~Mes quinze ans~

Le soleil c'était levée sur la feuille. Le vent c'était levé sur le village, on pouvait voire les quelques feuilles mortes montées dans le ciel poussé par le vent, jusqu'à éblouir au soleil matinal qui régné ce jour là. Konoha était encore vide de ses villageois, à part les quelques shinobi passant par moment le village était désert en un moment aussi avancé de la journée. Le temps s'écoulait de plus en plus vite, après les secondes les minutes puis les heures et aucune ombre ne trainé au dehors. C'était assez bizarre de voir Konoha vidé de ses habitant, mais la seul raison qui puissent aboutir à cet événement, était que ce jour là n'était rien d'autre qu'un dimanche matin, le jour où tout le monde savoure son temps de repos.

Il était déjà onze heures, on pouvait entendre des ronflements émanant d'une des fenêtre surplombant l'immeuble où j'habitais. Ce vitrail d'où sortait le bruit atroce d'une respiration était l'ouverture qui me relié au monde. Ces quelques ronflements étaient miens ainsi que la fenêtre. La battisse était calme à part le bruit de mon expiration rien ne pouvait troublé ce silence presque stressant.

J'étais allongé sur mon lit, une mains sur la table de nuit qui avoisinait mon lit et l'autre sur mon ventre. De la bave dégoulinant de ma bouche je ne cessé de ronflé. Quelques lueurs du soleil parvenaient à traverser ma fenêtre, se posant sur mon visage se reflétant sur mon horrible bave. J''étais dans mes habit de nuit en plein rêve, tout au fond de mon plus profond sommeil.

Soudainement, un bruit enchanté vint me tiré de ma léthargie. C'était le chant d'un oiseux, perché sur ma fenêtre. Il était d'une couleur bleu telle les petit oiseux de compte de fais son chant m'enivrai. Je finis par ouvrir es yeux, regardant le plafond, essayant avec toute mes forces de me relevé, je finis par ouvrir ma fenêtre.

Ce jour ci, ne ressemblait en rien au autre jour, car alors que tout le monde travaillé, moi j'étais de repos. Vous allez vous demandez la cause? C'était le jour de mon anniversaire. J'avais atteint l'âge où mes dons de ninja se développer et où ma force se dupliqué, j'avais atteint les quinze ans. J'en été fier et personne ne pouvait me gâcher cette si belle journée.

Je me trouvais alors après quelques minutes au dehors de l'immeuble à fixer l'horizon. Une idée m'avait pensé par la tête étant donné le temps libre que j'avais, je me décidais à rejoindre la forêt de Konoha. Ce fut en pas de course que je me dirigeais vers le grand portail. Le village c'était rempli, contrairement au matin même, quand la ville était déserte. Après quelques secondes de course je me trouvais devant l'immense portail de la feuille.

Et voilà, j'étais au dehors du village, la portes derrière moi, les arbres à mes coté. Je prenais le temps d'admirer chaque recoin de cette forêt. Le parfum des fleur chatouillaient mes narine et la douce brise me caressait la peau. J'étais au sommet de l'extase, quand soudainement une sensation de puissance me parcourra, un énorme chakra se dirigeait vers moi. Je n'avais plus le temps de m'amuser. Je sortis mon kunai, activant mon dojutsu puis j'attendais la présence venir à moi. Après quelques secondes un petit craquement se fit entendre. Une sueur froide me parcourra, trop de puissance émanait du corps qui m'approcher, je ne pouvais plus me retenir, je laissais mon chakra envahir le décor enfin de ne pas succombé à la puissance de l'autre.

-Montre toi! Je le dis le plus calmement possible, tournant le dos à mon adversaire, lui laissant une ouverture d'attaque pour voir quel était ses intentions.

#'. Les à-coups redoublaient de vitesse. Ses adversaires étaient dix, combinant leur force et leur agilité pour le mieux l’attaqué. Leurs yeux luisaient de la soif de gagner. Pourtant, Deidara parait les coups, bloquant leurs armes avec son Katana, et arrêtant leurs poings de son bras. Son visage était tendu par la concentration, alors qu’une couche fine de sueur le recouvrait. Pour l’instant, il n’avait pas été touché une seul fois par ses ennemis. Cependant, il était dans une impasse. Il ne faisait qu’éviter les assauts de plus en plus nombreux des hommes. Il était dans l’incapacité de riposter, ses adversaires l’en empêchant. Il devait agir, car il était épuisé, de danser sur place. Alors qu’il évitait un coup d’un de ces combattants, il s’empara de son bras, tirant l’homme en avant. Combiné à une puissante dose de chakra, il l’envoya au sol avec violence. Il profita de la surprise de ces autres antagonistes pour disparaître. L’air siffla, le remplaçant par une fumée blanche. Mais il ne pouvait fuir, ce combat était inévitable. Aussi réapparut-il à quelques mètres derrière les 9 hommes, le dixième ne s’étant pas relevé. Décochant des shuriken, un entre chaque doigt, il les envoya avec précision vers ses ennemis. Deux firent toucher, ne laissant que ceux du milieu à combattre. Ces derniers se mirent en ronde autour de lui, retrouvant leur position initiale. Cependant, l’effectif était réduit, et bien que ce fût très léger, Deidara, lui, le sentit. Évitant avec fougue un coup de poing, il saisit de nouveau le bras, qui eut la malchance de rester une demi-seconde de trop. Il tira violemment le membre, jusqu’à ce qu’il puisse donner un puissant coup de coude dans sa tête. Un des ninjas l’assaillit d’un coup de pied, et le blondinet dut faire un écart pour l’éviter. Il s’était donc rapproché dangereusement d’un de ses rivaux. Ce dernier sortit un long katana, qu’il abattit sur la tête de l’artiste. Il bloqua au dernier moment l’arme avec sa propre lame. Avec force, il repoussa l’épée, et plaça perfidement son pied derrière ceux de son adversaire. Reculée de force par le Katana de Deidara, l’ennemi trébucha sur le pied de l’Akatsukien, et tomba à la renverse. Dans sa lancée, le blondinet trancha le flanc de son voisin, qui n’eut pas le temps de pousser un hurlement. Il ne restait plus que cinq hommes, qui semblait soudain moins surs d’eux.

