semblaient très rapides.

    Dans le village, c’était la panique, tandis que sur le bateau en fuite, tous savait se qu’il devait faire. Jamais personnes n’avaient eut l’idée de naviguer ainsi. Le vent, maîtriser par quelques hommes qui transpiraient d’épuisement, semblait pousser le bateau. La mer était calmée pour que celui-ci avance plus vite. Et les hommes d’équipage travaillaient telle un seul homme. Dans sa cabine, le capitaine chantait des chansons de marins, pendant que sur le pond, son second et une espèce de nabot dirigeait les hommes d’une main de fer. Le jeune garçon au cheveux noirs était un peu gêner, car le capitaine venait juste de l’engueuler. C’était en faite, ce cri qu’avait entendu le pêcheur.

    Gon avait fait une erreur. Par leurs fautes, ils s’étaient trop approchés des côtes de Kumo. Une nouvelle flotte allait être lancée pour les arrêter. Ils n’avaient que peux de chance cette fois de s’en sortir, mais il n’avait pas le choix. Il leur restait une chance, et il devait la tenter, si infime soit elle. Arrivé à 500 mètres du village, Gon vit une ombre lui cacher le soleil, quelques centièmes de seconde. Il ne réfléchit pas une seconde, agit instinctivement en sautant sur l’homme qui se trouvait à sa gauche. Il le poussa par-dessus bord, mais prit bien soin de ne pas le lâcher. Les deux hommes tombèrent dans l’océan, évitant de justesse une baliste de la taille d’un mat qui leurs arrivait dessus. Avant de toucher l’eau, Gon sortit sa canne à pêche et lança la ligne.

    Les hommes qui les avaient vu tomber regardèrent par-dessus bord pour voir où ils se trouvaient, mais rien, impossible de les trouver. Le second alla tout de suite avertir le capitaine. Celui-ci fut accablé, mais il ne pouvait pas ralentir le navire. S’il ralentissait, ils seraient canardé, et droit devant eux se trouvait un autre ennemi, le village qui venait de leurs tirer dessus. Le capitaine prit les choses en main. La moitié des hommes qui se trouvaient au sommet des tours munies de balistes furent mitraillé de boules de feu envoyé par les utilisateurs de Katon qui n’avait jusqu’alors rien fait. L’autre moitié fut trompée par les maîtres de Genjutsu, c’était en effet l’une des plus brillantes idées du capitaine. Le Genjutsu envoyé visait à effacer le navire des yeux des soldats et de rendre la flotte qui suivit bien plus nette. Les tirs visant les navires noirs furent très précis, coulant beaucoup des navires. Malheureusement, les navires qui coulèrent énervèrent le chef des brigands, qui ordonna à la moitié de sa flotte de raser le village.

    Ce fut un véritable massacre, les femmes furent violées et tuer, les enfants jetés contre les murs. Quand aux maris, ils eurent les yeux crevé et finirent égorgé. Seul un garçon et une fille du même âge échappèrent au massacre, bien que la fille se fît brûler les yeux. Ils se rendirent à la capitale, annoncèrent ce qu’ils avaient vu, ce qui entraîna une guerre sanglante contre les pirates et le capitaine Lee, mais ceci est une autre histoire.

    Sur les navires corsaire, tous travaillait également avec la volonté de rattraper leur retard, et il avait encore une ressource qu’il n’avait pas exploitée. Le capitaine leva le bras et, au même moment, des dizaines de rames sortir de la coque de chaque navire. Avec ce stratagème, ils les rattraperaient rapidement, et tiendront enfin leur revanche.

    Dans l’eau se trouvait toujours Gon ainsi que le marin. Ils étaient tirés par un navire. Le jeune garçon tenait le puissant gaillard qui s’était évanouie. Il tenait de l’autre main sa canne à pêche, mais commençait à faiblir. Un sentiment de peur le pétrifiait encore plus que le froid de l’eau. Il croyait savoir dans quelle pétrin il était, mais il était encore loin du compte. Mais finalement, une nouvelle fois, une lueur d’espoir vint raviver sa flamme, le marin s’était réveillé, et ils se tirèrent ensemble le long du câble de la canne à pêche. Chaque muscle de Gon lui faisait mal et pourtant, il savait qu’il devrait encore utiliser de sa force s’il voulait pouvoir survivre. Tout cela allait se passer car il avait raté son premier tir pour s’accrocher au navire en fuite.

