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| | | Pensée Ancienne [FB] |  |
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Ossan
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|  Sujet: Pensée Ancienne [FB] ![Pensée Ancienne [FB] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Mar 13 Oct - 20:22 | |
| - Date : Inconnue.
Pensée personnel d’un ninja appartenant à l’armée du Daimyo du Sud.
♪ Mon souffle est instable, l’aire que je rejette se confronte à ce casque perturbant qui se balance sur mon crâne. Une peur m’empêche de trottiner comme les autres le font, alors je marche, faisant croire que j’ai une gêne au genou. Un camarade vient vers moi et me dit d’accélérer la cadence si je ne veux pas retrouver en premières lignes. C’était la punition pour les feignasses…une punition fatal car personne ne revenait vivant du premier choc avec l’ennemie. Je m’élança donc en avant à la même vitesse que les autres, munit de mon épée et de quelques kunai. Mon corps est protégé par une fine armure de maille qui ne fait que ralentir mes mouvements. Nous sommes considéré comme des ninjas mais j’ai plutôt l’impression d’être un pion misérable qui a été sacrifié par notre maître. Le seigneur qui dirige nos armées, protéger par des samouraïs. Ces derniers feraient mieux de venir nous aider au lieu de garder un œil sur ce politicien. Je me sentais inutile, me battant comme un chien pour un territoire que nous ne verrons jamais. C’est ma deuxième bataille, je fus l’un des rares survivant de la précédente…je m’étais lâchement caché sous un cadavre en attendant patiemment la fin des combats. Je comptais bien sur refaire la même chose, en priant pendant plusieurs heures qu’une épée ne vienne pas tomber dans ma jambe ou qu’un projectile perdu m’atterrisse dessus. Ce soir, nous allions nous confronter à une famille dont le nom fait trembler ses ennemies. Croiser leur regard est synonyme de mort. Nous n’avons aucune chance, mais nous devons le faire pour montrer à nos alliés que nous ne sommes pas des lâches. Les Senjuu, cette famille qui fait la guerre depuis des siècles à ces Uchiha. Elle a ordonné à notre peuple de faire la guerre aux « démons » pour les affaiblir un temps, quel sottise ! La seule chose qui va sortir de cette bataille est un ruisseau de sang coulant aux pieds des Uchiha.
♪ Je ne sais pas quel jour nous sommes. Je pense énormément, comme si j’écrivais un bouquin dans ma tête. Je ne veux pas oublier les derniers instants de ma vie. Sans savoir pourquoi, je suis certain de ne pas en sortir vivant. Je tremble sous mon armure, j’ai bien sûre peur. Une terreur qui me tétanise alors que dans un instant mon sabre va cogner contre celui d’un autre ninja. Ca a commencé. Les premiers, au front, se font massacrer sous nos yeux. Un ninja aux regards rougeâtres s’approche de moi, je ferme les yeux et lâche mon arme, en attendant ma fin.
Bizarre, je suis toujours en vie. Je relève les paupières et je vois mes camarades inerte, mais debout. Leurs regards sont vides de toute pensé, c’est comme si il leur esprit était occuper à autre chose. Pour l’instant je ne bouge pas. Puis, j’entends les premiers coups de lames. Mais bon dieu que se passe t-il ? Comment se fait-il qu’une centaine d’homme reste là, sans rien faire. Ils ne peuvent bouger alors que moi oui. Ce n’est pas pour autant que je le fais. Des corps tombent comme des dominos, sans se défendre. Seulement une vingtaine d’Uchiha sont présents, les pupilles ornés de symboles désastreux. Je me rappela alors de se que j’avais appris lors de mon apprentissage ninja. Certain shinobi on le pouvoir de créer une illusion qui peut rendre fous ses ennemies, le rendre complètement inoffensif ou même le tuer par la simple vision d’une chose horrible. L’armée est touchée par un Genjutsu général. Sous mes yeux, un par un tomber sous la lame médiocre d’un Uchiha qui semblait terriblement s’ennuyer….Un, deux…quatre…six…huit de mes amis étaient au sol, mort. Je n’avais encore tissé aucun lien avec eux, et pourtant…voir leur cadavre m’inspira une haine profonde, torride, qui réchauffa tout mon corps et qui effaça cette peur glaciale. Je vis l’homme au sharingan s’approcher de moi, il leva son katana à la hauteur de mon épaule. Il voulut me décapiter. Je trancha son expression de sadique avant qu’il puisse faire couler une goûte de mon sang. J’enleva mon satané casque et l’envoya sur le cadavre de l’homme que je venais de tuer. Je ne ressentais aucun regret, même une certaine satisfaction, une joie de m’être sauver la vie. Bien sûr, les autres rappliquèrent aussitôt pour me tuer…Je fis des signes très rapide et cria de tout mes forces.
