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| ~Flash Back~ L'évasion d'un artiste. | |
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Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
Age : 29 Niveau : 12 Nombre de messages : 1179 Localisation : Quelque part sur le dos d'un aigle d'argile géant. Date d'inscription : 25/01/2009
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| Sujet: ~Flash Back~ L'évasion d'un artiste. Dim 14 Juin - 17:51 | |
| ~ L'alcool est à consommer avec modération ~ #'. Deidara inspira bruyamment. On venait de lui jeter un sceau d’eau à la figure. Il plissa les yeux, sous la lumière, bien que très faible. Les taches sombres devant ses yeux se précisèrent. Deux hommes se tenaient devant lui, derrière un bureau. Ils étaient dans une salle miteuse, illuminé uniquement par une grosse lampe, posée sur la table. Seule une fenêtre, avec des barreaux rouillés, venait rompre la monotonie des murs de béton. Un des hommes congédia celui qui lui avait jeté l’eau à la tête. Le blondinet remarqua que ce dernier portait l’uniforme genin. Oho, qu’est-ce qu’il foutait là ? Ses paupières étaient lourdes, sa bouche pâteuse, et il avait un mal de crâne insupportable. Il leva ses yeux injectés de sang vers les deux hommes. L’un était brun, ses traits grossiers et une moustache lui bouffait toute sa bouche. L’autre était assis, son visage impénétrable, une tête de BCBG, le cliché même du détective juste et loyal. L’artiste prodigue s’agita, mais ses mains étaient fermement liées entre elle, avec une paire de menotte. Ses poignets étaient irrités, et il devait bien-être là depuis plusieurs heures. Il secoua la tête, envoyant valser quelques gouttelettes d’eau de son visage. Pourquoi était-il là ? Il tenta de se rappeler, fronçant les sourcils. Tout était confus. De toute évidence, on l’avait drogué.
#'. Il était rentré d’un entrainement, et avait décidé de sortir un peu de l’ambiance : entrainement-mission de ces derniers mois. Ce rythme le fatiguait, et il avait perdu en joie ces jours-ci. Il n’avait plus le temps de parader, de crâner, de ricaner et de se moquer. Hors, c’était des choses qu’il a-do-rait faire. Ce soir-ci, il avait entendu parler d’une fête, à Kiri. Sous la forme d’un garçon d’une trentaine d’année, il s’était rendu au village du Brouillard. Tout était festif, pleins de couleurs, de spectacles et de musique. Mais Deidara avait surtout apprécié les filles et les boisons. A partir du moment où il eut découvert que l’alcool était très facile à voler, tout était un peu confus dans son esprit.
#'. Voyant sa mine songeuse, le flic blond dit :
« Nous avons été appelés d’urgence à 4 heure de matin, comme quoi un homme qui avait toute les descriptions qu’un certain Deidara…Vous étiez complètement soul, braillant des choses sur de l’argile et d’autres choses incompréhensibles. »
#'. Deidara resta bouché-bée. Ses joues déjà pales, se ternirent. Quel imbécile ! L’alcool lui avait fait perdre l’usage de son chakra, et il avait dévoilé sa véritable apparence en plein village. Pour une fois, il oublia sa vanité, qui lui aurait fait gonfler sa poitrine, en pensant à la renommé qu’il avait, en tant que criminelle. Il songea à tous ce qu’il aurait put dire de compromettent sur l’Akatsuki. L’homme reprit :
« Ne vous inquiétez pas, vous n’avez rien dit sur l’Akatsuki, susceptible de nous intéressez, hormis le fait que votre chef avait une grosse poitrine. » « Pour l’instant, il ne nous as rien dit, mais il ne tardera pas… »
#'. Siffla le moustachu. Son collègue l’ignora, alors que Deidara le regardait, lui envoyant une vague de mépris qui fit frémir la pilosité faciale de l’homme. « Nous sommes donc arrivez au bar. Nous avions amenés toute la troupe, mais il a juste fallu glisser un peu de drogue dans votre verre pour que vous nous suiviez. »
#'. Reprit le blond. L’Akatsukien ne dit rien, essayant d’envoyez une décharge de chakra dans les menottes.