    Le marin l’aida à monter sur le bateau, sans dire un mot. Il avait bien compris qu’ils n’étaient pas sur le navire de son chef, et qu’ils devaient être très discret s’il ne voulait pas être démasqué et tuer. Ce qu’il ignorait, c’était que par malheur, ils étaient arrivés sur le navire d’un des plus cruel coordonné de Lee, et que celui-ci était présent il y a vingt ans. Allait-il reconnaître le fils de celui qui leurs avaient causé tant de soucis ? Gon allait-il s’en sortir ? Vous le saurez très prochainement.



    80 lignes


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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeLun 29 Juin - 22:34

    Partie 12 : Infiltration chez l'ennemi



    Il fallut beaucoup de temps pour que Kumo apprît ce qui concernait du massacre, mais en revanche, il fallait que très peu de temps pour qu’il ne découvre qu’une flotte se trouvait non loin du pays. Environ 10 minutes avant que la flotte passe le Pic, une autre flotte, presque aussi importante mais mieux armées sortit des côtes nord du pays. Elle n’avait que deux but, couper la trajectoire des navires ennemis avant qu’il ne quitte le territoire de la foudre et exterminé chacun des navires ainsi que leurs occupants. Cette flotte était composée de navire plus puissant que rapide, mais les dégâts qu’elle pouvait engendré étaient énormes.

    Pendant ce temps, sur un navire corsaire, le jeune Gon et le marin du nom de Azurro se reposaient légèrement à l’abri des regards. Pour le moment, ils avaient eu beaucoup de chance de s’en sortir, et ils n’étaient pas sortit de l’auberge. Ainsi, il devait être en forme pour ce qui allait suivre.

    Après une dizaine de minutes, le jeune Hyuuga se dit qu’il serait bien le moment de bouger. Il activa son Byakugan, regarda tout autour de lui, chaque parcelle de ce navire et de ceux qui l’entouraient car, comme les navires progressaient en rang très serré, ils pourraient se faire pincer par un corsaire qui regarderait au mauvais endroit au mauvais moment. Il savait qu’il n’avait pas le droit à l’erreur. Il était la dernière chance pour que le navire du capitaine arrive à bon port. Disant au marin de le suivre de très prêt, il avança furtivement le long du bateau. Il entra pour commencer par le pond arrière dans la coque du vaisseau. Prenant soin de refermer la porte de manière à produire le moins de bruit possible et avançant sans faire le moindre bruit, il comptait frapper sans être vu. Son Byakugan était un outil majeur de son plan, car il pourrait prévoir se qui allait se passer avant qu’elle ne se passe. Très rapidement, lorsqu’il fut arrivé devant une porte, il se plaqua contre le cadre de celle-ci, soufflant au Marin :

    « Dans 10 secondes, lorsque la porte s’ouvre, tu cognes ! »


    Ensuite, il se tint devant la porte, sortit un Kunai et se concentra. La porte s’ouvrit, deux marins le regardèrent d’un air ébahi, le premier s’écroula après s’être prit un pain d’une rapidité exemplaire et le second eut la gorge tranchée par un Kunai terriblement bien lancé. Ensuite, Gon s’avança vers les deux hommes à terre, trancha la gorge à celui qui était encore vivant et, avec l’aide du marin, il porta les deux corps dans un coin de la salle et les empila là. Quelques minutes plus tard, un homme qui montait la garde sans vraiment faire attention se fit également égorgé comme un cochon, fut saisit et mis dans la soute du navire. Maintenant, un gros problème se trouvait devant Gon, car la prochaine salle était vraiment plaine d’homme, vu que c’était là que se trouvaient les rameurs.

