Réparations [B/Ryô]

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».Nous étions arrivés ensembles, ou presque, à Konoha. Arrivé aux portes, un accueil des moins chaleureux avait été fourni à notre égard, sans doute du au mépris que l'on inspirait à tous ces gens. Sojiro, Shinji & Moi, avions opté pour la séparation. Certes, le travail serait chaque fois plus long, seul, mais nous pourrions couvrir plus de terrain. Au final, je me retrouvai donc pour les réparations de la salle d'entraînement.

• Il faisait beau à Konoha ; Ce n'était pas comme les contrées de Kiri, sans cesse embrumées. Le climat était ensoleillé, un ciel nuageux qui couvrait légèrement le ciel bleuté et agréable. Une brise à peine perceptible pour rafraichir les gens. Cependant, le regard du monde était mauvais, en comparaison à cette joie naturelle de l'ambiance. Tantôt des regards graves, tantôt d'autres menaçants. Plus tard encore, on crosait des yeux vides. Qu'est-ce que donc Konoha avait ? Pleuraient-ils à ce point la perte de leur bâtiments ? Certes non, c'aurait été du matérialisme ; La richesse du village ne pouvait laisser ainsi se propager ce fléau de bas-étage.

• Quoiqu'il en soit, Ryô progressait sur un sol peu maléable, bien tassé, d'une humeur acrimonieuse.Quiconque eut tenté de lui adresser la parole se serait retrouvé contre le mur, un Kunaï en plein coeur. Il n'en revenait toujours pas que Shin les ait lâchement abandonnés, telles de vieilles chaussette. Il aurait très bien pu leur annoncer au port, qu'il ne partait pas. Mais non, il s'était contenté de les suivre, pendant un temps. Il était normal que cela soulève bien des questions, des doutes, des thèories faramineuses et probablement insensées. Mais voilà, c'en était ainsi et il devrait s'accomoder de cette absence, tant de réponse que d'amitié, durant tout son séjour au village caché de la feuille.

• Il arriva enfin au lieu qui lui avait été confié.Il ne pouvait constater les dégâts causés par l'attaque ravageuse de son chef, par sa semi-cécité pesante

[En cours]