« Nous vous avons équipez de menotte capteur de chakra. Toute votre énergie est captée par là. »
#'. Le blondinet grogna. Ce type l’emmerdait, à lire dans ses pensées. Ses yeux étaient lourds, son esprit embrouillés. Le moustachu plaqua ses mains contre la table, le faisant sursauter. Il tonna, l’air menaçant, alors que son supérieur sortait une cigarette.
« Maintenant, tu vas nous dire quelques informations sur l’Akatsuki ! Où se trouve-t-elle ? Qu’elle est son but ? Quels sont ses projets ? » « Haha…Vous êtes des rigolos vous… » « Ecoute Deidara, dit le blond, le tutoyant pour mieux endosser le rôle de gentil. Tu as le choix : soit nous dire tous ce que tu sais, et nous pourrons abréger ta peine. Sois tu te tais, ou soit tu te fais exécuté dans une semaine.» « Vous aussi vous avez le choix…Sois vous escrimez pour me faire parlez, sois vous me relâcher. Dans le premier cas, mes amis viendront très vite égorger vos femmes, et vos enfants, et vous arracher chaque membres un à un. » « C’est pas à toi de donner les conditions ! »
#'. Rugit le moustachu. Le rouge lui était monté au joue, et il fit semblant de chercher une clope pour évitez les yeux brulants de menace du criminel. A vrai dire, il était assez mal là. Les membres de l’Akatsuki avaient l’habitude de partir pendant plusieurs semaines en mission ou en entrainement. Et si sa mise à mort était d’une semaine, personne ne viendrait le chercher. Le coup de bluff n’ayant pas marché, il n’avait qu’à attendre d’être dans sa cellule pour élaborer un plan. Le blond s’assit sur la table, pour être juste à côté de lui. Il lui reposa plusieurs questions, essayant de lui faire cracher une petite information. Il lui faisait peser les contre et les pour. Deidara s’emmurait dans un silence, n’ouvrant la bouche que pour insulter ou railler les deux officiers. Finalement, le moustachu commença à en avoir marre. Il frappa brutalement le jeune homme d’un revers de main. Son supérieur lui demanda d’allez cherchez des café, pour se calmer. Une expression mauvaise, très mauvaise s’installa sur le visage de l’exploseur fou. Une colère froide l’envahit, alors qu’une cocard se formait sous son œil. Le poilu allait regretter très vite son geste. Plusieurs heures s’étaient écoulées, et même le gentil flic semblait au bord de lui en foutre une, après avoir essuyé plusieurs insultes et menace concernant sa femme. Il le congédia, et un gardien l’escorta jusqu’à sa cellule.
Dernière édition par Deidara le Dim 14 Juin - 18:01, édité 1 fois | |
| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
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| Sujet: Re: ~Flash Back~ L'évasion d'un artiste. Dim 14 Juin - 17:57 | |
| ~ Mais où va le progrès ?! ~ On lui avait fait enfiler pendant son sommeil une tenue orange vif. Il n’avait plus aucune chance de malaxer son argile ici. On l’emmena dans un large couloir, où les prisonniers le regardèrent haineusement. Plusieurs l’insultèrent, et l’un d’eux dit même :
« Hé, poulette, sa te dit de partager ma cellule avec moi ? » « Ecoute merdeux, si tu me cherches, je te fourre ta grosse tête dans ton postérieur. C’est clair ? »
Le gros colosse qui l’avait injurié se tut, trop étonné qu’un nouveau lui réponde. Le geôlier le poussa, pour qu’il se la ferme, et l’entraina dans l’étage supérieur. Il était à présent dans les criminels les plus dangereux. Les barreaux avaient étés remplacés par des énormes portes de fer. Tous les cinq mètres, des gardiens étaient postés, une matraque et un flingue à la hanche. Il mémorisait toutes ces informations, car elles lui seraient bien utiles lorsqu’il s’évaderait. Finalement, le geôlier s’arrêta devant une cellule. Il sortit un trousseau de clés de sa poche, et ouvrit la lourde porte. Il le poussa dedans, et lui enleva ses menottes. Se frottant les poignets, Deidara regarda sa chambre. Des toilettes étaient dans un coin, et deux planches de bois leurs servaient de lits. Assis sur l’un d’eux, un homme le regardait fixement. D’une voix sèche, le blondinet lui dit :
« Je te préviens juste. Je suis pas une fille, j’appartiens à l’Akatsuki, et si tu me parles, je te bute. »
Son compagnon de chambre hocha la tête, et ne dit rien. Ses yeux cernés de mauves le suivirent lorsqu’il s’approcha du mur. L’artiste concentra une dose maximum de chakra dans son poing, des flammes orange entourant sa main, et frappa dans le mur. Tout aurait dut exploser, mais les parois restèrent impassibles. Deidara écarquilla les yeux, et ressaya plusieurs fois, jusqu’à ce que son colocataire le sauve du ridicule.