    Finalement, il s’était trompé. La salle fut rapidement vidée de ces affreux brigands. Ils n’étaient en faite que 3 vu que les autres n’étaient que des esclaves qui furent heureux de voir le jeune Hyûga entré dans la pièce. Celui-ci leurs demanda cependant de ne pas ralentir la cadence, s’il ne voulait pas se faire remarquer. Ils suivirent ses ordres à la lettre, seul l’un d’entre eux l’accompagna, car il était chargé de taper le rythme sur un tambour, chose absolument inutile pour ses hommes qui avaient ramé toutes leurs vies.

    Les deux intrus et l’esclave progressèrent rapidement sur le navire. Arrivé sur le pond, ils firent vraiment un travail de professionnel, car aucune des victimes n’eurent le temps de crier et ils n’attirèrent, par chance, pas l’attention des navires à proximité. Les corsaires de se navire était vraiment des bons à rien pour s’être fait piéger la sorte. Avec ses yeux, Gon avait constaté qu’il se serait fait chopper facilement dans n’importe quelle navire au alentour. Les trois hommes se risquèrent par la suite à se rendre dans le compartiment du chef de se navire. Celui-ci les remarqua tout de suite, mais malheureusement pour lui, il était très âgé et ne semblait pas apte à opposer une grande résistance. Tout ce qu’il dit avant de mourir noyé par son sang, ce fut :

    « Fils de ****, tu oses revenir nous hanté après vingt ans. Si seulement j’avais réussit à te couper la gorge la première fois que nous nous sommes croisés, j’aurais buté la sale chienne qui se trouvait avec toi et qui possède les même yeux. Pourquoi n’as-tu pas montré la première fois ton don immonde ! Tu vas… glou… glou ! »

    Il était mort, et Gon était frustré. Il se demandait de qui pouvait bien parler ce vieil homme, avec qui il pouvait bien le confondre ? S’il aurait su que cet homme le prenait pour son père et qu’il avait insulté la femme qui s’était sacrifié pour qu’il survive, sa mère. Le jeune Hyûga ressentit quelques choses de violent, comme un immense sentiment de haine et de dégoût, impossible à décrypter, comme s’il ne savait pas pourquoi il ressentait une chose pareille. Il ne pouvait savoir que le sentiment qu’il ressentait était celui qu’il avait ressenti sur une île très étrange voilà 11 ans lorsque son père avait été frappé par un homme qui était terriblement puissant. Mais Gon n’avait qu’un an me direz-vous, et je vous répondrais : oui, il n'avait qu'un an, mais sa n'empêche pas que cet évènement s'est inscrit inconsciement dans sa mémoire.

    Après avoir laisser le corps avachit par terre, sans la tête (et oui, Gon s’était un peu laissé emporté), les trois acolytes ressortirent de la salle et remontèrent sur le pond. Par malheur, Gon entendit un bruit qu’il avait tant craint, le bruit de l’alarme. Ils s’étaient faits repéré.




    67 lignes
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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeLun 29 Juin - 23:13

[Validation]

Hop hop >< que de Rp !

46EXP pour toi ^^

Bonne continuation !
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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMar 30 Juin - 22:49

    Partie 13 : Strike




    Une cloche retentissait sur l’un des navires. Plus personne n’ignorait maintenant ce qu’il s’était passé sur le navire tenu maintenant par Gon, un marin et une poignée d’esclave. Gon parla donc au trois hommes qui se tenait sur le pond. Il expliqua tout d’abord à l’esclave qui l’avait accompagné qu’il devait tenir la barre s’il voulait pouvoir s’en sortir, puis il se tourna vers le marin qu’il avait sauvé précédemment.

    « Je sais que ce que je vais te demander est fou, mais il faut que vous prenez le commandement de ce navire. Ralentissez puis faites demi tour. Il leurs faudra quelques minutes pour que le capitaine en soit informer. De plus, vu leurs nombres, même s’ils ne vous envoient que 3 navires, ils auront de la peine à quitter ensembles le nerf de la flotte. Vous devez faire vite, bonne chance. »

    Gon s’était déjà accroché à l’une des échelles en cordes qui menait au mat lorsque le marin le saisit par le bras.