#'. Cette fois, ce fut lui qui partit à l’assaut. Ses opposants se battaient bien, bloquant ses coups avant même qu’il n’eut le temps de les développer. L’artiste prodigue dut se baisser, sauter, esquiver, parer les attaques des hommes. Il n’en pouvait plus, et il décida de jouer le tout pour le tout. Il tenta le coup de la surprise. Sans réfléchir, il bondit sur son concurrent, qui tomba à la renverse sous la stupeur. D’un coup de Katana précis, il trancha ensuite les jambes d’un des ninjas. Se relevant promptement, il fit face aux trois derniers restants. Ces derniers se jetèrent un coup d’œil, qui signifiait clairement « on se la joue collectif ». En faite, Deidara n’arriva à cette conclusion lorsque leurs poings fusèrent vers lui en même temps. Il bondit, déploya ses jambes avec vivacité. Au passage, il percuta les têtes des deux attaquants. Retombant au sol avec souplesse, il observa le dernier opposant, un sourire menaçant aux lèvres. Ce dernier avait perdu toute sa confiance. Il se ressaisit cependant, et dégaina un long Katana. L’Akatsukien fit de même, et attaqua le premier. Les lames s’entrechoquèrent avec fracas, chacun tentant de repousser l’autre. Ce fut Deidara qui y parvient le premier, mais l’antagoniste revient à l’attaque. Les assauts étaient courts et rapides, de plus en plus rapide, même. Alors qu’il s’était débarrassé des autres avec fourberie, il voulait achever le dernier dans un vrai combat. Ses mains raffermirent leur étreinte sur le manche en ivoire de l’épée. Il feinta à droite, et pendant que son adversaire parait, il fit passer son sabre derrière son dos, pour le réceptionnez de l’autre main. Là, il brandit l’arme qui alla transpercer son adversaire en plein flanc…Un nuage blanc entoura ce dernier, son corps disparaissant.

#'. Deidara poussa un soupir de contentement. Il avait achevé tous ses clones, enfin ! Il ne pensait pas que ce serait si dur…Il était épuisé, éreinté, alors qu’il n’avait presque pas touché à son chakra. Comme quoi, un retour au bon repère du ninja ne faisait de mal à personne. Il prit sa serviette, qu’il avait abandonné sur un tronc d’arbre, et s’épongea la nuque, puis la laissa sur ses épaules nues. Il avala l’eau avec avidité, puis s’assit. Aussitôt que le temps s’était dégagé, il avait bondit sur Seifuu, son aigle géant, et avait déboulé dans la forêt de Konoha, avant que les nuages ne couvrent le soleil. Cela faisait bientôt une semaine que le temps était mauvais, sans humeur, sans soleil. Il s’était peu entrainé, et il le sentait à présent. Ses muscles, trop longtemps à froid avaient un peu rouillé. Soudain, des pas se firent entendre. Ce craquement de bois contrastait trop avec les bruits de la forêt. Ce n’était pas un animal, il était bien trop bruyant. Deidara décida de se rendre à lui. Il était habillé en civil, aucune chance qu’on le reconnaisse, donc. A moins que son nom soit connu à présent, a vrai dire, il ne connaissait pas sa réputation dans le Pays du Feu. D’un pas vif, il s’engagea dans la sombre forêt. Il entendit une voix briser le silence qui s’était formé.

-Montre toi!

#'. Il décida (pour une fois) d’obéir. Il se dévoila, à un jeune garçon, qui devait avoir dans les 16 ans. Le blondinet remarqua tout de suite ses pupilles blanches. Un Hyûga, tient donc…Il ne connaissait que très peu ce clan, mais savait comme la plupart des gens, qu’il se basait sur le chakra. Un sourire apparut sur ses lèvres lorsqu’il apperçut le Kunai qu’il tenait dans sa main serré. Avec humour, l’Akatsukien leva les mains en l’air, comme s’il était en joue.

« Calme… »

#'. Se renfrognant légèrement, il ajouta.

« Et t’es qui, pour interrompre mon entrainement ? »

K

I

- Salut ! Qu'es que vous faite au milieu de la foret ?

K

La vie n'est qu'un flot de heures et de minutes qui passent et repassent, jusqu'au moment où la mort vous appelle. Dur de croire en un concept semblable quand on devient shinobi, ce n'est plus la mort qui vous demande c'est vous qui courrai vers elle, aveuglement sans jamais savoir où elle se trouve jusqu'à ce qu'elle apparaissent soudainement devant vous, le jour où vous ne l'attendiez plus. Ma mort, elle se trouvait où? Dans un champs de bataille, dans mon lit ou tout simplement maintenant. C'est là le suspens d'une vie de ninja, la mort devient tel un coups de théâtre qui apparait à la dernière scène, vous ôtant le dernière espoir auquel vous tenez.

J'étais dans une forêt où le soleil ne venait que rarement, envoyant quelques rayons blanchâtre traversant les quelques ouverture que laissaient les branches des arbres denses, si denses qu'on ne pouvait apercevoir le ciel si bleu de la journée. C'était la forêt de konoha, il n'y avait rien que des kilomètre de végétation et d'arbres aussi grand les uns que les autres, couvrant les sols de la chaleur du soleil. La vie était belle, si belle qu'on pouvait s'y perdre, mais pour ma part c'était autre chose, un danger m'était apparut et ma vie raccourcissait.

Voilà que j'entendais les bruit de l'ombre sortir des buissons, je ne m'était pas trempé, sa puissance était plus qu'imposant. Je gardais le kunai à la mains, mais voyant qu'il n'attaquait pas, je me retournai. Il portait des habits de civil, il était assez difficile de connaître ses origines militaires. Une tête blonde m'apparus alors, quand je levai mon regard vers son visage. Il n'avait pas l'air de me vouloir du tord ni au village. Pour le moment je restais neutre, remettant mon kunai dans sa pochette quand il me dit de me calmer. Après quelques secondes d'un silence imposant il enchaina avec une questions un peu froide. J'essayais de garder mon calme même après la froideur qu'il m'envoya, lui répondant.

Hito du village de konoha et à qui ais-je affaire?

Mais alors que j'attendais la réponse du blondinet, je sentis un autre chakra celui ci très faible. Il apparut devant nous, le regard pétillant de jeunesse, sur son front un bandeau de Konoha pendait. Il nous regarda calmement et nous demanda ce que nous faisions ici. Toute la froideur que j'avais en moi remonta d'un coup. Ne pourrais je jamais me reposer dans une forêt sans être déranger par une tête d'œuf où un ninja de base étages. C'est pour cela que je lui répondit d'une froideur sans égale.

J'crois pas que se soit tes oignons.

#'. L’étranger sembla se calmer légèrement après avoir vu que l’Akatsukien ne lui voulait rien. Avec prudence, il rangea son Kunai, et se présenta, et lui demanda le pareil. Le garçon avait gardé son Byakugan. Déjà que voir quelqu’un sans pupille était déconcertant, mais quand des veines bleuâtres ressortaient tout autour de l’œil, c’était carrément…choquant. Sous la pression, un renflement indiquait la présence invisible d’une pupille. Deidara passa oûtre ses yeux, pour ne pas afficher son dégout. Son interlocuteur avait des cheveux gris, mis-long. Ces vêtements n’affichaient aucun signe particulier. Ne portant pas le gilet traditionnel des Chunin, le blondinet conclut qu’il devait-être encore genin. Arrêtant de le détailler, l’Akatsukien répondit, un sourire malicieux aux lèvres.

