Hasegawa Mariko
Aspirant Ninja d'Iwa
Age : 31
Niveau : 1
Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 19/02/2010
~RPG~
Pv ::
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.:: Présentation ::.
Nom : Hasegawa
Prénom : Mariko
Âge : 16 ans
Genre : Féminin
.:: Descriptions ::.
Un mètre soixante… Voilà d’où je vois le monde. La plupart du temps je dois lever la tête pour regarder quelqu’un dans les yeux, la seule exception ce sont les enfants. Pas très glorieux me direz-vous mais on vit comme on peut, non ? Je suis plutôt mince, même si j’ai tendance à dire maigre ce qui n’est pourtant pas le cas, dans l’ensemble je pense être bien dessinée en particulier lorsque je m’efforce de cacher mes défauts. Néanmoins heureusement qu’une vie ne se limite pas à une simple histoire de centimètres – et à vrai dire ça m’arrange. J’ai souvent dénigré mon corps, mal dans ma peau ou jalouse de cette « peau » que possédait les autres. En vérité je les envie beaucoup, leurs démarches gracieuses, leurs cheveux blonds, oui j’aurais aimé sortir un peu de l’ordinaire et être rousse ou blonde mais la génétique en a décidé autrement. « Tu seras brune. » avait-elle dit d’un ton emprunt de gravité. Alors me voilà commune, semblable à beaucoup, dans le décor… Petite brune aux yeux verts mais nul capuchon pour que l’on me nomme Chaperon, d’un côté devenir le Chaperon d’un panier en osier ne faisait pas vraiment parti de mes perspectives d’avenir.
Vous me trouvez sûrement un peu dure avec moi-même mais dans un sens vaut mieux se dévaloriser que de viser des objectifs qui vous sont inaccessibles. Bien que l’aspect plaintif de cette description prédomine sûrement, je ne suis pas mécontente, je suis simplement résignée. Résignée car ma vie me plaît malgré tous ses défauts et toutes ses imperfections. Bizarrement, mon corps, ma vie, mes habitudes, je ne les abandonnerais pour rien au monde.
Alors pour contrer cette banalité, cette fatalité, j’essaie de me mettre en avant sans me montrer. Bien m’habiller, avec mes goûts, mes envies, rester moi-même bien que beaucoup semblent ne pas m’apprécier pour ce que je suis. Se mettre sur le devant de la scène par un simple code vestimentaire est bien sûr impossible mais ça y contribue, du moins je le pense, c’est aussi pour cette raison que j’essaie de rester propre, disciplinée, si possible distinguée bien que cela ne m’aille pas du tout. Pour les grandes occasions, j’ai toujours ce grand kimono qui appartenait à ma mère avant qu’elle ne me l’offre, enfin trop grand pour moi car il faut avouer qu’il est un peu large de taille. Ne pouvait me contraindre à enfiler ce genre de tenue quotidiennement, je me tiens à de simples vêtements, ni trop voyants ni trop sombres. En fait je crois que je n’arrive pas à me défaire de cette banalité génétique.
J’ai aussi beaucoup de manies qui me gâchent parfois la vie. Par exemple je ne sais pas mentir car mes yeux se mettent automatiquement à briller comme si les larmes me montaient. Il est donc hors de question pour moi de mener quelqu’un en bateau, j’en suis bien incapable. Lorsque je suis nerveuse je joue avec les boutons ou les fermetures de mes vêtements ce qui m’oblige parfois à les recoudre, et puis il m’est souvent arrivée de ne pas remarquer qu’il m’en manquait un… Lorsque l’envie m’en prend, je mets parfois une broche dans mes cheveux, j’en ai que quelques unes mais elles me suffisent surtout lorsque je m’ennuie et que je la décroche pour jouer avec, au risque de l’abîmer.
J’ai le contact facile. On me dit souvent que j’accorde trop vite ma confiance, c’est sûrement qu’il reste une part de naïveté encore saine de toutes corruptions extérieures. Quand je dis « contact facile » cela ne veut pas dire que je m’entends avec tout le monde, loin de là. En vérité, je vais rarement vers les autres mais lorsque eux viennent à moi je les accueille sans difficultés, sans doute que je n’ose jamais faire le premier pas. Il est vrai que je manque légèrement d’initiative. Je ne suis pas bien timide mais j’éprouve un profond respect pour les personnes plus âgées que moi, les hauts gradés, en vérité un peu tout le monde et je crois que ce même respect me pousse à la timidité si je ne parle pas avec des gens de mon âge ou de mon statut. C’est assez difficile à expliquer mais ça l’est encore plus pour moi.