« Réveillez-vous !!!! »
L’illusion se brisa suite à mon jutsu. Le Kai que j’avais apprit à contre cœur lors de mon entraînement réveilla une cinquantaine d’homme, tout ceux qui se trouvaient autour de moi. Il sortirent leur épée et se jetèrent sur les Uchiha qui était proche de moi. Une dizaine, qui s’était trouvait encerclé par notre armée, se firent charcuter grâce à moi. Sa ne faisait que commencer, mais je compris que cette bataille serait différente des autres.
♪ Il est tard, la nuit éveille la méfiance de mes camarades. En fait, cela fait bien deux heures que nous pourchassons les survivants Uchiha. Plus tôt, grâce à ma lâcheté, nous avions tuer leur principaux éléments et mis à mal leur plan unique d’illusion. Une sanglante bataille c’était alors engager, finaliser par la victoire de notre famille. Ils étaient mal préparés, leur ninja n’avait aucune expérience de combat frontal. Leur épée était faible, la mienne dur et impitoyable. Jamais je n’avais buté autant d’humain en si peu de temps, j’étais taché de leur liquide rouge. Fier de moi, fier d’être en vie et d’avoir combattu pour mon clan, je marchais, accroupi avec deux autres combattants, dans l’ombre de cette lugubre forêt. Nos ennemies s’étaient enfuies dans celle-ci avec l’espoir d’échapper au massacre que nous leur réservions. Il ne devait pas être plus que dix, leur nombre était maintenant limité, tous éparpillé pour diviser nos troupes. Je n’entendais que cette maudite chouette, mon ouïe était concentré sur le bruit infernal que faisait cet animal. Je craignais de me faire piéger, mais j’avais gagné à cet instant une grande confiance en moi qui m’empêchait de me démotiver.
Un craquement se fit entendre, un de mes compagnons envoya un kunai dans un puissant. Il se heurta à la chaire d’un homme qui poussa un cri de douleur. Je me dirigea vers la victime et put constater qu’il portait les symboles de son maudit clan. Il me regarda dans les yeux, ceux-ci éclairer par les rayons lumineux de la Lune. Il ne prononçait pas de mot, mais son âme me suppliait de l’épargner. Pourquoi avoir pitié de lui et pas des autres ? Son cœur fut percé par la pointe de mon katana.
Nous continuions notre chasse à l’homme. Etrangement, je repensais à cet Uchiha qui m’avait regardé avec tant d’intensité. J’aurais peut être dû l’épargner. Non. Je n’avais pas la tête à regretter. Je me concentrai sur mes pas, évitant de faire trop de bruit. Soudain, je pensai à mes compagnons, comme si je les avais oublié un temps. Merde ! Ils sont plus là, je les avais perdu dans cette obscurité. Rebroussant chemin avec la même lenteur, ,je reconnu le bosquet de buisson où j’avais tuer ce fameux individu qui me tourmentait…son cadavre avait disparu. J’eus à peine le temps de le réaliser que je sentis une présence dans mon dos. Je me retournai pour voit le visage de ce gars qui devais normalement être mort.
Je m’étais fait avoir par un Genjutsu. Le simple temps d’hésitation que j’avais eut pour le tuer avait fait périr mes deux autres compères. Ce n’est pas pour autant que j’allais le laisser me faire mourir. Je combattis une cinquantaine de minute avant de lui trancher le torse alors qu’il s’apprêtait à me lancer un ninjutsu. La blessure, profonde, lui ôta la vie. Je n’étais pas encore seul. En effet, une silhouette fine me bondit dessus et me fit tomber en me plantant un kunai dans l’épaule…la chaire avait à peine touché, mon armure de maille avait bien travailler. Le fin ninja recula et composa une série de signe avant de me cracher de petite flammèche de feu. Je les esquiva sans trop de problème tout en fonçant sur lui avec modération. Arrivé aux alentours de son corps, je lui plaça un coup de pied dans les abdomen, ce qui le fit basculer en arrière. Je les aurais cru plus résistant. Mon adversaire était à terre, apeuré. Je m’approcha dangereusement, il recula en rampant jusqu’à plaquer sa nuque contre un tronc d’arbre. Une brise fraîche poussa les feuillages de l’arbre qui nous surplombaient…la lune éclaira son visage. Elle pleurait. Ce n’était pas une illusion. Elle avait petite mine, avait peur de la mort que j’allais lui offrir…c’était une femme. Une belle et triste femme.