    « Et toi, que vas-tu faire ? »

    Gon s’échappa de l’emprise de son ami, et reprit son ascension vers les hauteurs du navire. Lorsqu’il fut a mis chemin, il regarda en bas en riant. Bien que saisit par la peur, il débordait de courage, d’idée farfelue qu’il voulait essayer. Lorsqu’il eut finit de rire, il regarda son ami avec un grand sourire.

    « Je vais leurs donner le mal de mer ^^ »

    Ensuite il grimpa, grimpa, sans regarder ce qui se passait sur le pond. Il ne vit donc pas le nouveau capitaine prendre les reines en appelant quelques rameurs afin qu’il aide à préparer le navire à faire demi tour. Il ne vit pas non plus l’esclave commencer à chanter des chansons, sans doute influencer comme tout bon capitaine par l’horizon. Le bateau n’allait donc pas tarder à faire demi tour et Gon devait absolument quitter le navire avant. Sur le mat, il regarda autour de lui, les deux navires qui les entouraient changeaient de place leurs balistes afin de viser l’intrus parmi la flotte. Gon devait aider ses amis à en réchapper. Il donna toute sa force sur ses jambes et sauta. Il sauta si haut que le soleil bouchait son irruption sur le deuxième navire qu’il comptait capturer. Ce bâtiment se trouvait juste devant celui qui se prêtait à s’enfuir. Les corsaires avaient préparer une baliste et était prêt à faire feu, mais Gon les en empêcha.

    Le garçon apparu comme par magie au milieu d’eux et les ruèrent de coup, les envoyant tous dans l’eau qui les entourait. Les autres furent plus rapides à comprendre ce qu’il se passait mais malheureusement pour eux, ils n’étaient pas Ninja. Seul le premier rang de la flotte en possédait, et il n’avait pas encore eut vent de ce qu’il se passait. Gon les esquiva un par un, rendant chacun de leurs coups, mais lui ne ratait jamais ses coups. D’autres cloches se mirent à tinter, mais il s’en fichait. Il devait aider ses amis coûte que coûte. S’il n’était pas capable d’aider une poignée d’homme, comment pourrait-il protéger un village entier. Il devait donner le meilleur de lui-même, quitte à y passer.

    En quelques minutes, le navire était devenu désert, il prit donc la barre dans le but de faire le plus de dégâts possible chez l’ennemi, mais comment. Soudain, une idée de fou lui vint à l’esprit. Il savait qu’il avait beaucoup de chance d’y rester, mais sa valait amplement le coup. Il lâcha le gouvernail, couru vers sur le côté avant gauche du navire, et vit alors les énormes chaînes qui tenait l’ancre. Une dernière hésitation le gagna, qu’il balaya en envoyant un grand coup de pied dans le système qui tenait l’ancre en haut. Il fit un bon en arrière et essaya d’attraper le mat qui se trouvait derrière lui, mais en vint. Le mouvement du bateau avait été trop brusque. Il avait presque piqué du nez en pivotant pratiquement sur place. La moitié de la coque se déchira, laissant des mètres cubes d’eau entrer dans la soute qui était encore pleine d’esclave et de corsaire. Gon aurait bien voulu les sauvés, mais ils étaient déjà perdu. Le navire frappa la coque du bateau qui se trouvait à sa gauche, broyant les deux coques. Gon qui avait été projeté en arrière se fit violement frapper par le mat qui avait changé le sens des voiles. Tout son dos lui faisait mal. Avant qu’il n’ait put pousser en cri, les deux navires qui étaient détruit avait frappé un autre navire, puis un autre. En tout, quatre navires furent coulé par se stratagème.

    Bien qu’ayant des blessures au niveau du dos, le jeune Gon prit son courage à deux mains et sauta de bateau en bateau. Jusqu’à ce qu’il arrive sur celui qui semblait couler le moins vite. Il frappa quelques personnes qui n’avaient pas encore sauté à la mer, puis il s’assit, regardant l’étendu des dégâts. En tâtant de ses mains, il sentit tout de suite qu’un morceau de bois s’était planté dans son corps. Il essaya tout d’abord de le retirer, mais, après avoir poussé un cri qui aurait fait peur au diable lui-même, il lâcha sa prise. Il réfléchit à vive allure. Finalement, il comprit que ce n’était pas un morceau de bois qui dépassait de sa peau, mais que c’était l’un de ses os. Il posa donc sa main sur la partie de son dos qui lui faisait mal et commença à se concentrer. Il n’avait pas l’habitude de soigner des blessures aussi importante, et il ne savait pas s’il en était capable.

