Teka Genin d'Oozora
Age : 31 Niveau : 7 Nombre de messages : 613 Localisation : La ou tu n'es pas... e_e Date d'inscription : 20/04/2009
~RPG~ Pv :: (310/310) Pc :: (270/270) Exp :: (125/170)
| Sujet: Mission D : Herbes médicinale Mer 17 Mar - 20:36 | |
| - Citation :
- Nom de la Mission :Herbes médicinales
Description :Un groupe de chercheur demande une escorte pour se rendre dans la montagne au Nord de Kiri.En gros vous leur servirez à porter les herbes une fois ramassé.Ces dernières ne poussent qu'une fois par an donc vous comprendrez l'importance de ces dernières et donc le fait qu'elles ne doivent en aucun cas être abimé par quoi que ce soit.Petit conseil,méfiez vous des lapins vivant dans la montagne car ils raffolent de ces petites herbes.
Condition de Réussite :Rapporter au village les herbes médicinales.
Nombre de Ninja : Un Ninja
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Voila, après être partit du bureau ou de la tour de Yekais-Sama, le shodaime Shinokage, l'homme le plus respecté de tout ce super village, je me rendais ou je me devais de me rendre... Donc, a ma résidence! Arrivé, je décidai de ne pas faire, cette fois-ci, durer le suspense mais plutôt me dépêcher d'en découdre avec cet éventuel jutsu. Après avoir déplié ce rouleau et après l'avoir lu de mes yeux d'un bleu pur, je pus débuter d'entrainement... Je vais tout d'abord vous expliquer la théorie de ce jutsu, sans vous en dévoiler le nom. Un simple coup chargé en chakra pour en augmenter la toute puissance. En suite, viennent les diverses explication que je vais vous abréger. Une puissant coup porté avec le plat de la main et l'os du poignet, autrement dit, un coup de paume. Celui-ci sera chargé en chakra pour augmenter la vitesse de propulsion et la puissance de l'impacte. A l'appui sur le corps, le shinobi doit relâcher tout le chakra concentré pour un maximum de dégât affin de fracturer les os si possible. On appel ce mode de combat, Gouken. Tout n'est pas misé sur la précision ou la rapidité mais sur la puissance et les dégâts externe. Avant qu'un vent violent vienne percuter la cime des arbres pour faire danser leurs feuillages d'une verdure luxueuse, je pus concentrer mon chakra. Quand la danse ou le ballet dansant des arbres fut fini, je pus écraser ma main contre l'arbre. J'eus fermé les yeux pour une seule raison... La surprise du résultat. Une grande douleur se fit ressentir, parcourant tout mon bras. J'eus l'occasion de me rouler une dizaine de fois par terre pour me tourmenter un millier de fois. Quelques bout d'écorce tombé au sol avec une citerne de sang dégoulinant de l'arbre au sol, suivant mon tracé, coulant de mon poignée. A l'impacte je pus entendre le bruit de l'écorce brisé, le bruit de ma peau s'ouvrir, le bruit du sang gicler mais pas que... Je ne me serai pas tordu de douleur pour si peu. Je pus donc entendre, en plus de tout se que je vous ai décris, un amas d'os, ceux de mon poignet, se briser violemment au contacte de l'écorce. La cause de mon échec devait surement être le surmène-ment dont j'avais fais preuve ces derniers jours. Je fus donc assez négligent. Je ne pouvais pas continuer dans cet état mais je ne m'en rendis compte qu'après avoir littéralement briser ma main, après multiple tentative plus désastreuse les unes que les autres. Rentré chez moi, du papier pour se torcher le cul, un morceau de vieux scotch, feraient l'affaire pour empêcher mon sang de couler et tout dégueulasser. Je pus déchirer un morceau de mon seul rideau pour enfiler cette bande autour de mon coup jusqu'à tenir mon bras, comme si j'étais plâtré. Un vrai petit docteur le Teka, n'est-ce pas? Ou bien une merdasse de la médecine? Je réalisai que j'aurai du me doucher avant cela, il était trop tard maintenant. Je ne pus que me mettre a poil dehors, histoire que mon corps prenne l'air. Je pus, aussi, rincer ma chevelure mais ca se limita a cela. J'eus sauté dans mon lit que j'aimai tant et qui ne pourrait, jamais, me faire de mal... Erreur, e_e. Sous l'imposante pression de poids ou de ma masse musculaire, quelques latte sautèrent pour que mon corps s'enfonce. Ce fut ainsi, les larmes aux yeux, touché par un malheur téméraire, que je pus tomber dans un profond sommeil.
