Chapitre I : Une prédiction d’outre temps ![Flash Back]

Chapitre I: Une prédiction d'outre temps!

Acte I : La fin d’une vie tranquille

Un jour, une nuit un laps de temps où ma vie bascula du tout au rien. Un jour d’orage où le ciel embrassa la terre d’une longue bise langoureuse. Un jour gris où les nuages se mirent en colère. Un jour où le monde changea. Je n’avais encore que quelques dizaines d’année, je ne contrôlais encore l’art du ninja, ni celui de mes yeux. J’étais encore touché par un manque, un gouffre me séparait de la joie, mes parents étaient morts et rien ne pouvait me les rendre. Ma sœur était vivante, mais absente, ma seule famille fut mon seinsei lui aussi absent en cette journée de tristesse. J’étais seul et le ciel me pleurait. J’étais seul et le soleil me fuyait. J’étais seul et le monde s’en fichait. Encore dix ans et j’étais seul au monde, sans amis ni famille, cloitré dans l’immense demeure de mon maître, effrayé par la colère du ciel. Mes jambes joignaient mon petit corps, je me mettais en boule dans le plus sombre des coins de la grande maison. Espérant que le soleil réapparaisse, que les nuages s’adoucissent et que le ciel reprend sa couleur d’en temps. La vie me fuyait et la mort m’approchait, mes paupière s’alourdirent, ma vision devint flou, mon corps mou. Je ne pouvais plus bouger, tellement la fatigue avait pénétré mon âme. Je sentais la douleur me prendre entre ses mains, me caressant avec ses plus belles griffes de maux. Je finis après quelques secondes par succomber à cette sensation et personne ne paraissait s’en préoccuper. Un môme de moins ou de plus qu’est ce que cela aurait pu changer au monde ? C’est ce qu’il se demandait tout ces servants passant prés de mon corps inerte, évanouit. Personne ne prit le temps de m’examiner ou seulement de me lançais un petit regard.

Un noir total finit par prendre en possession mon champ de vision déjà assez atteint. Je m’étais laissé succomber à mon mal, si même le ciel ne voulait de moi, pourquoi résister dans un monde qui m’a déjà fait tant souffrir. La pénombre m’avait déjà contrôlé, arrivant à mon âme l’entourant tout doucement comme pour ironiser le fait. Elle finit par y pénétrer, quand soudainement dans un éclair aveuglant, comme une explosion de lumière, mon âme s’en libéra. Mes paupière s’ouvrir sur un jour nouveau, lourd comme elles étaient, je pris quelques secondes avant de me sortir de ce cauchemar, ma vision était flou, mais je pouvais percevoir quelques lueurs me pénétrait, le soleil était revenu, mais sur quelle monde ? Mes yeux s’habituèrent enfin aux douces rêveries du soleil. Je me sentais renaître après des décennies de léthargies, je sentais mon corps plus souple, ma puissance avait décuplé. Un vent fort vint me frappait aux yeux, ne me laissant guère le temps d’ouvrir mes yeux. Alors qu’un froids envahissait mon corps, une chaleur apaisante prit possession de ma main. Je ne savais ce que c’était, mais elle me faisait du bien. Mes paupières finirent par s’ouvrir au grand jour. A ma grande surprise le décor avait changé du tout au tout. Un soleil brillant dans le ciel bleu d’une belle journée parcouru par des nuages blanc poussait par une douce brise éolienne. Je m’étais retrouvé dehors au milieu de la nature, aucune habitation en vue. J’étais perdu au milieu de n’importe où. Le sol était sablée avec quelques herbes dépassant de par et d’autres, quelques arbres avaient poussé dans des lieux séparé et différent, à quelques mètre un champ de fleur rose, plus loin une montagne de givre, prés d’un immense lac, émanant d’une immense chute, alors que de l’autre coté se trouvait un volcan de feu, plus loin on pouvait apercevoir une brume épaisse entourant cette montagne de feu.