« Je…je ne peux pas… »
Elle me regarda, comme si elle ne comprenait pas. Je ne pouvais tout simplement pas tuer cette kunoichi. C’était contre mes convictions. Comme toute les choses que j’avais faites juste avant…ce massacre que j’avais engendrer et produit de mes mains…tout cela, je ne l’avais pas voulu. Mais mon instinct de rage et de haine avait prit le dessus, faisant de moi une bête cherchant à survivre. Et en un regard, cette femme avait réussi à effacer toute colère et sentiment sombre. Je lâcha mon katana et lui fit signe de la tête qu’elle était libre de choisir. Me tuer, fuir, combattre…tout ce qu’elle voulait mais je ne voulais pas l’en empêcher.
Elle prit mon arme qui s’était plantait dans le sol, le souleva à deux mains et…me coupa le visage en deux. Le pont de mon nez s’ouvrit, laissant échapper énormément de sang. Elle avait tracé un véritable trait qui séparait mon visage en deux au niveau de ma face. Elle me tourna le dos alors que j’étais en train de m’évanouir. Elle disparut dans la lueur sombre de la forêt…Et me dis « Merci ».
♪ Je me réveillai à l’aube. J’étais seul, ma blessure au visage me faisait un mal de chien et saignait encore. Je me sentais terriblement faible. Abandonner par les miens dans ce bois qui était un véritable labyrinthe naturel, je devais à tout prit cicatriser la blessure. Je constatai qu’un buisson qui avait brûlé émettait encore de fine braise. Le jutsu Katon de cette jeune femme avait produit ces braises qui allaient me permettre de laver cette balafre. Je sortit un kunai, fit chauffer la face non tranchante et la posa sur mon nez. Je criai de douleur, avec un peu de chance quelqu’un allait m’entendre et me retrouver dans cet état. Que dal. De tout façon je ne voulais plus jamais rencontrer un membre de mon clan. Je ne me considérai plus comme un des leur. Les conflits, les guerres…tout cela m’avait très vite exaspéré. Je suis maintenant un homme libre de mes choix. Plus personne pour me dire qui combattre, qui tué…On ne choisis pas qui nous tus, on choisis à qui laisser la vie sauve.
Cette grosse coupure se cicatrisa. Elle était en quelque sorte le symbole de ma nouvelle identité. Vu que personne ne m’avait retrouvé, je dus passer pour mort. Et cette cicatrise, qui me défigurais quelques peu, me servirais pour ne pas être reconnu par…mon ancien clan.
Mon nom est Yôken. Mercenaire du Monde Ninja qui en proie à la Seconde Grande guerre Ninja.
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| | | | Ossan
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| | Sujet: Re: Pensée Ancienne [FB] Jeu 22 Oct - 20:10 | |
| ♪ La raison de ma survie dans ce monde devenu chaotique me surprenait moi-même. Quelques semaines, quelques mois après que je sois sortit vivant de la bataille contre les Uchiha, j’avais errer sans but précis dans les contrés inhabité du Sud. Mon regard croisait de magnifique paysage, comme des valets pure et végétal, décoré par des ruisseaux et des cascades admirables. Durant ce temps de méditation, où je réfléchissais ardemment à mon futur, je doutai rapidement de moi, en ayant l’envie de rebrousser chemin pour montrer à mon clan que je n’étais pas mort. Malgré une longue hésitation, je continuai ma marche hasardeuse sans faire demi-tour. Cherchant un but, une raison de vivre, je tombai un jour nez à nez avec une petit groupe d’homme bien différent de tout ceux que j’avais rencontré jusqu’à présent. Il n’arborait aucun symbole de famille, et leur habit était tout sauf noble ou récent. Mais sous leur apparence de vulgaire paysan, se cachait une force implacable que je remarquai en faisant, disons, connaissance avec eux. A peine j’avais croisé leur regard que l’un des trois individus se jeta, bôken à la main, sur moi dans l’intention de me blesser. Je ne répondis pas tout de suite à cette agression, en esquivant les coups du jeune soldat en manque d’expérience. Puis vint le plus imposant du groupe, qui me toucha en un seul coup, me plantant son poing dans les entrailles de mon estomac. Ce fut la toute première fois que mes genoux touchèrent le sol suite à un simple coup de corps à corps. Je crachai du sang, puis me releva devant l’adversaire qui n’avait apparemment plus l’intention de me tabasser. Il ria avec moquerie, je fus très vite frustrer par mon manque de puissance, puis il posa sa main sur mon épaule.
Jaks : Hé bien hé bien ! Tu n’as pas l’aire d’être un noble prétentieux ni même un melbre de clan. Qui es-tu vagabond ?
« Mon nom est… », Mon souffle fut couper pour une douleur persécutrice au niveau de mon ventre.
Jaks : Ce sont les effets secondaires…wahahaha t’es pas bien résistant pour un gars qui voyage seul.
« Yôken…je me nomme Yôken, qui etes-vous ? »
Jaks : Nous sommes de simple mercenaire. Appel moi Jaks.