« Deidara-kun, pour vous servir. »

#'. Il ne savait pas si son nom était connu ici. Ces attentats était peu nombreux, mais une évasion massive de prisonnier et l’assassinat d’un anbu ne passait généralement pas inaperçu. Sans qu’on puisse y coller un nom, les autorités avaient du comprendre que quand un dessin d’un nuage était gravé, il s’agissait de la même personne. Il se savait cataloguer dans le Bingo Book, mais rare étaient les personnes qui connaissaient chacune des têtes des criminelles. Un bruissement de feuilles se fit entendre. Le blondinet redressa vivement la tête, et aperçut, perché sur une branche, un grand gaillard. Il devait avoir la vingtaine, les cheveux blancs hérissés sur son crane, et bâtit comme une bœuf. Contrairement à ce qu’on pouvait pensez, il ne dégageait pas une grande puissance. Il sourit, brisant son image de colosse froid, et dit avec la naïveté et la fraicheur d’un enfant de 6 ans.

- Salut ! Qu'es que vous faite au milieu de la foret ?

#'. L’artiste prodigue haussa les sourcils, mais l’ignora. Il n’avait pas vraiment prévu de parler avec des grands gamins. Le prénommé Hito, qui devait avoir la quinzaine semblait étrangement adulte comparé a l’autre garçon. Le blondinet demanda d’une voix plate, qui cachait sa curiosité.

"Alors, comme sa, tu es un Hyûga ?"

#'. Il ne connaissait pas très bien ce clan. A vrai dire, il n’était pas vraiment calé en matière de famille de ninja. Il se demandait à quoi servaient ces grandes pupilles blanches, et comment elles pouvaient maitriser le chakra. C’était un moyen comme un autre d’engager la conversation.

L

#Le Début du Flash back#

K

#La fin du Flash back#

Une heure avait déjà passé et une autre, dans cette forêt maudite, sobre et effrayante, sous le feuillage des arbres se tenaient trois hommes. Plutôt deux hommes et un enfant, deux d’entre ses ombres avait des cheveux argenté et le dernier portait une chevelure blonde. Chaqu’un d’eux se tenait à quelques mètres de l‘autre, chacun se méfiant de son voisin, se regardant tour par tour. Le blondinet portait un chakra assez puissant, contrairement au dernier arrivé, qui n’avait qu’une très petite réserve de chakra. Je pouvais sentir le chakra des gens, c’est un don héréditaire que j’avais obtenu de mon nom de famille.

Le blondinet se présenta comme étant un dénommé Deidara. Je n’avais jamais entendu un tel nom de ma vie et j’en connaissais des noms célèbres. J’en déduit qu’il ne devait pas être aussi connu que son chakra laisse prétendre. De ma place je ne pouvais apercevoir son bandeau, et ses habits ne montrait aucune appartenance à une organisation ou autre. Je m’approchais vers lui toujours méfiant, au chemin de route vers deidara je lançais un regard vers le vieux Genin qui nous avez interpellé. Je ne savais pas comme j’avais osé crier sur un homme plus vieux que moi, mais le faite que je l’ai fait n’a pas dut trop le dérangé car il resta muet à mon discours assez froid.

Me voilà arrivé au coté du blondinet, j’essayé d’apercevoir son bandeau, mais il était caché par une grande mèche qui pendait sur son front. Je fus surpris de le voir continuer le discours, surtout qu’il avait remarqué mon importance au clan Hyuga aussi facilement. J’en devins intrigué et essayé de me rappelé si je n’avais vu son nom quelques parts. Rien ne me venait et c’était à mon tour de parler pour ne pas laisser le discours au point mort. Je le fixais dans les yeux, j’activais mon byakugan confirmant la puissance de son chakra, je relevais la tête vers ses yeux.

-Je suis honoré que vous connaissiez mon clan, mais je ne peux dire de même sur votre nom.

Je fixais ensuite le dernier arrivé avec un regard froid, regardant le bandeau de konoha brillait sur son front. Il était donc de konoha, j’avais essayé jusque là de le faire réagir, mais rien n’a voulu marché. Je lui avais ainsi parlé froidement pour le faire fuir. J’avais peur de ce qu’un ennemi aussi puissant que deidara pouvait bien faire et un genin fraichement promu n’aurait été qu’un fardeau si la discussion tournerait au combat. Je continuais du même regard glacial, mais il ne voulait pas fuir. Etait-il idiot où suicidaire ? Je libérais un peu de chakra dans l’atmosphère pour lui montrer ma force et l’intimidé, mais rien n’y faisait, il ne bougeait d’un cil.

-T’es toujours là, toi ?

Le temps passe très vite, Koinzell ne croyais plus quand il a reçu un flash back qui était de même que son rêve de la nuit dernière, un moment plus tard il reprend ces esprits, le vent se lève et balaie toutes les feuilles mortes qui se trouve par terre. à m'a droit un jeune blondinet inconnu non loin de Koinzell environ quatre mètres et en face un jeune Hyuga du village de Konoha de meme que Koinzell, un silence paisible dure quelque seconde. Le jeune Hyuga répond à l'autre blondinet, en dirais qu'ils ne se connaissent pas, de meme que Koinzell ne connait ni l'un ni l'autre ... Après quelque seconde, le jeune Hyuga lance un regard froid en vair Koinzell comme s'il ne voulait plus le voir et lui répond par une question très froide, à savoir qu'il se moquait de Koinzell, ce dernier ne savait plus quoi faire. Il restait la ne rien faire. La situation devenais critique, tout le monde se méfier de l'autre. Koinzell recula calmement en répondant au jeune Hyuga.

"Alors, toi aussi t'est de Konoha. Vue tes yeux et le clan que tu appartiens, tu devrais etre fort en puissance. Écoute n'essaye pas de libérer ton chakra pour montrer ta puissance en douceur, je la connais déjà "

Koinzell parle à Hito calment et en disant qu'il a compris son jeu n'entament au jeune blondinet qui ses présenter, il est carrément fort pour nous battre tous les deux. Koinzell se méfie encore du jeune blondinet qui était à coté de lui, mais il sait qu'il n'est pas aussi méchant qu'il a l'air. Alors, il se tourna vair lui en lui parlant calmement et essaye de ne pas le provoquer.

"Salut, Deidara c'est bien ton nom, Moi c'est Koinzell du clan Gale, mon clan n'est pas très connu. a vrai dire il était connu mais vue je suis me seul, sa réputation a diminuer.