    Le navire du matelot et de l’esclave devenu capitaine avait put faire demi tour juste à temps pour éviter le carnage causé par l’enfant aux cheveux noirs. Ils étaient contents car, grâce à la pagaille qu’avait causé Gon, il pourrait sans doute s’échapper sans être poursuivit. Le bateau prit donc la direction opposée de la flotte, bien que tous se faisaient du souci pour l’enfant. Ils savaient tous que s’il était pris, il serait tué.



    72 lignes


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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMar 30 Juin - 22:56

    Partie 14 : Dans la mouise oui, mais avec une nouvelle technique ^^



    C’était impossible. Il était cette fois belle et bien devant une impasse. Il avait beau tout essayé, impossible de soigner cette maudite blessure. La douleur était atroce, digne à de la torture. Il avait pourtant été de multiple fois blessé, mais là, tout était différent. Il ne pouvait soigner que des blessures légères en si peut de temps avec les outils qu’il avait en main. Il le sentait, seul 5 minutes lui serait offertes. Et il avait raison parce que, sur la tortue à pics, Lee était enfin au courant de la situation. Le corsaire qui lui apporta la nouvelle eut un couteau planté dans ses organes génitaux. Lee était fou de rage.

    « Comment cela a pu arriver ? Vous êtes tous que des incapables, c’est la deuxième… »

    Le capitaine arrêta net de bouger. La crainte et le désir de revanche commençaient à se voir sur son visage. C’était en effet la deuxième fois que sa flotte subissait de tel dommage sans qu’il en soit averti. Tout cela datait de vingt ans, mais pourtant, sa haine n’avait pas diminué. Il attrapa l’homme qu’il avait rendu femme, le souleva en l’étranglant.

    « Qui attaque les navires ? »

    L’homme pleurait de désespoir. Il avait déjà tout perdu, et savait que si la réponse ne convenait pas au capitaine, il serait tué. Il devait donc mentir ? Que serait la vie alors qu’il avait perdu ce qu’il avait de plus cher, sa masculinité. Lui qui était fiant de jupon de pourrait plus jamais effleurer… Après avoir réfléchit aussi bien qu’il pouvait, il donna sa réponse.

    « Ce n’est qu’un gosse. Il a coulé quatre de vos navires et tuer votre beau père et tout son équipage. »

    « Comment est-il ? »

    « Il a les cheveux noirs, des yeux étranges et une coupe avec des pic sur la tête. Il a l’air vraiment sur de lui, et n’à pas peur de la mort. »

    L’homme avait tout déballer dans le but d’être tuer, cependant, le capitaine se trouvait d’humeur joviale en se moment. Il poussa un grand rictus, ce qui terrifia tout les hommes qui l’entourait.

    « Alors il est revenu, dans le but de nous humilier une secondes fois. Je ne ferais pas la même erreur cette fois, il va comprendre ce dont un pirate est capable. Prévient tout les Ninjas de se préparer. »

    Ensuite, il se retourna vers l’homme qui se trouvait à côté de lui, sortit son sabre de son foureau et lui transperça le cœur. Son second qui venait d’être tuer ne comprenait rien, il regarda l’homme qu’il avait servi sans jamais désobéir jusqu’au dernier moment. La lumière qui brillait au fond de lui que beaucoup appelle l’âme s’éteignit lentement. Lorsque Lee eut rangé son arme, il se tourna vers l’homme qui ne l’était plus tellement et lui dit froidement.

    « Je te nomme second ! »

    Le second fraîchement nommé ne savait pas s’il devait en rire ou en pleurer. La mort ne voulait donc pas de lui pour le moment.