♪ Cette rencontre fut décisive dans l’orientation que prit par la suite ma vie. J’appris à connaître ces hommes et leur fonction en tant que mercenaire. Ces derniers étaient considérés par la société ninja comme des êtres fuyard de leur obligation et qui vive que de pillage et de combat inutile. En fait, d’après Jaks en tout cas, les véritables mercenaires sont des individus chassant de leur esprit la guerre des clans pour mener la leur en toute liberté. Ce dernier mot était assez symbolique dans l’esprit de tout vagabond de bande, car être mercenaire veut aussi dire assumer une liberté qui est souvent blâmer par les familles shinobi et les samouraî. Ils sont d’ailleurs souvent chassés comme des animaux par eux. Tout cela me passionna dès la première conversation, et voyant mon intérêt dans leur histoire il me proposèrent de rejoindre leur groupe et de devenir un hors-la-loi aux yeux de la société. J’acceptai sans hésitation, sans même véritablement savoir dans quoi je me lançai.
Mon premier raide avec eux visés une ferme occupé par plusieurs ninja d’un clan. Ils avaient depuis quelques temps attirés l’attention de Jaks. Les propriétaires de ce bout de terrain étaient d’ailleurs persécuter par nos cibles, ce qui mettait notre chef en colère. Malgré sa carrure de brute, il avait un certains cœurs et détestait toute injustice ou abus d’autorité. Attendant que le crépuscule se manifeste, nous encerclons à quatre le bâtiment puis, dégainant nos armes respectives nous avons sauter par-dessus les rambardes et poussé des cris de barbare assoiffé de sang. L’attention des ennemies fut attirée à quatre points différents, ce qui les désorganisa et les sépara en plusieurs équipes. Il était une dizaine, peut être un peu plus. En tout cas j’en avais trois en face de moi, que je devais tuer pour sauver ma peau. Je me décidai à attaquer mes opposants avec calme et sang froid, en commençant par lancer une panoplie de shuriken qu’ils évitèrent sans difficulté. Pendant qu’ils étaient occupés, je débuta des signes incantatoires et cracha sans divergence un jet de flamme qui en brûla un en entier. En effet, il commençant à courir dans tout les sens avec des flammes qui incinérer petit à petit ses vêtements, puis sa chaire. L’un de ses compagnons utilisa à jutsu Suiton pour éteindre le feu, mais en faisant ça il baissa sa garde. Je profita de cette chance pour lui planter mon katana dans la hanche, puis leva la lame vers le haut en prenant bien soin de le déchirer au passage tout le coter de son torse. Le dernier fui face à un tel spectacle sanguinaire, ne voulant pas finir comme ses anciens partenaires. Je le laissai filer, ne trouvant pas de raison pour le poursuivre. Les autres mercenaires avaient eux aussi à se débarrasser de leur assaillant. Le jeune Loyard se fit aider par le paysan qui voyait une opportunité de virer ces persécuteurs de sa ferme. Jaks finit le boulot en même pas deux minutes, laminant les ninjas avec ses incroyables techniques de Taijutsu.
♪ Le clan était chassé à la fin de la journée et nous avons rassuré ces braves fermiers que nos intentions étaient nobles. Ils nous offrirent l’hospitaliser, mais le chef des mercenaires refusa, sans forcément demander notre avis. Nous quittions la contré sous les rayons chaleureux de la lune. Je ne mâcha pas mes mots en demandant agilement à Jaks pourquoi nous n »tions par rester dormir chez ce couple de paysan.
Jaks : Les mercenaires n’acceptent jamais l’aide de personne…en faisant le choix de mener cette vie nous assumons de ne pas avoir de contact trop amical avec les gens de la société…
Il retira de sa ceinture un petit sac garni de pièce qu’il montra a Lioyard, Hank et moi-même.
Jaks : Voilà pourquoi nous avons fait ça. Voilà pourquoi ce fermier et ces ninjas m’intéressais…leur cadavre était joliment remplie de cette somme d’argent…plus la récompense de notre acte.