Koinzell discute avec Deidara calmement et essaye de ne pas attirer l'intention sur lui. La question qui tracasse Koinzell c'est pourquoi il a eu ce rêve la dernière nuit et pourquoi il a reçu un flash back quand il a vue le jeune Hito Hyuga.

#'. Le ciel semblait se refermer, comme si quelqu’un au-dessus d’eux avais mis un couvercle sur le soleil. Ce dernier avait disparus, comme happé par d’innombrables nuages gris. De minces fentes entre les formes cotonneuses laissaient voir un ciel bleu, qui progressivement s’assombrissait. Le vent avait disparus, laissant une chaleur et un silence pesant dans la forêt. Les animaux même semblaient avoir déserté les lieux, craignant l’imminence de l’orage. Le blondinet poussa un soupire discret. S’il était venus ici, c’était pour avoir du beau temps…Hors, tout le monde semblait devoir subir les intempéries ces derniers temps. Cela irritait l’artiste. L’argile était mauvaise lorsqu’il faisait chaud. Lui préférait plutôt le soleil, mais toujours accompagné d’un vent frais. L’été était trop chaud pour qu’il puisse porter son kimono de l’Akatsuki. Cela prêtait à confusion, et plusieurs fois, lorsqu’il voyageait à pieds, on lui à demander des services. Il plaignait ces pauvres ninjas, dont les mémés réclamaient leurs secours. Porter des courses, gardés des mioches, ce n’était pas une vie. C’est surement pour sa qu’il a arrêté l’école traditionnel avant d’être genin. Il devrait mettre son bandeau frontal barré d’Iwa bien apparemment, du genre « Oui, je suis un méchant, non, je ne vais pas allez chercher votre chat dans l’arbre ». D’ailleurs, l’Hyûga semblait essayer de voir le symbole qui était gravé dans son bandeau. Sans montrer son agacement, il souleva sa mèche blonde. La lumière terne se refléta sur le fer gravé. L’hyûga lui demanda également qui était-Il, moins directe, cependant.

« Sa vous dit quelque chose, l’attentat de la prison, il y a quelques mois ? C’est moi. Et l’anbu, l’Uchiha tué dans cette même forêt…C’est bibi également. »

#'. Il s’esclaffa, en souvenirs de ces péripéties. La prison, s’était avec Ketten. Bien que ce fusses de l’improvisation, la mission fut réussis. Par contre, l’anbu avait été assassiné il y a quelques semaines, pour calmer sa haine envers le clan Uchiha.
Il avait parlé à la 3e personne du pluriel, car il s’adressait aussi au genin. Malgré les indications pourtant très clairs d’Hito, le ninja ne semblait pas désirer s’en aller. S’il n’avait pas été là, il aurait tutoyé le ninja. D’un naturel malpolie, il en avait toujours fais ainsi, ce qui lui avait attiré les foudres de ses sensei. Pupille blanche demanda sèchement à l’aspirant :

-T’es toujours là, toi ?

#'. Comme il avait put le remarquer, ce jeune homme était bien impérieux. Il ne semblait pas accorder beaucoup de respect envers ses inférieurs. Etrangement, cela choqua Deidara. Lui s’était toujours imaginé que les ninjas fidèles (c’est ainsi qu’il appelait les hommes n’ayant pas déserté) étaient bons, juste et droit. Il avait toujours accordé toute la noirceur aux déserteurs. Qu’un garçon soit ne serais-ce qu’un peu présomptueux le titillait. Pourtant, il avait rencontré plusieurs ninjas qui l’avaient insulté. Mais c’était normal après tout, entre ennemis. Mais entre frères ? Les yeux plissés, il découvrit en Hito une certaine aigreur. Le monde n’était pas noir et blanc, même du côté des « gentils ». Avec amusement, cette fois, il se demanda si le jeune Hyûga n’allait pas déserter. Après un court silence, le blondinet précisa :

« Je suis dans l’Akatsuki. »

#'. Il était impatient de voir les réactions de ces interlocuteurs. Elles étaient très diverses, impossible à prévoir. Allant de l’horreur, du doute à la surprise. Généralement un mix des trois. Le plus agacent était quand les gens ne le croyaient pas. Si l’un d’eux avait le malheur de dire « une femmelette comme toi ?! » il avait la peine de lui montrer que oui, il appartenait bien à l’organisation. La manière la plus explicite étant de donner la mort à la personne. Chez les ninjas fidèles, il y avait généralement la colère. Les plus naïfs nourrissaient l’espoir d’éliminer tous les truands et criminelles. Alors quand l’un d’eux se présentait à eux…comprenez leurs réactions. Alors quand l’un d’eux énumère les crimes commis dans son village…Deidara aimait être volontairement grossier. Il adorait provoquer une émotion forte chez les gens. Il voulait réveiller ce qui dormait au fond des gens. Ainsi, si un combat s’engageait, il était sur que ses adversaires se donnaient à fond.
Cependant, le blondinet ne désirait pas spécialement un combat. D’abord, il était en infériorité numérique. En plus, il revenait d’un entrainement, et honnêtement, il était crevé. Pour montrer sa passivité, il s’assit sur une souche, étirant ses muscles douloureux.

Spoiler:

La chaleur s’amplifiai de secondes en seconde, le vent se calma. Un temps morose régnait sur l’atmosphère, le soleil avait dut monter haut dans le ciel pour que la chaleur puissent m’atteindre sous les feuillages de la forêt. Un silence angoissant pesait sur le décore déjà froid qui me séparait des deux autres shinobi. Je sentais une drôle de sensations, celle de l’odeur des fleurs caressant mes narines. J’en déduis alors le positionnement d’une plaine assez proche, elle me sera utiles si un combat aurait lieux. Je continuais ma marche vers Deidara, quand soudainement j’entendis pour une deuxième fois la voix du pauvre aspirant. Je stoppais alors net, sans vraiment m’occupé de mon collègues, je fixais Deidara un sourire aux coins de la bouche. Je n’avais donné aucune attention aux paroles que lança le pauvre ninja aux cheveux argenté.

-J’en ai rien à faire de ce que vous avez pus faire. Et à la dernière nouvelle je ne m’informe pas de l’actualité.