« Sa sert à rien. » « Merci, j’avais remarqué… »
Répondit-il avec mauvaise humeur. Il s’assit tout de fois sur son lit, et plongea sa tête dans ses mains. Lorsqu’il se redressa, il dit :
« Qu’est ce que tu sais sur cette prison ? » « Elle ne diffère pas des autres prisons concernant les captifs non-ninja. Mais pour les gens comme nous, elle est véritablement infaillible. Chaque pièce est fabriquée avec des murs anti-chakra. A chaque fois que quelqu’un frappe dedans, les fondations absorbe ton chakra pour consolider ses protections. Pour allez de pièce en pièce, chacun est attaché par des menottes qui retiennent toute ton énergie vitale. Une salle des contrôles vérifie chaque pièce, et c’est uniquement ici qu’on peut enlever la protection anti-chakra des cellules. » « En gros, nous ne pouvons pas utiliser notre chakra ici ? Mais, à l’extérieur, je veux dire dans la cour… »
Demanda t-il, blêmissant en pensant au colosse qu’il avait insulté toute à l’heure. En repensant à la taille de ses bras, il se dit qu’il ne faisait pas le poids s’il ne pouvait utiliser son art ninja. Son camarade sourit, devant sa mine dépité et reprit, de sa même voix passive et sans émotion :
« Nous ne sommes pas mélangés à cette merde de civil. Tous les ninjas sont dans une pièce spécifique. »
Deidara s’allongea sur le dos, perdus dans sa réflexion. Son interlocuteur garda le silence, se remémorant la première phrase du blondinet. Deux coups se firent entendre à la lourde porte, alors qu’une petite fenêtre en haut de la porte s’ouvrit. Elle ne laissait voir qu’une bouche, qui dit :
« Service ! »
Des bruits de clés se firent entendre, et l’entrée s’ouvrit. Un homme en uniforme gris poussait un plateau remplis de barquette en plastique qui dégageait une odeur forte. Il portait de lourdes lunettes noires. Le gardien poussa sur le sol dure deux assiettes et de l’eau, puis quitta la pièce. Lorsqu’ils furent de nouveau seuls, l’Akatsukien demanda ce qu’était ces protections oculaires.
« Ce sont des lunettes de protections anti-genjutsu. Il désamorce automatiquement les genjutsu. Ils voient tout en rouge et noir.»
Deidara frémit, et gronda :
« Tu es un Uchiha ? »
Son interlocuteur secoua la tête négativement, et il se détendit.
« Ils l’ont tout le temps, ces binocles ? »
Il hocha la tête, et Deidara se rembrunit. Il resta là pendant plusieurs heures. Ses yeux clairs esquissèrent chaque pierre, grossièrement attachés à la suivante, dans un ensemble chaotique. Son visage n’exprimait rien, seuls ses sourcils froncés indiquaient sa profonde réflexion. Il se redressa brusquement, faisant sursauter son camarade de cellule. Il tendit tout aussi vivement la main, et lui dit :
« Je m’appelle Deidara. » « Maho. »
Répondit le garçon, surpris. Le blondinet lui sourit, en lui serra fermement la main.