Se battre, mener une vie de dure et risquer sa vie pour…des pièces en or qui allait servir à acheter des bons équipements, de la nourriture ou même a demander le service de jolie demoiselle…La vie de mercenaire me plaisait de plus en plus, mais avait certains aspects que je n’arrivais pas encore à accepter. 78 lignes | |
| | | | Ossan
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| | Sujet: Re: Pensée Ancienne [FB] Ven 30 Oct - 22:02 | |
| ♪ En un an en tant que mercenaire, je côtoyai la pire crapule du monde. Les péchés dont étaient capables les hommes seraient mes animaux de compagnie. Mon corps est sale de connerie, de mauvais choix. Mon âme…se sent libre, mais en même temps oppresser par la corruption de mes actes et de mon esprit. Je ne me rendis compte de rien jusqu’à un dernier raide sur un village civil. Jaks, quelques autres forbans et moi étions aux alentours d’une ville de clan, tout ce qu’il y a de plus normal à notre époque. Des innocents, des jeunes, des femmes sans histoire que nous allions exterminé et piller pour gagner de l’argent, et ainsi vivre. L’attaque se déroula la nuit, nos torches enflammés brûlèrent les toits des maisons, annonçant notre venu. Des cris se firent entendre, puis se tût suite à un coup de lame. La mort frappait petit à petit chaque habitant, tandis que Jaks et moi foncions sur les soldats pour empêcher toute résistance. Mon katana découpa la tête d’un homme, puis embrocha l’estomac d’un pauvre individu. Ces actions, ce génocide ne me faisait rien, je ne ressentais aucun plaisir, ni aucune honte. Je faisais ça machinalement, comme si quelqu’un me l’avait ordonné et que je ne pouvais pas désobéir. J’étais aveuglé par le propre sang que je faisais couler sur le sol. Continuant de courir dans les rues, j’entrai dans une maison avec mon coéquipier mercenaire. Un enfant détala dans les escaliers et monta au deuxième étage pour se réfugier, tandis que sa mère nous barrait la route. Un acte de bravoure qui mit hors de lui Jaks. Il gifla la pauvre femme et me commanda d’aller tuer le gosse. Je monta une marche, puis deux, puis trois…à ce moment j’entendis les pleurs de notre victime, criant au secours et pitié. Ce bruit, sa détresse me ôta de l’esprit l’envie de monter les escaliers. Je descendis les peu de marches que j’avais gravis et aperçut le visage démoniaque de Jaks qui s’apprêtait à abuser de sa victime. Il n’en eut pas le temps. Ma lame perfora sa poitrine, j’enfonçai mon arme jusqu’à ce quel le transperce de par en par et laissa tomer le corps. J’avais retrouvé soudainement une humanité. Je quittai la pièce et déferla ma foi dans les rues en tuant tout mercenaire que je croisais. Bientôt, plus aucun malfrat plus au moins dangereux ne furent en état de combattre, et les derniers survivants fuirent, pourchasser par les soldats du village. Quand à moi, ennemie malgré mon changement de camp, je me rendis.
Le lendemain, alors que les dernières braises furent éteintes, les dirigeants du village délibérèrent sur mon sort. Ils jugèrent mes actes barbares, et que la rédemption ne me serrais pas offerte. Ce midi, j’allais être pendu sur la place public du village…puis brûler avec tout les autres cadavres. J’acceptai ma destiné et me faisais à l’idée de mourir. Seulement, alors qu’on m’enferma pour deux heures dans une prison très peu sécurisée, une femme me rendit visite. Je la reconnu tout de suite. C’était celle qui j’avais sauvé des mains perverses de Jaks. Elle regardait le sol, comme si elle n’osait pas me regarder, ni me parler.
« Qu’est ce que vous me voulez ? »
♪ Cette jeune femme releva la tête. J’admirai de mon regard son visage délicat et si beau. Je ne comprenais pas vraiment cet étrange sentiment qui m’envahis, et accusa ma mort proche de provoquer en moi des émotions douteuses et dépourvu de sincérité. Sa bouche s’ouvrit et elle me remercia de l’avoir sauver. Elle me raconta ensuite que son fils avait péri et que le jeune garçon chez elle n’était qu'un orphelin qu’elle avait recueilli durant l’attaque.
« Je suis désoler. »
- Quel est votre nom ?
« Ce n’est pas utile que vous le sachiez. Dans moins d’une heure, mon nom se balancera le long d’une corde. »
-Vous êtes un ninja non ? Pourquoi ne pas utiliser votre ninjutsu ?
« Car je veux tout simplement mourir. »
♪ Il était vrai que je recherché le salue en ayant l’espoir d’être pardonner. Par qui ? Moi-même je ne le savais pas. La femme quitta la pièce subitement alors qu’un garde venait me chercher. Une escorte m’amena sur la potence où je devais être exécuté devant une foule d’habitant. Ils ne criaient pas des insultes, mais baissaient simplement les yeux, comme si je ne méritais pas de voir leur regard. Je fis de même et laissa l’homme me passait la corde au cou. Le sol allait s’effondrer sous mes pieds quand, soudainement, un kunai vint trancher ma délivrance. Parmi les « spectateurs » de mon propre mort, un individu avait décidé de lancer cette arme pour ne pas me laisser mourir. La personne en question se mit en évidence sur la potence et regarda tout le monde avec détermination. C’était encore cette femme que j’avais sauvée la veille. Pourquoi ne me laissait-elle pas crever en paix ?