Même si je montré un aspect calme et insouciant en vers l’exploit de Deidara, je restai perplexe et sentais la peur envahir mon cœur peu à peu. Je tournai mon œil vers l’aspirant dénommé Koinzell, ne comprenant ce qu’il faisait encore au prés de nous, il devait avoir des idées suicidaire ou tout simplement était-il incapable de sentir la puissance du blondinet. Après quelques secondes, Deidara releva la mèche qui pendait à son front, laissant apparaître un bandeau sur le quel est dessinai le signe d’un certain village, mais le plus flagrant resté la rayure qui ornait le bout de métal. C’était un déserteur, pour d’autre se serait un méchant, mais pour moi je restais perplexe et lui laisser le bénéfice du doute. Tant qu’il ne m’attaquait pas je restais passif, j’avais juste peur de la réaction de l’aspirant qui m‘accompagné. Se sont les plus faibles qui sautent les premiers vers la mort. Koinzell adressa alors quelques mots en vers le déserteur, je fus un peu las de ses discours à la noix. Je me retournais face à lui le fixant droit dans les yeux.

-Si tu ne la ferme pas, ton clan sera décimé à jamais.

Alors que j’essayais d’amortir les réactions impulsif du faible koinzell, Deidara ajouta un mot, qui aurait dût attirer chez la plus par la peur, mais pas pour moi. Je tombai alors au sol fatigué de cette discutions, je fourrai mon doigt dans l’orifice qui me servait d’oreille éjectant la saleté par-dessus bord. Je fixais alors mon interlocuteur droit dans les yeux sans cillé ni montré un geste de peur. Il s’assit lui aussi.

-Connais-tu Shin et ketten ?

#'. Le jeune Hito n’afficha aucune expression après que Deidara est dévoilé ces exploits à Konoha. Son masque de froideur resta intact, alors qu’il dit, en accord avec son visage :

-J’en ai rien à faire de ce que vous avez pus faire. Et à la dernière nouvelle je ne m’informe pas de l’actualité.

#'. L’aspirant dit quelques mots, sans que ni Deidara ni l’Hyûga ne lui accorde de l’importance. Ce Hito était intéressant. Cette partie de noirceur intéressait Deidara au plus au point. Le fait qu’il ne désire pas le tuer, ni partir en courant était un autre point positif. Apparemment, lui aussi ne cherchait qu’une discutions qu’on pourrait qualifier d’amicale. Le ninja, toujours perché dans son arbre, reprit sans se décourager :

"Salut, Deidara c'est bien ton nom, Moi c'est Koinzell du clan Gale, mon clan n'est pas très connu. a vrai dire il était connu mais vue je suis me seul, sa réputation a diminuer.

#'. Avant que Deidara n’ait put répondre, l’Hyûga le cingla d’une répartie tranchante. Le blondinet eut un rictus amusé, comme pour salué la réplique de son interlocuteur. L’artiste ne détacha pas les yeux du garçon. Il cherchait un sentiment, une trace d’anxiété ou de joie. Rien de dépassait de son visage de marbre. Il ne cilla pas au fait qu’il appartienne à l’Akatsuki. Il s’assit, avec décontraction. On aurait dit une approche entre un lion et un tigre. Etonner de rencontrer une bête qu’il ne connaissait pas. Se tournant autour pour déceler un signe d’animosité. Un geste qui trahirait une stratégie d’attaque. La confiance de Deidara n’était cependant pas ébranler. Il était le lion, et il était certain qu’il triompherait. Non, le manège entre les deux ninjas n’aboutirait pas sur un combat. Mais sur quoi alors ?! C’était sa qui l’intriguait. Il n’arrivait pas à prévoir son allocutaire. Il ne cernait pas son caractère, ses intentions. Et c’était la première fois que quelqu’un arrivait à dissimuler ainsi ses sentiments. Il ajouta une question, qui fini d’attiser sa curiosité.

-Connais-tu Shin et ketten ?

#'. Quelques secondes passèrent, alors que Deidara gardait le silence. Son visage n’exprimait rien, et puis tout d’un coup il se retourna vers Koinzell et dit gravement.

« Enchanté Koinzell. Je suis désolé d’apprendre que ton clan ne soit pas connu. Je tiens cependant à éclaircir ta culture générale. J’appartiens à l’Akatsuki, organisation criminelle. La réputation de ton clan risque de baisser sérieusement si son seul membre meurt, n’est-ce pas ? Cela serait regrettable. Si tu restes ici, tu risque de t’attirer nombres d’ennuis. Autant par moi, que par ce Hyûga qui semble avoir les nerfs à fleurs de peau (allusion aux veines qui ressortent sur son visage) que par ton village qui ne sera pas très content que tu sympathises avec un vilain comme moi. »

#'. Puis, avec un sourire éclatant, il ajouta.

« Voila ! La situation est clarifier, fais ton choix ! »

#'. Puis il reprit sa mine fermé, et se tourna vers Hito. Il appuya ses coudes sur ses genoux, et demanda :

« La question ne se pose même pas. Mais en revanche, pourquoi toi, tu les connais ?! »

#'. Il n’imaginait pas du tout les deux compères en train de bavarder gaiement avec le premier venu. Surtout le Datenshi. Il ne le connaissait pas personnellement, mais il avait un certain air glacial qui ne trompait pas sur son caractère. Quand à Ketten, il était plus difficile à cerner, mais le blondinet le voyait plus en train de tuer plus que de parler. Son imagination débordante le poussa à concevoir un réseau Konoha/Akatsuki, dont le dirigeant serait l’Hyûga. Il souri, amusé par ses propres pensées.

Spoiler:

♣ Le ciel semblait ce refermer, des nuages crie envahi celui-ci, ont ne peuvent plus apercevoir le soleil, du coup le vent se lève comme si une tempête se préparer, mais quelque seconde le vent se calma et laisse dernière lui un silence pénible, en ne pouvais rien entendre même pas le bruit des animaux, ils semblaient déserter la foret. Il restait que nous trois au milieu de la foret personne d'autre que nous. L'un regarder l'autre tandis que Koinzell se prend pour un surpuissant, mais au fond de lui c'est juste un nul, un perdant comme disent les villageois sur sa présence au village, pourquoi ils disent sa ? Parce qu'il est le seul survivant du clan Gale après sa disparition. Il n'a jamais connu ces parents ni même quelqu'un de son clan. Il ne sait pas encore que son clan était ravager par une maladie mortelle. Koinzell était devant eux comme un pion, c'était le plus faible d'entre eux surtout pour Deidara, Koinzell est juste un minuscule insecte qui traine dans ces pieds. Quelque doute tracasse le jeune Koinzell, qu'il n'est pas le bienvenu parmi et il n'aurait jamais d'ami dans sa vie si cela continue. Alors qu'il se doutait que s'arriérait, Deidara se retourne vers Koinzell en disant gravement.

«Enchanté Koinzell. Je suis désolé d’apprendre que ton clan ne soit pas connu. Je tiens cependant à éclaircir ta culture générale. J’appartiens à l’Akatsuki, organisation criminelle. La réputation de ton clan risque de baisser sérieusement si son seul membre meurt, n’est-ce pas ? Cela serait regrettable. Si tu restes ici, tu risque de t’attirer nombres d’ennuis. Autant par moi, que par ce Hyûga qui semble avoir les nerfs à fleurs de peau que par ton village qui ne sera pas très content que tu sympathises avec un vilain comme moi.»