Je suis loin d’être une personne complexe, mon caractère reste parfois imprévisible mais il est simple – à la limite du ridicule – de me canaliser. Pas violente pour deux ronds mais me chercher reste une chose qui m’insupporte car je ne vois pas l’intérêt de la provocation. Dans mes mauvais jours une simple remarque déplacée vous vaudra vos quatre vérités, dans les meilleurs je ferai comme si je n’avais rien entendu. Je n’en viens aux mains qu’en dernier recours mais sachez que c’est uniquement à cause de ma carrure qui ne me permet pas de sauter sur le premier qui viendrait à me manquer de respect – ça et ma retenue bien sûr.
Mis à part cela, je suis dans l’ensemble assez serviable, j’aime rendre service et même si je ne suis pas la personne la plus à même de vous aider je tenterai de faire ce que je peux de mon côté parfois même sans rien vous dire. Je ne fais pas ça pour la récompense ou une quelconque reconnaissance, simplement pour être agréable et faire ce que j’aimerais que l’on me face un peu plus souvent.
Noyé dans beaucoup d’autres, j’avoue qu’un de mes défauts est la curiosité. Pas de là à en devenir agaçante mais je me pose tout le temps tout un tas de questions qui sont souvent sans réponses. Cela peut-être aussi bien sur moi que sur vous, sur la vie que sur ce qui se passera demain. Cette attitude me fait parfois m’inquiéter et de part ce fait j’angoisse de manière presque compulsive… Mêlée à mon émotivité assez prononcée ça donne parfois quelques larmes alors que la tristesse n’est pas forcément au rendez-vous.
Concernant mes goûts j’aime beaucoup de choses, en vérité il serait plus facile de dire ce que je déteste tellement il y en a peu. Je ne sais par où commencer, je pense que je vais vous en faire part au fur et à mesure que j’y pense. Par exemple pour reprendre le thème de la curiosité, j’aime beaucoup les murmures que l’on peut entendre des discussions qui ne nous sont pas destinées au restaurant. En vérité je crois que j’aime beaucoup trop de choses qui n’ont aucunes importances… Renifler le parfum des personnes lorsqu’elles passent dans la rue, faire tourner les légumes de ma soupe, manger sucrer… Oui en fait c’est ça le mot, insignifiantes comme les rares fois où j’ai essayé de faire se rapprocher des petits oiseaux avec de simples grains de riz... Quelle scène ridicule quand j’y repense.
En revanche s’il y a une chose que je ne supporte pas ce sont les gens qui croient tout savoir. Je pense que beaucoup sont dans mon cas, peut-être pas, mais de toute manière je ne me suis jamais sentie seule face à ce genre d’individu. Ca a le don de me mettre hors de moi. Les gens imbus de leur personne ne valent en général pas grand-chose, du moins c’est ce que je pense d’eux… Même s’ils ne seront jamais convaincus qu’on puisse ne pas réfléchir à leur façon.
.:: Biographie ::.
Nous avons tous nos petits secrets, des choses qui nous font honte au point que l’on aimerait tuer les personnes qui le savent pour qu’avec eux l’incident se tasse six pieds sous terre. Mariko n’est pas en reste. Bien sûr elle ne tuerait personne, elle n’a pas l’âme sanguinaire, pas du tout même, d’ailleurs elle ne sait même pas comment elle réagirait. Peut-être que ça lui plairait, peut-être pas… Cette pensée lui faisait peur, était-il possible de s’habituer à ce genre d’atrocités ? Le meurtre, la torture étaient des éléments qu’elle tenterait d’esquiver toute sa vie. Oui, pour d’obscures raisons cette jeune fille ne dépassa pas le rang de Genin, pourquoi allez le savoir, essayez de lui poser la question même s’il y a peu de chance qu’elle y réponde. Cependant rien ne nous empêche de se plonger un peu plus loin dans le passé et de sauter directement au moment présent afin de garder ce petit secret, hein ? Qu’en dites-vous ? Bien, allons-y :
Rien ne la prédestinait à une longue carrière Shinobi ou tu du moins normale. Fille de deux villageois d’Iwa, passionnés par leurs métiers, Mariko se retrouva bien vite nez à nez avec la vérité : elle serait ninja pour pallier le manque de ses parents. Bien que son engouement ne fût pas des plus ardus, elle se contenta de faire bon ménage en acquiescant à chaque possibilité qui lui était proposée. Ainsi, ses parents s’évertuaient à lui trouver mille et une raisons d’approfondir leur propre carrière, ils étaient en bas de l’échelle ? Il fallait qu’elle vise plus haut car pour eux elle en était capable et ce dès l’âge de six ans – et six ans pour des parents c’est déjà trop grand. La petite fille grandit donc dans une famille restreinte mais non sans amour, d’ailleurs elle ne s’en plaignit jamais. Ils ne croulaient pas sous l’or mais n’étaient pas pour autant pauvre, une famille normale pour une fille banale me direz-vous, eh bien en quelque sorte c’était cela. Les études de Mariko se passèrent sans encombres du moins jusqu’à son entrée à l’académie… La vérité des ninja lui sauta aux yeux, des armes ? Des techniques pour immobiliser ? Pour tromper ? Elle qui était déjà incapable de mentir il fallait qu’elle se dédouble pour tromper un adversaire potentielle… Ces mois furent fort longs pour la jeune fille, au point qu’elle renonça aux autres examens au plus grand désespoir de ses parents qui peinaient à comprendre l’attitude de leur unique enfant.