« Maho-san, tu vas m’aidez à me tirez d’ici. »
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| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
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| Sujet: Re: ~Flash Back~ L'évasion d'un artiste. Dim 14 Juin - 18:01 | |
| ~ Bienvenue dans la jungle ~ #'. La nuit était passée. Deidara n’avait presque pas dormit, lez yeux rivés sur la minuscule ouverture dans le mur en face de lui. Derrière les barreaux, il observait la lune qui montait dans la nuit noire, pour disparaître de son champ de vision. Le temps dégagé faisait brillez les étoiles. C’était une véritable nuit d’été. Celle qu’on observe dans son salon, tranquillement. Pas dans une cellule miteuse d’une prison spécialisé dans les ninjas meurtriers. Maho lui s’était endormis. Ce type devait avoir trente ans, et devait avoir passé la moitié de sa vie ici. Dieu seul savait ce qu’il avait fait pour arriver là. Quels étaient les objectifs de tous ces hommes ? La folie ? Non, la Haine. Celle qui dévore qui vous ronge, et qui force à vous défouler pour essayer d’apaiser cette soif. Hélas, elle revient toujours, au pas de course. L’artiste comprenait. Il avait crut écouler toute sa haine envers les uchihas, seulement la Haine revenait poindre dans son sang. Il comprit qu’elle serait toujours présente en lui, tant que tout le clan ne serait pas décimé. Maho se réveilla, mais resta allongé, fixant le plafond comme son camarade.
« Pourquoi t’es là, mec ? »
#'. Demanda le blondinet. Sa voix brisait avec violence le silence qui s’était installé dans la pièce depuis la veille. Après une hésitation, le garçon répondit à voix basse.
« C’est une longue histoire… » « On a tout notre temps. »
#'. Il allait reprendre, lorsqu’on frappa à la porte, pour le repas du midi. Cette interruption renforça le silence de Maho, qui refusa de revenir sur le sujet. Plus tard, on vint les cherchez, et ils furent bientôt menottés sans ménagement. Le gardien se permit de lui assenez un coup de genoux dans les reins, et lui glissa, en guise d’explication a cette violence :
« Ma cousine a été tué par l’Akatsuki. » « Comment s’appelle telle ? Enfin, son nom ne me diras rien, dîtes moi plutôt comment elle a été tué. Membres coupés, ou tête explosé ? »
#'. Furieux, l’homme le retourna, et lui flanqua une grande patate. Il sortit sa matraque, mais son collègue le retient, et il dit, un peu trop fort :
« Arrête toi Kiomo, les membres de l’Akatsuki sont rancuniers… » « Ecoute ton pote ‘Kiomo’. Car je sortirais bien assez tôt pour que chaque membre de ta famille trime pour cette frappe. »
#'. Siffla t-il, un regard brulant de colère. Le prénommé Kiomo rangea son arme, et s’éloigna à grands pas. Son coéquipier s’occupa de faire avancer l’Akatsukien. Tour à tour, les prisonniers du deuxième étage sortaient, en file indienne. Leurs pas vifs trahissaient leur identité de ninja, ils se rendirent avec habitude dans une grande salle. Les bâtisseurs de cette prison pour ninjas avaient décidemment tout prévu. Ils n’avaient pas laissés une seule pièce avec ciel ouvert. Dommage, Seifuu aurait put venir le cherchez en moins de deux. Un grillage séparait la cour des civils, et la salle des ninjas. Les meurtriers se dispersèrent, alors que les geôliers les libéraient de leurs menottes. Maho disparu, avant que le blondinet n’ai eut le temps de le suivre. Bientôt, une foule de curieux entoura Deidara. Des regards pesants, menaçants, craintifs et curieux l’assaillirent de tout côté. Agacé, le blondinet s’avança, pour partir de cette ronde. Un grand moustachu le repoussa. Avec fougue, Deidara lui décrocha une droite qui brisa le nez du type. Il se saisit du sang qui perlait ses phalanges, et traça au sol le nuage rouge, symbolique de l’Akatsuki. Puis il s’exclama, toisant ses interlocuteurs.
« A-ka-tsu-ki ! Vous me touchez je vous bute. Vous comprenez mieux maintenant ? »
#'. Il se fraya un chemin, avant que la stupeur ne retombe. Ce ne fut pas les prisonniers qui lui tombèrent dessus mais les geôliers. Ces derniers avaient repérés la bagarre, et le firent regagner sa cellule à coups de pieds aux fesses.