Koinzell reprend ces esprits avec de la joie quand Deidara lui parler comme ça, il serre les coudes et quelque larme coule de ses yeux, personne auparavant ne lui a parlé comme ça.

"Merci Deidara-kun, ça me fait plaisir d'entendre ce que tu viens de me dire, ne t'inquiète pas à présent, je sais que tu viens d'une organisation criminelle et mon village ne sera pas très content que je sympathise avec un vilain comme tu dis, pour mon clan je ferait tout mon possible pour qu'il ne puisse pas disparaître a jamais."

La vie était si courte, pourquoi s’emmerder avec des faible, leur apprendre. J’étais un faible, mais personne ne m’appris à être fort, pourquoi, devrais-je avoir du respect pour ces pauvres asticot sans défenses ? Le pouvoir de mes yeux me permet de différencier les nuls des douées. Pourquoi aurais-je ce pouvoir si je ne pouvais maltraiter les pauvres faiblards de la classe de ce Koinzell. J’étais fort et rien ne pouvait arrêter mon ascension. Comment un asticot tel que Koinzell pouvait m’arrêter.

Quelques secondes après je fus surpris de voir le grand Deidara s’abaissai à parler à un minable tell que ce Koinzell. Je croyais qu’il allait tenter quelques choses contre mon collègue. J’approchais alors doucement ma main prés de la sacoche de kunai, même si c’était un faiblard, il était de mon devoir de genin de le protéger. Je fus soulagé de voir que Deidara ne fit aucun juste brute contre Koinzell et qu’il retourna la discutions vers moi. Il croyait vraiment que j’aurais pu attaquer mon propre confrère, ce qui était faux. Car même si les faiblards me dégoutaient, jamais je n’aurais pu faire du mal à mon village, celui où mon clan réside. Je restais toujours calme, les yeux rivés sur le membre de l’akatsuki. J’eu à peine le temps d’ouvrir ma bouche, qu’un son bizarre parvint de mon coté gauche. C’était encore ce Koinzell, décidément il ne comprenait pas le danger de la situation.

J’avais déjà entendu ce bruit au par avant, c’était celui des larmes qui coulent, je me retournais d’un geste vif vers lui. Les larmes coulaient à flot de son visage, dessinant les contours de sa face, jusqu'à tombé au sol, s’écrasant sur la terre verdoyante. Je relevais ma tête après avoir poursuivi la traversé des larmes. Je me grattais la tête sans vraiment savoir quoi dire à cet homme de vingt ans, pleurant à chaude larmes.

-Tu…Tu pleures, c’est quoi c’délire, t’a quel âge. Tu ne peux même pas te contrôle. Je te parle sérieux là. Tu le fait de vrai ?

J’étais vraiment dans une situation un peu délicate. Je craignais que se soit de ma faute, que ce pauvre homme tombe en ruines. Serais-ce de ma faute ? C’était la question que je me posais, et que je ne pouvais poser à Koinzell. Je retournais mon regard vers Deidara, un peu surpris par la réaction de l’aspirant. Il connaissait ces deux là, il était plus fort que lui, car lors de ma rencontre avec eux, je fus écraser juste par la puissance de leur chakra. Il voulait savoir d’où je l’ai connaissais, mais lui dire qu’on c’est rencontré en enfer, se serais un peu bizarre et je doute fort qu’il m’aurait cru.

-Je vois que tu les connais, je n’ai pas besoin de te dire que si j’ai pus survivre à leur rencontre, je ne crains plus rien surtout pas toi Deidara. La mort me parait plus douce que la compagnie de ces deux là en même temps et en….. Enfer.

L'enfer un si belle endroit, une sensation de chaleur m'envahissait me rendant nostalgique de tout ces combats vécu en compagnie des meilleur shinobi que la terre eu à porter. Je sentais la chaleur m'emportais dés lors plus loin que cette minable forêt, me rappelant les combats intenses contre les démons de l'enfer de Dantes. Un nom bizarres pour un endroit si effroyable. Cela m'avait assurer, si un tel endroit exister, il y avait bien un endroit plus beau, le paradis. Ma soeur y était étant donné que je n'ai pu l'apercevoir en enfer. Elle devait être au paradis accompagné de mes parent, il me surveillé de la haut, il fallait se montrer digne de leur sacrifice en vers le village et pour moi.

#'. Le blondinet s’attendait à ce que Koinzell prenne peur. Qu’il parte, comprenant enfin qu’il n’était pas le bienvenue. Ou du moins, qu’il saisisse l’ironie qu’avait exprimée clairement (enfin, il le pensait) l’Akatsukien. Au lieu de sa, l’aspirant répondu chaleureusement

"Merci Deidara-kun, ça me fait plaisir d'entendre ce que tu viens de me dire, ne t'inquiète pas à présent, je sais que tu viens d'une organisation criminelle et mon village ne sera pas très content que je sympathise avec un vilain comme tu dis, pour mon clan je ferait tout mon possible pour qu'il ne puisse pas disparaître a jamais."

#'. Deidara frémit. C’était quoi le problème en ce moment ? Pourquoi on s’obstinait à le considérer comme un gentil ? Il fallait qu’il se déplace avec les mains toujours enduite le sang pour faire comprendre aux gens qu’il n’était pas là pour les aider ? Il leva des yeux effarés vers le garçon, et comble du ridicule : il pleurait. Oui, le type chialait, mais pas de tristesse, non, de reconnaissance…Heu, attendez. Il l’avait bien menaçer de le tuer, non ? Jamais on n’avait pleuré de joie lorsqu’il avait annoncé ceci à ses victimes. Un suicidaire ? Il y avait des manières bien moins douloureuses de mettre fin à ses jours. Il jeta un regard à Hito, qui le regardait tout aussi éberlué que lui. Ce dernier se chargea de casser la brève joie de son collègue d’une réplique cinglante. Deidara se ressaisit, fronça les sourcils, et attendit le départ de l’aspirant. Il était destabilisé, aussi ne lâcha t-il pas une de ces réparties sanglante. Il avait trop peur que Koinzell l’interprète mal et saute de son arbre pour lui faire un câlin. Repoussant cette vision d’horreur, il se retourna vers l’Hyûga.

-Je vois que tu les connais, je n’ai pas besoin de te dire que si j’ai pus survivre à leur rencontre, je ne crains plus rien surtout pas toi Deidara. La mort me parait plus douce que la compagnie de ces deux là en même temps et en….. Enfer.