Le souffle coupé, en sursaut, après un rêve de suicide, tombé du ciel pour s'écraser au sol, s'est ainsi que je me réveillai si brusquement tout en poussant un gémissement qui aurait dut être un puissant et imposant crie de douleur mais tout cela fut retenu par une grande fatigue et un souffle coupé. Je courbai mes genou, les rapprochant de mon torse pour tourner mes jambes et poser mes pieds au sol. Une impulsion, j'étais debout. Sous le sol craquant, laissant mon emprunte dans la poussière du parquet, je me dirigeai vers la douche, me rinçant le haut du corps. Suite a ca, malgré mon handicape, je me mis sans plus tarder a galoper vers le lieu ou je devais me rendre... Kumogakure. Tout du moins, ce qu'il en restait, autrement dit ces ruines. Dans ce village, aujourd'hui, désertique, a moitié détruit de part son inactivité. Oui, les gens l'avait abandonné pour rejoindre le village de Kirigakure qui devint Oozoragakure. En faite, par l'agrandissement des terres de Kiri, de part leurs emprise sur Kumo et Oto, ainsi que leurs pays et terres, Kirigakure put largement s'agrandir pour devenir Oozora. Un simple signe de changement... Le bureau du présumé mizukage, qui devint un vrai temple, a s'y perdre pour le shodaime shinokage, comme on l'appelait. Avant d'arriver a destination je pus masquer ma présence et me camoufler dans le sombre décor nous entourant. Il y avait une vieille dame, une jeune femme ayant l'air indienne mais avec la peau plutôt clair, un homme semblant avoir la trentaine avec un petit gars d'une dizaine d'année, celui-ci était roux. Tout d'abord, je devais trouver une histoire pour mon bras affin de ne pas sembler minable. Après quelques second de réflexion je décidai de masquer ce handicap par un henge, faisant comme s'il me manquait simplement un bras, j'allai en faire toute une histoire... Après quelques signe difficile a réaliser avec une main endommagé ma transformation prit forme. Je pus laisser mon torse a découvert, exposant multiple cicatrice...
→ Henge no Jutsu. Alors s'est donc vous qui avez demandé un ninja d'Oozora...?
→ Ouèp! Tu vas nous aider et protéger les plantes que nous récolterons sur le chemin! Attention, ca vaux une petite fortune jeune homme...
Après mes quelques parole je pus me transformer et prendre l'apparence souhaité. L'air classe, ma tête leur faisant profil, regardant le soleil illuminant mon portrait, les yeux plissés, je pus m'annoncer leur demandant de me confirmer si c'étaient eux qui m'avaient contacté pour la mission. La vieille ne fut pas atteinte par mon arrivée fracassante au contraire des autres. Le père tourna la tête, surement jalousé par ma musculation. L'enfant fut illuminé par mon arrivé, il semblait m'envier. La jeune femme put afficher un sourire rassuré. La vieille me dépassa et put mettre sa main dans mon dos me poussant avec puissant, de sa paume, d'un air vif et expressif, criant un "Ouèp", symbolisant une super forme pour une vieille dame. D'après ses dires énergique je devais les aider, comme dit sur ma fiche de mission, a ramasser, trouver et protéger une plante médicinale assez rare et qui coutait pas mal de pognon d'après ce que je pus comprendre. Il fallait donc faire attention. Cette mission allait être facile. J'espérai donc que mon bras se restaurait rapidement pour que je puisse reprendre un entrainement des plus sérieux et intense. Après qu'un vent fracassant ait percuté de plein fouet mon torse pour changer sa direction, quelque peu intimidé, après avoir été illuminé par le soleil, nous puissions nous mettre assez rapidement en route. Les herbes se faisaient rare et difficile a ramasser. Il fallait gravir des falaises, descendre dans des ravins et a une main... Oué, je me tapai le sale boulot. Tout ca pendant que le père que je trouvai con, insultait les ninjas. Frapper un con ne m'intéressait pas mais quand il osa bafouer l'honneur de Yekais-sama ainsi que la réputation des épéistes, prétendant qu'ils étaient aussi misérable qu'une fourmis qu'il écrasa, alors... Alors mon poing écrasa son plexus pour qu'il tombe au sol affin de se tordre et quatre pour ainsi, mieux gémir. Je continuai mon chemin alors que je semblai avoir terroriser le gamin qui vint au secours du con pour lui demander si ca allait. Ce p'tin de con rejeta le gamin qui partit marcher a mes côtés l'air miné. Ne sachant que dire, je le regardai d'un étrange œil, tirant une grimace rejetante ou moqueuse, dépendant du point de vu de la personne. Tout a coup, je pus poser mes fesses sur une pierre, pour lui barrer la route et afficher un visage terrorisant, riant sadiquement, sans dire un mot.