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| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
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| Sujet: Re: ~Flash Back~ L'évasion d'un artiste. Dim 14 Juin - 18:08 | |
| ~ Un complice imposant ~ #'. Après avoir passé une journée avec sa solitude, Deidara avait compris qu’il devrait éviter de provoqué une baston. Ils regagnèrent la grande pièce, après deux repas tout aussi indigeste. Il ignora les regards, et personne ne vint le provoquer. Il s’assit dans un coin, avec Maho.
« Dis-moi, sa fait longtemps que t’es ici. En qui les geôliers ont le plus confiance ? »
#'. Le garçon lui désigna un homme, un gros colosse à la barbe rousse.
« Kyo Matsu. Sa fait vingt ans qu’il ait là. Personne ne sait ce qui l’a amené ici. En tout cas, derrière ces allures de gorilles, c’est un vrai nounours et les gardes ont la plus grande confiance en lui. Pourquoi ? »
#'. Sans répondre, Deidara enchaina :
« Et ton genjutsu demande du chakra ? » « Ben non…Sinon les gardes n'auraient pas besoin de porter ses lunettes. » « Sa veut dire que les prisonniers peuvent être hypnotisé ? » « Hinhin…A ton avis, pourquoi les prisonniers me laissent tranquille alors que je suis frêle ? »
#'. L’artiste hocha avec sérieux la tête. Puis il dit, plus pour lui que pour Maho.
« Il me faut un miroir. » « Ecoute, je crois que ton apparence est le dernier cadet de nos soucis pour nous évader… »
#'. Un regard noir intima le garçon à se taire. Maho leva les yeux au ciel, et dit.
« Il nous ait impossible d’avoir sa. Par contre, les prisonniers civils pourraient en avoir eux… »
#'. Il sourit, et s’éloigna. Plusieurs ninjas parlaient aux autres prisonniers, à travers le grillage peu surveiller. Maho siffla discrètement, et un vieux roublards se tourna vers lui, l’air mauvais.
« Qu’est-ce tu m’veux, connard ? J’vais…Bien. »
#'. Son visage plissé se détendit, ses yeux sombres devinrent inexpressifs. Si on regardait attentivement Maho, on remarquait que ses iris noirs avaient envahit tout sa pupille. L’homme se retourna, d’un pas mécanique, alors que le ninja se retournait vers Deidara, lui glissant un clin d’œil. Ce fut en fin d’après midi que leur victime revient. Il glissa à travers les grilles un morceau de miroir brisé. Maho le remercia d’un genjutsu qui lui fit oublier tout ce qui s’était passé aujourd’hui. Il était trop tard pour mettre la deuxième phase de son plan à exécution. Deidara ne dormit que très peu cette nuit. Il révisait chaque détail mentalement. Son camarade lui, s’endormit très vite, ne connaissant pas, ou très peu, le plan.
#'. Le lendemain, Deidara fila directement vers le dénommé Kyo. Le gros rouquin se retourna. Ses bras étaient aussi gros que des jarrets de cochons, et couverts de veines et de tatouage. Il devait faire le triple du poids du blondinet, qui se sentit très vite bien petit. Pourtant, ses yeux exprimaient une douceur rare. Se raclant la gorge, l’Akatsukien dit :
« On m’a dit que tu avais une conduite exemplaire dans la prison. C’est pour abréger tes années de prison, n’est-ce pas. »
#'. Kyo acquiesça, et Deidara reprit, plus sur de lui.
« Et si je te disais que je pourrais te faire sortir dans un jour, grand maximum, si tu m’aides ? » « Pleins de petits rigolos dans ton genre sont venus me faire rêver d’une évasion. Personne n’y est arrivez. Je ne marche pas. »
#'. Sans se démonter, l’Akatsukien lui expliqua son plan.