#'. Cette fois, Deidara n’eut peut retenir son éclat de rire. Un rictus mauvais s’installa sur son visage, alors qu’il reprenait son souffle. Avec froideur, il répondit.

« Ne viens pas me faire croire que tu as échappés au deux poteaux de l’Akatsuki ? J’aime pas les menteurs, et je peux découvrir en quelques secondes si tu as vraiment le niveau que tu prétends avoir. »

#'. Il n’était pas étonnant d’évoquer l’enfer lorsqu’on parlait des deux titans. Une plage à Hawai ressemblait au sanctuaire du Cornue quand on était escorté par Ketten et Shin. Cependant, son interlocuteur avait la prétention de dire qu’il leur avait échappés. Deidara se remémora la tête du frangin de Sheena. Il frissonna, lorsqu’il repensa aux prunelles sombres qui semblaient l’avoir transpercer lorsqu’il avait croisé son regard. Le frère du chef même de l’Akatsuki accompagné du ninja le plus prometteur de l’organisation –selon les dires de la Datesnhi- aurait laissé un genin s’en tirer aussi facilement ? Ou quoi, un Chunin, tout au plus, bien qu’Hito ne possède pas le gilet habituels de ces gradés. Même les sbires du clan étaient capables d’achever un Genin. De plus, les deux compères n’étaient pas ce qu’on pouvait appeler des hommes de cœurs. Ketten, qui égorgeait des enfants juste comme sa…Deidara jaugea l’Hyûga d’un air sombre. Si le garçon n’éclaircissait pas sa bafouille, il serait obligé de découvrir son niveau par un combat. Et s’il avait le culot de dire qu’il avait battue les deux hommes, il serait forcé de lui trancher la gorge. Personne n’était autorisé à bafouer la puissance de l’Akatsuki. Tous les petits rigolos dans son genre devait être achevé, c’était ainsi.

♣Quelques nuages empêche le soleil s'éclaircir, le vent se lève et balaie quelque feuilles morte qui restait par terre, La journée vas besoin se terminer. Koinzell pleurait, mais pas de tristesse, non, de reconnaissance en vair Deidara, sa ne pouvait plus duré, a vu d'oeil quelqu'un peux le considéré comme un pleurnichard, mais Koinzell n'aime pas du tout etre traiter comme ça, il est grand, pas un simple aspirant, il porte le bandeau frontal du pays du feu alors il est un ninja. Hito essayait de casser la brève joie de son collègue, mais plus maintenant. Koinzell décide d'un coup de s'entrainer encore et encore, faire des missions et prouvait sa valeur en vair les gens et en dernier faire vivre son clan. Il lance un dernier regard vair Hito Hyuga comme si, ils se revoient un jour ou l'autre Koinzell salua Deidara et reparte chez lui pour se préparer à son entrainement. Depuis qu'il est devenu Génin il n'a pas penser a s'entrainer pour se préparer au prochain examen Chunin.

Spoiler:

La peur, un bien étrange sentiment, une sensation bizarre qui prend votre corps en otage, vous n’arrivez plus à contrôler ne serais-ce qu’un membre d’une façon normale. Mais qu’est ce la peur en vérité, une bien belle chose, inconnu à nos yeux, incompréhensible à notre cerveau. Pourriez-vous dire ne pas avoir peur d’une chose dans ce monde taché par le sang et souillé par le crime. Chaque humains à ses phobies, plus il en surmonte plus ils en arrivent. Pourrait-on dire que l’humain reste esclaves de ses sentiments ? Cela est vrai pour quelques unes d’elle, mais la peur contrôlerait-elle votre corps, votre esprit jusqu'à le dévoré de l’intérieur ? N’aurait-on jamais vu d’homme mourir par les mains de cette sensation criminelle. Mais que serait le monde sans peur, un monde sans des Koinzell où des Deidara. Un monde pourris où personne n’a peur d’affronter le destin face dans les yeux et lui avouer ses sentiments. Malgré toutes les phobies existantes, la mort reste maîtresse de la peur. Chaque hommes a peur de voir son chemin finir, sa destiné se refermé sur lui, seul les plus braves et les plus fous réussissent à surpassé cette phobies, mais pour rencontré une nouvelle, la puissance d’autrui, ou seulement celle d’un dieu plus fort qu’eux. Pour ma part je ne sais si j’ai pu surpasser cette peur, mais la seul chose que je pouvais avancer, c’est que je n’avais point peur de mourir par les mains de mon interlocuteur. Je me bâterais jusqu’au bout, je mourrais bravement pour mon village, on m’enterra prés de ma sœur et mes parents, mon âme rejoindra celle de mes proches, ou descendra rendre visite à Lucifer. Quelques soit mon destin je l’assumerai pour l’éternité accompagné des mes proches ou entourait par les flammes de l’enfer. Ma seule peur restait celle de ne la connaître. Car plus pire que la peur, c’est de ne connaître la sienne, jusqu'à la recevoir un jour, soudainement en plein figures. J’avançais à mes temps perdu quelques théorèmes sans vraiment y croire, la peur de perdre mes amis, celle d’échouer dans ma vie professionnelle, ou bien perdre mon village.

Je me trouvais dans la forêt de Konoha, debout ou assis je ne m’en rappelais plus. Ce dont j’étais sûr c’était que je fixais mon interlocuteur d’un regard froid, Le vent se leva une deuxième entre nous, Koinzell quitta l’assemblé, comprenant enfin que rien ne lui était destiner dans cette rencontre. Un petit ricanement émana de ma bouche, telle un murmure, je fus le seul à en profiter. La brise de vent se brisa sous la puissance de l’entrechoquement de nos deux puissances. Je baissai la tête réfléchissant à la meilleure réplique. Deidara n’avait pas voulu croire mes dires ; fallait-il mentir pour se faire comprendre dans ce bas monde. J’en doute, il me fallait juste trouver le bon mot. Croyait-il peut être quand c’est battu ? Je ne pense pas moi-même, qu’un asticot telle que moi puissent réussirent à s’échapper des mains de ces deux démons. En plus grâce à ma précédente réplique, j’ai pu en soustraire une très grande information, je savais maintenant à quoi m’attendre en face de l’akatsuki, maintenant que je connaissais le niveau de leur meilleur membres, je pouvais simplement envisager la puissance de l’Akatsuki réunis, et cela ne m’enchanté guère. Je relevais enfin la tête vers l’artiste blondinet, je humai l’air d’un visage insouciant à mon interlocuteur. J’écoutai le son des chants d’oiseaux, je sentais l’odeur des fleurs pour une deuxième fois me taquiner les narines. Le vent soufflé sur mes cheveux argenté, et caresser ma peau. J’étais presque en symbiose avec la nature, insouciant au membre de l’Akatsuki. J’étais comme en transe, toujours à réfléchir. Je ne pouvais sortit n’importe quel connerie devant l’Akatsuki, et mes paroles avait une grande importance sur ma survie et celle de Koinzell qui n’était pas encore assez loin. Je n’avais pas peur pour ma vie comme je l’ai dis au par avant, je serais heureux de rejoindre ma famille sous terre et vivre en paix jusqu’au jour du jugement. Plus quelques seconde et Koinzell quittait mon large champ de vision s’étendant à presque un kilomètre.
-Nous voilà tout seul, maintenant.