La voilà donc simple Genin depuis des années et des années. Il faut dire qu’à seize ans elle se considérait trop vieille et inexpérimentée pour oser aborder l’idée de reprendre les études shinobi. Malgré tout, elle voue un profond respect à tous ces gens qui risquent leur vie sur le champ de bataille, à tous ces ninjas qui effectuent ces missions si dangereuses lorsqu’elles dépassaient le fait d’aider une grand-mère à aller chercher ses épices. Le rang D c’est tout ce que Mariko avait connu et d’ailleurs elle ne cherchait pas vraiment à approfondir sa culture sur ce sujet.
A l’heure actuelle, la jeune Hasegawa se contente de vivre une vie paisible dans le domicile familiale. Aidant ses parents à l’entretient de la maison, aux commissions et toutes ces petites choses qui ne nécessitent pas d’être ninja. D’ailleurs depuis quand fallait-il avoir une mission pour rendre service aux gens ? Mariko trouvait cela aussi stupide qu’utile. En parlant de stupidité, depuis aussi loin qu’elle se souvienne elle adore traficoter tout ce qu’elle trouve ou du moins ce qui lui appartient. Une passion comme une autre mais disons que ça lui permet de s’évader dans les moments de doutes, certains crient dans leur chambre, d’autres tapent dans les murs, Mariko ouvre le ventre de ses poupées de cires et de chiffons, remarquez que cela s’accorde aussi à son caractère, on ne se refait pas. Sa chambre en est d’ailleurs remplie, sur la table, au pied de son lit, sur les quelques meubles qu’elle possède. En vérité ses créations remplacent les jouets auxquels elle n’était jamais arrivée à s’attacher avant leurs modifications.
De leurs côtés, ses parents se questionnent. Qu’est-ce qui avait bien pu pousser Mariko à arrêter si soudainement les études ? Cette passion pour la modification et l’amélioration de ses jouets était-elle due au hasard ? Savait-elle plus de chose qu’elle voulait bien le leur dire ? Depuis maintenant plusieurs semaines ils se concertent, se demandant comment aborder la chose… Ils décidèrent finalement au bout de quelques semaines d’enfin lui avouer leur véritable origine. C’est de cette façon que Mariko apprit tout un tas de chose sur elle, sur ses parents, sur sa vie. A l’évidence le bandeau qu’elle avait si durement gagné n’était pas le bon. D’abord déçue et en colère la jeune fille s’isola quelques temps avant de se reprendre en main et de reprendre sa vie d’avant. Lui faisant promettre de ne rien dire pour ne pas être à nouveau obligé de partir d’un village et de tout recommencer, ses parents lui annoncèrent finalement que cette passion pour la retouche n’était pas anodine.
Ils ne lui en dirent pas plus, lui laissant la possibilité de laisser tout ça au placard ou d’essayer de comprendre. Il fallait dire que ses parents lui mâchaient trop peu souvent le travail et que sa curiosité lui serait utile pour découvrir ce qui se cache entre les lignes.
Plus récemment, elle s’occupe de moins en moins de la maison, envie de s’évader, de changer de vie ? Sûrement après tout rester chez ses parents éternellement est impossible mais sans revenu il est difficile de faire autrement. En ces beaux jours, elle profite de la présence du soleil pour prendre un peu le bon air frais, rien de mieux pour vous rafraîchir les idées, pas vrai ?
.:: Suppléments Divers ::.
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Pensées : *...* . | |
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Akio
Juunin d'Oozora
Age : 30
Niveau : 6
Nombre de messages : 165
Date d'inscription : 08/01/2010
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(85/190)
| | Sujet: Re: - [Présentation] - Hasegawa Mariko Ven 19 Fév - 18:27 | |
| +10 d'exps j'ai adoré *o*. | |
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Hasegawa Mariko
Aspirant Ninja d'Iwa
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Date d'inscription : 19/02/2010
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| | Sujet: Re: - [Présentation] - Hasegawa Mariko Ven 19 Fév - 19:15 | |
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![- [Présentation] - Hasegawa Mariko Narutopartmiddle](https://2img.net/r/ihimizer/img193/7474/narutopartmiddle.jpg)
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