Acte II : Les yeux de l’enfer et l’épée de jigoku

Alors que je me demandais où était ma maison, comme pour me répondre une ombre apparut devant moi. Dans un petit nuage noir flottant dans l’air, une petite fille apparut devant moi. Au premier regard je l’ai cru démonte tellement elle faisait peur. Des yeux anormalement noir avec une pupille blanche comme si les couleurs des ses yeux c’était inversé. Une chevelure noire ornait son visage coloré d’un blanc anormal à un homme, un blanc de mort. Bizarrement ses lèvres aussi étaient démoniaques d’une couleur noir, je pouvais apercevoir un étrange nectar de la même couleur horrible éjaculer de sa bouche telle de la bave et de ses yeux telle des larmes. Elle restait figée devant moi, à attendre que je bouge me scrutant de prés avec ses yeux Ô ! Combien terrifiant. Mais le plus étrange n’était ni sa posture ni ses habits d’un noir de jais, mais le fait quel flottait dans l’air. Elle continuait à me perçait de son regard noir et froids. Dans une telle situation, mon sang froid n’aurait pas fait long feu. J’aurais déjà crié ou fuit, mais une sensation bizarre m’en n’empêcher, je sentais une froideur m’envahir doucement me laissant dans l’incapacité de me mouvoir ni de pensé, la seul chose que je pouvais encore faire était de regarder et entendre. La fille aux yeux noirs finit par détourner son regard vers l’horizon.

-Sais-tu pourquoi te trouves-tu ici ?

Quelques secondes de silence se creusèrent dans le décore, se fut les plus pires de ma vie. Je ne savais si sa question était rhétorique ou devais-je répondre ? Dans les deux cas ma bouche était scellée par cette froideur qui entourait mon corps. Je ne fis que l’a regardé attendant une quelque conque réplique de sa voix froide et sombre, une voix si mince qu’elle en devenait démoniaque à mes oreilles. On sentait la froideur de son âme jusqu'à sa façon de parler. C’était le diable en personne où pire encore, car même Lucifer n’aurait put faire naitre en moi un si grand trou de terreur. Elle me regarda encore de ses yeux de démon et dans un sourire tout aussi diabolique et sans bouger les lèvres elle me rependit dans un murmure à peine audible.

-As-tu vus l’épée dans tes mains ? Elle resta muette encore quelques seconde avant de continuer dans son discours. Cette épée se nome Jigoku. Encore un nouveau silence se créa et un sentiment de peur me parcourra à la vue de l’épée dans mes main, celle qui m’avait réchauffait alors que mon âme succomber à la froideur, je n’avais jusqu'à maintenant pu la remarquer. Oui, c’est bien l’épée de l’enfer, l’une des plus grandes épées de Lucifer, celle qui terrassa durant des siècles plusieurs hommes à coup de maladie et de peste, la préférée de Satan. Une épée gravé par le sang de millier de victimes, mais maintenant que le diable s’en est débarrassé, elle t’a choisis comme prochain possesseur. L’arme commença a brillait de mille lumière avant de se calmer quand la petit fille de l’enfer se remit à parler. Je te rassure, pour le moment elle ne t’appartient pas et tout cela n’est qu’un rêve, mais bien réel. Ton esprit est en ce moment même liée à cette arme et nous, envoyé du diable, nous devons s’assurer de ta force avant de te l’a donné. Elle avait bien dit nous, il y aurait d’autre comme elle dans ce monde de dingue. Si tu veux retourner chez toi, dans le monde des humains, il te faudra quitter le monde de l’épée, mais pour cela il te sera demandé de vaincre les huit formes de l’épée dans des défis de combat. Je te rassure tout les douleurs que tu recevras seront réel. Elle finit par disparaître dans un nuage d’éclair et dans un éclat de rire démoniaque.