- Cet homme…ne mérite pas la mort ! Il m’a sauvé la vie alors qu’un mercenaire allait abuser de ma personne. En faisant ça, il a gagné mon pardon…Et il a vaincu son mal. Au lieu de le condamner a mort…chassez le en exile.
Habitant : Qui nous dis qu’il ne va pas revenir nous attaquer avec de nouveau ami avec lui ?
- Tout simplement car je m’exile avec lui. Je ferais en sorte qu’il ne quitte pas le droit chemin qu’il vient d’empreinté.
♪ Je mettais évanoui suite à cette parole. La corde avait eut le temps de me lacérer les cordes vocales et j’avais craché un peu de sang avant de voir mon environnement se retourner. Au crépuscule, je me réveillai aux portes du village avec cette femme qui m’avait sauvé la vie sans que je ne lui demande. Je me leva du sol où l’on m’avait poser et la regarda. Je n’étais plus en danger de mort, mais je ressentais pourtant ce même sentiment qui était apparu dans ma cellule.
« Pourquoi avoir fait cela ? »
-Plus rien de me retiens ici, j’ai tout perdu et…je ne pouvais pas vous laissez mourir.
« Vous êtes idiote. Vous exilez avec moi alors que qu’une vie paisible et sang danger vous attendez… »
- Je ne supporte plus ce village. Il me rappelle mon enfant que j’ai perdu. Puis j’avais besoin de voyager. Mais je ne trouvai personne pour me protéger –clin d’œil-, c’était une opportunité à ne pas manquer !
♪ Elle prit les devants. J’essayai de résister, mais je ne put m’empêcher de regarder de bas en haut sa silhouette.
« Je m’appelle Yôken. »
- …Moi c’est Hitomi.
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| | | | Ossan
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| | Sujet: Re: Pensée Ancienne [FB] Dim 1 Nov - 17:06 | |
| ♪ Mon kunai protégea Hitomi tandis qu’une nouvelle vague de bandit sortit tout droit des buissons. J’analysa cette fâcheuse situation et remarqua avec colère que l’on était tout les deux encerclés par cinq ninja puant. Il m’était impossible de les vaincre avec la seule aide de mon arme, que je rangeai pour utiliser les quelques techniques que je connaissais. Je composa des signes incantatoires et souffla sur deux adversaires une vague de chaleur qui les repoussa un temps, tandis que les trois autres s’apprêtaient à sauter sur le jeune femme. Je m’empressai de me retourner et claqua la joue d’un individu avec mon pied, se qui fit hésiter les autres. Bien entendu, je n’en resta pas là et mon katana vint trancher leur corps chacun leur tours. Puis, dans mon dos j’entendis des cris barbares. L’annonce d’une attaque qui me serait fatal, il m’était impossible de parer leur offensif. C’est à ce moment que Hitomi se décida à me prouver ses talents de shinobi en coupant le souffle d’un guerrier avec son genou, puis planta un kunai dans l’épaule du second. Une arme qu’elle m’avait voler sans que je ne m’en aperçoive. Il fuir, nous pouvions enfin souffler avec une bagarre qui avait duré une dizaine de minutes. Hitomi cracha un sourire comme pour s’excuser de sa maladresse. Cette fois ci je ne me fis pas avoir et lui fit remarquer de ma grosse voix sa bêtise.
« T’es vraiment idiote !! Crier comme une folle et attirer les bandits des alentours…juste pour une araignée ! Mais t’es… »
- Ho aller, on les a eues c’est le principal. Puis c’est la seconde fois en deux mois que je te sauve la vie !
« Depuis le début de notre voyage, ça fait au moins la quinzième fois que je t’évite une blessure mortelle. Et même pas un mer… »
♪ Elle déposa un baiser sur ma joue, je me tût complètement sans vraiment en comprendre les raisons. Je sentis une sensation chaude m’envahir de la tête au pied, qui s’illustra par le rougissement de mes joues, qui fit rire ma compagne de chemin. Elle me fit un clin d’œil et me remercia pour toute ces fois où je la sauvai des lames d’agresseur… Nous reprenions notre route en direction du nord, comme le l’avait proposé Hitomi. D’après elle, le clan pour lequel se battait son père se trouvait dans les montagnes du Nord, à l’abri des attaques direct d’ennemie. Malgré les dangers des lieux que nous traversions, elle ne perdait jamais son sourire et me parlait souvent de son père, avec lequel elle passa une bonne partie de son enfance. C’est d’ailleurs avec celui-ci qu’il apprit à combattre comme un ninja. Puis à l’âge de 16 il fut convoqué par le Seigneur de son clan pour combattre au coter des soldats de sa famille. Elle avait l’espoir de savoir ce qu’était devenu son paternel, tout en sachant qu’il était très certainement mort…je ne pouvais essayer de la réconforter en lui disant qu’il y avait de l’espoir. Je connaissais trop bien la guerre pour mentir à ce point là. Mais même cette idée telle triste ne la démoraliser pas.