Dernière édition par Deidara le Dim 14 Juin - 18:12, édité 1 fois | |
| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
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| Sujet: Re: ~Flash Back~ L'évasion d'un artiste. Dim 14 Juin - 18:12 | |
| ~ Dernière phase du plan ~ #'. Maho regardait son camarade parler à Kyo. Son ventre était noué. Il ne connaissait pas le plan de Deidara, mais il avait le pressentiment que l’homme serait une pièce importante. Aussi poussa t-il un soupir de soulagement lorsque le rouquin fit un signe d’acquiescement, et serra la main du criminel. Il lui glissa le miroir, lui expliquant les derniers détails. Maho, quand à lui s’éloigna d’un pas souple. Comme prévu, il se positionna derrière un garde, à quelques mètres. Il fit semblant d’inspecter ses ongles avec détachement, alors que Kyo s’approchait. Le garde le salua, et le rouquin lui rendit un sourire, sortant son miroir.
« Salut, Sonu. Regarde ce que m'a envoyé ma nièce hier !
#'. Le prénommé Sonu fronça les sourcils, plissant les yeux derrière ses lunettes noires.
« Je vois rien du tout, Kyo. »
#'. Le prisonnier poussa un soupir très convaincant, et dit :
« Enlève tes binocles deux secondes… » « Je ne peux pas. Les ordres sont les ordres, Kyo. » « Voyons, qu’est-ce que tu crains de moi ? J’utilise le taijutsu, pas le genjutsu…Tu me fais confiance, non ? »
#'. Avec réticence, le prénommé Sonu ôta ses lunettes. Il saisit le miroir. Dedans, le reflet de Maho apparut. Et surtout, deux yeux. Sans iris, entièrement noir. Le visage du garde perdit en vie, et il dit platement.
« C’est très beau, Kyo. »
#'. Il remit ses lunettes, et tendit le miroir au colosse. Ce dernier se tourna vers Deidara, et leva son pouce. L’Akatsukien eut un sourire, devant la mine réjouit du rouquin, comme un gosse devant son cadeau d’anniversaire. Tout s’était bien passé. Les trois complices se regroupèrent. Tout s’était bien passé. Seul quelqu’un de confiance et n’usant pas le genjutsu pouvait faire ôter les lunettes d’un garde. Et il fallait une raison. Son camarade de cellule lui avait confié que les geôliers ne voyaient qu’en rouge et noir. Impossible donc pour eux de voir les traits d’un dessin ou d’un texte. Sonu allait désormais, toujours sous l’influence du gen’ de Maho, se rendre dans la salle des contrôles. Les murs de la pièce allaient bientôt perdre leur précieuse protection. Ce n’était qu’une question de minutes.
#'. Et soudain, l’électricité de la salle tressaillit. Les prisonniers poussèrent un cri étouffé. Les trois complices bondirent en même temps. De son énorme poing, Kyo fracassa un des murs. Deidara créa plusieurs oiseaux. La masse de volatile alla exploser sur les parois, créant d’autres brèches. Bientôt, tous les ninjas y allèrent de bond train dans la destruction de la prison. Les civils, dans la cour à côté s’agitaient. Le grillage ne tient pas, et les gardes censé le protéger furent piétinés par les prisonniers, excités par la liberté.
#'. Dans sa salle de contrôle, Sonu déconnectait une à une les pièces de la prison. Lorsque ses collègues parvinrent à ouvrir la porte verrouillée, le geôlier avait déjà fini, et s’était tiré une balle dans la tête.
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| | | Ex-Deidara Membre de l'Akatsuki
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| Sujet: Re: ~Flash Back~ L'évasion d'un artiste. Dim 14 Juin - 18:17 | |
| ~ Une évasion détonante ~ #'. La prison était vidée de ses prisonniers. Ou presque. Deidara était toujours là. Il n’avait pas tout à fait fini. Déjà, il devait récupérer ses habits, ses armes et sa bague. Ensuite, il devait châtier les hommes qui l’avaient frappé. Dans les couloirs vides, des gardes étaient allongés, massacrés par les prisonniers. Sans y accorder de l’attention, il se dirigea vers l’entrée. Une grande pièce entreposait les affaires personnelles des prisonniers. En première ligne, se trouvait son kimono. Avec satisfaction, il se débarrassa de son uniforme orange, pour retrouver sa robe traditionnelle. Après avoir vérifier que son argile et le reste était là, il sortit. Il n’eut pas le temps de cherchez le moustachu qui l’avait interrogé, et son collègue BCBG. Des sirènes se firent entendre, alors que la police débarquait. Deidara bondit, grimpant à la vertical sur les murs de la prison. Caché derrière les rambardes du deuxième étage, il attendit ses proies. Des gardes encore vivants allèrent accueillir les renforts. Dans ceux-ci, l’artiste reconnut Kiomo, celui qui l’avait frappé. Un sourire, qui n’annonçait rien de bon, s’immisça sur son visage pâle. Les portes s’ouvrirent.