→ Hi~ Hi~ Hi~ Hi~ Hi~ ! T'as peur? Mauviette...
Après un mesquin rire et un visage terrifiant je pus impressionner et terroriser le gamin qui fut ainsi surpris. J'eus l'occasion de lui demander s'il avait peur de moi, d'un air moqueur. D'une voie aigu, j'en conclu qu'il était une mauviette. Oui, c'était ma seule et unique distraction, dans cette mission ennuyeuse, que de me foutre de lui. Ne cédant pas aux provocations, ayant un semblant d'intelligence me fatiguant, il détourna la tête pour me dépasser et tracer sa route. A la pause je pus enfin, après avoir mangé de la bonne viandasse, étudier cet étrange technique car j'avais le pressentiment que mon échec ne venait pas de ma négligence physique mais d'autre chose. A deux doigts de percer le mystère de ce rouleau qui semblait avoir une part ayant un semblant de "mystique" comme je le pensai si bien, un cri sourd de gosse vint percer mes tympans qui en devinrent presque sourd. Je me levai brusquement près a lui foutre une sacrée raclé, les sourcils froncé, vénère comme on aurait put utiliser l'expression. Tordu au sol de douleur, je n'en eu vraiment rien a faire, je le pris par la gorge le secouant. Son air souffrant se changea un en réel air suffocant, de part ma main faisant pression sur sa petite et faible gorge, soulevant son insignifiant corps. C'est de mon œil impi' que je pus le dévisager n'ayant aucune compassion, ni pitié en son égare, près a lui briser le coup. Le père vint me pousser d'un coup d'épaule qui me fit, simplement, je ne sais pas en faite. Ah si! J'avais lâché le gamin mais balayé le père de mon autre poing, tout en annulant mon henge. Je prenais une position imposante, digne de respect, laissant le bruit du vent s'imposer sous l'apparition d'un bras rétablis.
→ Putain...!
Je lançai une foutu insulte, signe d'ennui. Je comprenais, maintenant, que même de petite mission ayant un semblant excité pouvait être chiante, longue et ennuyeuse. Aussi quelque peu compliqué pour la simple tâche qu'il y avait a remplir. Ce boulet et cette gène, ce père se trouvant supérieur, put reculer et trébucher sur une pierre avant de tomber dans un ravin sans fond, déclenchant se que j'aurai appelé un holocauste nucléaire, exagérant grandement. Une avalanche de caillasse, principalement un énorme rocher allait littéralement l'écraser. Ennuyé, je décidai de plonger dans le vide, réfléchissant une dernière fois a mon jutsu. Je comprenais mon erreur, la ou j'avais mal géré la dose de chakra, sa variation et son flux. Un amas de chakra vint entourer mon poing me propulsant d'avantage sur la pierre. J'écrasai ma paume dessus, une couverture de chakra sur celle-ci, et une propulsion sur les doigts pour écraser et réduire en cendre cette foutu caillasse avec la technique du... Shougekishou. Heureux de ma réussite, je pus ressentir une douleur sur mon poignet mais je l'eus mis de côté pour récupérer l'homme a la trentaine affin de remonter la falaise, bondissant avec le chakra concentré dans mes pieds. Je le posai au sol, le regard a moitié miné. Non pas parce qu'il s'était évanouie mais pour tout ces propos injurieux envers les shinobis alors qu'il n'était qu'une sous-merde. Après l'avoir posé au sol, sa veste s'ouvrit laissant tomber la moitié des herbes récolté. Je comprenais la ruse. Le fils put faire diversion pour que le père s'empare des herbes. Ils étaient surement des SDF, des pauvres, des gitan ou des forains. Ils devaient avoir un train de vie minable. Je ne pus ni les envier, ni les comprendre ou les détester. Je pris un air mécontent et supérieur, reprenant la route pour simplement mener ma mission a bien...
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