♪ Le voyage dura encore un mois, a pied nous avions traversé tout le sud du pays pour atteindre le pays du Nord nommer par certains le pays de la Terre. Il était vraiment que les montagnes se faisaient nombreuses dans cet environnement, et la végétation était plus dense. Certaine forêt était parfois habiter par des animaux sauvages que je dû faire fuir. Un soir, notre camp improvisé se fit attaquer par une meute de loup enragé. Sans la montrer, je sentis la peur prendre possession de mon esprit. Affronter des humains ne m’effrayer plus…mais un animal qui à faim ne m’inspirait pas du tout confiance…ce fut le contraire pour Hitomi. Elle se mit devant moi, kunai à la main et regarda les loups avec des yeux aussi féroce qu’eux. Les bêtes hésitèrent même à attaquer. Puis, elle attrapa notre sac de provision et jeta notre viande dans un buisson plus loin. Les chiens sauvages se ruèrent sur le gibier qu’elle venait de balancer. Elle attrappa ma main et nous commencions à courir vers une direction opposer. Notre fuite dura une bonne quinzaine de minute avant de s’arrêter pour compre que nos ennemies n’allaient plus nous suivre. Je la regarda, mon regard vide de peur et fut curieux de savoir d’où lui venait ce courage soudain face aux animaux.
« Comment arrive tu à garder ton sang froid face à ces bêtes féroce ? »
- Pourquoi ? T’as peur toi ?
« Pas du tout ! J’ai pas l’habitude de me retrouver face à une meute de loup, c’est tout. »
-M’ouais…dis moi. Tu ne m’as jamais parlé de toi, de ton histoire. Pourquoi es-tu devenu mercenaire ?
Je n’aimais pas parler de moi…mais à elle j’en avais l’envie…même le besoin.
« Il y a plus d’un an, je faisais partit d’un clan ninja. Notre seigneur nous a envoyés sur le champ de bataille combattre le clan Uchiha. Nous savions tous qu’on aller mourir mais l’armée entière était prête à se battre…sauf moi. Je fermai les yeux alors que les Uchiha arriver. Quand je les rouvris…tous les soldats autour de moi étaient en transe, piéger dans un Genjutsu. La petite armée envoyé par notre ennemie commença à tuer mes amis paralyser…quand je décidai de briser de tout mon chakra l’illusion. La colère de voir mes coéquipiers se faire buter me rendis courageux. Ma lâcheté les sauva. »
- Et après ?
« Après un certain évènement…je pris la décision de quitter les rangs de l’armée, j’ai simplement déserté. Et je suis devenu par la suite mercenaire…
♪ Mon histoire avait l’air de fortement l’intéresser. Après lui avoir tout raconter, elle ne fit que sourire. La simple vue de son visage rempli de bonheur me fit oublier tous les évènements de ma vie que je venais de réciter. Nous reprenions une nouvelle fois le chemin suite à cette courte mi-temps. Le lendemain, à l’aube, nous arrivions à la fameuse montagne où devait se trouver le village du clan de Hitomi. Nos regards ne croisèrent qu’un champ de ruine, des maisons saccagé et brûler, l’odeur de la mort qui pesait sur les épaules de cette jeune femme lui fit plier les genoux. Pour la première fois, je la vis pleurer. Elle éclata en sanglot, comprenant que ses origines étaient mortes ainsi que son père. Elle ne trouvera plus jamais d’information sur son clan, toute information avait dû brûler par une attaque décisive. Tel un pauvre homme, je ne trouvai pas les mots pour la réconforter. Je ne fis que poser ma main sur son épaule, et m’agenouilla à ses cotés. Sa tête se posa toute seul sur mon épaule et elle dégagea toute sa tristesse dans cette partie de mon corps. Ce fut une étrange expérience de voir quelqu’un pleurer sur moi. C’était comme si je devais surmontait avec elle son émotion.
- J’en ais marre…-sanglot-…de voir la guerre. Elle a ruiné ma vie !
♪ Je baissai les yeux, comprenant très bien ce qu’elle disait…mais j’avais depuis longtemps compris que les guerres sont inévitables. Peu importe sa forme, il y a toujours une bataille à mener dans sa vie.
Dans un dernier élan de force, nous décidions d’aller fouiller les quelques restes de ce village. Il n’y avait que du bois brûler et des pierres railler par la force des katana. Soudainement, un sifflement retentit dans les aires et un kunai vint se planter dans mon bras. Je poussa un léger cri de douleur et chercha l’agresseur. Plus haut, en amont de la montagne, une troupe d’homme nous faisait face. Leur intention était mauvaise.