#'. En tête, le policier blond, et son collègue moustachu. Derrière eux, une flotte de flics se dispersa pour trouver des preuves, et faire un travail quelconque et inutile. Lorsque les deux collègues furent seuls avec quelques gardes, Deidara bondit de sa planque, pour atterrir juste devant eux. Le blond resta impassible, alors que Kiomo et le poilue tressaillirent. Ce dernier se ressaisit plus vite, et brandit un flingue.
« Ne bougez pas, vous êtes en état d’arrestation ! »
#'. Deidara hésita un instant, puis voyant qu’il était sérieux, explosa de rire. Du sol en béton de la prison, un clone sortit. Il frappa le policier à la nuque. Son collègue blond tira dans la copie, qui disparut avant que la balle ne l’atteigne. Il réapparu au dessus, et frappa en haut du crane blond de l’agent, qui s’écroula, mort sur le coup. Kiomo, qui assistait immobile, a ce court affrontement, sentit la lame d’un Kunai sur sa gorge.
« Je t’avais dit que je me vengerais… »
#'. Le sang gicla, mais Deidara était déjà devant son dernière adversaire en vie, le moustachu. Des liens de chakra s’emparèrent de sa main, alors qu’il essayait de se redresser vainement. Son bras contrôlé par l’Akatsukien s’empara de son pistolet. Il tira dans son épaule, et poussait un cri de douleur. Il visa son pied, son ventre. Puis sa main retomba, inerte. L’officier était encore vivant, il pouvait voir son sang couler des plaies qu’il s’était lui-même causé. Le blondinet sourit, alors que l’autre mourrait doucement.
#'. Le reste de la police arrivait, alerter par les cris de leur supérieur. Lorsqu’ils découvrirent les trois corps, il n’y avait plus personne. Juste un nuage, gravé dans le sol, en dessous duquel était écrit :
« On n’attrape pas l’Akatsuki comme sa. »
#'. Deidara avait parcourut une centaine de mètres à peine lorsqu’une grosse voix l’interpella. Il se retourna, surprit, et découvrit Maho et Kyo. Il sourit devant le comique de ce duo. Maho était petit, frêle, alors que Kyo n’était fait que de muscles. Le criminel eut un sourire franc, plein de reconnaissance.
« J’espère qu’on se reverra les mecs. Si vous avez un problème un jour, appelez-moi. »
#'. Les deux hommes se regardèrent, et Kyo gronda, amusé.
« Tu crois vraiment que je vais t’appelez TOI, si j’ai un problème ? »
#'. En disant cela, il avait jaugé la petit carrure de Deidara et gonfler ses biceps. Pour une fois, Deidara ne répondit rien. Il porta ses deux index à sa tempe, dans un signe d’au revoir, et disparu.
#'. Kyo et Maho levèrent les yeux au ciel. Un oiseau blanc passa au dessus d’eux, et poussa un cri d’adieu. | |
| | | Akasuna no Sasori.. Membre de l'Akatsuki
Age : 44 Niveau : 8 Nombre de messages : 371 Date d'inscription : 24/03/2009
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| Sujet: Re: ~Flash Back~ L'évasion d'un artiste. Mer 17 Juin - 10:45 | |
| >>Qualité du RP<< Deidara>>Pff , franchement respect , RP long et sans fautes horribles . Par contre , beaucoup de dialogues . >>Note du RP << Deidara>>60 xp car tu as fait plus de 250 lignes ce qui est énorme | |
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