Je fixais en ce moment Deidara, toujours l’air insouciant. Maintenant que koinzell était partit, je pouvais parler librement et sans être obligé de combattre. Le soleil c’était calmé, il allait presque faire nuit, et des heures nous séparé du début de notre rencontre. Il ne fallait pas que je me tarde, la forêt de nuit devenait dangereuse même pour un ninja de mon niveau. Je fis un autre petit sourire au blondinet. Je passais ma main dans mes cheveux.

-Je n’ai jamais dit que je l’ai combattu, non loin de ça, mais cela ne fait pas partit de tes problèmes. Désolé de t’avoir fait perdre du temps. Je dois maintenant repartir au village avant qu’il n’envoie une escouade à ma recherche. Je t’explique le plan, je vais revenir aux villages attendre une heure avant d’avertir de ton intrusion, je n’ai pas très envie de le faire, mais c’est mon devoir de shinobi, alors je te conseille de t’enfuir, car cette fois ça ne sera pas qu’un seul anbu que tu devras battre, mais bien une dizaine.

Je sautais sur une branche, retournant la tête à demi, un sourire aux lèvres. Heureux de cette rencontre.

-On se reverra un jour pour un combat ultime, en attendant que je m’entraine, essaie de rester en vie. N’oublie pas de demander une vérification à ketten.

Et ainsi je disparus dans un nuage de fumé laissé par les traces de mon décollage pour une course folle vers le village.

Citation :: C'est mon dernier post

#'. Alors que Koinzell disparaissait dans les recoins des arbres, Deidara pensa qu’il pourrait approfondir sa conversation avec l’étrange Hyûga. Ce type là intriguait notre artiste. Son assurance, bien que ce ne fusse surement qu’une façade, et un certain côté sombre qu’il n’avait jusqu’alors jamais connu en des ninjas fidèles. L’image qu’il avait de ces bons ninjas venait de se fendre, et il avait à présent l’espoir de l’approfondir. Son visage était cependant toujours tendu, montrant une certaine animosité. Il n’appréciait guère les charlatans, qui prétendaient des exploits souvent invraisemblables. Il était tout de même osé de les dire devant quelqu’un qui pourrait les vérifier. Ne doutant pas de son bon sens, Deidara était sur qu’Hito avait une explication qui tenait la route. Du moins, il l’espérait. Il ne désirait pas un combat, surtout avec sa faiblesse physique et la proximité du village. Il désirait unique en découvrir plus sur l’identité du ninja de Konoha. Le ciel, qui s’était déjà bien voilé ces dernières minutes se noircit de plus en plus menaçant. L’air était chargé d’électricité, la chaleur étouffante. Une fine couche de sueur perlait le visage et la nuque de notre artiste. D’un geste las, il passa sa serviette sur son visage, alors que son interlocuteur répondit, avec détachement.

-Je n’ai jamais dit que je l’ai combattu, non loin de ça, mais cela ne fait pas partit de tes problèmes. Désolé de t’avoir fait perdre du temps. Je dois maintenant repartir au village avant qu’il n’envoie une escouade à ma recherche. Je t’explique le plan, je vais revenir aux villages attendre une heure avant d’avertir de ton intrusion, je n’ai pas très envie de le faire, mais c’est mon devoir de shinobi, alors je te conseille de t’enfuir, car cette fois ça ne sera pas qu’un seul anbu que tu devras battre, mais bien une dizaine. On se reverra un jour pour un combat ultime, en attendant que je m’entraine, essaie de rester en vie. N’oublie pas de demander une vérification à ketten.

#'. Deidara se redressa, serrant la main du garçon. Avant qu’il n’ait put rétorquer, ce dernier fila. Puisque personne ne pouvait plus admirer sa neutralité, il laissa échappez une grimace. Là, on pouvait dire qu’il était surpris. Déçut, même. De dire que les renforts allaient bientôt venir le chercher était un mensonge trop gros. Jamais on n’avait vu les shinobis de Konoha s’inquiétait pour quelques heures de d’absence de leur camarade. La raison la plus évidente était qu’il craignait un combat. Etais-ce la preuve qu’il avait mentit ? Sa dernière phrase prouvait le contraire, surtout s’il escomptait une nouvelle rencontre. A moins que ses explications soit trop longues, confuses ou improbables. En tout cas, il avait le mérite de laisser perplexe le blondinet. Soupirant, il s’étendit. Il songea avec amusement que beaucoup de ninja lui avait fait la promesse de se venger. Ils avaient tous l’espoir que, pendant qu’eux progressaient, lui stagnerait au même niveau. Comme si allait les attendre…La journée était bien avancée à présent. Il pensait flemmarder encore quelques minutes, lorsque l’orage gronda, le poussant à changer d’avis. Craignant plus la pluie que les gardes de Konoha, il siffla Seifuu. Un battement d’aile se fit entendre, brouillé par le grondement de l’orage. Un atterrissage n’était pas possible, la forêt étant trop dense. Les seuls endroits dégagés était beaucoup trop proche du village, alors le petit blond décida de facilité les choses à sa monture. Aussi rapide que le vent qui se levait, il fila, et grimpa sur l’écorce d’un grand épicéa. L’immense aigle passa prendre son maître alors que ce dernier arrivait aux cimes de son perchoir. Il se hissa sur le dos imposant du rapace, jetant un dernier regard vers Konoha. Une tâche blanche filait à travers la verdure, et était à quelques minutes des portes. Le visage de l’Akatsukien se fendit en un sourire, alors que l’orage faisait trembler le sol avec fracas. Un éclair déchira les forêts d’habitude si paisible du Pays du Feu. La pluie s’échappa des gros nuages, comme un bouchon qu’on ouvre. Les grosses gouttes s’écrasèrent sur les feuilles, sans pour autant que le volume des nuages ne dégonfle. Un bel orage s’annonçait, mais notre ninja filait à toute allure, contre le vent, à la quête de meilleur météo.

Spoiler:

Validation:

Deidara: + 34 XP
Un Bon RP bien présenté avec aucunes fautes.

Hito: + 31 XP
Quelques fautes. Continue ainsi ^^

Koinzell: + 30 XP
Plus court que les autres, mais ton RP est bien présenté ce que te donne des points.