Acte III : La première forme Jieitai doton (自衛隊)

Chapitre I : Une prédiction d’outre temps ![Flash Back] Avgars179

J’avais repris la possession de mon corps. Je sentais les larmes me montaient aux yeux, c’était normal je n’avais dés lors que dix ans, mais ce qui fut bizarre c’est leur couleur, un rouge démoniaque celui du sang, mes yeux me firent tellement mal que j’en oublie la peine qui me poussa à pleurer. Une voix sortit de nulle part, comme par enchantement accompagné d’un jeune homme à la tête blonde, et des yeux bondé. On pouvait voir de ses bandages le sang coulant à flot. Si ce n’est ses yeux, il avait l’air d’être normal, il portait une chemise blanche et à sa main une épée, une arme ressemblant à celle qui pendait à mes mains. Il sortit la sienne de son fourreau, il était prêt à se battre. Serait-il l’un des huit formes du jigoku ? Cela était évident, que ferais si non un humain normal dans un lieu aussi diabolique. Il se mit en position, je sentis m’envahir à nouveau une nouvelle force, moi qui ne connaissait rien de l’art du combat ressentait le savoir de cet art m’envahir doucement. Je me mis dans une postions qui m’était inconnu mais familière. L’homme s’avança d’un pas sûr, comme si il pouvait voir à travers ses bandages. Le sang continuait à coulait de son visage, pleurait-il ?

-Je me présente, première forme Jieitai, forme défensif, aussi connu sous le nom des lamentations de l’enfer. Prépare toi au combat, si tu réussis à me toucher je te laisserais passé mais si tu ne réussis point je continuerai à te défier dans un infini combat sans issue.

Je serais mes mains autour du poignet de mon arme, prêt à foncer à n’importe quel moment. Le jeune homme aux larmes de sang prit une position assez bizarre. Un pied au sol l’autre en air. Alors que son katana était planté dans le sol. Je pris cette occasion pour foncer sur lui mon épée en avant sans vraiment comprendre ce que je faisais. Arrivant assez prés de lui je pris un élan, sautant haut dans le ciel puis je redescendis à pleine puissance sur lui. Croyant qu’il ne pouvait me voir je fus heureux d’en finir, mais au dernier moment il prit son épée, dégageant un peu du sol et bloquant avec mon offensif. Je revins en arrière, secoué par la défense du Jieitai. Je n’avais pas bien saisi le style utilisé. Il avait si facilement dévié mon attaque, je ne croyais pas qu’il aurait pu contrer toute cette puissance et j’avais bien raison car son corps n’avait pas pu supporter cette technique. Essoufflé l’homme aux larmes de sang revint en arrière. Je commençais à comprendre sa technique. Il plaçait son épée dans le sol concentrant son chakra avant de le déployait dans une féroce position défensif. N’attendant pas qu’ils prennent sa pause je m’élançais une deuxième fois avec mon arme plus grande que mon corps de dix ans. Il planta assez rapidement son arme dans le sol, mais je le savais bien il ne pourra jamais faire aussi vite que mon offensif, Mais alors que je brandissais mon épée depuis les cieux après un saut majestueux, quand mon arme toucha son bras celui-ci se transforma en un gigantesque bloc de pierre. Son épée avait disparut, laissant derrière elle un nuage de fumé. Il me contra cette fois ci avec sa main de pierre me lançant vers un des arbres qui ornait le décor. La fumée qui entourait l’emplacement de son épée s’évaporé laissant apparaitre sa main de pierre. Une si lourde main qu’il ne pouvait marcher avec. Un petit sourire apparut au bout de son visage.

-Je te présente la véritable forme du Jieitai le bras de pierre, seul les plus grands défenseurs peuvent donner forme à cette technique issue d’une fusion avec le Jigoku. Utilisé dans le temps par Lucifer pour se protéger des plus grand sort divin, aucune de tes attaques ne pourra passait à travers cette puissante mains de pierre.