    Sur son épave qui continuait pourtant par je ne sais quelle miracle d’avancer sans ralentir, Gon se tenait par terre. Il devait faire quelques choses, sa guérison était trop lente. Il ferma les yeux, lisant en lui. Il se concentra pour sentir le cœur, lieu ou tout Chakra est produit. De là, il suivit, comme s’il pouvait les voir avec son Byakugan, les canaux de Chakra qui serpentait en lui. Comment pouvait-il savoir leurs emplacements, il l’ignorait. Ensuite, Il comprit tout de suite lesquelles sortaient au niveau de la paume de sa main. Il essaya d’augmenter le débit de se Chakra, mais il n’y arrivait pas. Il rouvrit les yeux, regardant la première ligne de bateau. Sa bougeait et c’était vraiment mal pour lui. Des dizaines et des dizaines de Ninjas, bien que peu puissant se déplaçaient de-ci, de-là. Il devait vraiment trouvé la réponse à l’inconnue qui se posait devant lui : Comment améliorer sa technique de soin. Soudain, une grande idée lui vint à l’esprit. Il possédait un parchemin dans son sac qui pourrait lui porter secours. Il le prit, non sans poussé quelques cris à cause de son dos. Il commença à le lire.

    Sa lecture fut interrompue par le bruit causé par une des balistes du navire d’à côté qui se faisait déplacer. De l’autre côté, c’était pareil, un navire approchait, et sa baliste était en déplacement. Gon devait se dépêcher.

    Sur le parchemin figurait un magnifique schéma de tout les canaux sanguins du corps humains, mais Gon connaissait bien tout cela. Il tourna la page, et lu la suite. La deuxième page non plus n’avait pas grande importance, car il connaissait également tout sur les canaux de Chakra. Il passa donc à la troisième, puis à la quatrième,… En deux minutes, il avait parcourut tout le dossier. Il se faisait maintenant une vague idée sur la manière d’agir. Il agit par instinct et regarda une nouvelle fois son flux de Chakra. Il comprit alors que le problème venait du départ de celui-ci. Il devait rendre son déplacement plus rapide et plus hermétique.

    Sa blessure ne voulait toujours pas rentrée, et il pouvait voir maintenant les Ninjas sauter d’un navire à l’autre, allant directement vers lui. Comme si le destin venait enfin à lui sourire, une grande quantité de Chakra coula le long de son corps. Ses mains commençaient à briller d’une magnifique lueur. La douleur au niveau de son dos était presque insupportable, car le fait de soigner un os dans cet état n’était vraiment pas agréable. Gentiment, Gon sentait l’os rentrer, se ressouder. Il devait bien se concentrer pour ne pas causer d’autres dégâts en remettant se membre en place. Les larmes coulaient à ses yeux, et il mordait sa lèvre supérieur presque jusqu’au sang, car s’était le seul moyen qu’il avait trouvé pour le forcer à rester concentrer sur ce qu’il faisait et pour ignorer la douleurs provoquer par sa guérison accélérée.

    Lorsque l’os fut remis pratiquement en place, Gon sentit la douleur diminuée, puis, lentement disparaître. Il n’osait pas bouger à grande vitesse par crainte de constater l’échec de son action, car c’était là première fois qu’il utilisait la version supérieure de sa technique de soin. Celle-ci ressemblait énormément à la première, mais elle requerrait plus de Chakra, plus de maîtrise de celui-ci et plus de concentration. Pour les deux premiers points, Gon savait qu’il n’avait pas échoué, mais pour le troisième… Gon n’était pas vraiment doué pour se concentrer, il n’aimait pas trop réfléchir et préférait foncer dans le tas, ce qui était l’un de ses plus grands défauts. Pourtant, il avait jusqu’à ce jour prouvé, grâce notamment à ses techniques de soin, qu’il était capable de le faire et même de le faire bien, car il avait été mainte fois félicité pour la qualité de son travail à l’académie médicale. Il avait passé son teste avec brio et était fier d’être l’un des seuls Ninjas de Suna à pouvoir sauvé des vies de la sortes. La seule différence, c’était qu’aujourd’hui, c’était sa propre vie qu’il devait sauvé, et il comptait bien réussir.