??? : Tu croyais qu’on aller te laisser tranquille Yôken ?! Tu as trahi nos plus chers amis. Tu dois mourir pour avoir tué Jaks.
♪ Les mercenaires, mes anciens compagnons, avides de pouvoirs et de sang. Tout ce temps, et sans que je ne m’en aperçoive, ils nous avaient suivis. Ils cherchaient l’affrontement et cela ne me plaisait pas beaucoup. En effet, il était déjà au nombre de dix environ, et je savais pertinemment que certains de ces individus étaient puissants. Trois d’entre eux sautèrent en ma direction et s’engagèrent dans un combat, tandis que Hitomi allait se cacher derrière quelques ruines. Mon katana maintenait avec fureur ma défense face aux lames perfides de mes trois adversaires. Je sentais qu’ils se retenaient, comme si ils faisaient le spectacle pour les autres brigands encore en hauteur. Au bout de cinq minutes, alors que j’étais à bout de souffle, ils arrêtèrent et bondirent en arrière. Leur compagnon les rejoignit et ils sourirent tous sadiquement. Le chef du groupe pointa la position de Hitomi avec son sabre et ordonna à ses hommes…de la tuer. Ma Haine se mit à bouillonner en moi. L’homme leva de sa main le corps de la jeune femme et la poussa contre un rocher. Il sortit de son fourreau une épée, et le planta en direction de sa cible. Celle-ci esquiva le coup et essaya de fuir…Son bras fut retenu par un deuxième homme, qui la gifla. Elle tomba au sol. J’allais pour l’aider mais mon intention fut de nouveau tournée vers les trois adversaires qui me lancèrent trois kunai. Alors que les projectiles me fonçaient dessus, je pus constater qu’un des mercenaires allait achever la fille…Des goûtes de sangs coulèrent…le liquide m’appartenait. J’avais trois armes de lancé planter dans le dos, tandis que mes jambes couraient vers Hitomi. Je mis mon corps en opposition, et la lame du sabre de notre ennemie me perfora la poitrine. Derrière moi, j’entendis le cri de désespoir de celle que…ce coup mortel me fit ouvrir les yeux. Je l’aimais. Je m’étais sacrifié pour qu’elle vive encore un petit peu. Je tomba au sol, l’épaule la première, et regarda le mercenaire qui ria. Il releva son katana pour finir le boulot…mais quelque chose d’étrange se déroula sous mes yeux. L’individu se tétanisa, il ne pouvait plus bouger. Par la suite, des cris retentirent, puis plus rien. Un inconnue s’approcha du corps tétaniser de mon agresseur et le tua d’un coup sec avec le plat de la main.
♪ Mes paupières se levèrent et laissèrent passer un léger rayon de soleil, avant d’être supprimé par l’ombre magnifique de Hitomi. Une serviette pleine d’eau fut posée sur mon front. Je trouvai les forces pour parler et demanda à ma compagne de route ce qu’il s’était passé. Elle me raconta qu’un homme était venu tuer les mercenaires, puis utilisa son chakra pour soigner mes blessures. Grâce à cet homme, nous étions en vie. Je me redressai et le vu assis sur un rocher, en train de regarder avec intensité les ruines du village.
« Qui êtes vous ? »
Chokushi : Le Messager.
- Comment ?
Chokushi : Mon maître m’a donné la mission de vous trouver. Dans ce monde, quelques ninja au passé et au futur incroyable sont choisis pour rejoindre nos rangs. Nous sommes des Chokushi, un clan de clan qui réunit tout ceux qui ont bannis de leur vie la guerre. Nous savons que vous reniez tout deux les affrontements entre clan. Ma proposition sera simple et votre réponse tout aussi facile…Voulez vous rejoindre les Messagers ?
♪ Je regarda Hitomi, puis sans en comprendre les raisons je répondis positivement à la proposition de cet étrange individu. Malgré que je ne le connaisse pas…il m’inspirait une incroyable confiance. De plus il nous avait sauvés la vie face à ces mercenaires.
« Oui. De toute façon, c’est tout ce que me propose la vie en ce moment…et toi Hitomi ? »
-Avant de répondre, il faut que je sache quelques choses. Yôken…pourquoi as-tu voulu sacrifier ta vie pour moi ?
« Je ne sais pas. Depuis que je te connais et que je te suis…je pense, je ressens et fais des choses idiotes. Je ne me comprends pas mais… »
♪ Sa main vint relever quelques cheveux rebelles qui s’étaient aventuré devant mes yeux. Puis, elle posa ses lèvres contre les miennes. Je ne me comprenais pas, mais elle me comprenait. Elle avait deviné et comprit mes sentiments, sans que moi j’y voie quelques choses…je compris par la suite que c’était la femme de ma vie. C’est ainsi que Yôken devint Chokushi et père d’un fils. La suite…dans ma présentation.
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