Dés lors un petit sifflement se fit entendre, mon adversaire se figea dans une position peu confortable, sur son visage un sentiment de surprise se dessina. Et tout d’à coup, dans un bruit sourd des plaies s’ouvrir dans tous son corps, laissant le sang giclait de partout. Ses bandages aux yeux se tombèrent au sol découvrant des orbites vides, avant qu’il ne tombe au sol. Je m’approchais de son cadavre essoufflé, mais toujours avec de la puissance à revendre. Sa main redevint normale, son Jigoku reparut avant de disparaitre dans un nuage de brume.

- Il se peut que ta main soit d’une aussi grande puissance. Mais le fait est que je t’ai touché bien avant que tu ne puisses parer avec ta main de pierre. La seul faille dans ta défense est ce laps de temps qui sépare le moment où tu pose ton épée au sol et celui où tu te défens.

Je rangeai d’un geste mon épée dans son fourreau, avant de continuer mon chemin vers la prochaine étape celle de la brume.

Acte IV: La deuxième forme Asagiri Gen (朝霧)

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Ma voix était devenu bizarre plus soutenu et plus grave, de même que mes geste devenu plus vif plus réfléchit mais aussi plus puissant que d’habitude. Le plus flagrant furent mes paroles jamais je n’aurais pensé pouvoir parler de cette façon, un style de langage différent rempli de sagesse et de bon sens. La façon avec la quel avait disparut l’épée du Jieitai me poussa à allez voir l’endroit où se cachait le prochain défis celui de la brume. Le Jigoku de la première forme avait disparut dans une brume épaisse ce qui me désigna le prochain lieu du défi. Je m’approche enfin de ce lieu le pied de la montagne en feu. Un brouillard épais l’entourait et je m’attendais au pire avec ces envoyés de l’enfer. J’avançais encore et encore sans jamais pouvoir toucher la fin de cette route. La brume restait toujours lointaine, me fuyait-elle ? Tout le monde me fuyait si le brouillard s’y mettait à son tour cela ne changerai rien à ma situation de pauvre déchet à l’abandon. Je continuais à m’avancer sans perdre la foi, soudainement une voix retentit de nulle part une voix mince ressemblant à celle de la fille qui m’aborda en premier lieux, mais avec un soupçon de masculinité. Tout aussi terrifiante et aussi diabolique que la première ses paroles me glacèrent le sang.

-Serait tu perdu pauvre petit chaton ?

Ce fut l’une des questions les plus terrifiantes qu’on eut à me poser. Elle avait en elle un soupçon de perversité que je ne pouvais cadrer. Je dégainer alors Jigoku de son fourreau, attendant qu’une ombre se présente. Mais difficile de trouver une voix abstraite perdu dans l’immensité de ce monde fictif. Alors que je perdais espoir et patience, je sentis une nouvelle cette chaleur m’envahir, je me mis dés lors en position offensif avant de frapper dans le vide. Etrangement la brume que je cherchais depuis tout alors apparut soudainement, avec elle devant moi se tenait un enfant blessé à l’épaule aussi hideux que la fille du début, lui aussi vêtu en noire, dans un ricanement sordide il avala le nectar qui coulais de sa plaie, puis s’avança d’un pas sûr et toujours avec ce rire froid et diabolique annonça quelques mot avant de disparaitre dans la brume aveuglante.

-Deuxième forme, forme d’illusion, Asagiri Gen. Connu sous le nom des abysses de l’enfer. Si tu réussis à me retrouver je te laisserai passer mais si non… je t’enverrai dans l’illusion des abysses jusqu'à la fin de tes jours.