    Le premier Ninja qui arriva près de Gon essaya de lui envoyer un coup magistral dans le visage, mais son attaque fut parée avec une rapidité impressionnante. Gon se sentait revivre, il était en pleine forme. Sa technique avait réussit et il était maintenant d’attaque pour dégoûter ses ennemis de l’avoir rencontrer.



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MessageSujet: Re: Sur les traces de son père [PV : Gon]   Sur les traces de son père [PV : Gon] Icon_minitimeMer 1 Juil - 22:19

    Partie 15 : La fin



    Le chef des corsaires était vraiment fier de lui. Il était monté sur la coquille transpercée de mille pics qui constituait le toit de son navire et, à l’aide d’une longue vue, il regarda se qui se passait sur le dernier bateau de sa flotte qui était en train de ralentir dangereusement, car l’eau l’avait maintenant totalement remplit. Il constata tout de suite que plus rien ne se trouvait sur ce bateau, mais que le combat se déroulait sur le bateau qui se trouvait à l’avant droite de celui-ci. En effet, il était difficile de ne pas remarquer le mat qui s’était effondré, détruisant la barre d’un autre navire, et malheureusement, c’est impossible de naviguer sans barre. Ce bateau-ci aussi était inutilisable. Le petit Gon avait causé de gros dommage, mais le capitaine s’en fichait. Tout ce qu’il voulait, c’était son corps, mort ou vif, quitte à ce qu’il soit réduit en charpie et que toute son armée soit anéantie ou coulée.

    Le combat faisait rage. Gon bougeait avec tellement de précision, de rapidité et d’agilité qu’il arrivait à contrer ou à parer la plupart des coups de ses multiples adversaires. Malheureusement pour lui, à 25 contres un, on ne pouvait pas faire grand-chose, et c’était sans compter les autres qui rappliquaient. Gon n’arrivait pas à attaquer, tout ce qu’il pouvait faire, c’était esquivé. Le capitaine Lee qui regardait la scène était vraiment très content, il allait enfin avoir sa revanche. Lorsque le gamin aux cheveux noirs serait tué, il n’aurait plus qu’à rattraper le navire fuyard, à tuer tout son équipage et à le couler. Ensuite, il pourrait oublier sa défaite et reconquérir les mers, apportant le mal, le viole et le carnage à chacune de ses conquêtes.

    Finalement, après 2 minutes d’un combat acharné qui se faisait maintenant à 38 contres 1, Gon posa un genou à terre. Il n’en pouvait plus. Ses muscles le suppliaient d’arrêter. Les quelques techniques qu’il avait réussit à envoyé n’avait pas fait de gros dégât et avait été payé par de nombreuses blessures. Du sang coulait de son visage, dû à un joli coup de Kunai qui lui avait transpercé la joue et le front. Quatre Shurrikens étaient encore planté dans son corps, deux sur son flanc, un sur son bras droit et un autre dans sa jambe gauche. Il n’était plus capable de toute façon d’esquiver, la fin semblait terriblement proche. Il trouvait dommage quand même qu’il n’eut pas l’occasion de tester la technique qu’il avait apprise sur le navire, ni même d’avoir achevé l’apprentissage de son Jutsu de soin. En regardant vers le nord, il pensa avec une grande tristesse sur le cœur qu’il ne pourrait hélas pas satisfaire à l’exigence de son père, car il n’arriverait tout simplement pas jusqu’à la tour céleste. Il pensa ensuite au marin, à l’esclave et au capitaine. Il avait fait tout son possible pour les protéger, mais cela ne suffisait pas, il n’avait pas la force de les débarrassés de leurs ennemis, il était bien trop faible.

    Une chose le chagrinait plus que tout. Il ne reverrait jamais le village qu’il avait juré de défendre. Suna devra se débrouiller sans lui, Kangeki et Mikasuki aussi. Il n’aura même pas eut la chance d’enquêter sur la mort de son ancien Sensei, le maître Kazekage Natsume. Il aurait tant voulu pouvoir tuer ce qui avait tué son premier ami du village du sable, ainsi que trouvé qui était cette belle demoiselle qu’il avait vu lors de son passage au rang de Genin. Plus jamais il ne reverrait le jour, pourrais écouter les oiseaux… Toute ces choses, il ne les reverrait plus, ne les sentirait plus, ne les toucherait plus également. Des larmes coulaient le long de ses joues, il aurait bien voulu les retenir, mais il en était incapable. La vie était injuste, mais c’est justement ce qui la rendait intéressante.

