Une nouvelle vie à Kiri

Je m'approchais de plus en plus de ce village, celui de la pluie, plus connu sous le nom de Kiri. Après avoir rassemblé quelque informations, je savais qu'il y avait quelques tentions entre Kiri et Konoha, ce qui m'arrangeais. Je cherchais un nouveau village pour m'accueillir et Kiri était parfait, si il y avait une guerre, je pourrais y participer et ainsi détruire Konoha. Et puis le village du pays du Feu serait surpris de voir un ninja médecin dans les rangs ennemis. J'avais besoin d'un nouveau départ, je ne savais pas quoi faire, défendre le bien ou le mal ? Dans mon esprit c'était la pagaille complète, je ne savais pas trop quoi faire, rejoindre Kiri, rester un déserteur, à vrai dire il n'y en avait plus beaucoup, même notre maîtresse adoré Kira Uchiha avait rejoins un village. Muni d'une longue veste cachant mon visage grâce à une capuche, je me rapprochais des portes de Kiri, le ciel commençait à se couvrir, la pluie arriva. Le sol devint boueux, l'eau dégoulinait sur la longue veste noire que je portais, mon visage était protégé, j'avançais tenant dans ma main mon bandeau de Konoha qui était rayé. Je me mis alors à courir puis, je lâcha le bandeau qui tomba dans une flaque de boue, moi même je marchais dans cette substance que je contrôlais en utilisant certaine techniques Doton. Mes sandales ninjas étaient presque marron, au lieu de noir, tout comme le bas de ma veste, devant les portes se trouvaient deux gardes, je ralentis le pas et, me mis devant eux, enlevant ma capuche, abaissant le haut du corps pour les saluait.

"Bonjour ninja de Kiri, je vais être franc, je suis un déserteur et je cherche l'hospitalité dans un village autre que Konoha que je hais, puis-je m'installais dans votre magnifique village ?"

Alors que je parlais, l'eau coulait sur mon visage, mes cheveux devinrent lisse et trempe, et pour finir il y eut quelques éclairs dans le ciel. Même si je n'étais pas la nuit, c'était tout comme, des nuages noirs, des éclairs et de la pluie, on dirait que la nature était contre moi mais que pouvais-je faire, j'avais besoin de ça, de rejoindre ce village.