Il prit une drôle de position avant de s’évanouir dans le brouillard. Il se mit à genoux l’épée planté au sol, avant que la brume ne s’intensifie et le fasse disparaître. Soudainement une nouvelle ombre apparut derrière moi, puis un autre à droite et une autre à gauche jusqu'à atteindre une trentaine d’ombre. Elles avaient tous la forme du garçon noir. Tous avait une épée à la main dégainé, prêt à attaque mais personne n’apparaissait vraiment. Etait-ce une de ces illusions. J’en doutais cela paraissait si réelle, je me tenais dans une position défensif que je ne connaissais pas vraiment, mais qui me paraissait elle aussi familière. Comme je m’y attendais toutes les ombres s’élancèrent sur moi, je lançais alors mon épée au hasard dans les cieux, mais ans vain elle ne toucha aucune de mes cibles. Toutes ces créatures me frappèrent, me lacérant de toute part, je retombais au sol endommagé par les dégâts occasionné, alors que mon épée était toujours dans les cieux. Une voix prit parole dans un sifflement sourd, m’empêchant de bouger.

- Voilà la vraie forme d’Asagiri, les clones de l’ombre sont sa spécialité. Utilisé il y a longtemps par le diable afin de tyranniser ses victimes plus vite avant de les achever.

Un sourire se dessina sur ma face morne, je me relevais avec difficulté, mais toujours le sourire aux lèvres. Un long sifflement se fit entendre avant que mon épée ne retombe. Le brouillard se dissipa, et avec elle mes blessures et mes souffrances. Je fixais le corps inerte de mon adversaire transpercé par mon arme. Je détachais mon Jigoku de son corp, alors que la sienne disparaissait dans un flambeau de feu. Alors que je l’avais achevé, je me sentais dans l’obligation de lui expliquer les causes de ma victoire.

-Tu dis que ton arme n’est pas mortel juste douloureuse, mais très apprécier de ton maître ! Le défaut de ton arme c’est qu’elle n’agit qu’au milieu de ta brume et non aux dehors, c’est pour cela que mon arme celle qui est mortel a pu t’atteindre en sortant de la brume. Tu croyais que je l’avais jetée vers les cieux, juste pour la perdre.

Acte V : Troisième forme Sayoku Katon (左翼)

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J’en avais finis avec L’illusion des abysses, son sang était encore frais sur mon épée. Je remis Jigoku alors dans son fourreau, toujours surpris par mon attitude, moi qui n’est dix ans j’avais pus battre deux forme du Jigoku sans avoir à me reposer. Ce que je ne savais pas et que je n’avais pu comprendre que plus tard dans la vie, c’était une vérité choquante. Mon rôle dans cette histoire n’était que spectateur, car celui qui se battait avec mon corps de môme était en réalité une plus grande personne, un adulte, un ninja de grand niveau. C’était moi en plus grand, et cela je n’avais pu le voir quand grandissant et acquérant de la puissance. Toute cette philosophie qui émanait de ma bouche, ces stratégies perfectionnistes étaient en réalité celle d’un Hito plus grand celui que j’allais être dans le futur. Après avoir remis mon arme à son emplacement je commençais à escalader les murs de ce volcan de feu. Je ne savais ce qui se trouvait au bout de cette montagne, la seule chose dont j’étais sûr était qu’un combat allez en résoudre. Après des heures d’escalade, j’arrivais enfin à la moitié du chemin, mais soudainement en regardant vers le haut je vit un coulis de lave fonçait vers moi à grande vitesse. Il n’y avait plus aucune issue, j’allais être consumé par cette lave quoi que je face, mais alors que je perdais espoir cette chaleur d’outre temps me reprit de plus belle. Je sentais la puissance remontait en moi. Je dégainais mon arme, et d’un seul coup aussi vif que rapide je me retrouver en haut dans le ciel dépassant même le sommet, derrière moi une lueur blanche, coupant la lave en deux, traçant le chemin que j’avais parcouru. Alors que je me trouvais dans le ciel, une ombre m’apparut au milieu du volcan.

-Tu as réussis à éviter mon attaque surprise, je n’en doutais pas de la part de celui qui a battu Asagari et Jieitai. Mais ne crains-tu pas la puissance du feu celui de la troisième forme, Sayoku, forme offensif l’aile gauche de Jigoku. Connu sous le nom de la flamme de l’enfer.