    Un Ninja s’approcha du gamin, il ne prit par les cheveux, le leva et le lança contre le mat. La haine se voyait sur son visage, le mépris également et la moquerie.

    « Petit idiot, tu as tué le beau père de notre chef. Il va te tuer, mais avant, il va te faire comprendre ce qu’est la douleur ! Conduisons-le à lui ! »

    Gon fut saisit par les bras, et fut tirer par deux hommes. Il était traîné à terre. Sa force l’avait quitté, il n’en pouvait plus. Le plus douloureux fut le passage de bateau en bateau. Les hommes tiraient terriblement fort sur ses bras avant de sauté, et son corps s’écrasait sur le pond en bois du navire ou ils atterrissaient. Si possible, les hommes qui le tiraient faisaient en sorte qu’il atterrisse sur un tonneau, une poutre en bois ou n’importe quelle autre chose qui pourrait lui faire mal. Finalement, son calvaire s’atténua lorsqu’il fut sur le navire aux mille pics. Par gentillesse, ou plutôt par peur de se faire tuer par leur chef, ils firent attentions qu’il tombe devant l’ouverture et pas sur les pics. Lorsque le vil capitaine le vit, il lui flanqua un puissant coup dans le visage. Gon cru qu’il lui avait cassé la mâchoire, et c’était belle et bien ce qu’il avait fait. Ensuite, un autre coup de pied lui arriva sur les côtes. Le monstre enleva ensuite les Kunais qui le transperçaient, mais appuya de toutes ses forces sur les plaies pour faire souffrir le jeune Hyûga qu’il prenait toujours pour Jin Freecss, le père de celui-ci.

    « Alors, sale chien, tu te rappelles de moi ? »

    Gon voulut lui répondre qu’il ne savait pas de quoi il parlait, mais parler avec la mâchoire brisée est loin d’être facile, et aucun son ne semblait vouloir quitter sa gorge. Il resta là, couché à terre, sans rien dire, comme s’il n’était qu’un pantin. Soudainement, il se prit un coup de pied magistral qui lui broya l’une de ses côtes. Puis un point lui arriva sur le visage, suivit d’un autre,… Les coupes de points qu’il recevait était rapide et puissant, en quelques secondes, il eut l’impression de voir des petites étoiles brillé ^^.

    « Tu m’as humilié, tu as tué mes hommes, tu as coulé ma flotte, tu m’as tout enlevé. Ma femme ma quitter car je ne faisais plus peur à personne, j’étais la risée de ma famille. Tout ça parce que tu étais seul avec ta copine et parce que vous n’étiez que des enfants. Je vais te faire enduré la douleur que j’ai ressentit, tu vas souffrir, sa tu peux en être certain. »

    Le dernier coup de point fut si puissant qu’il fit tomber Gon dans le monde sombre qu’était le coma. Il fut rapidement conduit dans une petite pièce du navire, remplie de centaine d’outil, tous plus horrible les uns que les autres. Gon fut torturé pendant deux jours avant qu’il reprenne conscience. Mais malheureusement, il ne put se libérer. Les tortures durèrent encore pendant 4 jours, la flotte suivait toujours le capitaine qu’il n’arrivait pas à rattraper. Au nord, la flotte de Kumo se préparait à frapper tandis qu’au Sud, un navire avait débarqué dans le pays de l’eau. Chaque jours, avant la tombé de la nuit, on pouvait entendre des cris de douleurs provenant du navire tortue. Ce fut seulement au sixième jour qu’une occasion d’y réchapper s’offrit à Gon, si infime soit-elle, cependant, le capitaine avait compris ce qu’il mijotait.

    La suite au retour de Gon à Suna, dans la partie : Une épopée, des amis, un héro, un hunter !


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Ketten Zenbu
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