Il avait une voix des plus calmes, même si on pouvait lire dans ses yeux l’ébullition que lui procurait le combat. Entre ses mains Un Jigoku, il prit une pose assez bizarre, les deux mains sur le poignet de l’épée la faisant tournoyer à grande vitesse. De là où j’étais je m’élançais sur lui, mais arrivé à son niveau il disparut bizarrement avant de reparaitre derrière moi, me frappant un grand coup, et m’envoyant mordre la poussière. Le seul défaut dans son attaque fut de ne pas voir où se trouvait mon épée. Car en réalité je m’étais mis dans une position défensif ce qui pour effet de renvoyer mon ennemie très loin. On se releva à peu prés au même moment, sonné, mais toujours apte à combattre. Il commença une fois de plus à tourné sans épée sur elle-même, mais cette fois ci le résultat était différent une grande aile de feu apparut sur son dos avant que son épée ne disparaissent.

-Voilà la véritable forme du Sayoku, l’aile du diable, celle qui l’aida à éviter tout danger. Une aile si puissante que tu ne pourras me toucher jeune humain.

Je regardais en sa direction un sourire aux lévres, comme à mon habitude j’avais tout prévu, comme si je connaissait déjà toute ces technique ainsi que leur failles et leur forces. Je l’avais battu avant même que le combat ne commence. Mon adversaire était toujours sur de lui, et dans un geste rapide il se retrouva derrière moi en un clin d’œil, cette aile lui offrait une telle vitesse que je ne pus le remarquer arrivant vers moi. Il passa sa langue contre ses lèvres avant de tomber au sol dans un cri de lamentation. Une plaie c’était ouverte tout le long de son grand corps, le sang gicla de partout.

-Vous les ailes toujours aussi arrogants, je t’ai assigné le coup mortel en montant à travers la montagne.

Acte V : La fin du rêve

La pénombre reprit ma vision en otage, je ne voyais plus rien jusqu'à ce que la fille aux yeux noire réapparut devant moi. Elle me regardait assez étonné. Elle croyait peut être que j’allais mourir, jamais je n’aurais pus lui faire ce plaisir. Je me demandais si elle n’était pas la quatrième forme, même si sa force dépassait celle des autres formes d’un écart gigantesque semblable aux gouffres des enfers. Je restais inquiet à propose de ses pouvoirs. Comme à son habitude elle flottait dans les aires assez aisément, sans que rien ne la dérange dans sa façon de se mouvoir. Elle me scrutait de son regard de jais.

-Trois formes !

Elle était au courant de mon exploit, et paraissait surprise à son sujet. Elle devait jubiler à l’intérieur, elle pensé peut être à un combat et c’était ce que je voulais lui offrir comme cadeau d’adieu, mais elle enchaina avec des mots doux sans me laisser le temps de répliquer.

-Bon cela suffira pour aujourd’hui, il ne te reste plus que cinq formes, mais sache que se sont les cotés les plus dangereux du Jigoku. Je te laisse t’entrainer, car la prochaine fois personne ne te sauvera.

En ce moment je n’avais pas bien capté ses derniers mots, mais maintenant tout m’était devenu clair. Elle savait que mon moi futur m’avais aidé, et que cela ne sera pas pour la prochaine fois.

-Je reviendrais le jour où tu me recherchas.

Plus rien qu’un flash, une explosion de lumière avant que je ne retrouve ma véritable vie. Le soleil était revenu et mon maître avec. Je me trouvais dans ses bras endormit à point fermé. Je sentais le vent me caressait les joues, mais une chose n’allait pas, rien n’était finis, un jour ou l’autre elle reviendra pour m’ôter la vie à grand coup de Jigoku sous ses cinq formes différentes. Il me fallait pour le moment un long entrainement une grande persévérance.

230 Lignes!!!

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